Cambridge M.A., The Medieval Academy of America, 1953. 8vo. Bound with the original wrappers in bloth half cloth. Offprint from ""Speculum. A Journal of Medieval Studies, Vol. XXVIII, No. 1 January 1953. Library label to lower part of spine and library stamp to title page. Otherwise a fine and clean copy. 43 pp.
Scarce offprint of medieval economic historian Lopez's early study on moneymakers in the early middle ages.
Editorial Renacimiento 1994 15x21x1cm. 1994. Broché. 232 pages. Très bon état
Milano, Cisalpino - La Goliardica, 1978-84. Folio. 54825457 pp. and 397 plates.
(Vol. 3, Fasc. 1-4 of Catalogo del Meseo Egizio di Torino, Serie Seconda).
Cariplo 1978 27x37. 1978. reliure pleine toile. 307 pages. Très Bon Etat de l'ensemble
1988 1988. reliure editeur. 102 pages. Bon Etat intérieur propre
(London, 1986). Royal8vo. Orig. boards with dustjacket. XV,464 pp. Illustrated.
Le Papillon Rouge Editeur 2017 16x23x2cm. 2017. Broché. 264 pages. Comme neuf
Laffont 1970 14x22. 1970. Broché. 282 pages. Bon Etat intérieur propre couverture brunie
Flammarion 1950 in4. 1950. Cartonné. 19 pages. Bon Etat
Armand colin 1962 in8. 1962. Cartonné jaquette. 487 pages. Bon Etat qq passages soulignés au crayon papier
Frédéric Lopez Xavier Rossi Arnaud Brunet Jean-Michel Turpin
Reference : 169134
(2009)
ISBN : 2700607147
Aubanel 2009 28 8x28 4x2 8cm. 2009. Reliure editeur+jaquette. 212 pages. envoi suivi pour la France et l'étranger
In Venetia, Presso Cornelio Arrivabene, 1584. Petit in-4 de [8]-214 (pour 218)-[2] pages (signature: *4; A-Z4; Aa-Dd4), demi-veau fauve, dos à nerfs, pièce de titre noire.
Orné d'une gravure figurant un échiquier, et six autres figurant les différentes pièces du jeu. Première et unique édition italienne, publiée vingt-trois ans après l'originale. "Le prêtre espagnol Ruy López de Segura compta parmi les plus forts joueurs du XVIe siècle, et peut même être considéré comme le premier "champion du monde" européen à la suite de sa victoire éphémère sur Leonardo il Puttino. Son influence fut considérable. En 1550, à Rome, il triompha de tous les joueurs en renom. Philippe II, souverain d'Espagne, qui était grand amateur d'échecs, l'invitait fréquemment à la Cour et le combla d'honneurs." Le Lionnais. Ruy López, surnommé « le père de la théorie », publie en 1561 un des premiers grands manuels de théorie et d'histoire du jeu d'échecs, le Libro de la invencion liberal y arte del juego del Axedrez qui contribuera grandement au développement du jeu en Europe par la promotion de la prise en passant qui était alors ignorée en Italie; une revue exhaustive des ouvertures pratiquées à l'époque ainsi que par la première analyse de la « partie espagnole » appelée aussi « ouverture Ruy López ». Deux cahiers brunis et mouillures. Nombreuses annotations anciennes, en français et en italien. Olschki Choix, II, 2602 " C'est la seule édition italienne de ce livre extrêmement rare"; Palau y Dulcet VII 14199; Le Lionnais, Dict. des Echecs, p.229; Brunet IV, 1472.First and only Italian edition, published twenty-three years after the first edition. "The Spanish priest Ruy López de Segura was one of the strongest chess players of the sixteenth century, and may even be considered the first European "world champion" following his short-lived victory over Leonardo Il Puttino. His influence was considerable. In 1550, in Rome, he triumphed over all the renowned players, and Philip II, ruler of Spain, who was a great amateur of chess, frequently invited him to the Court and showered him with honors". Le Lionnais. Ruy López, nicknamed "the father of the theory", published in 1561 one of the first major textbooks of theory and history of chess, the "Libro de la invencion liberal y arte del juego del Axedrez" which will contribute greatly to the development of the game in Europe by promoting the catch in passing which was then ignored in Italy; an exhaustive review of the openings practiced at the time as well as by the first analysis of the "Partie espagnole" also called "opening Ruy López". Olschki Choix, II, 2602 "This is the only Italian edition of this extremely rare book"; Palau y Dulcet VII 14199; Le Lionnais, Dict. des Echecs, p229; Brunet IV, 1472.
Meridian Nouvelles Editions 1945
Bon état Petit format
S.E.M.I 1958
Bon état Petit format
S.E.M.I 1958
Bon état Petit format
Con tutte le cose notabili accadute in esse dal principio fin' questo giorno, & nuovamente tradotte di Spagnuolo in Italiano. Nelle quali, oltre all'imprese di Colombo et di Magalanes (Magellano), si tratta particolarmente della presa del Re Atabalippa, delle Perle, dell'oro, delle spetierie, ritrovate alle Malucche, & delle guerre civili tra gli Spagnuoli. appresso Andrea Arrivabene, Venetia, 1557. In-16 p., (mm. 150x100), p. pergamena rigida antica, titolo ms. al dorso, 18 cc.nn., 324 cc.num., marca tipograf. al frontespizio e con alcune grandi iniziali figur. a vignetta, inc. su legno. Questa seconda parte dedicata alla conquista del Peru (fino alla pacificazione effettuata da Gasca), delle Antille, del Chile e dell'America Centrale e anche al viaggio di Magellano e alla scoperta delle Molucche. La prima parte de la cronica del gran regno del Per, con la descrittione di tutte le provincie, e costumi, e riti, con le nuove citt edificate. fu scritta in lingua spagnola da Pedro Cieza de Leon. Come precisa Brunet, l'opera doveva essere composta da 4 parti ma solo la prima fu pubblicata (a Siviglia nel 1553; nella versione italiana, a Roma, 1555). La cronica del regno del Peru fu completata dallo storico spagnolo Francesco Lopez de Gomara, con la sua importante Historia general de las Indias, tradotta in italiano, in prima ediz. a Roma nel 1556, col titolo La historia generale delle Indie Occidentali. e, in seconda ediz. a Venezia, 1557, col titolo La seconda parte delle historie generali dell'India.. Francisco Lopez de Gomara (1512 - 1560?), ecclesiastico, studi ad Alcal, venne a Roma, e fu poi in America cappellano di Ferdinando Corts. Nel 1552 fu pubblicata a Saragozza la sua famosa "Historia general de las Indias". Nella narrazione il Lopez de Gomara ha buon senso nell'utilizzare le fonti e nell'interpretarle; colto, e scrive con correttezza e precisione. Nel 1553 la stampa e la vendita del libro vengono proibite da Filippo II. La "Historia" fu subito tradotta in italiano, in latino e in francese (nel XVI secolo se ne fecero circa venti edizioni). Cos Enciclopedia Treccani,XXI, p. 486.Cfr. Palau,IV, p. 264/265 che cita le numer. ediz. e traduz. - Brunet,II,67 - The Hill Collection of Pacific Voyages,1038 cita la prima ediz. illustrata in spagnolo del 1555: The "Historia" of Lopez de Gomara is a classic work in the history of America. It contains a wealth of information about the Spaniards in the West Indies, Gran Colombia, Peru and Mexico. Corto del margine super.; frontesp. arross. e qualche lieviss. arross. interc. nel t. altrimenti esemplare ben conservato.
MAGGY SPECTACLES / GRANDS SPECTACLES. non daté. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 13 pages illustrées en couleur, ainsi que les plats. . . . Classification Dewey : 790.2-Arts du spectacle (Généralités)
HERNANDEZ AMALIA - LOPEZ LOPEZ SALVADOR- SADOWSKI ANDRZEJ- JOHN VAN DEN HEYDEN- GUILLERMO BARCLAY- JOSE VILLANUEVA- NORMA LOPZ HERNANDEZ Classification Dewey : 790.2-Arts du spectacle (Généralités)
A Paris. Chez Michel Sonnius, rue sainct Iaques, à l’enseigne de l’escu de Basle. M. D. LXXVIII [1578]. Avec privilege dv Roy. in-8 (160x100mm) ,4ff nch -354ff -14 ffnch (table), relié plein velin , pièce de titre au dos ,jolie marque d’imprimeur , lettrines, écritures au titre dont un gratté avec manque de matière ,manque la dédicace au duc de Montmorency (feuillet à2) , au lecteurl (e feuillet à5) et le dernier feuillet de la table (Aa2), travail de vers en fin d’ouvrage a, mouillure claire sur quelques pages .
« L' événement le plus important depuis la création du monde, mis à part l' incarnation et la mort de celui qui l'a créé, est la découverte des Indes » (Lopez de Gomara, dans une lettre adressée à l'empereur Charles Quint). Réimpression de la 2eme édition de la première traduction française de ce récit des conquêtes espagnoles en Amérique. Le traducteur, Martin Fumée, s'en était pris au cosmographe André Thevet et à ses Singularitez de la France Antarctique, farcies de « bourdes », prétendait-il, « non pas forgées par l'autheur, mais par des mariniers, qui luy en comptoient ainsi qu'il récite »... C'est pour pallier ces insuffisances que Fumée aurait décidé de traduire l'ouvrage de Lopez de Gomara, pourtant aussi suspect. En effet, chapelain et secrétaire de Cortès dans les dernières années de la vie de ce dernier, n'ayant jamais voyagé en Amérique, Francisco Lopez de Gomara (1511-1565) recueillit du conquistador le récit de la conquête de Mexico et des « terres neuves ». Son ouvrage, évidemment favorable aux conquistadors, contrairement à celui de Las Casas , eut un succès important qu'attestent les nombreuses éditions en Europe , Charles Quint l’interdit en 1553 .Montaigne s'est servi de cette traduction française pour son chapitre Des Cannibales dans Les Essais . (Sabin, 27747 ; Leclerc, 253. ) Bound in period velum, (General History of the Indies) is a work by Francisco Lopez de Gomara , his first edition was printed in December 1552 in the studio of Agustín Millán in Zaragoza. Very rare edition of the first French translation of the chronicle of Lopez de Gomara (1511-1556) , the author has never been to America, but he took note of all the news which reached Europe, using the rare maps of the conquered territories. Its sources consisted of manuscripts and texts of religious who left for America and of interviews with Cortés whose actions he glorified. This remains the best testimony on the discovery and conquest of the New World.P-16 (12)
« Montaigne s’appuie sur ‘le premier livre de la conquête des Indes par les Portugais’, histoire écrite en espagnol par Lopez de Castaneda et dont nous avons vu Montaigne utiliser des parties dans ses ‘Essais’ ». Anvers, Jehan Steelsius à l’escu de Bourgogne, 1554. Petit in-8 de (4) ff., 211 ff. Veau havane, double encadrement de filets à froid sur les plats avec fleurons d’angles, dos à nerfs orné de même, tranches dorées, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée. Petit successeur de Simier. 151 x 92 mm.
Seconde édition de la traduction française par Nicolas de Grouchy, parue un an seulement après celle donnée par Michel de Vascosan. Borba de Moraes, I, p. 142 ; Sabin n°11388. Not in the John Carter Brown Library Catalogue. This volume contains the first book of Lopes de Castanheda in which the author gives an account of the voyage of Pedro Alvarez Cabral in India in 1500, in the course of which Brazil was discovered. This first book comprises the account of Cabral's discovery of Brazil. It is worthy of note that the English translation of this first book by Nicholas Lichfield was not published in London till 1582. Pedro Alvarez Cabral est un navigateur portugais né vers 1467 à Belmonte (Portugal), mort probablement vers 1520 peut-être à Santarém (Portugal). Fils de Fernão Cabral et d'Isabel de Gouveia, Pedro Álvares Cabral naît dans une famille noble riche d'une longue tradition au service de la couronne de Portugal. Le jeune homme est très estimé du roi Manuel Ier. Cabral est nommé amiral et prend le commandement d'une escadre de 13 caravelles qui quitte Lisbonne en mars 1500 à destination des Indes. Son objectif est de suivre la route ouverte par Vasco de Gama en 1497 afin de consolider les liens commerciaux établis en Orient et de poursuivre la conquête de nouveaux territoires entamée par son prédécesseur. Cabral suit à la lettre les instructions de Vasco de Gama et fait cap au sud-ouest pour profiter des alizés. Des vents favorables entraînent Cabral si loin vers l'ouest qu'il découvre le 22 avril 1500 ce qu'il prend pour une île et baptise Terre de la Vraie Croix (Vera Cruz). Renommé Santa Cruz (terre de la Sainte Croix) par le roi, ce territoire prendra finalement son nom actuel, Brésil, en référence au bois de brasil, un bois de teinture « couleur de braise » que l'on trouve en abondance. D'après les rapports, Cabral s'efforce de se montrer affable avec les indigènes, qu'il reçoit à bord de sa caravelle. Il prend néanmoins possession des nouvelles terres, qui reviennent de droit au Portugal conformément au traité de Tordesillas (1494), et renvoie l'un de ses navires au Portugal pour en informer le roi. Dorénavant, les cartes de la région montrent une vaste étendue de terre aux frontières mal définies sous domination portugaise, et où font escale les navires partant d'Europe pour rejoindre le cap de Bonne-Espérance et l'océan Indien. Cabral ne reste que quelques jours au Brésil, avant de repartir vers les Indes, mais la deuxième partie de son voyage est marquée par une série d'événements malheureux. Le 29 mai, alors que la flotte double le cap de Bonne-Espérance, quatre caravelles disparaissent. Plusieurs hommes trouvent la mort dans ce naufrage, dont Bartolomeu Dias, le navigateur portugais découvreur du cap en 1488. Le reste de la flotte atteint les Indes et jette l'ancre dans le port de Calicut le 13 septembre 1500. Le zamorin (chef local) lui fait bon accueil et lui permet d'établir un comptoir fortifié. Des disputes ne tardent pourtant pas à éclater avec les marchands arabes, et le comptoir est attaqué le 17 décembre par une importante force armée. La plupart des défenseurs portugais sont tués avant que les renforts n'aient le temps d'arriver. Cabral riposte en bombardant la ville et en capturant dix vaisseaux maures dont il exécute les hommes d'équipage. Il met ensuite cap au sud jusqu'au port de Cochin, où les chefs locaux lui réservent un accueil chaleureux et l'autorisent à faire commerce des précieuses épices, dont il charge les six caravelles qu'il lui reste. Après deux autres escales sur le même littoral, pour compléter son chargement, Cabral prend le chemin du retour le 16 janvier 1501. Il perd encore deux caravelles en route, et c'est à la tête de quatre vaisseaux qu'il rejoint finalement l'embouchure du Tage le 23 juin 1501. "The expedition remained on the coast eight days. The General ordered a high stone cross to be erected here, and named the country. ' La Tierra de Santa Cruz,' or the Land of the Holy Cross, which name will be found on the earliest maps of the Eastern portion of the continent of South America. From here Cabral sent home a caravel, with letters to the King, giving an account of his voyage hitherto, and stating that he had left two exiles here to examine the country; and particularly to ascertain if it were a continent, as it appeared to be from the length of the coast he had passed. He likewise sent one of the natives to show what kind of people inhabited the country." Bartlett, Vol. I, pp. 263-4. « ‘Historia de descobrimento e conquista da india por los Portogueses, por Fernando Lopez de Castaneda. Coïmbre, 1552-1554, 8 vol. in-folio. Cet ouvrage a été entièrement traduit en italien sous le titre suivant : ‘Istoria dell’Indie orientali, scoperte e conquistate de Portughesi… Venise, 1578, 2 volumes in-4. Cet ouvrage est très rare et très recherché, parce que c’est l’histoire la plus complète de la conquête des Indes par les Portugais. Une partie seulement de cette histoire a été réimprimée à Anvers en 1554. Le premier livre aussi seulement a été traduit en français sous le titre suivant : ‘Le Premier livre de l’Histoire de l’Inde, contenant comment l’Inde a été découverte par le commandement du roi Emmanuel’… Paris, 1553, in-4. » (Bibliothèque universelle des voyages, 1808). « L’Ouvrage de Castaneda porte pour Titre ‘Histoire de la Decouverte & de la Conquete des Indes Orientales par les Portugais. Il a été traduit de leur langue en Français, en Italien & en Anglois. Le But de cet historien a été de conserver la Mémoire des Evénemens dont il parle, qui seraient infailliblement tombés dans l’oubli ; puisque, de son temps, il n’y avait plus que quatre Personnes qui eussent quelque Connoissance de ce qui s’étoit passé dans cette Découverte. On ne doutera pas, qu’il ne fût en état d’écrire cette Histoire, si l’on fait attention, qu’ayant demeuré aux Indes Orientales, il s’y étoit uniquement attaché à recueillir des Mémoires, & avoit vécu familierement avec quantité d’Officiers & autres Gens d’Honneur, qui avoient eu Part à la conquête par leurs Actions ou par leurs Ordres. D’ailleurs il s’était procuré la communication d’un grand nombre de Lettres & de papiers d’importance ; &, à son retour en Portugal, il avait voyagé dans toutes les parties du Royaume, pour découvrir des Acteurs ou des Témoins. Enfin, ce ne fut qu’après avoir passé la plus grande partie de sa vie à rassembler des matériaux, qu’il composa son Histoire. Aussi Faria y Sousa lui donne-t-il le premier rang pour l’exactitude & la Fidélité. » (Bibliothèque britannique ou histoire des ouvrages des savants, t. 24, 1746). « Montaigne a lu l’ouvrage de Castaneda ‘Histoire de la découverte et de la conquête des Indes par les Portugais ». Nous savions déjà que sa bibliothèque contenait une traduction en Castillan du premier des huit livres de Castaneda ; mais il ne lisait pas l’Espagnol. C’est donc très probablement dans l’abrégé français que Goulard donna que Montaigne a pu connaitre l’histoire de Castaneda… Voici trois coutumes et une anecdote qui me paraissent en venir : Montaigne Et au quartier par où les Portugais escornerent les Indes, ils trouverent des estats avec cette loy universelle et inviolable, que tout ennemy vaincu par le roy en presence ou par son lieutenant est hors de composition de rançon et de mercy. (I, 16, t. I, p. 94) En une nation, le soldat qui, en un ou divers combats, est arrivé à présenter à son roy sept testes d’ennemis est faict noble. (I, 23, t. 1, p. 158). Castaneda Cachil disoit la coustume inviolable estre qu’en toutes les batailles esquelles les Roys ou leurs lieutenans se trouvoyent, on faisoit mourir sans aucune remission tous les ennemis qui avoyent attendu le combat ou l’assaut. (L. 14, ch. 15, f. 416). Correa sçeut que quiconque en ces isles peut porter à son Roy à diverses fois sept testes d’ennemis tuez en guerre, il est fait chevalier et gentil homme qu’ils appellent Mandarin ». (L. 14, ch. 15, f. 416). […] Pour le Portugal, Montaigne s’appuie sur « le premier livre de la conquête des Indes par les Portugais », histoire écrite en espagnol par Lopez de Castaneda et dont nous avons vu Montaigne utiliser d’autres parties dans ses ‘Essais’ ». (P. Villey, Les Livres d’histoire moderne utilisés par Montaigne, 1972, p. 105). Précieux exemplaire de ce rare récit de voyage en Inde et au Brésil conservé dans sa reliure signée de Petit successeur de Simier.
Barcelona, (Instituto Grafico Oliva de Vilanova), 1943, gr. in-4to, 69 pp. incl. frontispiece portrait, title in red and black with coat of arms, and plate repres. the genealogical tree of Don vicente López) + 61 numb. plates of which 60 printed on recto/verso (1 verso white) + 2 half title leaves (Pinturas / Dibujos y Miniaturas) + several interspearsed explan. leaves + 2 leaves, untrimmed, illustrated wrappers (soft boards) with title in red and black ill. with coat of arms, top of spine chipped, some tears and other damage to serpent paper protection jacket.
First edition. This catalogue published by "Friends of the museums" was printed and engraved by the "Instituto Grafico Oliva de Vilanova" especialy for the National Exposition of Vicente López, organized for this association in Barcelona in August 1943. This edition is limited to 1200 copies, printed on thread paper made especially by firm Guarro with the filigree of the Association.Priméra edición. Este catálogo editado por Amigos de los Museos ha sido impreso y grabado por el Instituto Grafico Oliva de Vilanova con motivo de la Exposición Nacional de Vicente López organizada por dicha Asociación en Barcelona, en otoño de 1943.De este catalogo se han impreso 1200 ejemplares, numerados a la prensa, en papel de hilo fabricado exprofeso por la casa Guarro con la filigrana de la Asociación. Ejemplar n° 123.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Partitions sur l'Espagne Lopez Francis 1954
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