Paris, Dentu, 1889-1891. 5 vol. in-8, percaline rouge, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin, tête dorée, non rogné, couverture conservée (reliure de l'époque).
Nouvelle édition augmentée d'une seconde partie inédite rédigée par le fils de l'auteur, d'après des documents et des notes de son père. La première partie a paru en deux volumes, en 1879. Ex-libris armorié gravé par Stern à la devise "Victor et Fidelis".
1889 Paris, E. Dentu, 1889/1891 - Complet en 5 fortqs volumes In-8 - Brochés - viii-488,660,x-734,513 et 506 pp, pièces justificatives - (Grand Prix Gobert de l'Académie française 1892) - Apart le T. I débroché, tous en bon état et très frais intérieurement - Bel ensemble - Réf. 48061
Complet. L'ouvrage de référence sur Mirabeau et sa famille. Bien complet de la rare deuxième partie (tomes III, IV et V) qui manque souvent. "On sait que les dernières années de M. de Loménie ont été consacrées presque exclusivement au grand travail qu'il avait entrepris sur la famille de Mirabeau Un ami lui avait confié la totalité des manuscrits si riches et si intéressants, recueillis sur cette famille par M. Lucas de Montigny. Il avait complété et contrôlé des documents par des recherches patientes, et c'est seulement après de longues années d'élaboration qu'ils était déterminé à faire connaître au public le fruit de ses études. Les volumes I et II ne constituent que la première partie du livre de M. de Loménie ; la seconde partie, celle qui concerne particulièrement le grand orateur, a été interrompue par la mort du regretté académicien, mais elle est dans un état d'achèvement suffisant pour permettre à sa famille de la publier. Les deux premiers volumes sont donc destinés à avoir une suite. Aucun sujet ne pouvait d'ailleurs mieux servir son auteur. Tous les membres de cette famille de Mirabeau ont été des personnages d'une rare originalité, très propres à faire ressortir les contrastes du siècle qui a précédé la Révolution. M. de Loménie les fait revivre tous d'abord, l'aïeul de Mirabeau, le marquis Jean-Antoine, vieux guerrier mutilé à la bataille de Cassano, la terreur, mais en même temps la vénération de ses enfants et de ses vassaux ; son fils, l'Ami des hommes, qui représente, comme l'a dit M. de Tocqueville, l'invasion de la démocratie dans une tête féodale, à la fois imbu des préjugés d'un grand seigneur d'autrefois et des préoccupations philanthropiques d'un utopiste du dix-huitième siècle ; ses nombreux ouvrages sont oubliés, mais ses lettres offrent un caractère d'énergie primesautier sous des formes archaïques, qui rappelle la manière de Saint-Simon ; son frère le bailli, une des figures les plus nobles et les plus attrayantes qu'on puisse imaginer... M. de Loménie fait également apparaître la mère du grand orateur, triste personne assurément, mais qu'il importe de connaître pour expliquer son fils et excuser son mari ; il raconte cette lutte implacable entre les deux époux, qui a défrayé la malignité des contemporains, les scandales et les pamphlets injurieux contre lesquels le marquis de Mirabeau a eu le tort de se défendre à coups de lettres de cachet ; le rôle singulier de son fils, le futur orateur, sans cesse occupé à exciter ses parents l'un contre l'autre, pour tirer profit de leur division. Le grand charme du livre de M. de Loménie, c'est sa variété. A côté d'études approfondies sur l'état social au dix-huitième siècle, il renferme des chapitres tout à fait piquants. On peut citer comme tels les récits de la jeunesse du marquis, de ses débuts à l'armée et au parterre tumultueux de la Comédie-Française, de son mariage, de ses démêlés avec sa femme, et des descentes de la marquise dans l'hôtel de son mari, alors que les deux époux étaient séparés de fait et non encore de droit. On connaît maintenant la femme qui donna le jour à Mirabeau ; on sait à quelle guerre domestique le tribun fut mêlé, on pourrait dire dès son enfance (...) l'homme qui a eu pour père ce gentillâtre parleur et cette mère affolée, âpre à l'argent, devait forcément devenir l'avocat corruptible d'une cause embrouillée ; ce fut la Révolution qu'il défendit. Mirabeau fut le plus grand orateur de son temps..." (Philippe Gille, La Bataille littéraire, 2e série, 1890) - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
P., E. Dentu, 1889-1892, 5 forts vol. in-8°, viii-488,660,x-734,513 et 506 pp, pièces justificatives, reliures demi-chagrin lie-de-vin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et tomaisons dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), dos uniformément passés, pas de rousseurs, bon état (Grand Prix Gobert de l'Académie française 1892), ex-libris de Jocas
Complet. — L'ouvrage de référence sur Mirabeau et sa famille. Bien complet de la rare deuxième partie (tomes III, IV et V) qui manque souvent. — "On sait que les dernières années de M. de Loménie ont été consacrées presque exclusivement au grand travail qu'il avait entrepris sur la famille de Mirabeau Un ami lui avait confié la totalité des manuscrits si riches et si intéressants, recueillis sur cette famille par M. Lucas de Montigny. Il avait complété et contrôlé des documents par des recherches patientes, et c'est seulement après de longues années d'élaboration qu'ils était déterminé à faire connaître au public le fruit de ses études. Les volumes I et II ne constituent que la première partie du livre de M. de Loménie ; la seconde partie, celle qui concerne particulièrement le grand orateur, a été interrompue par la mort du regretté académicien, mais elle est dans un état d'achèvement suffisant pour permettre à sa famille de la publier. – Les deux premiers volumes sont donc destinés à avoir une suite. Aucun sujet ne pouvait d'ailleurs mieux servir son auteur. Tous les membres de cette famille de Mirabeau ont été des personnages d'une rare originalité, très propres à faire ressortir les contrastes du siècle qui a précédé la Révolution. M. de Loménie les fait revivre tous d'abord, l'aïeul de Mirabeau, le marquis Jean-Antoine, vieux guerrier mutilé à la bataille de Cassano, la terreur, mais en même temps la vénération de ses enfants et de ses vassaux ; son fils, “l'Ami des hommes”, qui représente, comme l'a dit M. de Tocqueville, l'invasion de la démocratie dans une tête féodale, à la fois imbu des préjugés d'un grand seigneur d'autrefois et des préoccupations philanthropiques d'un utopiste du dix-huitième siècle ; ses nombreux ouvrages sont oubliés, mais ses lettres offrent un caractère d'énergie primesautier sous des formes archaïques, qui rappelle la manière de Saint-Simon ; son frère le bailli, une des figures les plus nobles et les plus attrayantes qu'on puisse imaginer... M. de Loménie fait également apparaître la mère du grand orateur, triste personne assurément, mais qu'il importe de connaître pour expliquer son fils et excuser son mari ; il raconte cette lutte implacable entre les deux époux, qui a défrayé la malignité des contemporains, les scandales et les pamphlets injurieux contre lesquels le marquis de Mirabeau a eu le tort de se défendre à coups de lettres de cachet ; le rôle singulier de son fils, le futur orateur, sans cesse occupé à exciter ses parents l'un contre l'autre, pour tirer profit de leur division. Le grand charme du livre de M. de Loménie, c'est sa variété. A côté d'études approfondies sur l'état social au dix-huitième siècle, il renferme des chapitres tout à fait piquants. On peut citer comme tels les récits de la jeunesse du marquis, de ses débuts à l'armée et au parterre tumultueux de la Comédie-Française, de son mariage, de ses démêlés avec sa femme, et des descentes de la marquise dans l'hôtel de son mari, alors que les deux époux étaient séparés de fait et non encore de droit. On connaît maintenant la femme qui donna le jour à Mirabeau ; on sait à quelle guerre domestique le tribun fut mêlé, on pourrait dire dès son enfance (...) l'homme qui a eu pour père ce gentillâtre parleur et cette mère affolée, âpre à l'argent, devait forcément devenir l'avocat corruptible d'une cause embrouillée ; ce fut la Révolution qu'il défendit. Mirabeau fut le plus grand orateur de son temps..." (Philippe Gille, La Bataille littéraire, 2e série, 1890)
BRIENNE (Louis-Henri de Loménie de), BRIENNE (Etienne-Charles de Loménie de)
Reference : 103031
Paris, Klincksieck, 1960 gr. in-8, XXXVIII-144 pp., index, broché.
Excellente édition critique publiée par la Société de l'Histoire de France.Document capital sur l'Assemblée des Notables dont Loménie de Brienne fut le président. Il fut l'artisan de la chute de Calonne et tenta d'associer le parlement à une politique réformatrice. Le journal nous fait revivre les débats qui agitèrent l'Assemblée et met à jours toutes les tensions de la société de l'Ancien Régime finissant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
BRIENNE (Louis-Henri de Loménie de), BRIENNE (Etienne-Charles de Loménie de)
Reference : 230364
Paris, Klincksieck, 1960 gr. in-8, XXXVIII-144 pp., index, broché. Couverture tachée.
Excellente édition critique publiée par la Société de l'Histoire de France.Document capital sur l'Assemblée des Notables dont Loménie de Brienne fut le président. Il fut l'artisan de la chute de Calonne et tenta d'associer le parlement à une politique réformatrice. Le journal nous fait revivre les débats qui agitèrent l'Assemblée et met à jours toutes les tensions de la société de l'Ancien Régime finissant. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., La Librairie Française, 1977, in-8°, 345 pp, note bibliographique, index des noms cités, broché, bon état
Tome I seul (sur 5 volumes publiés de 1943 à 1973). — "Un noyau de familles de haute bourgeoisie – ce que M. Beau de Loménie nomme les "dynasties bourgeoises" – exerce sur la vie publique française une action continue depuis plus de 150 ans. Ce noyau s'est constitué dans les toutes dernières années du XVIIIe siècle, à travers le Directoire, le Consulat et l'Empire. Jouant des vicissitudes de la vie politique, s'imposant aux régimes successifs, ces familles ont peu à peu formé les cadres dirigeants de la nation. On les retrouve avec des fortunes diverses, dans le Gouvernement, au Parlement, dans la haute administration, dans les milieux d'affaire qui les ont soutenus et tenus, tantôt au premier plan, tantôt dans la coulisse. Quelles sont ces familles ? Quelles sont leurs origines ? En compte-t-on 200 comme l'affirmait autrefois une certaine propagande ? Ces dynasties ont-elles abusé, au profit de leurs intérêts particuliers et contre l'intérêt public, des instruments qu'elles avaient en main, des relations dont elles disposaient ? Portent-elles des responsabilités dans l'évolution politique et sociale qui a abouti aux désastres présents ? M. Beau de Loménie répond à ces questions d'une façon méthodique, sans indulgence comme sans parti-pris de polémique en historien et en critique des moeurs. Les conclusions auxquelles il arrive – et elles sont sévères – s'imposent après une recherche et une analyse des faits dont personne ne niera la probité et l'intelligence. Ce premier volume qui conduit le lecteur de l'époque de Bonaparte à celle de Mac-Mahon éclaire d'un jour nouveau et souvent cruel l'évolution du pays et le rôle d'une classe qui n'a pas su être une aristocratie." (Prière d'insérer) — "... Les « responsabilités des dynasties bourgeoises » sont d'avoir mené et confisqué la Révolution, d'avoir fait échouer sous la Restauration la réinstallation de l'ancienne aristocratie, puis, en 1848 et en 1873, la restauration du comte de Chambord ; d'avoir empêché la constitution après 1815 d'un vaste parti de conservation sociale. Sans aucun doute, c'est en effet ce qui a permis à la démocratie de reprendre sa marche. Mais M. Beau de Loménie exempte trop aisément les notables d'ancien régime de toute responsabilité. Étaient-ils désintéressés avant 1789 ? Et pourquoi ont-ils refusé alors l'égalité des droits aux hommes dont il pense apparemment qu'ils étaient faits pour s'entendre avec eux ? Et puis son plaidoyer manque de conclusion : quel est donc le remède? Il est vrai que l'ouvrage s'arrête à la crise du 16 mai et qu'un second volume nous est annoncé qui mènera jusqu'en 1939 et – qui sait ? – peut-être jusqu'à Vichy. On l'attend avec curiosité." (G. Lefebvre, Revue Historique, 1947)
Paris, Au bureau central 1842 In-16 16 x 10 cm. Reliures de l’époque demi-basane verte, dos lisses ornés de roulettes et de roulettes dorés en tête et en queue, environ 456 pp. par volume en pagination multiple, chaque notice est accompagnée d’un portrait lithographié. Ensemble en bon état, rousseurs marginales.
Louisde Loménie (1815-1874) publia de 1840 à 1847 des études biographiques sous le titre de Galerie des Contemporains illustres par un Homme de rien, ouvrage en dix volumes qui eut un certain retentissement. Contient : Vol. I. Thiers. Soult. Chateaubriand. Laffitte. Guizot. Lamartine. Berryer. Lamennais. Dupin aîné. Béranger. Odilon-Barrot. Victor Hugo. (Préface avec une lettre de Chateaubriand à l'auteur.) - II. Arago. George Sand. De Broglie. De Cormenin. Wellington. Cte Molé. Ingres. Metternich. A. de Vigny. Mohamed-Aly et Ibrahim-Pacha. Garnier-Pagès, Ingres, Metternich, Vigny- III, O'Connell. Meyerbeer. Mauguin. Scribe. Adam Mickiewicz. Baldomero Espartero. Ballanche. Rossini - IV, Sir Robert Peel. Silvio Pellico. Royer-Collard. Maréchal Moncey. Bernadotte. Martinez de La Rosa. Lord Pamerston. Augustin Thierry. Martinez de la Rosa - V, Lafayette. Lord John Russell. Casimir Delavigne. Amiral Duperré. Schlegel. Horace Vernet. Archiduc Charles. Villemain. Bon état d’occasion
1952 Paris, Domat, 1952. in-12 carré broché, 275 pages + table des matières. Un fac similé d'écriture en frontispice.
Couverture poussiéreuse.
Paris, Michel Lévy freres, 1873. Hardcover 2 volumes in-12, demi-basane epoque, (2) f., xi, 522 p. et (2) f., 598 p., rousseurs. Troisieme édition revue et corrigée. "Demeure le plus complet et le meilleur des travaux sur Beaumarchais" (Cabeen, n 662).
reliures defraichies sur les plats,qques rousseurs,dans l’etat
Bourg (Ain), E.T.L., 1953, in-8°, 156 pp, broché, bon état. Edition originale, un des 2500 ex. numérotés sur vélin, envoi a.s.
"La presse, jusqu’a présent, a glissé avec beaucoup de prudence et quelque embarras sur la mort de Charles Maurras. Celui-ci cependant a été un des hommes qui ont tenu directement ou indirectement, depuis quelque cinquante ans, le plus de place dans le mouvement des idées françaises. Il a suscité autour de lui des enthousiasmes et des haines également passionnées. Il a, pendant plusieurs générations, exercé sur beaucoup d’esprits très divers une influence considérable. Chacun peut, s’il le veut, estimer cette influence, ces passions soulevées par lui, excessives et disproportionnées, avec la valeur propre de sa personnalité. Tout de même le fait est là. Pour comprendre, pour apprécier objectivement, il faut, je crois, tout d’abord tenir compte d’un certain nombre de données en partie extérieures à son systéme lui-même. Ce système au nom duquel allait s’exercer son action, et qui prétendait fournir une sorte de haute philosophie générale de la structure sociale la plus saine et la plus harmonieuse, il en a conçu les grandes lignes très jeune encore, avec une culture encore d’autant plus incomplète que les circonstances que sa surdité et ses conditions de vie lui faisaient, l’avaient obligé dans une grande mesure a se former lui-même..." (Beau de Loménie) — "Les raisons du détachement, les motifs de rupture des membres de l'Action française sont d'ordre divers : une des raisons de la rupture, souvent invoquée, tient au caractère de Maurras. Dimier dit de Maurras qu' « il n'avait d'estime que pour lui » et que mépris pour les collaborateurs de province. Selon Beau de Loménie, le doctrinaire « se révélait pénétré d'un amour-propre, terriblement susceptible, de gendelettre ». En 1953, dans “Maurras et son système”, il évoque encore « son autoritarisme instinctif » et « son orgueil intraitable l'entraînant à refuser d'admettre qu'il ait jamais pu se tromper »." (Michel Leymarie, L'Action française : culture, société, politique, 2008)
1818 Tolosae. Simon Sacarau. 1818. 4 volumes in-12, plein maroquin noir, riche décor déoré sur les plats, avec filets et frise en encadrement, décor de rocaille au centre, dos lisses ornés, tranches dorées. Reliure légèrement frottées.
Bréviaire en latin imprimé sur 2 colonnes, comprenant 4 parties : hiver, printemps, été, automne. Ce bréviaire a été rédigé sous l'autorité de Loménie de Brienne et a été imprimé à la demande de François de Bovet, Archevêque de Toulouse. Quelques pages de musique notée en fin de chaque volume. Infimes rousseurs.
Paris Calmann Lévy, Editeur. Ancienne Maison Michel Lévy Frères 1878 in 8 (22x14) 1 volume reliure demi basane bleu nuit de l'époque, dos à nerfs soulignés de filets dorés, III et 370 pages [1], quelques rousseurs éparses. Louis Léonard de Loménie, 1815-1878. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
S.l.n.d., (1788); in-8, 12 pp., en feuilles.
Dialogue fictif entre un Loménie de Brienne, dépeint comme principal ministre assoiffé de pouvoir personnel sans aucune entrave, disciple de Machiavel et de Richelieu, et une "âme damnée" de capucin secondant ses vues despotiques. Tout cela d'une haute fantaisie évidemment, mais correspondant bien aux fantasmes politiques du temps sur le "despotisme ministériel" - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ponthieu et Cie, 1828. 2 vol. in-8, XIV-435 pp. + 454 pp., demi-veau brun, dos orné de filets à froid, tranches mouchetées (dos ternis, petites épidermures, rousseurs, 2 mors fendus).
Seconde édition des mémoires de Brienne, elle est précédée par un Essai sur les moeurs et les usages du dix-septième siècle et une notice sur la vie de Brienne. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Ponthieu, 1828 2 vol. in-8, XIV-435 pp. et 454 pp., bradel demi-percaline rouge à coins, dos orné (rel. du XIXe). Rousseurs parfois fortes., coiffes fatiguées, percaline légèrement frottée.
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A Paris, Renouard, 1916-1919 3 vol. gr. in-8, 355 pp., 390 pp. et LVIII-384 pp., index, broché. Rousseurs, mouillures en marge au tome III.
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Paris, Ponthieu, 1828 2 vol. in-8, XII-435 pp. et 453 pp., demi-basane noire, dos lisse, filets dorés, tranches marbrées (reliure de l'époque). Rousseurs. Dos craquelé.
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Paris, Ponthieu, 1828; 2 vol. in-8, XII-435 pp. et 453 pp., basane fauve, dos lisse, orné, coupes guillochées, tranches marbrées (reliure de l'époque). Usure à certains coins mais très bon exemplaire.
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Paris, Imprimerie Royale, 1788 in-4, titre, xiv-[2]-183 pp., demi-basane marbrée à coins, dos lisse orné de filets et semis dorés, pièce de titre crème, tranches rouges, gardes de papier dominoté (reliure de l'époque). Coiffe supérieure rognée, mais bon exemplaire.
Il ne faut évidemment pas confondre ce rapport financier avec le trop célèbre Compte-rendu de Necker en 1781. Il émane du bref passage de l'archevêque de Sens aux affaires, entre mai 1787 et août 1788. La publication annuelle d'un compte-rendu des dépenses et des recettes de l'État était au demeurant l'une des promesses de l'archevêque de Toulouse, Loménie de Brienne, quand il accepta la succession de Calonne au Contrôle général. Cette mesure accompagna la restructuration du Conseil royal des Finances qui devait réunir, une fois par mois, sous la présidence effective du Roi, tous les ministres pour décider de toutes les opérations de finances. Einaudi 2245. Kress S 5185.Exemplaire de la bibliothèque du château de Haltenbergstetten (Wurtemberg), appartenant aux Hohenlohe-Jagstberg, avec cachet humide. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Ponthieu, 1828 2 vol. in-8, XII-435 pp. et 453 pp., demi-percaline rouge façon chagrin, dos à nerfs (reliure postérieure).
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1916 Paris, Renouard, H. Laurens successeur, 1916-1917-1919, 3 tomes en 8 volumes in-8 brochés, de (6)-355-(3) pp. ; (6)-387-(3) pp. ; (6)-LVIII-384 pp., important appendice et table alphabétique en fin du tome IIII, sans rousseurs, bon exemplaire non coupé. Peu courant.
LA LIBRAIRIE FRANCAISE Fort Volume, Broché, couverture verte, ensemble dense et pondéreux, 685 pages, bon exemùplaire, peu fané et de bonne tenue, plats frais, non épidermé, coins piquants et non insolé : bel exemplaire.
Tome 5 de la série. Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Editions des Portiques Broché D'occasion état correct 01/01/1930 188 pages
Fayard Broché D'occasion bon état 01/01/1957 100 pages
Michel Lévy.1856.2 vols.in-8 demi-reliés.522 et 596 p.Demi-veaux glacés.Dos à 5 nerfs avec pièces de titre et de tomaison.Qques rousseurs i-t.Têtes dorées.