Paris, Le Club Français du Livre, 1950. Un volume de format in 8° de 198 pp.; quelques illustrations et fac similés d'autographes. Reliure de l'éditeur en pleine toile ocre, décorée.
Dos légèrement passé, sinon bel état. Peu courant.
Brouillon de lettre concernant l'Allgemeiner Deutscher Musikverein, l'association musicale fondée par Franz Liszt en 1861 à Weimar avec Franz Brendel pour incarner les idéaux musicaux de la nouvelle école allemande; Liszt le remercie pour lui avoir transmis le legs d'une généreuse donatrice ...Madame de Muchanow en faveur de l'«Allgemeine Deutsche Musik Verein» et la «Beethoven Stiftung» [Fondation Beethoven]...J'aviserai à l'emploi le plus conforme aux nobles intentions de l'illustre donatrice qui mérite au-delà des plus brillants hommages qu'on était heureux de lui rendre que nous révérons de cœur : Prochainement le Comité qui a l'honneur de compter V. E. parmi ses membres Notre Musik Verein aura l'honneur de vous adresser ses plus reconnaissants remerciements et d'informer Votre Excellence de la répartition des deux mille Thalers que je garde en dépôt jusqu'à mon retour à Weimar ( au commencement d'août) . Prochainement le Comité de notre Musik Verein aura l'honneur d'exprimer ses plus reconnaissants remerciements à Votre Excellence et de l'informer de la répartition des deux mille Thalers que je garde en dépôt jusqu'à mon retour à Weimar, - au commencement d'avril... La comtesse Maria Kalergis-Muchanow (née Nesselrode, 1822-1874), pianiste polonaise (elle reçut des leçons de Chopin) et mécène dart, entretint à Paris un salon fréquenté par de nombreux artistes français et européens, dont Chopin, Liszt, Rossini, Heine, Gautier, Musset... Amie de Cosima, la fille de Liszt, qui épousa Wagner, elle intervint pour que le compositeur allemand put faire jouer son opéra Tannhaüser à Paris. Franz Liszt lui dédicaça plusieurs pièces dont la Petite Valse Favorite et composa, à son décès en 1874, l'Elégie pour Piano N°1. Maria Muchanow est à l'origine de la création de l'Institut de Musique à Varsovie et de la Société Musicale de Varsovie.En octobre 1842, Liszt avait été nommé à Weimar « Kapellmeister in außerordentlichen Diensten » (maître de chapelle des services extraordinaires) par le grand-duc Charles-Frédéric de Saxe-Weimar-Eisenach l'un des protecteurs de Richard Wagner et de Liszt. Le projet de lAllgemeiner Deutscher Musikverein naquit beaucoup plus tard, dans les années 1860, de la tentative avortée de création dune Fondation Goethe pour soutenir les arts. La tentative de Liszt fut un réel succès. Les statuts de la nouvelle association furent déposés en 1861. Au fil des ans lassociation devint le dépositaire de plusieurs fondations dont la Beethoven-Stiftung (Fondation Beethoven) en 1871, financée et enrichie par les dons, notamment du grand-duc Charles-Alexandre de Saxe-Weimar.
Paris, Fayard, "Bibliothèque des grands musiciens", 1998, 14 x 22, 686 pages sous percaline éditeur et jaquette illustrée. Traduit de l'anglais par Odile Demange. "Les dernières années de la vie de Liszt (1861-1886) évoquées dans ce deuxième volume, comptent parmi les moins connues du musicien, et c'est le grand mérite de cet ouvrage d'en révéler, grâce à la publication de documents inédits, toute la richesse spirituelle et musicale. Cette période s'ouvre sur le départ de Liszt de Weimar pour Rome en vue d'épouser la princesse Carolyne von Sayn-Wittgenstein. Bien que plus aucun obstacle ne s'oppose à leur union, ils vont décider d'un commun accord de renoncer à se marier. Liszt reçoit les ordres mineurs et devient "l'abbé Liszt" ; il vit alors au monastère de la Madonna del Rosario, fréquente les allées du Vatican et se lie d'amitié avec le pape Pie IX. C'est l'époque où il compose toute une série d'oeuvres sacrées (Christus, La Légende de Sainte Elisabeth, des messes, un requiem...), vastes compositions où la grandeur de la conception le dispute à la profondeur de l'inspiration, et à travers lesquelles il cherche à exprimer sa foi profonde et son émotion religieuse. Ces années vont être marquées par la douleur ressentie devant la mort brutale de sa fille Blandine, mariée à Emile Ollivier, et le divorce de sa cadette, Cosima, qui abandonne son mari, Hans von Bülow, pour Wagner. Liszt se voit alors contraint de rompre avec son ami tout en ne pouvant s'empêcher de lui conserver son admiration pour son oeuvre en cours (Tristan et Parsifal). Renouant avec sa Hongrie natale et l'Allemagne, Liszt va dorénavant se partager entre Rome, Budapest et Weimar où il retourne chaque année, se vouant sans compter à une intense activité pédagogique. Fêté, honoré un peu partout, il n'en est pas moins contesté de plus en plus par une partie du milieu musical, peu sensible à ses nouvelles orientations musicales ou désarmé par elles. La phase finale de son existence voit sa réconciliation avec Wagner et Cosima, son séjour avec le couple à Venise suivi de la mort de Wagner avant que, septuagénaire, il entreprenne une ultime tournée de concerts à travers toute l'Europe. C'est à Bayreuth, au cours du festival, qu'il meurt, en solitaire, dans une relative indifférence. Professeur de musique à l'université de McMaster d'Hamilton au Canada. Grand connaisseur de l'époque romantique, Alan Walker est l'auteur d'ouvrages sur Chopin et Schumann, en dehors des très nombreuses publications sur Liszt dont il est un des plus éminents spécialistes."
Couverture légèrement insolée.
2016 Paris Le Passeur éditeur 2016 1 in 12 Broché couverture Illustrée 244 [pp] « Va sur les montagnes, compose, et mets tout le ciel en musique. »« Si nous narrivons pas au bonheur, cest que peut-être nous valons mieux que cela. Il y a trop dénergie, trop de passion, trop de feu dans nos entrailles pour nous asseoir bourgeoisement dans le possible » Admirateur de Chamfort et de La Rochefoucauld, amoureux de la langue française, Franz Liszt ne fut pas seulement limmense pianiste et compositeur que lon sait. Toute sa vie, il sadonna à sa passion pour les maximes et les aphorismes.Réunies pour la première fois en volume, ces pensées intempestives sont extraites de ses écrits publics comme de sa correspondance privée. Entre philosophie morale, littérature et art, on apprendra autant sur leur auteur et sur sa façon de voir le monde que sur lhumanité quil nous invite à observer. Liszt sy montre en esprit universel : un grand Européen en qui Baudelaire voyait un sage, un philosophe et un poète. Un livre pour tous.Quatrième de couverture
Bon état, un coin du premier plat écorné Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Gallimard, 1975, in-8°, 520 pp, traduit par L. Schmidt et J. Lacant, avant-propos de G. Samazeuilh, reliure simili-cuir rouge de l'éditeur, jaquette, bon état (Coll. Les Classiques allemands). Edition définitive
"Le génie n'aime pas le génie contemporain, c'est un fait", affirmait Péguy. Sans doute n'est-il pas de démenti plus éclatant à cette formule que l'amitié de Liszt et Wagner : une amitié de près de quarante ans, orageuse parfois, entrecoupée de refroidissements, et même frôlant la rupture, telle que permet de la retracer leur correspondance, unique entre deux compositeurs. Couvrant principalement les années 1850, cette correspondance permet de suivre la genèse des travaux théoriques de Wagner et de plusieurs de ses chefs-d'œuvre : L'Anneau du Nibelung, Tristan et Isolde, tandis que Liszt a renoncé aux lauriers du virtuose pour devenir Kapellmeister à Weimar et se métamorphoser en un compositeur fécond et inventif. Comme tous deux étaient en relation avec nombre d'autres musiciens : Berlioz, Schumann, Bülow, Joachim, notamment et qu'ils furent de grands voyageurs, leurs lettres constituent une source d'informations précieuses sur la vie musicale de leur temps en Allemagne et dans la plupart des pays d'Europe où ils se sont produits à la fois en tant que créateurs et interprètes. Ce livre comblera donc les wagnériens, les lisztiens, mais aussi tous les mélomanes désireux de mieux connaître une des époques les plus florissantes de l'histoire de la musique occidentale.
Leipzig, Breitkopf & Härtel, éditeurs & Paris, Librairie Fischbacher. 1909. Grand in-8° broché. Deux portraits en frontispice. 217 pages. E.O.
Bon état.
Ed. Fayard, 1989-1998. Deux forts volumes de 1160 et 700 pages. In-8 reliure pleine toile éditeur, jaquettes illustrées. Coll. " Bibliothèque des grands musiciens ". Traduit par H. Pasquieret et O. Demange. Vol. 1, 1811-1961 vol. 2, 1861-1886. E.O.
Traduction de L. Schmidt et J. Lacant. Avant-propos de G. Samazeuilh. 1943 / 520 pages. Broché. Editions Gallimard / Nrf.
Couverture présentant des frottements d'usage, intérieur très frais, pages non coupées. Bel état.
Boosey & Hawkes In-16 Couverture rigide toile Paris 1960
Très bon 199 pages. Coins de la jaquette usés. Journal de Liszt reconsitué par Janos Hankiss.
P., Belfond, 2007, in-8, br. (SC31).
Récit de l'histoire d'amour qui unit Franz Liszt et la Comtesse Marie d'Agoult.
Arles, Actes Sud, 1986, in-8 étroit, br. (SD67B)
P., Seghers-L'Inter, 1961, in-8, toile décorée et jaquette éd., 332 pp., ill. h.-t. (Z31)
Weimar, Volksverlag, 1958, in-4, toile éd., ill. noir et coul. (SD68G)
Texte en allemand, jaquette (ex. défraîchi).
Vienne, Frédéric Schreiber. (Ca. 1872). 4°. 83 S. Grüner Leinwandband der Zeit mit goldgeprägtem Deckeltitel und reicher blindgeprägter Einbandverzierung.
S. 2-83 Noten für Klavier. C.S. 22720. Gedruckter Vermerk auf Titel: In die Edition Peters aufgenommen. - Name und Blindstempel auf Titelblatt.
Labbé Marcel 1948
Bon état Petit format Piano
Actes Sud 2013, in-8 broché, 543 p. (bel état) Bibliographie et index. Réunit pour la première fois les commentaires de Liszt sur trois opéras dont il fut un défenseur fervent, Tannhäuser, Lohengrin et Le Vaisseau fantôme, ce dernier texte étant resté inédit jusqu'à ce jour ; présentation et notes par Nicolas Dufetel.
Wagner, Richard; Liszt, Franz
Reference : 117192
(2013)
ISBN : 2070771008 9782070771004
Gallimard 2013 In-8 reliure éd. sous jaquette 24 cm sur 15,5. 1344 pages. Jaquette froissée et tachée en tête du dos, sinon, très bon état. Jaquette en assez bon état. Bon état d’occasion.
Georges Liébert (Sous la direction de), J. Lacant (Traduction), L. Schmidt (Traduction), Danielle Buschinger (Traduction) Bon état d’occasion
Edition revue et doigtée par Th. Lack. Classiques favoris du piano, 9ème volume.Le Rossignol, mélodie russe - Cantabile - Valse-Caprice (d'après Schubert) - Nocturne - Légende n°1 - Mélodie hongroise N°3 - Un Sospiro - Ronde des Lutins - Dans les bois - Rapsodie hongroise N°11 - Au bord d'une source - La Campanella - Rapsodie hongroise N°12 - Les jeux d'eaux de la villa d'Este - Polonaise N°2 - Méphisto-valse - Rapsodie hongroise N°2.Edition Nationale Française Panthéon-Des-Pianistes (N°1141). Bruxelles et Paris, Henry Lemoine et Cie. 1947 - 207 pages.Broché sous couverture imprimée. Tampons. Pas de rousseur. Bon état. Format in-4°(30x22).
Liszt. Buchner, Alexander: (Deutsch v. Ch. Kirschner u. F. Kirschner)
Reference : 5066AB
(1962)
Prag, Artia, 1962. Kl.-Fol. 211 S. Mit 167 Abb.. Goldgepr. OLn., Orig.-Schutzumschl.
Vermutlich Erstausgabe. Umschlag wenig beschädigt, sonst gut erhaltener, schön gestalteter Band.
Zürich, Orell, Füssli und Comp., 1896. Gross-8°. 25 S. Mit 1 gest. Portrait von Robert Leemann. Orig.-Broschur = "Neujahrsblatt der Allgemeinen Musikgesellschaft Zürich", Nr. 84.
Durchgehend leicht gebräunt.
Liszt. Pourtalès, Guy de: (Bd. 1 der Reihe "Galerie Pittoresque")
Reference : 5353AB
(1927)
Expl. Nr. 792. Paris, Librairie Gallimard, 1927. 4°. 281 S., 4 Bl. Mit 48 Tafeln.. HLd. m. RVerg. u. eingeb. Orig.-Umschl.
Riemann Musiklexikon, 3, 52 (dort wohl fälschlicherweise "1925" datiert). Erste Ausgabe. Nur wenige Stockflecklein, sonst gut erhaltenes Exemplar in Privateinband.