S.l., s.d. (vers 1770) in-folio, [16] ff. n. ch., couverts d'une écriture moyenne et lisible (environ 40 lignes par page), nombreuses ratures et biffures, en feuilles.
Petite étude sous forme de brouillon, qui regroupe des fragments d'une notice sur Lille et la Flandre wallonne. Il se compose de plusieurs parties numérotées, mais présente tous les caractères d'un simple canevas, au demeurant sans nom d'auteur. Nous avons, dans l'ordre des numéros apposés aux feuillets :1. Numéro 1. Traité de la Flandre wallonne : ce que c'est que la Flandre wallonne, ses bornes, son sol, son climat, ses villes, ses bourgs, ses villages : ff. 2-3.2. Chapitre second. Lille, capitale de la Flandre wallonne, l'origine de son nom, sa naissance, son accroissement : ff. 4-5.3. Numéro 3 : ff. 6-7. Le texte commence par une mention du mythique Flandebert, qui aurait été le fondateur de la ville : "Flandbertus, ayant fait la paix avec Caius Anstitius lieutenant de César et ayant obtenu tout le pays qui s'étend depuis Cambrai jusqu'à l'océan, à condition cependant d'être soumis aux Romains, bâtit d'abord Harlebec et ensuite Lille. Tel est le sentiment de Pierre Oudegherste [dans ses Annales de Flandre, 1571] ".4. Numéro 4 : ff. 8-9. Suite du texte précédent, décrivant le château de Lille et ses vicissitudes jusqu'en 1605.5. Numéro 5. Position de la ville de Lille, ses édifices tant sacrés que prophanes, ses jardins, ses habitans, ses fauxbourgs : ff. 10-11.6. Numéro 6 : f. 12. Suite de la description des édifices.7. Numéro 7. Richesses de la ville de Lille, son commerce, et ses différents ouvrages : f. 13.8. Numéro 8. Chapitre V : quels sont les princes qui ont habité Lille et qui l'ont embellie, soit par leur présence, soit par leurs ouvrages : ff. 14-16. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Van Ackere Lille, collectif (Le Chansonnier des muses (Lille))
Reference : 24683
(1805)
1805 [Lille?] : Au Temple de la gaité ; Et se trouve a Lille : Chez Van Ackere, [1805],in24 (10 cm) broché,plats et dos papier ancien,160 p., plus 12 p. = calendrier revolutionnaire (1804-1805),texte encadré,musique notée Monglond, A., France revolutionnaire et impériale, IX, 159-60, indicates that at least 17 parts were issued through 1817.for the calendar,trés rare.la B.N.F. indique que le libraire lillois Vanackere publia un volume de la sorte entre 1801 et 1818.
Chiefly printed texts. Probable imprint date from Revolutionary calendar for the year 14 (1805 and 1806)--at end of each part. Each part totals 160 p., plus 8 p. for the calendar.Monglond, A., France revolutionnaire et impériale, IX, 159-60, indicates that at least 17 parts were issued through 1817.
Lille, L. Danel, s.d. (1853) in-4, 36 pp., broché sous couverture verte avec encadrements et titre poussés en lettres dorées.
Unique édition, peu commune.Le 24 septembre 1853, la Chambre de commerce de Lille organisait une réception en la présence de Napoléon III, avant d'inaugurer le 9 octobre suivant la pose de la première pierre d'une statue de Napoléon 1er "protecteur de l'industrie", dans l'immeuble construit en 1652-1653 par Julien Destrée et qui sera appelé plus tard "Vieille Bourse".À cette occasion, fut annexée au document-support et remise à Napoléon III une liste de patrons lillois et de leurs genres d'activités industrielles en 1853, particulièrement dans les domaines de la construction de machines et mécanique, du tissage et filature mécanique du lin et du coton, la teinturerie, apprêts, rouissage, la fabrication de produits chimiques, noir animal et colorants, soude artificielle, savonnerie, l'agroalimentaire avec la raffinerie du sucre et la fabrication de chicorée. À la fin de son discours, l'Empereur délègua au sénateur Jean-Baptiste Dumas, ancien ministre et cofondateur de l'École centrale des arts et manufactures, le soin de venir à Lille le 9 octobre 1853 pour des échanges avec Frédéric Kuhlmann sur l'établissement d'une école supérieure industrielle, qui est aujourd'hui devenue l'École centrale de Lille. Quant à la statue de l'Empereur Napoléon Ier, elle fut transférée au Palais des beaux-arts de Lille en 1976. Absent de Ruggieri. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Carte en couleurs au 1:2 000 000e entoilée, découpée en 28 rectangles pour la remplier. 97 X 136 cm. Date probable: 1896.
LE CHEMIN DE FER HANOÏ–LANG-SON–NA-CHAM (frontière de Chine) avec absorption de l’ancienne section Phu-lang-Thuong–Lang-Son portée à 1 m. d’écartement CONTRAT AVEC SOUPE & RAVEAU ET FIVES-LILLE. CHEMINS DE FER DU TONKIN(L’Avenir du Tonkin, 3 janvier 1894). Voici de quelle façon se serait faite la répartition des voies ferrées à construire :La Société Soupe et Raveau, associée à la Compagnie de Fives-Lille, a obtenu la construction de la ligne de Lang-son à Bi-nhi, une soixantaine de kilomètres, et celle de Phu-lang-Thuong à Hanoi, cinquante kilomètres environ. LA Cie FIVES-LILLE(L’Avenir du Tonkin, 19 juin 1896)L e Bulletin officiel du mois d’avril, qui est seulement distribué en juillet, porte l’arrêté suivant :Article premier. — Le contrat intervenu le 29 février 1896 entre le gouverneur général de l’Indo-Chine, agissant au nom et pour le compte du Protectorat de l’Annam et du Tonkin en vertu de pouvoirs qui lui ont été conférés par la loi du 10 février 1896, et la compagnie de Fives-Lille, dont le siège est à Paris, 64, rue Caumartin, à l'effet de concéder à ladite société l'exploitation de la ligne de Lang-son à la frontière de Chine près de Dong-dang,sera enregistré à Hanoï, aux frais de la compagnie de Fives-Lille, au droit fixe.Art. 2. — Le secrétaire général du gouvernement général de l’Indo-Chine est chargé de l’exécution du présent arrêté.Hanoi, le 27 avril 1896. A.ROUSSEAU Il est donc bien acquis que la Société de Fives-Lille a la concession de l'exploitation du chemin de fer que l'on va construire entre Lang-son et la frontière chinoise. Dixit www.entreprises-coloniales.fr
Lille, C. L. Boubers, s.d. (1794) in-8, viii pp., 335 pp., demi-basane brune, dos lisse, filets dorés (reliure du XIXe s.). Petites usures aux coiffes.
Unique édition de cette adaptation de la loi du maximum des denrées au district de Lille.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et à Lille.Cachet humide de H. Faure, de Lille. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lille Imprimerie de L. Jacqué 1839 in-12 broché, couverture jaune imprimée
2 ff.n.ch., 31 pp.Rare. Un des premiers catalogues de peinture du futur Palais des beaux-arts de la ville. L’idée de fonder un musée était née à Lille lors de l’ouverture de l’Académie des arts en 1775. Elle ne se concrétisa que sous Napoléon, grâce au décret Chaptal du 1er septembre 1801 : il désignait quinze villes françaises, dont Lille, pour recevoir des œuvres prélevées sur les collections du Louvre et de Versailles. Principalement constituée de saisies révolutionnaires, la collection attribuée à la ville de Lille comprend 46 tableaux. En 1803, après la restauration de certains tableaux et la réalisation des aménagements nécessaires à leur conservation, le musée s’installe dans la chapelle de l’ancien couvent des Récollets. Le musée ne sera cependant ouvert au public que le 15 août 1809. Il présente alors 109 œuvres
[Franc-Maçonnerie, Lille] Diplôme du Collège des Philalèthes de Lille, loge du Grand Orient fondée en 1785 devenue Collège le 1er septembre 1787.
Reference : 012606
[Franc-Maçonnerie, Lille] Diplôme du Collège des Philalèthes de Lille, loge du Grand Orient fondée en 1785 devenue Collège le 1er septembre 1787. P.S., Lille, 2 avril 1788, 1p in-folio oblong. Superbe document sur parchemin avec entête gravé représentant une ruche, document imprimé à trous concernant l'admission d'un « associé résident », ici pour un élève de l'école royale des mines de France (actuelle école des Mines de Paris), Jean-Louis Gravelle des Vallées (1772-1844), issu d'une famille normande exilées aux Pays-Bas. Le document est signé par cinq membres : Philippe-Liborio Valentino (1744-1821), chef du conseil ; Merlin, directeur (et militaire) ; Barthélémy-François-Joseph Lagache (1736-?), président ; Joseph-Jean Lagarde (1755-1839), secrétaire ordinaire (et magistrat, député aux Etats-Généraux) ; Deville, secrétaire de correspondance. Ce document est intéressant car on est au début du collège qui ne fut loge maçonnique que deux ans et est donc devenue le Collège des Philalèthes, une sorte d'académie, qui ne durera que jusqu'en 1789. Plié en quatre, sans le timbre scellant le document. Très rare document autour de cette loge/collège qui n'exista que quatre ans. [107]
CRDP de Lille 1980. Dossier 6 A. Ouvrage de format 297 X 210, dos collé, couverture illustrée . 489 pages, nombreuses illustrations. Texte introductif et important recueil de documents constituant la première partie d'un dossier, la seconde intitulée Les mutations des campagnes. Un film en coproduction avec FR 3 Nord-Picardie a été réalisé sur le sujet.
MAIRIE DE LILLE - RENE GAIFIE - PROF. PAGET - MGR DETREZ - MARCEL STIENT - M. MAUROIS
Reference : 1cb13
(1952)
in4 agrafé, 36pp, qq photos nb. articles sur l'aménagement de certaines voies à Lille. Essai de toponymie lilloise - Lille capitale le Lille Olympique Sporting-Club (LOSC) avec un plan du stade Grimomprez-Jooris - Publicités nb
Petite étiquette ronde gribouillée sur le premier plat, agrafes un peu rouillées sinon exemplaire très frais
Lille, Trouvé, s.d. (vers 1890) placard in-4 (32 x 24 cm), texte sur deux colonnes, portrait en médaillon, en feuille sur papier fort. Bords ebarbés avec des déchirures.
Édité par l'Office de publicité de la région du Nord, ce placard reproduit un poème de Fortuné Trouvé extrait du Siège de Lille en rimes patriotiques.Le portrait représente le héros local Charlemagne-Joseph Ovigneur (1759-1832), artilleur et capitaine des canonniers lillois lors du siège de Lille par l’armée autrichienne en octobre 1792. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l. [Lille], s.d. (1789) in-4, [4] pp. n. ch., en feuille.
Du 23 décembre 1789.Sur une rumeur malveillante qui a cueilli les soldats à leur arrivée en garnison : "Qu'il est douloureux pour nous, à notre arrivée dans une garnison que nous avons désirée, d'avoir à faire taire un bruit qui a jeté l'alarme dans tous les coeurs ; on dit que le régiment Royal-des-Vaisseaux doit incessamment fomenter une révolte pour la diminution de quelques denrées ; quelle calomnie ! (...)"Suivie de la Réponse de MM. du comité de la ville de Lille, démentant évidemment tout crédit à ces rumeurs ("Nous voyons avec peine, que vous vous croyez obligés de détruire des bruits que nous devons regarder ... comme dénués de vraisemblance ... Recevez, chers camarades, les assurances les plus sincères, que nous vous donnons au nom des citoyens, que rien n'est capable de changer l'opinion que nous avons d'un régiment qui n'eut jamais que l'honneur le plus pur pour guide"). Le temps où toute imputation de complot serait crue sur parole était cependant bien proche.Un seul exemplaire au CCF (Lille). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lille, Imprimerie de L. Jacqué, s.d. (1833) in-8, 20 pp., veau fauve raciné, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre cerise, encadrement de double filet doré sur les plats, tranches dorées, première couverture conservée, dentelle intérieure (rel. de la fin du XIXe). Un angle du plat supérieur frotté, mais bon exemplaire.
Réimpression très rare d'un opuscule de 1792.C'est suite à l'arrêt donné par Valmy à l'armée prussienne (20 septembre) que le duc de Saxe-Teschen mit le 24 du mois le siège devant la forteresse de Lille. A partir du 29 septembre, un violent bombardement s'abattit sur la cité, détruisant plus de 2000 maisons, ainsi que l'église Saint-Etienne, mais le siège sera levé dès le 8 octobre. L'épisode fut si marquant pour Lille que les relations de cet événement connurent tout au long du XIXe siècle de constantes réimpressions. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Compagnie DE FIVES-LILLE - Ateliers de Construction ( éditeur - publisher ) :
Reference : 41424
" Fives-Lille (France, département du Nord), Compagnie de Fives-Lille, 1900, in-folio album, oblong format, 32 x 46 cm, album contains 84 photo engravings size 275 x 380 mm, printed by Lemercier in Paris. Bound in publisher's quarter leather with gilt title on front cover ( lettering partially oxidised). The Compagnie de Fives-Lille was an important construction company originally founded already in 1861 ( Ateliers de construction mécanique de Fives) . There is still a company active under the name FIVES , descending from the 1861 company. In their Fives works they built over 2000 locomotives ( 20 are shown in the album). They built also e.g. the Alexandre III bridge in Paris ; the large hall of the Gare d'Orsay in Paris ( now the 19th c. Art Museum). Further in the album are documented tramway equipment in Avignon, Douai , Brides-Les-Bains (Savoye) , Bois de Boulogne... The last three pictures are devoted to the lift system in the ''Tower of 300 M. '' ( Eiffel tower). This album gives an impressive picture of the French contribution to railroad and tramway equipment at the end of the 19th century.."
[Instruments de musique] [Exposition. Lille. 1990] [FLEURET, Maurice]
Reference : 107673
(1990)
Lille, Musée de l'Hospice Comtesse 1990 In-4 à l’italienne 23 x 27 cm. Broché, couverture illustrée en noir & blanc, plus de 150 illustrations en noir & blanc, bibliographie. Joint Inventaire de la collection d’instruments de musique de Maurice Fleuret, in-4 à l’italienne, agrafé, [4] pp. Exemplaires en bon état.
Contient un choix de textes de M. Fleuret. Bon état d’occasion
Lille Castiaux [Imprimerie de Blocquel] s.d. 2 placards in-folio (36 x 23 cm) en feuilles
Très rare réunion de deux images populaires gravées par Antoine Thiébaut (1807-1880) et représentant les deux mannequins d'osier des géants Lydéric et Phinaert, deux personnages liés à la légende de la fondation de la ville de Lille. Chaque année, les deux mannequins de plusieurs mètres de haut sont portés en procession, manœuvrés par des porteurs. Cette procession est connue à Lille depuis le milieu du XVIe siècle, mais les premières mentions connues des noms de ces personnages Lydéric et Phinaert, ne remontent qu'à 1821. Elle perdure encore aujourd’hui lors de la braderie.On peut remarquer sur ces deux représentations la figuration de petits personnages de taille "réelle" qui permet d'avoir une idée de l'échelle
Théo VARLET - [Lille 1878 - Cassis 1938] - Poète, Ecrivain de sciences fiction et traducteur français
Reference : GF32598
3 pages in8 - bon état -
Sur Lille: Il est touché par les paroles amicales au sujet de "Florilège" et de son avant propos qui a l'air d'avoir intéressé beaucoup de lecteurs - Mais ses déclarations assez nettes "n'ont pas réussi (c'était à prêvoir) à [lui] concilier tous les esprits dans sa bonne ville natale" - voir l'article "étriqué, géné et sourdement fielleux" paru dans la Dépêche - Il s'est amusé à le mettre en parallèle avec celui de Marseille -matin, d'une belle compréhension écrit "par un catholique sincère et un fervent de l'Action française!" - "Le sectarisme exclusif et la mauvaise foi seraient-ils l'apananage des cervelles bien pensantes de Lille?" - Suivent quelques mots sur sa santé -
Couverture souple. Revue. 120 pages.
Périodique. Lille, 1961.
Couverture souple. Revue. 40 pages.
Périodique. Lille, 1959.
Lille, Imprimerie de C. L. Deboubers, s.d. (1792) placard in-folio (39 x 32 cm), en feuille.
Daté du 8 octobre 1792, le placard diffuse la décision prise au Conseil général du district de Lille enjoignant aux communes de Wazemmes, Equermes, Fives, Lezenne, Marcq en Baroeul et Saint-André, de procéder à la recherche des boulets, bombes et éclats de bombes, munitions et armes sur leurs territoires. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l. [Lille], s.d. (1684) placard in-folio de 42 x 32 cm, emblème de Lille lauré gravé en-tête.
Annonce l'adjudication à ferme, le mardi 14 novembre 1684, d'une série de six impôts à la consommation perçus au bénéfice de la ville : l'impôt du pied fourchu (sur les bestiaux) ; l'impôt du centième denier (pour les mêmes) ; impôt du centième des pourceaux ; l'impôt des trois deniers (idem) ; le centième denier des veaux ; l'impôt du poisson salé. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie de la citoyenne Tremblay, s.d. (1793) in-8, 12 pp., en feuilles.
Du 23 février 1783. Le titre de départ, p. 3, explicite l'objet de la démarche : "Questions relatives aux indemnités solennellement promises au nom de la Nation française, par ses législateurs représentants, aux habitants de la ville de Lille, département du Nord, dont les députés extraordinaires sollicitent, depuis environ deux mois, l'entier paiement".C'est le 8 octobre 1792, à l'issue de la levée du siège de la ville par les troupes autrichiennes que la Convention nationale avait décrété que "Lille et ses habitants ont bien mérité de la patrie". L'indemnité devait servir à la reconstruction des maisons détruites (plus de 2000). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Bachelin-Deflorenne, 1883 in-12, [3] ff. n. ch., 75 pp., blasons en noir dans le texte, demi-chagrin bouteille, dos à nerfs (reliure de l'époque). Coins émoussés, mais bon exemplaire.
Tirage limité à 25 exemplaires (d'après Saffroy). Unique fac-similé du Grand estendard de Lille (petit manuscrit de 1639).Saffroy II, 21 810. Un seul exemplaire au CCF (Lille). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[circa 1710]. 500 x 667 mm.
Très beau plan manuscrit, encre noire et lavis, de la ville et de la citadelle de Lille, dans le Nord. Y sont figurés le plan détaillé des fortifications ainsi que le plan de la ville, avec l'emplacement des jardins, églises et édifices publics. Assiégée et prise en huit jours par Vauban, en 1667, Lille devint française en 1668 par le traité d'Aix-la-Chapelle qui mettait fin à la Guerre de Dévolution, la première guerre du règne de Louis XIV. Lille, située près de la Flandre, devient l'un des éléments importants de la ligne de places-fortes que Vauban va établir pour protéger la frontière. La ville est agrandie, pourvue de nouveaux quartiers et dotée d'une citadelle. Nommée par Vauban lui-même la reine des citadelles, c'est un ouvrage militaire remarquable et servira de modèle pour la construction de la plupart des autres citadelles de Vauban. Il l'a conçue sur un plan pentagonal pour que chacun de ses murs soit protégé par un mur voisin, sans angle mort pouvant favoriser l'approche de l'ennemi, et édifiée sur un terrain marécageux permettant d'y établir un système d'inondation de ses abords pour empêcher le creusement de galeries de sape. Le plan est orné d'un magnifique blason aux armes de Louis de Crevant (1628-1694), premier duc d'Humières, nommé gouverneur général de Flandre et maréchal de France en 1668, fait chevalier des ordres du roi en 1688, et duc et pair en 1690. Le cartouche des légendes est disposé sur un manteau de pair de France, sur les pans duquel on peut voir les armes de son épouse, Louise-Antoinette-Thérèse de La Châtre. Petite déchirure sans manque le long d'une pliure. Très belle condition, replié.
Lille, Facultés Catholiques 1976 157pp.+ 8 planches hors-texte, br.
Paris, Vrin 1955 224pp., 26cm., brochure originale, dans la série "Texte philosophiques du moyen age" tome 1, bon état, [Introduction en français, texte en latin], F102204