LIFAR (Serge) danseur, chorégraphe et pédagogue russe naturalisé français (1905- 1986)
Reference : 83C24
Exceptionnel cliché du célèbre tableau reproduisant Serge Lifar, peint en 1942 par Yves Brayer portant cette dédicace autographe signée « à Yves Brayer pour son admirable portrait, amicalement Serge Lifar 1942 ». (28 x 20 cm).
LIFAR (Serge) danseur, chorégraphe et pédagogue russe naturalisé français (1905-1986).
Reference : 81C24
Projet de ballet qui doit se dérouler a au Grand Théâtre de Bordeaux en 1964, à la demande de Jacques Chaban-Delmas. Yves Brayer s’occupera des décors et des costumes et la musique sera orchestrée par Maurice Jarre. « L’action du ballet retracera en quelques épisodes l’évolution de la civilisation, qui nous amène à des styles différents ». Il y distingue et détaille 5 tableaux pour ce ballet, l’Olympe et les Dieux, La Terre, La naissance d’une ville, Les Palais (Versailles ou les Tuileries) et Le Stade.
LIFAR (Serge) danseur, chorégraphe et pédagogue russe naturalisé français. Il fut un grand collectionneur obstiné de la danse (1905-1986).
Reference : 82C24
18 janvier 1970. De l’Opéra du Caire, il le remercie pour le magnifique livre de l’Opéra de Paris que le peintre lui a adressé. « Hélas, c’est un peintre Egyptien qui est chargé par le Ministère d’exécuter le décors de Daphnis… ». 27 octobre 1977. De l’Opéra de Paris, il sera heureux de les voir pour la représentation du 31. 14 mars 1981. Sydney (Australie). «… Je règle la chorégraphie de "Suite en blanc ". L’œuvre du musicien français ! (de Lalo) ». Décembre 1986. Carte de vœux pour la nouvelle année 1987, année que Lifar ne pourra connaître, signée par « Lilian et Serge ». Une des dernières signatures de Lifar, décédé 15 décembre 1986, à Lausanne. 8 février et 19 décembre 1987. 2 lettres autographes signées par sa compagne, Lillian (ou Lillan) Ahlefeldt-Laurvig. Elle exprime son émotion au reçu de la lettre des Brayer, venant la réconforter dans sa douleur. « Vos si aimables pensées dans ces moments tristes sont d’un grand réconfort dans mon immense détresse. Serge était mort dans mes bras consiens jusqu’au presque dernière moment. Il été si fragil, si transparent comme un petit oiseau. Il été doux et calme, mais pleuré tout le temps. Peu de temps avant sa mort il demanda son agenda où il écrivait avec son joli fin petit main "adieu la vie, adieu Lillan mon ange, adieu les amis, adieu les beautés de la nature"… et c’était fini ! ». Elle reviendra prochainement à Paris pour s’occuper du monument du tombeau du danseur, au cimetière russe de Ste-Geneviève-des-Bois. Sachant l’attachement que Lifar accordait aux Brayer, elle s’aventure à ouvrir son cœur et à dévoiler des confidences. « Serge été depuis29 ans ! tous ma vie - car nul ne sait mieux que moi qui été le VRAI Serge Lifar avec les éminentes qualités de Bonté, de sensibilité et de total désintéressement qui habitaient son âme. Le vide est terrible et le silence aussi. IL faut - si le Dieu le veu – que je vie encore un peu du temps pour défendre les œuvres de Serge et pour réunir la collection qui reste et qui ne sera jamais à vendre. On joint une superbe photo montée sur carton, représentant Serge Lifar posant torse nu devant Yves Brayer, dans sa loge de l’Opéra de Paris en 1941.
L’ensemble des 7 documents