Phébus / Libretto 1999 416 pages in8. 1999. Broché. 416 pages. Le récit se fonde sur un fait divers qui défraya la chronique dans les Années Folles. En 1924 deux étudiants surdoués issus de la riche bourgeoisie de Chicago assassinent un jeune garçon dans des circonstances qui vont faire frémir la prude Amérique. Les meurtriers persuadés d'avoir commis un crime parfait (puisque parfaitement gratuit) multiplient les provocations à l'endroit de la police. Et se feront bêtement prendre. Meyer Levin qui fréquentait à l'époque le même collège qu'eux et jouait les reporters d'occasion pour payer ses études avait mené à leurs côtés son enquête dans l'ombre essayant de « comprendre » ces deux esprits dévoyés... Publié trente ans après les faits à l'heure où l'Amérique découvrait une nouvelle forme de violence (La Fureur de vivre est de 1955) Crime se vendra à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires et sera traduit dans le monde entier - puis disparaîtra dans les coulisses de ce théâtre d'illusion où se font et se défont (provisoirement) les gloires. La critique l'avait salué comme un nouveau Crime et Châtiment. Sans aller jusque-là on peut affirmer qu'il s'agit de l'un des récits « criminels » les moins convenus de la littérature de ce siècle. Crime de Meyer Levin best-seller américain des années 50 (dont on tira un film avec Orson Welles) est à relire comme un classique. La critique avait salué sa récente réédition (Phébus 1996) : un passage en collection au format de poche devrait lui valoir un nouveau lectorat. Composé à partir d'un fait-divers authentique qui défraya la chronique dans le Chicago des Années Folles il propose une « mise en abîme » du mal que notre fin de siècle pourra toujours méditer avec profit
French édition -Très légères traces de lecture et/ou stockage sinon très bon état d'ensemble. envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
Phébus / Libretto 1999 in8. 1999. Broché. 416 pages. Le récit se fonde sur un fait divers qui défraya la chronique dans les Années Folles. En 1924 deux étudiants surdoués issus de la riche bourgeoisie de Chicago assassinent un jeune garçon dans des circonstances qui vont faire frémir la prude Amérique. Les meurtriers persuadés d'avoir commis un crime parfait (puisque parfaitement gratuit) multiplient les provocations à l'endroit de la police. Et se feront bêtement prendre. Meyer Levin qui fréquentait à l'époque le même collège qu'eux et jouait les reporters d'occasion pour payer ses études avait mené à leurs côtés son enquête dans l'ombre essayant de « comprendre » ces deux esprits dévoyés... Publié trente ans après les faits à l'heure où l'Amérique découvrait une nouvelle forme de violence (La Fureur de vivre est de 1955) Crime se vendra à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires et sera traduit dans le monde entier - puis disparaîtra dans les coulisses de ce théâtre d'illusion où se font et se défont (provisoirement) les gloires. La critique l'avait salué comme un nouveau Crime et Châtiment. Sans aller jusque-là on peut affirmer qu'il s'agit de l'un des récits « criminels » les moins convenus de la littérature de ce siècle. Crime de Meyer Levin best-seller américain des années 50 (dont on tira un film avec Orson Welles) est à relire comme un classique. La critique avait salué sa récente réédition (Phébus 1996) : un passage en collection au format de poche devrait lui valoir un nouveau lectorat. Composé à partir d'un fait-divers authentique qui défraya la chronique dans le Chicago des Années Folles il propose une « mise en abîme » du mal que notre fin de siècle pourra toujours méditer avec profit Très Bon Etat
PHEBUS (1996) - In-8 broché de 390 pages - Traduit de l'anglais par Magdeleine PAZ - Couverture illustrée - Très bon état
Lausanne: Editions Ex-libris, 1973 in-8, 677 pages. Reliure toile défraîchie, état moyen.
Les pionniers. Traduit de l'anglais par Erwin Spatz et Paul Alexandre. (Lausanne: Editions Ex-libris, 1973) [M.C.: littérature roman, Israël]
Phébus 2005 192 pages 19x12x1cm. 2005. Poche. 192 pages.
très légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état. - Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
Paris, Phébus (« D'Aujourd'hui/Etranger »), 2000. in-8°, 169 pages, broche, couverture illustree.
Tres bel exemplaire. [AZ]
STOCK. 1960. In-8. Broché. Bon état, 2ème plat abîmé, Manque en coiffe de tête, Intérieur frais. 277 pages. Couverture illustrée en couleur. Coiffe de tête abîmée.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Tarduit de l'américain par Magdeleine Paz. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
EDITION POCKET N° 1596. 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 378 pages.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Traduction de E. Statz et P. Alexandre. Texte souligné. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
BELFOND. 1973. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 677 pages. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Traduit par STATZ- ALEXANDRE Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Paris, Belfond, 1973; in-8, 677 pp., br. Le roman de ceux qui batirent Israel.
Le roman de ceux qui batirent Israel.
,Paris, Stock 1965, 352 pp., 1 vol. in 8 br.
Belfond 1973
Bon état
BELFOND. 1973. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Quelques rousseurs. 677 pages. Premier plat illustré en couleurs. Couverture rempliée.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Traduit de l'anglais par Erwin Statz et Paul Alexandre. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne
Henry Roth, traduit de l'americain par Alain Albert et Lisa Rosenbaum, preface de Meyer Levin
Reference : 56098
Editions Bernard Grasset 1968
in8, souple, etat correct d'usage, couverture jaunie, 453 p., Editions Bernard Grasset, 1968
Phébus, "d'aujourd'hui - étranger", 2000, 14 x 20,5, 169 p. br. sous couverture illustrée. Roman traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Muriel Goldrajch. Introduction de Jean-Pierre Sintive.