Cassis, 1er ventôse an II (19 février 1794) bifeuillet in-4, écrit sur 3 pp., écriture moyenne et très lisible, en feuille.
Adressée à ses parents demeurant à La Côte-Saint-André (Isère), cette longue lettre rédigée dans une orthographe des plus fantaisistes (même pour l'époque) émane de Jean-Pierre Rozier, du 8e bataillon de l'Isère, 9ème compagnie. Les nouvelles données à sa famille sont strictement personnelles, en-dehors d'une brève mention qui rappelle que la chute et la sanglante répression de Toulon sont juste antérieures : "Quant à la ville plate sise devant Toulon, c'est dans la plus grande tranquillité possible" [orthographe corrigée]. Effectivement, sans doute la paix des cimetières ... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT