APOLLINAIRE (Guillaume) - PONGE (Francis) - CATESSON (Jean) - ELUARD (Paul) - DE QUINCEY (Thomas) - QUENEAU (Raymond) - SOURIS (André) - LEIRIS (Michel) - TARDIEU (Jean) - LESCURE (Jean) -
Reference : 43702
Paris : Pierre Seghers, janvier 1944. Un volume broché (18,7x24 cm), (80) pages. Au sommaire : Guillaume Apollinaire : La Guirlande de Lou, Francis Ponge : La Lessiveuse, Paul Eluard : Le Monde est nul, Thomas de Quincey : La Sphynge Thébaine, Raymond Queneau : Trains dans la banlieu ouest, Michel Leiris : Bagatelles végétales, Jean Tardieu : Deux mots nuls, etc. Couverture passée et un petit trou de 3mm sinon intérieur en bon état. Joint un article de presse : Le Monde du 21 août 1998, "Pour une commune insoumission" à propos du livre de Jean Lescure, "Poésie et liberté, Histoire de Messages 1939-1946".
Revue dirigée par Jean Lescure qui comprendra 12 fascicules de janvier 1938 à octobre 1946. Dès 1942, soutenue par Jean Paulhan qui a dû bandonner la Nouvelle Revue Française à Drieu La Rochelle, elle devient la principale revue de résistance intellectuelle française en zone occupée. Comité de rédaction : René Char, André Frénaud, Michel Leiris, Jean Lescure et Raymond Queneau.
CHAR (René) -TARDIEU (Jean) - PENICAUD (Michel) - FORESTIER (Léon) - FAJON (Pierre) - LESCURE (Jean) - DUMAYET (Pierre) - LEIRIS (Michel) - FRENAUD (André) - SCHELER (Lucien) - QUENEAU (Raymond) - CREGUT (Robert) - DUBILLARD (Roland) - CATESSON (Jean) - GUILLY (René) - DESGRAUPES (Pierre) -
Reference : 43704
Paris : Editions de Minuit, octobre 1946. Un volume broché (18,7x24 cm), (160) pages. Au sommaire : André Frenaud : Les poèmes du petit vieux, Raymond Queneau : Pictogrammes, René Char : L'extravagant, Jean tardieu : Les travaux du professeur Freppel, Jean Lescure : La Marseillaise bretonne. Couverture passée sinon bon état.
Revue dirigée par Jean Lescure qui comprendra 12 fascicules de janvier 1938 à octobre 1946. Dès 1942, soutenue par Jean Paulhan qui a dû abandonner la Nouvelle Revue Française à Drieu La Rochelle, elle devient la principale revue de résistance intellectuelle française en zone occupée. Comité de rédaction : René Char, André Frénaud, Michel Leiris, Jean Lescure et Raymond Queneau.
1960 Paris : Gallimard, 1968 - in-12 (14x20,5 cm) broché, 289 pages - édition originale sur papier bouffant alfa Calypso - bon état - JOINT belle lettre autographe, avec son enveloppe, signée de Jean Lescure et datée d'octobre 1959 adressée au poète Henri de Lescoët.
QUENEAU (Raymond) - LE LIONNAIS (François) - PEREC (Georges) - LESCURE (Jean) - QUEVAL (Jean) - BENS (Jacques) -
Reference : 44219
Paris : Gallimard (Collection "Idée"), 1973. Un volume au format poche, 318 pages. Edition originale. Une pliure à la page de garde, bon état. Première publication des travaux réalisés par l'Ouvroire de Littérature Potentielle avec des textes de Raymond Queneau, François Le Lyonnais, Georges Perec, Jean Lescure, Marcel Bénabou, Jacques Bens, Jean Queval, Jacques Roubaud, Noël Arnaud.
LESCURE (Mathurin-François Adolphe de) - LA GRANGE-CHANCEL
Reference : 46403170
(1858)
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, demi-maroquin bleu, à coins, filets dorés aux bords, dos à nerfs et ornements dorés, tête dorée, non rogné (Ruban) 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort. Remarquable éditon critique “Voici certainement la plus intéressante des éditions des fameuses Philippiques...” dit G. Mouravit sur la garde de cet exemplaire.Launay 61 - Vicaire IV 937Précieux exemplaire avec un ENVOI AUTOGRAPHE de Lescure “à monsieur Honoré Bonhomme, hommage d’estime et d’amitié”. H. Bonhomme, auteur Malassis, publiera chez celui-ci les oeuvres de Piron. L’exemplaire appartint ensuite au grand bibliophile G. Mouravit qui le fit luxueusement relier. Outre la note citée plus haut, on trouve encore dans cet exemplaire un portrait de La Grange-Chancel gravé par Barrois et, in-fine, 65 pages manuscrites de Mouravit sur beau papier Hollande. Ce sont des copies d’un manuscrit inédit que le collectionneur découvrit chez le libraire Roy, avec des Philippiques (variantes) et des notes.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, broché, couverture verte imprimée. 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.Le second plat de la couverture est une publicité pour Les Philippiques de Lescure. Dos abîmé.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, broché, couverture beige imprimée. 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort.Launay 61 - Vicaire IV 937Exemplaire broché, qui contient à la fin le Catalogue Poulet-Malassis Septembre 1858; 4 pp.Petites rousseurs. Couverture légèrement abimée.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; in-12, demi-chagrin citron, nerfs, caissons dorés, non rogné (Reliure de l’époque) 2 ff., 426 pp., 1 f. - [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir.Tirage à 1200 exemplaires, plus quelques exemplaires sur papier fort.Launay 61 - Vicaire IV 937Exemplaire très frais, sans rousseurs, non rogné, en reliure de l’époque.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, demi-chagrin brun, nerfs, caissons à froid, tranches jaspées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1860 ; in-12, pleine percaline brune, décor à froid (Reliure de l’époque) 2 ff., 137 pp., [Impr. à Alençon]. Titre en rouge et noir. Toutes les pp. encadrées.EDITION ORIGINALE tirée à 600 exemplaires.Dissertation sur trois ouvrages qui avaient paru en 1859 : Elle et lui de G. Sand; Lui et Elle de P. de Musset; Lui de Louise Colet. “Elle et lui est un calomnie vis-à-vis d’un mort... Lui et elle est une violence vis-à-vis d’une femme. Lui est une coquetterie en un volume...” . Dans une lettre de Lescure du 30 novembre 1859 on lit : “Il m’en a coûté de rompre avec une fois les plus vives de ma première jeunesse. Mais George Sand, avec laquelle à la suite d’une déclaration d’admiration j’ai eu une longue correspondance, m’a paru odieuse dans ce livre (Elle et lui) provocateur vis-à-vis d’une tombe. Après l’avoir vue une fois à Paris, je n’ai plus voulu la revoir. Après avoir lu Elle et lui, je ne l’admire plus. C’est une religion tombée, je crois cependant avoir esquivé les difficultés et être demeuré critique sans être devenu pamphlétaire”.Le volume connut un succès que Malassis n’espèrait pas. Un mois plus tard il put sortir une seconde édition.La Revue anecdotique X, 148 salue ainsi cette publication : “Eux et elle peut passer pour un bon travail d’anatomie littéraire. C’est finement senti, impitoyablement analysé, très sage d’appréciation. Il n’y a rien de trop dans ce charmant petit volume qui vaut bien à son auteur un brevet de premier président au parlement de la critique. On ne saurait résumer plus impartialement des débats qui ont fait cet hiver les délices des curieux. L’occasion nous paraît trop belle pour ne pas placer ici un calembour tout neuf et très juste sur le même sujet:- Il paraît que tout çà, c’est des eux brouillés.Le mot passe pour être de la cuisinière du docteur Véron; elle est comme on sait littéraire à ses heures”.Launay 102 - Vicaire V, 251.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Firmin-Didot, Paris, Firmin-Didot1863 ; in-8, demi-chagrin rouge, nerfs, fleurons dorés, tranches jaspées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 102 pp.EDITION ORIGINALE - Pas dans Vicaire.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
Paris, Ducrocq, Paris, Ducrocq1866 ; grand in-8, demi-chagrin brun, plats de percaline avec chiffre doré couronné, tranche doré (Reliure de l’époque) VIII pp., 648 pp. - 10 planches hors-texteVicaire V, 254. Bien relié, quelques rousseurs.LESCURE (Mathurin-François Adolphe de)Ce monarchiste très réactionnaire qui s’est infiniment complu dans les alcôves de l’Ancien Régime naquit à Bretonoux dans le Lot en 1833. Il monta à Paris pour faire carrière dans les lettres et débuta chez Malassis en 1858 avec une nouvelle édition des Philippiques de La Grange Chancel. En 1860 il fit une incursion dans la littérature contemporaine (avec une lorgnette satirique) pour régler leur compte à G. Sand, P. de Musset et Louise Colet. Pour se concilier les bonnes grâces de Malassis, Lescure publia dans la royaliste Gazette de France des comptes rendus de plusieurs ouvrages de l’éditeur comme Les Fleurs du Mal ou Les Paradis Artificiels.Lescure a trouvé sa voie en étudiant l’histoire de France à travers les chroniques scandaleuses. Son terrain d’élection fut le XVIII° siècle. L’amateur de curiosa – qualité qu’il partageait avec Malassis, s’occupera des maîtresses du Régent, des amours d’Henry IV, de celles de François Ier… Le royaliste se fit un devoir de rééditer les mémoires de la Duchesse d’Angoulême, Sénac de Meilhan, des études sur Marie-Antoinette….Malassis conserva les nombreuses lettres (environ 150) qu’il avait reçues de Lescure. Très conscient de la majesté qui le composait, Lescure voulut s’imposer et imposer à Malassis lequel, dit Cl. Pichois « se montre rétif devant les prétentions de son collaborateur, qui jouerait volontiers au directeur de collection ». La correspondance s’arrêta en 1864. Réfugié en Belgique, Malassis ne pouvait plus être utile à Lescure. En 1865 Lescure entra au cabinet du ministre Rouher, en qualité de secrétaire. Il remplira cette fonction jusqu’en 1868, puis passa au secrétariat du Sénat jusqu’au 4 septembre 1870. Lescure a beaucoup écrit. Certaines de ses études historiques ou littéraires sont excellentes. Il mourut à Clamart en 1892.Au début de leurs relations, dans une lettre du 4 décembre 1857, Lescure avait rendu ce bel hommage à l’éditeur : « Vous êtes un éditeur artiste, et dans votre genre aussi créateur que les poètes ».
CORBIN (Henry). GILLE (Jean-Charles). GUIMBRETIERE (André). LESCURE (Jean). WITTE (Hans).
Reference : 45290
Bruxelles: Centre Interdisciplinaire d'Études Philosophiques de l'Université de Mons. Directeur: Moïse Engelson. Un volume broché (15,7x22,5 cm), 100 pages. Bon état. Moïse Engelson et Claire Lejeune ont créé les Cahiers Internationaux de symbolisme à Genève en 1962 avec parmi les membres fondateurs, notamment Gaston Bachelard, Mircea Eliade, Georges Poulet et Paul Ricœur. Au sommaire des numéros, l'étude du symbole dans ses relations avec les sciences exactes, les sciences humaines, la tradition, l'art et les religions.
FRENAUD (André). ARAGON (Louis). LURCAT (Jean). JOUVE (Pierre-Jean). VILDRAC (Charles). LESCURE (Jean). ROY (Claude). BLANCHARD (André). TRIOLET (Elsa). SEGHERS (Pierre). PARROT (Louis).
Reference : 44947
Villeneuve-lès-Avignon, directeur: Pierre Seghers. Un volume 13,2x21,4cm broché de 96 pages avec quatre planches hors texte. Exemplaire en bon état. Au sommaire de ce numéro un texte sur Jean Lurçat par Louis Aragon sous pseudonyme et première publication d’un texte d’André Frénaud.
Créateur en 1939 de la collection Poètes casqués, puis éditeur de la poésie de la résistance pendant la seconde guerre mondiale avec Poésie 40 à 47, Pierre Seghers (1906-1987) sera un des plus importants éditeurs français de poésie au XXème siècle.
JOUVE (Pierre-Jean). MARCENAC (Jean). DEVAULX (Noël). BERIMONT (Luc). LESCURE (Jean). LACOTE (René). MASSON (Loys). ROY (Claude).
Reference : 44954
Villeneuve-lès-Avignon, directeur: Pierre Seghers. Un volume 13,2x21,4cm broché de 96 pages.
Créateur en 1939 de la collection Poètes casqués, puis éditeur de la poésie de la résistance pendant la seconde guerre mondiale avec Poésie 40 à 47, Pierre Seghers (1906-1987) sera un des plus importants éditeurs français de poésie au XXème siècle.
ARAGON (Louis). LESCURE (Jean). SENGHOR (Léopold Sédar). MOUSSINAC (Léon). TRIOLET (Elsa). ROY (Claude). AVELINE (Claude).
Reference : 44958
Paris, directeur: Pierre Seghers.Un volume 13,2x21,4cm broché de 96 pages. Bon état.
Créateur en 1939 de la collection Poètes casqués, puis éditeur de la poésie de la résistance pendant la seconde guerre mondiale avec Poésie 40 à 47, Pierre Seghers (1906-1987) sera un des plus importants éditeurs français de poésie au XXème siècle.
FOLLAIN (Jean). FOUCHET (Max-Pol). LESCURE (Jean). BERIMONT (Luc). NYSSEN (Hubert). CHEDID (André). HUMEAU (Edmond). ROUSSELOT (Jean). CADOU (Hélène).
Reference : 44746
Troyes: Centre Culturel Thibaud de Champagne. Directeur: Dominique Daguet. Un volume broché (21x29,4 cm), 140 pages illustrées dans et hors texte. Bon état. De nombreux hommages à André Salmon de la part de ses amis écrivains et artistes: fac-similé de lettres, envois, dessins. Illustré de photographies, dessins, poèmes en fac-similé.
Créés en 1975 à Troyes par Dominique Daguet (1938-2021), poète et ancien secrétaire de Jean Paulhan, les Cahiers bleus compteront 70 numéros jusqu’en 2007. Bonne revue de poésie et de littérature qui propose des numéros thématiques et monographies d’auteurs.
CADOU (Hélène). BOUHIER (Jean). GOFFETTE (Guy). GROSJEAN (Jean). GUILLEVIC. OSTER (Pierre). Lescure (Jean). MARTEAU (Robert). ROGNET (Richard).
Reference : 44752
Troyes: Amis des Cahiers bleus/ Centre Culturel Thibaud de Champagne. Directeur: Dominique Daguet. Un volume broché (21x29,4 cm), 160 pages illustrées dans et hors texte. Numéro principalement consacré aux poèmes d’aujourd’hui.
Créés en 1975 à Troyes par Dominique Daguet (1938-2021), poète et ancien secrétaire de Jean Paulhan, les Cahiers bleus compteront 70 numéros jusqu’en 2007. Bonne revue de poésie et de littérature qui propose des numéros thématiques et monographies d’auteurs.
MARTEAU (Robert). LESCURE (Jean). PRASSINOS (Gisèle). GOFFETTE (Guy). CHEDID (Andrée). NORGE. AUTIN-GRENIER (Pierre). CLOT (René-Jean). DHOTEL (André). DHAINAUT (Pierre). CADOU (Hélène). OSTER-SOUSSOUEV (Pierre).
Reference : 44757
Troyes: Amis des Cahiers bleus/ Centre Culturel Thibaud de Champagne. Directeur: Dominique Daguet. Un volume broché (21x29,4 cm), 102 pages illustrées dans et hors texte.
Créés en 1975 à Troyes par Dominique Daguet (1938-2021), poète et ancien secrétaire de Jean Paulhan, les Cahiers bleus compteront 70 numéros jusqu’en 2007. Bonne revue de poésie et de littérature qui propose des numéros thématiques et monographies d’auteurs.
MALLARME (Stéphane) - WAHL (Jean) - CHAR (René) - LESCURE (Jean) - TOESCA (Maurice) - MISTRAL (Gabriela) - MALRAUX (Clara) - ESTIENNE (Charles) - CAILLOIS (Roger) -
Reference : 43733
Edition de Paris : Fontaine, 1946. Directeur : Max-Pol Fouchet. Un volume broché (15,8x23,7 cm), 170 pages. Petit manque de 3cm au mors sinon bon état.
La revue Fontaine fondée par Max-Pol Fouchet en 1939 est la principale revue de la résistance intellectuelle française pendant la seconde guerre mondiale. Depuis Alger, Fontaine rallia tous les poètes, artistes et écrivains hostiles à la collaboration. De 1942 à 1944, à Limoges où résidait Georges-Emmanuel Clancier, étaient collectés les articles et poèmes écrits en France occupée, et envoyés à Albert Béguin à Genève puis expédiés à Tanger... Et de là en Algérie par Georges Blin. La revue publiait aussi les auteurs français réfugiés alors aux U.S.A. et dans le monde libre comme André Breton, Saint-John Perse, Georges Bernanos, etc. (L'Intelligence en guerre, Vignes-Lacroix, 2001, pages 201 et suivantes.)
Paris : Galanis, 1964 - un volume 7,5x11,9cm broché, non paginé, sur papier fort, avec des planches en noir et en couleurs de Léon Gischia - bon état -
Livre minuscule édité à l'occasion de l'exposition du livre "La Saint-Jean d'été" chez Villand et Galanis, à Paris.
1960 Paris : Gallimard, 1960 - in-12 broché, 204 pages - exemplaire du service de presse avec envoi autographe signé adressé à Dominique Aury - bon état (petite trace d'humidité sur 2 cm entre la couverture et le dos)
1963 Catalogue de l'exposition présentée à la galerie Louise Leiris du14 novembre au 14 décembre 1963 (impression Draeger) - un volume carré 16,5x16,5 cm sous couverture rempliée illustrée en couleurs, (32) pages - illustré de 29 reproductions en héliogravure - bon état -
Paris, Librairie ducrocq, 1889; in-4, 557 pp., cartonnage de l'éditeur.
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Paris, Librairie des bibliophile , 1881; in-12, 272 pp., demi basane a caissons. Publiées avec une notice et des notes.
Publiées avec une notice et des notes.