ATELIER DE CREATION LIBERTAIRE
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782351040621
ATELIER DE CREATION LIBERTAIRE
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782351040690
Messidor, 1992, in-8°, 375 pp, 16 pl. de photos hrs texte, une carte du système concentrationnaire nazi, broché, bon état, envoi a.s. de Roger Leroy
Après la première partie de ses mémoires, racontée dans '1933-1943 : la traversée de la tourmente', Roger Linet poursuit son récit, avec ses compagnons Roger Leroy et Max Nevers, sur leurs actes de résistance en camp de concentration. – A leur retour : Roger Leroy, devenu artisan carrossier en voitures automobiles à Villejuif (Val de Marne) jusqu’à l’age de la retraite, a déployé l’essentiel de son activité militante au poste de Secrétaire général de l’amical nationale des déportés de Natweiler-Struthof, aux cotés du président fondateur de l’amicale (de la libération à 1982). Membre de la commission exécutive du comité national du Struthof, officier de la légion d’honneur et commandeur de l’ordre national du Mérite. – Roger Linet, devenu secrétaire de l’Union syndicale CGT de la Métallurgie de la région parisienne en 1945 et membre du comité exécutif de la fédération des métaux, fondé en 1947 le syndicat CGT de Renault-Billancourt et en sera le secrétaire général de 1952 à 1956, élu membre du comité central du Parti Communiste Français et député de la Seine. En 1958, il devient directeur du centre de rééducation professionnelle Suzanne-Masson. il est président de l’amical nationale de Natweiler-Struthof, officier de l’ordre national du Mérite, officier de la légion d’honneur. – Max Nevers, permanent à l’Union de la jeunesse de France (UJRF) dans l’Yonne en 1945 et maire adjoint de Lézinnes, est boucher-charcutier à Amboise. En 1958, il devient directeur de la Société bovine Amboisienne. Ses activités militantes essentielles sont consacrées à la déportation : président départemental (Indre et Loire) et membre du bureau exécutif de la FNDIRP, secrétaire général de l’amical nationale des déportés de Natweiler-Struthof, il est officier de la légion d’honneur.
1910 3 photographies en couleurs encollées sur papier fort, tirage argentique, épreuve originale, Montrouge, Draeger imprimeur, 1910, 29.3 x 22.8 cm
La Maison Leroy & Schmid propose des fourrures de qualité grâce à l'expertise en matière de pelleterie de Monsieur Schmid et au talent créatif de Madame Leroy. La conjugaison de ses talents "portent chaque année plus loin et plus haut la réputation des Fourrures Max". Reutlinger (1863-1937) photographia de nombreuses demi-mondaines. Elles venaient souvent du milieu du spectacle (actrices, chanteuses, cocottes...) et étaient les lanceuses de mode de l'époque. Aussi les maisons de Mode n'hésitaient pas à leur faire appel. Traces de colle, grattage. Collection Draeger - ex-libris.
Draeger ,1912, in-4 de xxx pages ,broché ,Etat correct ,illustratès de 4 planches en couleurs par Charles MARTIN ,RIAN , George BARBIER et René VINCENT , présentant leur nouvelle collection et montrant la fourrure portée au XVIIIès . Nombreuses photos de FELIX et BRISSY couverture défraichie .(8 photos du livre sur mon site https://www.vieuxlivre.fr) .Les frais de port pour la France sont offerts à partir de 25 euros d'achat (Mondial relay,lettre suivie)et 30 d'achat (colissimo suivi ). Pour l'étranger : tarif livre et brochure, colissimo international, DHL express
Lucien Vogel éditeur, Paris 1923, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.
Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Draeger vers 1928 In-4, cartonnage de l'éditeur orné sur le premier plat d'un portrait imprimé en couleurs dans un médaillon ovale.Très belle édition publicitaire imprimée pour le compte de la Maison Max Leroy et Schmid, dont les trois textes (respectivement L'Amateur de fourrures, La Faune de l'hiver et La Fourrure et les portraits du XVIIIe) sont illustrés de 4 aquarelles respectivement de Charles Martin, R. Vincent, George Barbier et Etienne Drian, représentant des modèles portant des fourrures au style très années 20, reproduites en couleurs et contrecollées sur papier fort gris. L'ouvrage comporte également 7 photographies de mode prises par Brissy et Félix et reproduites à pleine page en noir et blanc, ainsi que 8 compositions en trois couleurs (une grande pour la page de titre et 7 médaillons in texte figurant des silhouettes féminines) et 2 grands in-texte noir et blanc. Tirage unique sur papier glacé non précisé.
[Institut Technique Français de la Betterave] - LEROY, Professeur ( LEROY, André-Max, 1892-1978 )
Reference : 48380
(1960)
1 brochure in-12, publié sous les auspices de L'Institut Technique Français de la Betterave Industrielle, Paris, s.d. (circa 1960), 22 pp.
Bon état. Brochure peu courante, écrite par un spécialiste de l'élevage, professeur à l'Institut National Agronomique ( INA ).
Paris Draeger 1927 1 in-4 Paris, Draeger, Fourrures Max, (1927), in-4, couverture noire cartonnée imprimée de motifs floraux rouges et argentés, en feuilles, 5 planches en noir et en blanc.
Présentés par Colette et les 5 planches de Jean Dupas (Bordeaux 1882-1964), Grand Prix de Rome de peinture de 1910, transportent cet album au sommet de l'édition publicitaire. "Ce bel étui noir, orné de fleurs rouges et argent, contient de superbes planches en camaïeu gris et noir. La provocation des nus féminins que Jean Dupas a drapé des fourrures de la nouvelle collection est atténué par leur hiératisme de statue" (in "Arts et Métiers Graphiques" N°1 ,1927-Bibliothèque Exposition FORNEY 1988, N°18). Infimes accrocs et déchirures. Collection Jacques Crépineau.
MAX-LEROY & SCHMID. DRIAN (Etienne), BARBIER (George), MARTIN (Charles), VINCENT (René).
Reference : 11270
(1912)
Draeger 1912 1 Montrouge, Draeger, (1912), in-4, cartonné, couverture imprimée avec une vignette contrecollée, façon miniature, [24 pp.]
Précieux catalogue, illustraté de 4 planches en couleurs, par Charles MARTIN, DRIAN, George BARBIER et René VINCENT, présentant leur nouvelle collection et montrant la fourrure portée au XVIIIème siècle. Nombreuses photos de FELIX et BRISSY. Débrochage, usures à la couverture et légères déchirures.
Paris Draeger 1927 1 in-4 Paris, Draeger, (1927), in-4, couverture noire cartonnée imprimée de motifs floraux rouges et argentés, en feuilles, 5 planches en noir et en blanc.
Présentés par Colette et les 5 planches de Jean Dupas (Bordeaux 1882-1964, Grand Prix de Rome de peinture de 1910) transportent cet album au sommet de l'édition publicitaire. "Ce bel étui noir, orné de fleurs rouges et argent, contient de superbes planches en camaïeu gris et noir. La provocation des nus féminins que Jean Dupas a drapé des fourrures de la nouvelle collection est atténué par leur hiératisme de statue" (in "Arts et Métiers Graphiques" N°1 ,1927-Bibliothèque Exposition FORNEY 1988, N°18). Manque le texte et deux planches et le cahier in-fine. Petites griffures, trous d'épingle, accrocs et légers plis.
MAX-LEROY & SCHMID. DRIAN (Etienne), BARBIER (George), MARTIN (Charles), VINCENT (René).
Reference : 22612
(1912)
Draeger 1912 1 Montrouge, Draeger, (1912), in-4, cartonné, couverture imprimée avec une vignette contrecollée, façon miniature, 24 pages.
Précieux catalogue, illustré de quatre planches en couleurs, par Charles MARTIN, DRIAN, George BARBIER et René VINCENT, présentant leur nouvelle collection et montrant la fourrure portée au XVIIIème siècle. Nombreuses photos de FELIX et BRISSY. Usures, mouillures et bords frottés à la couverture.
Hachette 1956, in-12 broché, 244pp avec 108 figures in-texte - très bon état
Hachette 1946, in-12 broché, 188pp avec 89 figures in-texte; collection encyclopédie des connaissances agricoles - bon état
[Bigot René ] - Deny Jean,Leroy Jean,Gisors Martine - Alberto H.,Jean Gaston - François Max
Reference : 79594
(1947)
Leroy (André-Max), Sentex (Jacqueline) et Stoeckel (Rodolphe)
Reference : 74884
(1956)
Librairie Hachette , Encyclopédie des Connaissances Agricoles Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1956 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une photographie de vaches en noir et blanc, pendant la traité mécanique In-8 1 vol. - 244 pages
108 figures dans le texte en noir et blanc, dont de nombreuses vignettes photographiques nouvelle édition revue et augmentée Contents, Chapitres : Introduction - Principales races de vaches laitières - La technique des opérations de contrôle laitier - Le contrôle de l'alimentation - L'élevage des jeunes animaux - Le contrôle généalogique - L'insémination artificielle - La production d'un lait propre et sain - L'économie de la production de lait haut du dos à peine frotté, 2 infimes petites taches au bas du plat supérieur de la couverture, l'intérieur est sinon propre, le papier un peu jauni, le coin inférieur des 3 premières pages est discrètement corné, cela reste un bon exemplaire
HALÉVY (Daniel), LEROY (Maxime), MARCEL (Gabriel), ARON (Robert), DUBREUIL (Hyacinthe), JOUVENEL (Bertrand de), MAULNIER (Thierry), SERANT (Paul), VEDEL (Georges), VOISIN (André), RICHARD (Max) Secrétaire général.
Reference : 5640
Paris, 1954, in 8, rel. 96pp
Bon ex.
Messidor, 1991, in-8 br., 375 p., préface du Dr Henri Laffitte, avant-propos de Charles Joineau, un cahier de 16 planches photos, cartes, bon état.
Récit des actes de résistance au camp de Struthof en Alsace. Voir le sommaire sur photos jointes.