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‎Claude Leroy commente L'Or de Blaise Cendrars.‎

‎P., Gallimard/Folio, 1991, in-12, br., 220 pp., photos et ill., bibliographie. (L.17) ‎

‎Essai et dossier réalisé par Claude Leroy. Iconographie réunie par Nicole Bonnetain. Collection Foliothèque, n° 13. ‎

‎Champsecret. Roman.‎

‎P., Mercure de France, 2005, br. (S3B22/28) ‎

‎Édition originale. Envoi de l'auteur. Enrichi de : - deux lettres de l'auteur, datées 9.VII.05 et 26.VII.05, adressées à Bernard Delvaille, où l'on parle beaucoup de chiens et de Venise... - une lettre de 3 pages de Bernard Delvaille adressée à Gilles [Leroy], titrée Petite histoire des chiens de Venise. ‎

‎Soleil noir. Roman.‎

‎P., Mercure de France, 2000, br. (S3B22/28) ‎

‎Édition originale. Envoi de l'auteur. Joint : - une lettre de l'auteur et son enveloppe, adressée à Bernard Delvaille, datée 2.IX.2000 : "Merci pour votre lettre à propos de Soleil noir si rassurante. Je lis chaque soir quelques pages de votre Journal, c'est un peu mon examen de minuit. J'y trouve le même plaisir vaguement mélancolique qu'à la lecture des Journaux de cour japonais...." - le brouillon corrigé d'une lettre de Bernard Delvaille, sans date, adressée à Gilles [Leroy] à la réception de son livre Soleil noir : "Je pense que c'est votre livre le plus "accompli". Vous parvenez à rendre "poétique" - et à nous faire surmonter - le sordide des chairs (...). Tous vos personnages ont un extraordinaire relief... contrastes entre haine et tendresse... Comment, vous qui vivez dans l'épaisseur des prairies du Perche, avez-vous su rendre aussi présentes ces odeurs de pastis et de romarin !" ‎

‎"Joueuses d'osselets" - Lithographie originale sur Japon - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x24cm, planche : 55x40,8cm, une feuille et une serpente.‎

‎Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Paul Leroy pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, papier vélin contrecollé sur Japon, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un poème, traces de plis. Lithographie inspirée d'un extrait des Contes persansde Rifat Oktay, reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Époque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎"Joueuses d'osselets" - Lithographie originale sur Chine - L'Estampe Moderne‎

‎Imprimerie Champenois pour CH. Masson & H. Piazza, Paris (Août 1898), sujet : 35x24cm, planche : 55x40,8cm, une feuille.‎

‎Rare lithographie originale, exécutée par Paul Leroy pour L'Estampe Moderne, série numéro 16 publiée en août 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artistedans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait des Contes persansde Rifat Oktay. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Les atrocités allemandes en France. Reproduction intégrale des rapports officiels des 17 Décembre 1914 et 8 Mars 1915‎

‎D.A. Longuet, Paris s.d. (1915), 24x25,5cm, reliure de l'éditeur.‎

‎Edition originale imprimée sur vergé. Reliure de l'éditeur au format à l'italienne en pleine toile framboise et sable, dos lisse, tête rouge. Envoi autographe signé de l'éditeur à Marcel Dentu du S.P.A. Ouvrage illustré de compositions originales de Maurice Leroy ainsi que de vues photographiques. Plats marginalement insolés en têtes, sinon bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La Luciade ou l'âne traduit de Lucius de Patras par Paul-Louis Courier‎

‎Aux éditions du mouflon, Paris 1945, 23x28,5cm, en feuilles.‎

‎Edition illustrée de 17 pointes-sèches originales hors-texte de Maurice Leroy, un des 150 exemplaires numérotés sur vélin à la forme. Rares rousseurs sans gravité. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎La Femme à l'émeraude. Manteau en tigre, de Max-Leroy (pl.23, La Gazette du Bon ton, 1923 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1923, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Hiver. Tailleur en fourrure, de Max-Leroy (pl.27, La Gazette du Bon ton, 1924 n°6)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Etoile du berger. Manteau de fourrure, de Max-A. Leroy (pl.47, La Gazette du Bon ton, 1924 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Champ de courses. Manteau de fourrure de Max-a. Leroy (pl.23, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎L'Hygromètre. Manteau de fourrure, de Max-A. Leroy (pl.32, La Gazette du Bon ton, 1924-1925 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1924-1925, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Les évangiles des quenouilles‎

‎La tradition, Paris 1948, 25,5x33cm, en feuilles sous chemise et étui.‎

‎Edition illustrée de 44 pointes-sèches originales de Maurice Leroy, un des 50 exemplaires numérotés comportant un état des pointes-sèches avec remarques. Dos de l'étui insolé. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Présence de Leclerc. "Le vrai visage du général"‎

‎S.n., Paris 1948, 13,5x21,5cm, agrafé.‎

‎Edition originale. Agréable exemplaire en dépit d'infimes piqûres sans gravité sur les plats. Préface de madame la générale Leclerc de Hautecloque. Nous joignons la reproduction d'une photographie dédicacée par le général Leclerc. Signature manuscrite de Jean Leroy-Thiébaut. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎[ Recueil de 10 pièces de théâtre : ] Le Théâtre Français, Mademoiselle Georges-Weimer et l'Odéon, appréciés dans l'intérêt de l'art dramatique, par M. Ferdinand S.-L. [ Suivi de : ] Sylla. Tragédie en Cinq Actes par E. Jouy, membre de l'Institut [ Suivi de : ] Les Etourdis ou le Mort supposé, Comédie en trois actes, en vers, par M. Andrieux [ Suivi de : ] Les Deux Candidats, ou une Veille d'élections, Comédie en trois actes et en prose, par Onésime Leroy [ Suivi de : ] Caton le Censeur ou La Guerre d'Espagne, premier acte d'une grande Comédie non encore représentée, par Onésime Leroy [ Suivi de : ] La Femme, Juge et Partie, Comédie en trois actes et en vers, refaite par Onésime Leroy d'après l'ancien ouvrage de Montfleury [ Suivi de : ] Le Méfiant, Comédie en cinq Actes et en Vers par O. Leroy [ Suivi de : ] L'Esprit de Parti, Comédie en trois actes et en vers par MM. Bert et O. Le Roy [ Suivi de : ] La Demande en Grâce, ou Les Pages de Manchester, Comédie en un acte mêlée de Vaudeville ; par MM. De Rougemont, Gabriel, et Eugène [ Mevil O*] [ Suivi de : ] La Jarretière de la Mariée, Comédie-Vaudeville en un acte de MM. Eugène Scribe et Dupin‎

‎1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-chevrette rouge : Le Théâtre Français, Mademoiselle Georges-Weimer et l'Odéon, appréciés dans l'intérêt de l'art dramatique, par M. Ferdinand S.-L., Chez Ladvocat, et chez tous les marchands de nouveautés, Paris, 1822, 30 pp. [ Suivi de : ] Sylla. Tragédie en Cinq Actes par E. Jouy, membre de l'Institut, Représentée pour la première fois, sur le premier Théâtre français, pour la représentation à bénéfice de M. Saint-Phal, le 27 décembre 1821, seconde édition, Ponthieu, Pais, 1822, 2 ff., frontispice, 79 pp. [ Suivi de : ] Les Etourdis ou le Mort supposé, Comédie en trois actes, en vers, par M. Andrieux. Représentée, pour la première fois, par les Comédiens Italiens ordinaires du Roi, le vendredi 14 décembre 1787, Chez Bailly, Paris, 1788, 56 pp. [ Suivi de : ] Les Deux Candidats, ou une Veille d'élections, Comédie en trois actes et en prose, par Onésime Leroy, Représentée sur le Second Théâtre Français, par les Comédiens du Roi, le 15 octobre 1821 sous le titre de La Fausse Modestie, Chez Amyot, Paris, 1821, 1 f., 66 pp., mention ms. "offert par l'auteur 1er 9bre 1821" [ Suivi de : ] Caton le Censeur ou La Guerre d'Espagne, premier acte d'une grande Comédie non encore représentée, par Onésime Leroy, Chez Amyot Libraire, Paris, 1823, xi-27 pp. [ Suivi de : ] La Femme, Juge et Partie, Comédie en trois actes et en vers, refaite par Onésime Leroy d'après l'ancien ouvrage de Montfleury, et Représentée sur le Second Théâtre Français, par les Comédiens du Roi, le 8 mars 1821, Chez Vente, Barba, Paris, vij-62 pp., mention ms. "offert par l'auteur à Mr Meril" [ Suivi de : ] Le Méfiant, Comédie en cinq Actes et en Vers par O. Leroy ; Représentée sur le Théatre de S.M. l'Impératrice pour la première fois le 21 décembre 1813, De l'Imprimerie de Crapelet, Chez Barba, Martinet, Paris, 1814, 2 ff., 95 pp. [ Suivi de : ] L'Esprit de Parti, Comédie en trois actes et en vers par MM. Bert et O. Le Roy, Représentée sur le Théâtre Royal de l'Odéon, le 22 Novembre 1817, Seconde édition, Chez Mad. Ladvocat, Paris, 1818, x-80 pp. et 1 f., mention ms. "donné à Charles Méril par Monsieur Leroy 27 9 br 1820", exemplaire signé par l'auteur avec nombreuses mentions manuscrites dont le nom des acteurs [ Suivi de : ] La Demande en Grâce, ou Les Pages de Manchester, Comédie en un acte mêlée de Vaudeville ; par MM. De Rougemont, Gabriel, et Eugène [ Mevil O*] Représentée à Paris, sur le Théâtre du Vaudeville le 14 juin 1821, Chez Delaunay, Barba, Martinet, Paris, 1821, 51 pp. [ Suivi de : ] La Jarretière de la Mariée, Comédie-Vaudeville en un acte de MM. Eugène Scribe et Dupin, Représentée pour la première fois, à Paris, sur le Théâtre des Variétés, le 12 novembre 1816, Chez Mlle Huet-Masson, s.d., 31 pp.‎

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‎Dans ce recueil de pièces peu communes, la plupart en éditions originales, plusieurs ont été offertes par l'auteur Onésime Leroy à Charles Méril. Bon état (reliure un peu frottée).‎

‎[ Cours de Philosophie Morale professé au Collège Saint-Vaast par Barthélémy Lenglet et copié par Louis-Joseph Leroy de Vitry - Manuscrit avec gravures - 1759 ] Ethica sive moralis dictata a R. ai R. Domino Bartholomeo Lenglet artium doctore necnon philosophiae Professore Secundario Sancti Vedasti (Duaci :) Et recepta a Ludovico Josepho Leroy ex Vitry‎

‎Manuscrit latin au format grand in-8 sous reliure de l'époque pleine basane marron, dos à 5 nerfs orné, 1759, 1 f. et 108 ff. (paginés de 1 à 216), 1 dernier feuillet volant, avec 4 feuillets joint de format petit in-8, avec 3 gravure (par Vallet, Graveur du Roy, rue St Jacques) : Moralis, Sta Catharina et Titre gravé complété à la plume par Leroy.. Rappel du titre complet : [ Cours de Philosophie Morale professé au Collège Saint-Vaast par Barthélémy Lenglet et copié par Louis-Joseph Leroy de Vitry - Manuscrit avec gravures - 1759 ] Ethica sive moralis dictata a R. ai R. Domino Bartholomeo Lenglet artium doctore necnon philosophiae Professore Secundario Sancti Vedasti (Duaci :) Et recepta a Ludovico Josepho Leroy ex Vitry‎

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‎Intéressant document pour l'histoire du collège universitaire de Douai. Né à Angléfontaine le 19 août 1727, Barthélémy Lenglet est profès en avril 1749, et deviendra président du vieux collège de Douai (Nécrologe de l'abbaye de Saint-Vaast d'Arras, 486). C'est l'abbaye bénédictine Saint-Vaast d'Arras qui fonda l'un des trois premiers collèges universitaires de Douai, qui fut fermé et fusionné avec le collège du Roi lors de l'expulsion des Jésuites en 1764 ; on se souviendra également que Robespierre reçut en 1769 une bourse d'étude de l'abbaye de Saint-Vaast.Le présent manuscrit latin propose l'intégralité du cours de philosophie morale de Barthélémy Lenglet. Parmi les quelques documents joints, de la même main, on trouve un curieux brouillon de lettre (par Leroy) : "Mon cher cousin et ami, ayant appris le jour de la St Rémy par votre frère Joseph qu'il y avait quinze jours que vous étiez entré dans une des meilleures boutiques, qu'ily avait dans paris, les inquiétudes qui me traversaient depuis que je vous avais écris disparurent au même instant avec mille objets différents dont je me représentois chaque jour l'insomnie causée oar la privation de ne plus pouvoir jamais vous revoir, c'étois la plus grande peine que je pouvois souffrir au monde. Car la même matinée que j'ai reçu vôtre dernière lettre (malgré tout ce que j'ai appris) une image de plus frappante s'offrit à mes yeux pendant la nuit, en me faisant voir que vous vous aviez laissé entraîner par les appas trompeurs d'une demoiselle en sa chambre, là on vous avait dépouillé entièrement de tous vos habits ; ensuite pour parfaire leur scène cruelle on vous coupa la gorge sans vous avoir donné le tems même de crier. J'étais presque au désespoir lorsque je me suis éveillé [ etc...]". Exemplaire modeste (reliure fortement abîmée avec manques de cuir, texte en bon état) mais unique, à restaurer.‎

‎Lettres sur les animaux par Georges Leroy, lieutenant des chasses du parc de Versailles. Quatrième édition précédée d'une introduction par le docteur Robinet.‎

‎Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1862 ; in-12, broché. 2 ff., LVI pp. (préface), 266 pp. [Impr. à Paris, Poupart-Davyl].EDITION ORIGINALE de la longue et importante préface du docteur Robinet. Il voit en G. Leroy un des maillons du positivisme: « C'est Gall qui a posé les bases essentielles de la théorie positive de la nature humaine. Mais, outre les grands biologistes qui l'ont indirectement préparée, depuis Aristote jusqu'à Bichat, il eut, relativement à son œuvre même, quelques prédécesseurs immédiats. Hume et Georges Leroy d'abord, puis Cabanis, tous ensemble préparant la systématisation finale d'Auguste Comte ». Les Lettres sur les animaux ont_été écrites entre 1762 et 1781. G. Leroy naquit en 1723 et mourut en 1789 à Paris. Il succéda à son père comme lieutenant des chasses et administrateur des bois de Versailles et de Marly. Collaborateur de l'Encyclopédie, il lui donna les articles : chasse, instinct, fermier, forêt, fureter, garenne, etc., etc. Il prit la défense d'Helvetius contre les censeurs de son livre De l'Esprit et partageait avec Diderot et Hume l'amitié de la famille d'Holbach. Les Lettres sur les animaux ont paru entre 1762 et 1781 dans diverses revues: le Journal étranger, la Gazette littéraire, les Variétés littéraires, sous le pseudonyme du Physicien de Nuremberg. Elles furent réunies en volume en 1781. Une seconde édition parut en 1802. En 1876 Poulet-Malassis préfaçant chez Baur une autre réimpression d'un livre de G. Leroy, précisera: «la dernière et la meilleure éditiou des Lettres sur les animaux, de Georges Leroy est celle de 1862, donnée par le docteur Robinet, elle est épuisée et recherchée ».Né à Vic-sur-Seille (Meurthe) le 24 avril 1825, Robinet fut le disciple et le médecin d'Auguste Comte. Positiviste orthodoxe, religieux, positiviste d'Eglise, il acceptait tout entier le dogme de son maître, aussi bien en politique et religion qu'en sciences et qu'en philosophie de l'histoire. Il fut l'un des treize exécuteurs testamentaires désignés par A. Comte. Auteur de nombreux ouvrages sur le positivisme, sur l'armée et d'un traité sur l'hippophagie. Launay 248 - C.P.M. p. 42 - Cioranesco XVIIIe s. n° 39503.La couverture est factice ; elle porte le premier plat de la couverture verte originale de Malassis, remonté. Exemplaire bien complet de la table qui manque parfois, parce qu'imprimée sur un feuillet à part. ‎

‎Lettres sur les animaux par Georges Leroy, lieutenant des chasses du parc de Versailles. Quatrième édition précédée d'une introduction par le docteur Robinet.‎

‎Paris, Poulet-Malassis, Paris, Poulet-Malassis1862 ; in-12, broché. 2 ff., LVI pp. (préface), 266 pp. [Impr. à Paris, Poupart-Davyl].EDITION ORIGINALE de la longue et importante préface du docteur Robinet. Il voit en G. Leroy un des maillons du positivisme: « C'est Gall qui a posé les bases essentielles de la théorie positive de la nature humaine. Mais, outre les grands biologistes qui l'ont indirectement préparée, depuis Aristote jusqu'à Bichat, il eut, relativement à son œuvre même, quelques prédécesseurs immédiats. Hume et Georges Leroy d'abord, puis Cabanis, tous ensemble préparant la systématisation finale d'Auguste Comte ». Les Lettres sur les animaux ont_été écrites entre 1762 et 1781. G. Leroy naquit en 1723 et mourut en 1789 à Paris. Il succéda à son père comme lieutenant des chasses et administrateur des bois de Versailles et de Marly. Collaborateur de l'Encyclopédie, il lui donna les articles : chasse, instinct, fermier, forêt, fureter, garenne, etc., etc. Il prit la défense d'Helvetius contre les censeurs de son livre De l'Esprit et partageait avec Diderot et Hume l'amitié de la famille d'Holbach. Les Lettres sur les animaux ont paru entre 1762 et 1781 dans diverses revues: le Journal étranger, la Gazette littéraire, les Variétés littéraires, sous le pseudonyme du Physicien de Nuremberg. Elles furent réunies en volume en 1781. Une seconde édition parut en 1802. En 1876 Poulet-Malassis préfaçant chez Baur une autre réimpression d'un livre de G. Leroy, précisera: «la dernière et la meilleure éditiou des Lettres sur les animaux, de Georges Leroy est celle de 1862, donnée par le docteur Robinet, elle est épuisée et recherchée ».Né à Vic-sur-Seille (Meurthe) le 24 avril 1825, Robinet fut le disciple et le médecin d'Auguste Comte. Positiviste orthodoxe, religieux, positiviste d'Eglise, il acceptait tout entier le dogme de son maître, aussi bien en politique et religion qu'en sciences et qu'en philosophie de l'histoire. Il fut l'un des treize exécuteurs testamentaires désignés par A. Comte. Auteur de nombreux ouvrages sur le positivisme, sur l'armée et d'un traité sur l'hippophagie. Launay 248 - C.P.M. p. 42 - Cioranesco XVIIIe s. n° 39503.Exemplaire sans le f. de table, qui manque très souvent parce qu'il fut imprimé à part. Voir à ce sujet Launay 248. ‎

‎LE MALHEUREUX PETIT VOYAGE. Illustrations de Maurice Leroy ‎

‎Paris Editions du Charme 1942 in 8 (24,5x20) 1 volume reliure demi chagrin marron a bandes, dos a nerfs, tête dorée, couverture conservée, 187 pages [1], avec des illustrations de Maurice Leroy, étui bordé. Ouvrage illustré de 24 compositions en couleurs gravées sur cuivre par Maurice Leroy et de 59 titres, lettrines et culs-de-lampe gravés sur bois par Poilliot. Gabriel Soulages, 1876-1930, écrivain français. Tirage limité à 750 exemplaires numérotés, celui-ci un des 59 exemplaires numérotés sur vélin d'Arches avec un dessin original signé de Maurice Leroy, une suite des eaux-fortes en couleurs, une suite des eaux-fortes en noir et une suite des bois. Très bel exemplaire ‎

‎Très bon Reliure Signé par l'illustrateur Ed. numérotée ‎

‎LE CHARLATANISME DEMASQUE ou LA MEDECINE APPRECIEE A SA JUSTE VALEUR Par un ami de la vérité et de l' humanité Cinquième édition‎

‎ Paris Au bureau de la Gazette des malades Imp. de Carpentier-Méricourt 1824 1 vol. in-12 ( 18 x 10,5 cm ) ( poids = 400 g ) Fx. t. , frontispice , t., VIII , 444 pp. . En frontispice , portrait " dress. au physionotrace et gravé par Quenedey rue neuve-des-petits-champs n° 15 à Paris 1820 " . Contient : Table des matières , Introduction , XLI chapitres dont Récapitulation . Pleine basane glacée . Dos lisse , titre , fleurons et filets dorés . Plats encadrés d' une roulette dorée au rameau de laurier ; filets dorés sur les coupes . Tranches marbrées . Gardes papier marbré gris vert . Reliure solide . Des frottés aux mors et aux coupes , d' infimes manques de cuir aux mors . Des manques de dorure aux filets et aux roulettes . Intérieur très frais . ( Collat. complet )‎

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‎Exemplaire bien complet du portrait au physionotrace gravé par Edme Quenedey, célèbre graveur et peintre de portrait miniature qui avait travaillé un temps avec l' inventeur du physionotrace . Louis LEROY , né à Saint-Samson La Ferté en Bray ( Seine Inférieure ) en 1766 et mort en 1842 , était un chirurgien , gendre du chirurgien Jean Pelgas ( 1732 -1804 ) , d' où parfois le nom de LEROY-PELGAS . Il est peut-être de la famille de chirurgiens dentistes et médecins Leroy de La Faudignère dont certains avaient exercé à Rouen au XVIII s. . Cependant , il ne doit pas être confondu avec ses presque contemporains , le médecin Alphonse Louis Leroy ( 1742 - 1816 ) et le journaliste , peintre et graveur Louis Leroy . ‎

‎LE CHARLATANISME DEMASQUE ou LA MEDECINE APPRECIEE A SA JUSTE VALEUR Par un ami de la vérité et de l' humanité Quatrième édition‎

‎ Paris A l' Imprimerie du Journal général d' affiches De l' imprimerie de Nicolas-Vaucluse 1822 1 vol. in-12 ( 16,5 x 10 cm ) ( poids = 300 g ) VIII ( dont fx. t. , t. ) , 360 pp. . Contient : Introduction , Table des chapitres, XXXVIII chapitres , Conclusion . Pleine basane . Dos lisse , orné , doré , pièce de titre rouge . Gardes papier marbré . Etiquette au dernier contreplat " Davet relieur à Auch " . Reliure abîmée : importants manques de cuir au dos et au premier plat . Second plat sali : mouillure ? Qqs cahiers débordent légèrement de la gouttière . Papier jauni . Mouillures très claires sur les premiers ff. et des pp. 193 à 320 environ . Traces d' écriture aux crayons rouge et bleu sur les gardes blanches . ( Collat. complet )‎

‎Louis LEROY , né à Saint-Samson La Ferté en Bray ( Seine Inférieure ) en 1766 et mort en 1842 , était un chirurgien , gendre du chirurgien Jean Pelgas ( 1732 -1804 ) , d' où parfois le nom de LEROY-PELGAS . Il est peut-être de la famille de chirurgiens dentistes et médecins Leroy de La Faudignère dont certains avaient exercé à Rouen au XVIII s. . Cependant , il ne doit pas être confondu avec ses presque contemporains , le médecin Alphonse Louis Leroy ( 1742 - 1816 ) et le journaliste , peintre et graveur Louis Leroy . ‎

‎Histoire générale des sciences - Tome 3. La science contemporaine - Volume 1. Le XIXe siècle , (1. Mathématiques - 2. Mécanique et Astronomie - 3. Les sciences physiques - 4. Les sciences de la Terre - 5. Les sciences de la vie : Structures et fonctions- - Genèse des formes - Les sciences médicales - 6. La vie scientifique)‎

‎Presses Universitaires de France , Histoire Générale des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1981 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, sous jaquette imprimée éditeur, dans son étui original Petit et fort In-4 1 vol. - 771 pages‎

‎48 planches hors-texte en noir et blanc (complet) 2eme édition, 1981 "Contents, Chapitres : René Taton : Préface, viii, Texte, 763 pages - Charles Morazé : Le génie du XIXe siècle - 1. Mathématiques : R. Taton : Algèbre et géométries - Jean Itard : Analyse mathématique et théorie des nombres - Georges Darmois : Probabilités et statistiques - 2. Mécanique et Astronomie : Pierre Costabel : Apogée et incertitudes de la mécanique classique - J. Lévy : Exploration de l'univers stellaire - 3. Les sciences physiques : F. Abelès : Les progrès de l'optique instrumentale - M.-A. Tonnelat : L'évolution des théories de la lumière - P. Costabel et L. Auger : L'acoustique - E. Bauer : Electricité et magnétisme, 1790-1895 - L. Auger : L'étude expérimentale des phénomènes thermiques - G. Allard : Genèse et développement de la thermodynamique - Maurice Daumas et J. Jacques : L'essor de la chimie - 4. Les sciences de la terre : J. Orcel : Les sciences minéralogiques - Raymond Furon : La géologie - 5. Les sciences de la vie : 5.1. Structures et fonctions : M. Caullery et J.-F. Leroy : Théorie cellulaire, cytologie, histologie - Mlle A. Tétry : La zoologie - J.F. Leroy : La botanique - M. Caullery : Pasteur et la microbiologie - J.F. Leroy : La physiologie végétale - M. Caullery et Georges Canguilhem : Physiologie animale - 5.2. Genèse des formes : J. Piveteau : Anatomie des vertébrés - Paléontologie des vertébrés - A. Tétry : Les problèmes de la génération animale - J.F. Leroy : Sexualité et reproduction chez les végétaux - M. Caullery et A. Tétry : Les théories explicatives de l'évolution - M. Caullery et J.F. Leroy : Les origines de la génétique - R. Furon : La préhistoire - 5.3. Les sciences médicales par le Dr. P. Astruc - 6. La vie scientifique : R. Taton : Les conditions du progrès scientifique en Europe occidentale - A.P. Youschkevitch et V.P. Zoubov : La science et la vie en Russie (XVIIIe-XIXe siècles) - I.-Bernard Cohen : La vie scientifique aux Etats-Unis au XIXe siècle - B. Ben Yahia : La science dans les pays musulmans à partir de 1450- P. Huard et M. Durand : Les débuts de la science au Vietnam - J. Chesneaux : Les progrès de la science moderne en Extrême-Orient au XIXe siècle - Index - René Taton, né le 4 avril 1915 à L'Échelle (Ardennes) dans la ferme familiale, mort le 9 août 2004 à Ajaccio (Corse-du-Sud), est un historien des sciences, longtemps coéditeur, avec Suzanne Delorme, de la Revue d'histoire des sciences. Avec Pierre Costabel, il dirigea le Centre Alexandre-Koyré. Il permit à l'historien des sciences d'acquérir un statut professionnel reconnu. Son ""Histoire générale des sciences"" est une référence majeure en matière d'histoire des sciences. (source : Wikipedia)" infimes petits détachements du film transparent de la jaquette sur les extrémités du dos et le haut du plat supérieur, sans aucune gravité, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, quelques rousseurs sur la tranche centrale n'affectant pas l'intérieur, bien complet des 48 planches hors-texte et de l'étui original en carton, avec des contributions des meilleurs historiens des sciences, comme Pierre Costabel, I. Bernard Cohen (éditeur de Newton et référence incontournable) ou encore M.-A. Tonnelat sur la lumière (une des meilleurs spécialistes de la relativité), Jean Itard très apprécié pour son étude de référence sur l'histoire du calcul ou Georges Canguilhem - Tome 3, volume 1, seul de cette série éditée par René Taton sur l'histoire des sciences, ouvrage de référence et complet en lui-même‎

‎LES AMOURS DE PSYCHE ET DE CUPIDON - Illustré de 36 compositions originales de PIERRE LEROY ; [préface par Georges Albert-Roulhac] ; ‎

‎paris Le Cercle des Bibliophiles Européens 1966 in-12 plein-veau un volume, reliure plein-cuir unimat rouge in-douze "étroit" Editeur (full binding red leather in-12 Editor) (17,6 x 9,54 cm), dos décoré or (gilt), plat décoré or d'un encadrement "feuillage" or, tête dorée, marque-page en tissu (bookmark in tissue), Edition Numérotée, tirage limité à 432 Exemplaires, un des 144 sur vélin Lana comportant une suite des Hors-texte en couleurs sur O.C.F. Savoyeux, la décomposition de l'un d'eux, un Hors-texte Original Camaieu et la signature autographe manuscrite de PIERRE LEROY sur la page de justification, numérotés de 145 à 288 (N°280), orné de 36 illustrations in et hors-texte en camaieu et en couleur (12 Hors-texte en couleur) par PIERRE LEROY, 229 pages, 1966 à Paris Le Cercle des Bibliophiles Européens Editeur,‎

‎premier de la collection "Les petits maîtres galants" avec suite....préface par Georges Albert-Roulhac....TRES RARE.............en parfait etat (as new condition). parfait état ‎

‎LE CHARIOT D'OR‎

‎Paris Rombaldi 1942 -in-8 broché illustration de maurice Leroy, un volume, broché crème in-octavo Editeur, couverture rempliée imprimée en noir et rouge, Exemplaire Numéroté (N°440), orné de 5 illustrations Originales hors-texte en couleur par Maurice Leroy, 236 pages, 1942 Paris Rombaldi Editeur, ‎

‎Trés Bel Exemplaire......en trés Bon Etat (very good condition). en trés bon état ‎

‎Bluette. Daniel Dobbels : Cet envers qui ne s'attend qu'à quelques endroites... Hervé Sénant : La couleur descellée.‎

‎ Méridianes 2007 1 vol. en feuilles in-4, en feuilles sous couverture à rabats et jaquette de papier calque imprimé, 32 pp. dont 16 compositions sérigraphiées de Nathalie Leroy Fiévée. Un des 40 exemplaires de tête numéroté et signé par l'artiste et les auteurs, avec une composition originale. Jaquette de papier calque un peu poussiéreuse, sinon très bon état. Rare.‎