Eindhoven, Museum Kempenland, 1994 Gebrocheerd, originele uitgeversomslag met coverillustratie, 23x23 cm., 48 pp., geillustreerd in z/w. ISBN 9789072478313.
Voorwoord door Tony Bingham. Publikatie uitgegeven bij gelegenheid van de tentoonstelling ' Adolphe Sax en de saxofoon ', gehouden van 24 september tot en met 30 oktober 1994 in Museum Kempenland Eindhoven ter gelegenheid van de Tromp Muziek Biennale en het Tromp Muziek Concours 1994.
ed des remparts 1970 1970. Léo Gestelys: Quand le cœur s'est refermé/ Collection Jasmine Editions des Remparts 1970 . Léo Gestelys: Quand le cœur s'est refermé/ Collection Jasmine Editions des Remparts 1970
Bon état
, Paul Brand Hilversum 1933, Oorspronkelijk uitgevers omslag, 107 pp. ge llustreerd door Lambert Simon.
Ex-bibliotheek Minister Leo Lindemans met kaartje aan Tindemans toegevoegd.
Editions Tallandier 1958 1958. Léo Dartey: Ange ou démon?/ Editions Tallandier 1958 . Léo Dartey: Ange ou démon?/ Editions Tallandier 1958
Editions Tallandier 1975 1975. Léo Dartey: Le Chant sur la falaise/ Editions Tallandier 1975 . Léo Dartey: Le Chant sur la falaise/ Editions Tallandier 1975
Bon état
ed remparts 1961 1961. Léo Gestelys: Le Don merveilleux/ Collection Mirabelle N°116 Ed. Remparts 1961 Référence: LMA16O. Léo Gestelys: Le Don merveilleux/ Collection Mirabelle N°116 Ed. Remparts 1961
Très bon état
Editions Jules Tallandier 1936 1936. Léo Dartey: La croisière enchantée/ Editions Jules Tallandier Les Romans Bleus 1936 Référence: LMA16M. Léo Dartey: La croisière enchantée/ Editions Jules Tallandier Les Romans Bleus 1936
Etat correct
Editions Tallandier 1963 1963. Léo Dartey: Un soir à Torina. / Tallandier 1963 Référence: LMA16M. Léo Dartey: Un soir à Torina. / Tallandier 1963
Très bon état
Editions Tallandier 1955 1955. Léo Dartey: La chimère aux ailes d'or/ Tallandier 1955 Les Heures Bleues Référence: LMA16M. Léo Dartey: La chimère aux ailes d'or/ Tallandier 1955 Les Heures Bleues
Bon état
1956 1956. Léo Dartey - Sylvette et l'aventure / Collection Delphine 1956
Bon état
2000 2000. Leo Sievers: Juden in Deutschland die Geschichte einer 2000 jährigen Tragödie . Leo Sievers: Juden in Deutschland die Geschichte einer 2000 jährigen Tragödie
Bon état
, Paris, Librairie d' Education de la Jeunesse, s.d.**, Relie, demi - maroquin, rouge, demi - toile rouge, dos orne de cadres dore et de fil. fleurnonne dore et de piece de titre dore, dos a nerfs (5) plats, plats de papier marbre, frontispice n/b, 16,5x24,5cm, 413pp, illustre n/b.
Les classiques de la jeunesse.
, Brussel, Wellens & Godenne, [ 1943]., Gebonden, frontispice z/w, 15,5x22cm, 152pp.
, Antwerpen, Mercatorfonds, 1988., Gebonden, met foudraal, halflinnen, vergulde bandstempel op de voorplat, rug versierd met vergulde titel, originele geillustreerde omslagwikkel in kleur, 25,5x33cm, 423pp, rijkelijk geillustreerd z/w en in kleur, bibliografie. ISBN 9789061531937.
Een cultuurgeschiedenis van eten en drinken. Cultuurhistorische achtergrond van onze voedinsgewoonten. het biezonder rijke en gevarieerde illustratiemateriaal wordt bekommentarieerd en toegelicht. Bewijst dat eten en drinken ook en maatschappelijk gebeuren is waarvan de betekenis slechts duidelijk wordt tegen de brede achtergrond van de cultuurgeschiedenis.
Deventer, HAEF Publishers, 2008 Gebonden in Iris-linnen en Khepera-papier, harde omslag, 17x24,5 cm. gedrukt op 115 grams Go Mat, ca. 324 pp., 20 z/w foto's, 16 kleurenfoto's. ISBN 9789073566019.
Met legenda, bibliografie van Geert van Daal en personenregister. De catalogus wordt ingeleid door een aantal artikelen van Geert van Daal als verzamelaar, van Jan Storm van Leeuwen als boekbandkenner, van Henk ten Bohmer als, ten tijde van het schrijven van het boek, voorzitter van Stichting Boekbehoud, en van Leo Kerssemakers als bezorger van het werk. Vijftien hoofdstukken worden ingeleid door begeleidende artikelen van Kerssemakers waarin wordt verwezen naar belangrijke en opvallende banden. Waar van toepassing zijn anekdotes opgenomen van Van Daal over de aanschaf van diverse banden, hierdoor krijgt de lezer een goed beeld over hoe het daarbij soms kan verkeren. Wie met de namen van auteurs in het hoofd tenslotte snel naar een bepaald werk wil zoeken kan dit doen aan de hand van een uitgebreid personenregister achterin het boek. De titel van het boek geeft aan dat het boekbinden centraal staat. Toch is deze beschrijvende catalogus voor iedereen die belangstelling heeft voor de vele aspecten van het boekenwezen van grote waarde, of het nu een boekbinder is, een drukker, een (sier)papiermaker, een grafisch vormgever, of een antiquaar. Een grote bron van vakkennis ligt in de beschreven werken opgeslagen en kan aan de hand van deze catalogus makkelijk worden ontsloten. Gepubliceerd door Stichting Handboekbinden,
Leuven, Uitgeverij P., 1998 Gebonden, geel linnen, originele uitgeversomslag in kleur, 21.6x30.5 cm., 60 pp., illustraties in z/w. ISBN 9073214610.
Voorwoord van Ludo Permentier. Vormgeving Leo Fabri en Andre Scherens.
Maldeghem, Delille, 1909 Originele uitgeversomslag, 21.5x17.5 cm., XI pp. + 73 pp., gesneden en ongesneden.
Duimpjesuitgave nummer 77.
94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
Editions de L’OU.LI.PO.PO / Revue Enigmatika " Spécial Léo Malet " n° 18 de 1982. In-4 agrafé de 110 pages au format 21 x 29,5 cm. Couverture illustrée d'après un photo-montage de Léo Malet. Dos carré. Infimes frottis et tassements aux coins. Plats et intérieur frais. Sommaire : Préface de Jacques L'Eventreur - Jacques Baudou : 13 questions à Léo Malet - Paul Parisot : Qui double Qui ? - Jacques Bens : Ai-je croisé Nestor Burma ? - Noé Gaillard : Nestor Burma et Cie, Réflexions sur le vif à propos de " Bonne et heureuse ", Note liminaire à une étude plus approfondie des femmes dans l’œuvre de Léo Malet - Pierre-Henri Liardon : Un dialogue d'écorché - René Magritte : Lettres à Léo Malet - Yves Delaporte : Titres - Jacques Baudou : Bibliographie à propos de Léo Malet - Dossier critique : Léo Malet vu par......Michel Lebrun : A la recherche du temps perdu - Divers : Léo Malet et le cinéma - Léo Malet et le poisson chinois - Léo Malet : Léo Malet et l'intégriste. Contient des inédits de Léo Malet : Ca va chauffer à Santa-Regina - Résurrection de Detektion-Bill - Privilège - Nouveau triomphe - Une mort étrange - Le tiroir - La femme sans enfant - Cherchez la femme - Critiques de romans policiers. Photos et documents en hors texte. Etat superbe. Edition originale. Exemplaire qui contient la papillon tiré sur papier rose avec les condoléances de Jacques Baudou, à Léo Malet, suite au décès de Paulette Malet.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
STIL (André) - Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède.
Reference : 43477
Le Quesnoy(Nord): Chez André Stil, sans date (1943). 3 doubles feuillets 16x24cm, chacun tiré à 300 exemplaires. Le premier cahier imprimé sur vélin fort Johannot, s’ouvre sur le manifeste «Décentralistation surréaliste» où André Stil en appelle à tous les poètes qui veulent participer à l’effort surréaliste pendant la guerre. Suivent les textes de Noël Arnaud, Maurice Blanchard, Jean-François Chabrun, Laurence Iche, Léo Malet, Viola Manuel, Marc Patin, Philippe Renaud, Robert Rius, Boris Rybak, Gérard de Sède et André Stil. Une des dernières publications collectives du groupe La main à plume. Bon état.
Gallimard, Tel, 1980, 531 p., broché, très légères traces d'usage, bon état.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Paris : Le Bossu bitor, 1991 - fac-similé de l'édition originale parue à Paris chez Léon Vanier en 1885 - : un volume in-8 (253 x 166 mm) broché de 200 pages illustrées de 21 portraits en reproductions photographiques contrecollées d’après Emile Cohl - Tirage limité à 200 exemplaires par Edmond Thomas à Bassac - couverture très légèrement frottée sinon bel exemplaire -
Sont successivement portraiturés, en prose et sur papier albuminé : Fernand Iches, Maurice Rollinat, Émile Cohl, Georges Lorin, Edmond Haraucourt, Robert Caze, Francis Enne, Émile Peyrefort, Édouard Norès, le Dr E. Monin, Grenet-Dancourt, Georges Rall, Léo Trézenik, Émile Goudeau, Jean Rameau, Carolus Brio, Henri Beauclair, Jean Moréas, Paul Verlaine et Léon Cladel. Intéressantes et caustiques notices de Trézenik et Rall dressant un tableau de la bohème littéraire parisienne de la Troisième république. Les portraits de Laurent Tailhade et de Léon Cladel, qui refusèrent d’être photographiés, furent remplacés par deux « compositions photographiques symbolistes ».
, Amsterdam, Uniepers, 1995., Gebonden, uitgeverslinnen versierd met vergulde titel op de rug, 24,5x17cm, 576pp(64).
Een onmisbaar naslagwerk voor zowel de theatherbezoekende muziekliefhebber als voor de luisteraar thuis. Als nieuw !
, Hoge Bescherming van het Fonds voor Wetenschappelijk Onderzoek - Vlaanderen, 2006 Geniet, originele papieren uitgevesomslag, 18x26 cm, pagina 457 t/m 530.
Overdruk - extrait - offprint. Bijdrage tot de Geschiedenis van de Gentse Nering van de Tin en Loodgieters