1917 reliure demi chagrin in-octavo écu à coins, dos 5 nerfs - titre frappé or et fleurons-, frontispice, gravures et clichés h-txt., 385 p., 1917 Paris Perrin et Cie Libraires-Editeurs,
deuxième série - bon état
1927 demi reliure in-octavo écu, dos décoré or - 4 faux-nerfs - fers spéciaux - tomaison et titre frappé or -, tête dorée, 2 volumes, volume I : illustrations : frontispice et h-txt., ex-dono sur page de garde, 363 pages, volume II : idem, 385 pages, 1927 Paris Perrin et Cie Libraires-Editeurs,
- paris révolutionnaire - première série - bon état -
1941 broché in-octavo, non rogné, illustrations : frontispice et gravures hors-texte, 419 pages, 1941 Paris Librairie Académique Perrin,
- ouvrage rédigé d'après des documents inédits - bon état -
1950 broché in-octavo, dos blanc très légèrement défraichi, couverture recto illustrée en couleurs, non-rogné, illustrations : frontispice-portrait de Louis XVII au Temple + gravures hors-texte, 300 pages, 1950 Paris Bernard Grasset Editeur,
Collection "La Petite Histoire", numéro 13, édition originale, bon état
1955 broché in-octavo sous jaquette illustrée en couleurs sur le recto, dos blanc, long papier, illustrations : frontispice + gravures hors-texte, très rares et légères piqûres, 263 pages, 1955 Paris Librairie Académique Perrin et Compagnie Libraires-Editeurs,
Collection "les Pèlerinages de Paris Révolutionnaire", bon état
1907 reliure demi-basane havane (half binding sheepskin) in-octavo carrré, dos long (spine without raised band) - pièce de titre sur fond havane foncé avec filet or (label of title with gilt line) et un fleuron sur une imitation de pièce de titre sur fond havane foncé avec filet or (a floweret on the imitation of the label of title with gilt line) - filets or (gilt lines), papier marbré aux plats (cover with marbled paper), tranches lisses (smooth edges), marque-page en tissu vert (bookmark in tissue), illustrations hors-texte dont le frontispice (full page engraving of wich the frontipiece), 343 pages, 1907 à Paris Librairie Académique Perrin et Compagnie Libraires-Editeurs,
Collection "Mémoires et Souvenirs sur la Révolution et l'Empire" publiés avec des documents inédits (published with new documents) - bon état (very good condition)
Paris Perrin 1927 -in-8 demi-chagrin un volume, reliure demi-chagrin havane in-octavo Editeur (binding half shagreen in-8 Editor)(20,2 x 13,5 cm), dos 4 nerfs (spine with raised bands), Auteur et Titre frappés "or" (gilt title) avec un filet "or" de part et d'autre, entre nerfs à fer central "or" faisceau de Licteur (emblème révolutionnaire) avec un fleuron à froid de part et d'autre reliés ensemble par 2 filets "or" verticaux, le tout dans un encadrement d'un filet "or" avec fleur de lys "or" aux angles, roulette vaguelette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre et en tête et en pied, papier peigné aux plats (cover with painting paper), tête lisse dorée (gilt top edge), gouttière et tranche de queue non-rognées, marque-page en tissu vert (bookmark in tissue), dos et couverture d'origine imprimés en noir et rouge conservés, orné d'un frontispice et de 5 hors-texte en noir sur papier glacé (dont une planche double + 5 plans hors-texte en noir de la petite tour du Temple + une Elevation des Tours du temple hors-texte en noir, IV + 455 pages, 1927 à Paris Perrin Editeur,
dans sa superbe reliure Editeur ........ RARE ....... en trés bon état (very good condition). en trés bon état
1949 Librairie Académique Perrin, 1949, 348 p., broché, bon état.
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Perrin et cie, Libraires-Editeurs, 1906, 399 p., demi-chagrin, dos très insolé, bords des plats un peu frottés par endroits, intérieur propre.
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Paris, Grasset (1936); in-12 broché. 302 pages. Couverture illustrée,
bon état,
Perrin, 1930-1938, 6 vol. in-8°, 362, 384, 399, 367, 348 et 270 pp, 6 frontispices et 50 gravures hors texte, 12 gravures et portraits dans le texte et à pleine page, brochés, état correct
Complet en 6 volumes. — Merveilleux conteur, historien fécond et original, Théodore Gosselin dit G. Lenotre (1855-1935) est aujourd'hui encore considéré comme un maître par de nombreux historiens. Son talent, son érudition, et son humour ont donné à plusieurs générations de lecteurs le goût de l’histoire. Formidables succès de librairie, les six volumes de “Vieilles Maisons, Vieux Papiers” n'ont pas pris une ride ; En véritable détective de l'histoire, G. Lenotre y fait revivre le Paris révolutionnaire, retrouve les adresses des personnages historiques, visite les lieux, en restitue l'âme en même temps qu'il trousse un récit très documenté. De la maison de Cagliostro à la brouette de Couthon, le maître de la "petite histoire" nous entraîne dans le tourbillon révolutionnaire à sa manière, celle d’un enquêteur qui arpente autant les vieilles maisons qu’il ne dépouille les vieux papiers.
Perrin, 1908, in-8°, xviii-418 pp, 2 portraits et une gravure hors texte, reliure demi-basane prune, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièce de titre basane verte (rel. de l'époque), dos frotté uniformément passé, coupes frottées, 2 pages tachées, bon état (Ouvrage couronné par l'Académie Française)
"A l'histoire de la contre-révolution, M. Lenôtre vient d'apporter une nouvelle contribution : l'Histoire de la conjuration bretonne, écrite d'après des documents inédits. Dès 1790 le marquis de la Rouërie essaya de lutter contre la Révolution dans cette ancienne province de Bretagne, féodale et catholique, soulevée par ses prêtres et ses seigneurs. Bientôt il eut un grand nombre d'associés : curés, seigneurs, gens du peuple. Il était soutenu par les émigrés de Coblentz et possédait les pouvoirs du comte d'Artois. Recevant de l'argent de Coblentz, imposant certaines contributions aux conjurés, il levait des recrues, achetait des armes, préparait une insurrection générale en vue de rétablir en Bretagne, non pas la monarchie absolue et despotique, mais une royauté limitée par les antiques libertés et privilèges de la province. Ce mouvement n'était pas seulement royaliste et catholique, il était encore séparatiste, fédéraliste. L'insurrection devait se combiner avec l'entrée des émigrés en France. Que les 4.500 émigrés qui suivaient Brunswick et Clerfayt arrivassent à Châlons, et toute la Bretagne se levait en armes. Aussi, dès la fin de juillet 1792, la Rouërie déploie-t-il une activité inouïe, il va de château en château exciter les courages. Cependant les grands événements se déroulent en Champagne. Dumouriez, dit M. Lenôtre, veut empêcher les émigrés d'arriver à Châlons ; Danton a été averti par l'espion Chevetel ; la prise de Châlons sera le signal de l'insurrection bretonne. Voilà ce qui explique l'immobilité de Dumouriez, suivant l'auteur. Mais la nation triomphe à Valmy ; la levée en masse de la Bretagne est remise à des temps meilleurs. Cependant la Rouërie meurt de maladie chez un de ses amis où il vit caché, M. de la Guyomarais, et ce sont les événements postérieurs, la découverte et le déterrement si dramatique du cadavre du marquis enfoui dans le jardin, le procès des La Guyomarais et des affiliés à la conjuration, la mâle vertu des hommes de l'Ouest, la trahison et la cupidité insatiable des Lalligand et des Chévetel, des membres du Comité de sûreté générale, que M. Lenôtre nous décrit dans le menu détail. (...) Je pense que M. Lenôtre a attribué à la conjuration de Bretagne une trop grande influence sur la campagne de l'Argonne, mais c'est un livre agréable qui se lit depuis la première page jusqu'à la dernière avec un intérêt croissant." (Ph. Sagnac, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1899)
Perrin, 1947, in-8°, 306 pp, 6 pl. de gravures hors texte, broché, état correct (Mémoires et souvenirs sur la Révolution et l'Empire publiés avec des documents inédits)
Translation de Philippe-Egalité : Journal du duc de Chartres (1790-1791) – Récit du duc de Montpensier : Ma captivité de quarante trois mois) – Translation de Philippe-Egalité : récit de Louis-François Gamache – La déportation, d'après les documents originaux conservés aux Archives nationales. — "Renseignements utiles et habilement présentés." (Revue Historique, 1908) — Historien et auteur dramatique, élu à l’Académie Française en 1932, Théodore Gosselin avait adopté le pseudonyme Lenôtre, qui était le nom de l'architecte-jardinier de Louis XIV, son arrière-grand-père. Il publia de nombreux ouvrages historiques, pour l’essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d’époques (journaux, rapports de police, registres d’état-civil). Rendant hommage à son travail d'historien, Émile Gabory a écrit : “Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé”.
Perrin, 1932, in-8°, (8)-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, reliure demi-basane fauve éditeur, dos à faux-nerfs orné de fleurs de lys et d'un symbole révolutionnaire, tête dorée, couv. conservées, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Perrin, 1930, in-8°, ii-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, broché, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1948 - In-8 - Broché - Frontispice - illustrations en texte - 384 pagesAutre édition Reliure pleine toile 1909 - 25
G. LENOTRE (1855-1935) fit ses études à Metz, chez les Jésuites où il eut pour condisciple le futur maréchal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installé à Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministère des Finances, comme employé au bureau des statistiques, mais il devait bientôt se consacrer à sa véritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, à la Revue des deux mondes, au Monde illustré et au Temps où il livrait ses chroniques de « petite histoire », il publia également de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d'époques (journaux, rapports de police, registres d'état-civil...) On peut citer entre autres : Paris Révolutionnaire, La Guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la Révolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivité et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galité pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au théâtre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage à cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a écrit : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Après un échec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait à surnommer le « Sardou de l'Histoire » fut élu à l'Académie française le 1er décembre 1932, au fauteuil de René Bazin, par 20 voix. Âgé de 77 ans à l'époque de son élection, G. Lenotre s'éteignit avant de pouvoir siéger et ne prononça jamais le discours qu'il avait écrit en hommage à René Bazin. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1907 - In-8 - Débroché - Frontispice - illustrations en texte - 384 pages
G. LENOTRE (1855-1935) fit ses études à Metz, chez les Jésuites où il eut pour condisciple le futur maréchal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installé à Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministère des Finances, comme employé au bureau des statistiques, mais il devait bientôt se consacrer à sa véritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, à la Revue des deux mondes, au Monde illustré et au Temps où il livrait ses chroniques de « petite histoire », il publia également de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d'époques (journaux, rapports de police, registres d'état-civil...) On peut citer entre autres : Paris Révolutionnaire, La Guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la Révolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivité et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galité pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au théâtre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage à cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a écrit : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Après un échec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait à surnommer le « Sardou de l'Histoire » fut élu à l'Académie française le 1er décembre 1932, au fauteuil de René Bazin, par 20 voix. Âgé de 77 ans à l'époque de son élection, G. Lenotre s'éteignit avant de pouvoir siéger et ne prononça jamais le discours qu'il avait écrit en hommage à René Bazin. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1910 - In-8 - Broché - Frontispice - illustrations en texte - 365 pages
G. LENOTRE (1855-1935) fit ses études à Metz, chez les Jésuites où il eut pour condisciple le futur maréchal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installé à Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministère des Finances, comme employé au bureau des statistiques, mais il devait bientôt se consacrer à sa véritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, à la Revue des deux mondes, au Monde illustré et au Temps où il livrait ses chroniques de « petite histoire », il publia également de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d'époques (journaux, rapports de police, registres d'état-civil...) On peut citer entre autres : Paris Révolutionnaire, La Guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la Révolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivité et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galité pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au théâtre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage à cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a écrit : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Après un échec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait à surnommer le « Sardou de l'Histoire » fut élu à l'Académie française le 1er décembre 1932, au fauteuil de René Bazin, par 20 voix. Âgé de 77 ans à l'époque de son élection, G. Lenotre s'éteignit avant de pouvoir siéger et ne prononça jamais le discours qu'il avait écrit en hommage à René Bazin. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1925 - In-8 - broché - Illustrations NB PP HT - 318 pages - Propre
G. LENOTRE (1855-1935) fit ses études à Metz, chez les Jésuites où il eut pour condisciple le futur maréchal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installé à Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministère des Finances, comme employé au bureau des statistiques, mais il devait bientôt se consacrer à sa véritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, à la Revue des deux mondes, au Monde illustré et au Temps où il livrait ses chroniques de « petite histoire », il publia également de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d'époques (journaux, rapports de police, registres d'état-civil...) On peut citer entre autres : Paris Révolutionnaire, La Guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la Révolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivité et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galité pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au théâtre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage à cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a écrit : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Après un échec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait à surnommer le « Sardou de l'Histoire » fut élu à l'Académie française le 1er décembre 1932, au fauteuil de René Bazin, par 20 voix. Âgé de 77 ans à l'époque de son élection, G. Lenotre s'éteignit avant de pouvoir siéger et ne prononça jamais le discours qu'il avait écrit en hommage à René Bazin. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
PARIS, Librairie Académique Perrin - 1914 - In-8 - Broché - Frontispice & Illustrations PP HT - 315pages - Propre
G. LENOTRE (1855-1935) fit ses études à Metz, chez les Jésuites où il eut pour condisciple le futur maréchal Foch. Quand l'Allemagne annexa la Lorraine, sa famille choisit la France. Installé à Paris, G. Lenotre entra d'abord au ministère des Finances, comme employé au bureau des statistiques, mais il devait bientôt se consacrer à sa véritable passion, l'Histoire. Collaborateur au Figaro, à la Revue des deux mondes, au Monde illustré et au Temps où il livrait ses chroniques de « petite histoire », il publia également de nombreux ouvrages, pour l'essentiel consacrés à la Révolution et bâtis à partir de documents d'époques (journaux, rapports de police, registres d'état-civil...) On peut citer entre autres : Paris Révolutionnaire, La Guillotine et les exécuteurs des arrêts criminels pendant la Révolution, Un conspirateur royaliste pendant la Terreur : le baron de Bats, Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, La Captivité et la mort de Marie-Antoinette, La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Le Drame de Varennes, Les Massacres de Septembre, Les Fils de Philippe-.galité pendant la terreur, Bleus, Blancs et Rouges, Le Roi Louis XVII et l'énigme du Temple, La Proscription des Girondins. Il s'essaya aussi au théâtre avec Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. Rendant hommage à cet historien de la Terreur, .mile Gaborit a écrit : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Après un échec au fauteuil Sardou en 1909, celui qu'on se plaisait à surnommer le « Sardou de l'Histoire » fut élu à l'Académie française le 1er décembre 1932, au fauteuil de René Bazin, par 20 voix. Âgé de 77 ans à l'époque de son élection, G. Lenotre s'éteignit avant de pouvoir siéger et ne prononça jamais le discours qu'il avait écrit en hommage à René Bazin. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Perrin, 1926, in-8°, 333 pp, 9 gravures et un plan hors texte, reliure demi-basane verte à coins, dos lisse orné de symboles révolutionnaires, titres dorés, couv. conservées, tête dorée (rel. de l'époque), dos uniformémént passé, bon état
"Malgré tout ce qu'on a écrit sur Robespierre, on peut encore trouver de l'inédit et du neuf sur sa vie et sur le régime de la Terreur, comme on le voit par l'ouvrage de Lenotre. Après avoir parlé de la famillie de Robespierre, de ses années d'études et de ses commencements au barreau d'Arras, l'auteur montre le tribun entouré de nombreux adhérents et à l'apogée de sa puissance. C'est alors qu'en fidèle disciple de J.-J. Rousseau, il fit décréter la fête de l'Etre Suprême et la fit célébrer au milieu des cérémonies les plus extraordinaires : mais quelques semaines plus tard, c'est le 9 thermidor et la chute du tyran. La première origine de cette chute remonte au mécontentement que l'annonce de la fête de l'Etre Suprême suscita parmi les nombreux Voltairiens de la Convention. Un gascon, Vadier, avait fait saisir une vieille presque octogénaire, Catherine Théot, qui se disait « la Mère de Dieu », et l'avait fait jeter en prison avec plusieurs adeptes, entre autres l'ex-chartreux Dom Gerle. Comme Robespierre ne voulut pas souscrire à la condamnation de ces illuminés, Vadier qui avait déjà cherché des connexions entre la mère Théot (il l'appelait « Théos ») et le chef de la Terreur, crut trouver là une nouvelle connivence, et il en profita pour ridiculiser Robespierre. Quand ce dernier tomba, Catherine Théot était encore en prison, où elle mourut le 31 août 1794. M. Lenotre ne s'arrête pas à parler de ce qui est déjà suffisamment connu ; la nouveauté de son livre consiste précisément en ce qu'il dit de la famille et de la jeunesse de Robespierre, de la manière dont il organisa la fête de l'Etre Suprême, de sa « séquelle » , c'est- à-dire de ses protégés (par ex., le menuisier Duplay, l'imprimeur Nicollas, etc), et enfin des événements du 9 et 10 thermidor. Si l'histoire de la « Mère de Dieu » ne forme pas la partie principale du livre, comme le titre pourrait le faire supposer, elle en forme au moins un des épisodes les plus neufs et les plus attachants." (G. Allemang, Revue d'histoire de l'Eglise de France, 1927)
Perrin, 1908, in-8°, xxi-430 pp, un portrait en frontispice, 15 plans et gravures hors texte, reliure demi-chagrin chocolat, dos lisse orné en long, titres dorés, tête dorée, couv. conservées (rel. de l'époque), bon état
Napoléon déclara : "La mort de la Reine fut un crime pire que le régicide". Peu après l'exécution de Louis XVI, Robespierre évoqua le sort de la reine devant la Convention. Conduite à la conciergerie, elle fut longuement interrogée avant de comparaître, le 3 octobre 1793, devant le Tribunal révolutionnaire présidé par le sinistre Fouquier-Tinville. L'accusateur public s'y conduisit avec une perfidie à la hauteur de son fanatisme, n'hésitant pas, avec son complice Hébert, à accuser la reine d'actes pédophiles. Egalement accusée d'entente avec les puissances étrangères, elle fut condamnée à mort le 16 octobre 1793, vers 4 heures du matin, et exécutée le même jour à midi. Menée au lieu de son supplice mains entravées sur une charrette, elle subit avec dignité les sarcasmes et les insultes lancés par la foule massée sur son passage. C'est avec courage qu'elle monta à l'échafaud. Ce sont ces terribles journées de désespoir que cet ouvrage relate avec minutie. — "L'ouvrage s'ouvre par un court avant-propos, où l'auteur indique le plan qu'il a suivi, l'utilité qu'il y avait à réunir des documents dont plusieurs sont devenus introuvables, et qui émanent de témoins oculaires ; il en fait ressortir l'intérêt et l'importance. Le premier témoignage est relatif au séjour de la famille royale aux Feuillants, après la funeste journée du 10 août 1792. Il émane d'un nommé Dufour, et a paru en 1814. L'auteur a pu observer de près ce qui se passa pendant ces quatre journées. – La famille royale est dans la prison du Temple : M. Lenôtre décrit avec précision la topographie de l'enclos du Temple et en donne le plan. Vient ensuite la Relation de Daujon, l'un des commissaires de la Commune. C'est un document fort curieux, dont nous avons pour la première fois le texte intégral. Il y a là des détails ignobles. M. Lenôtre ajoute à cette relation un passage des Mémoires de Weber et un extrait des minutes des procès-verbaux de la section des Quinze-Vingts. Nous avons ensuite des extraits des relations de Turgy, de Goret, de Lepitre, de Moëlle... – Puis M. Lenôtre nous introduit à la Conciergerie, dont il donne le plan, et publie la relation de Rosalie Lamorlière, servante dans cette prison ; un passage des Souvenirs de Mgr de Salamon, internonce du pape ; l'enquête de Mme Simon-Vouet, faite, en 1836, sur la personne et sur le rôle de Rosalie Lamorlière; la relation de la femme Bault, veuve du concierge de la Conciergerie. Il expose ensuite ce qui est relatif à la communion de la Reine à la Conciergerie. Il reproduit le récit du comte de Robiano, d'après les souvenirs de Mlle Fouché et la déclaration de l'abbé Magnin, curé de Saint-Germain l'Auxerrois. L'ouvrage se termine par quelques documents sur le procès et sur l'exécution de la Reine ; par la reproduction du texte de son testament, avec une notice sur les vicissitudes par lesquelles passa ce précieux document avant d'être remis à Madame la duchesse d'Angouléme et déposé aux archives du royaume ; enfin par les pièces relatives à l'exhumation des restes des royales victimes. L'ouvrage se recommande non seulement par ce précieux ensemble de documents, mais par une illustration fort soignée." (Revue des Questions historiques, 1897)
Grasset, 1954, in-12, 268 pp, 6 gravures hors texte, reliure toile verte, dos lisse, pièce de titre basane havane, couv. illustrées et dos conservés, bon état (Coll. La petite Histoire, 14)
"La collection « La petite Histoire » destinée à rassembler les quelques deux mille articles que le regretté Lenotre a publié durant sa vie, s'enrichit d'un quatorzième volume : "Secrets du Vieux Paris" . Il évoque le vieux Louvre, le jardin des Tuileries, l'Hôtel de Rambouillet, les cimetières de Picpus et de Clamart, les places de Grève et de l'Institut, la rue de Buci et quelques-uns de ceux qui, jadis, ont vécu entre leurs murs. Lenotre a le don de voir et de faire voir. C'est qu'historien, il fut aussi l'ami de Victorien Sardou et lui-même auteur dramatique. Sa plume fait surgir d'un tas de vieux papiers un pittoresque vagabond ou une princesse royale qu'il fait évoluer devant nous avec leur visage, leur corps, leurs gestes, voire leurs tics. Habile dramaturge, cet historien possède aussi un cœur accessible aux épreuves et aux joies de ses personnages. C'est cette sensibilité qui rend les évocations de Lenotre incomparables, c'est elle qui donne aux mille petits ou grands bonshommes qu'il a recréés, l'étincelle de la vie." (Revue des Deux Mondes, 1954) — "Lorsqu'on démolit un ancien quartier de Paris, ce n'est pas sans une sorte de regret que je vois tomber les vieux murs. Eh quoi ! Ces maisons disparaissent avant qu'on ait écrit leur histoire ? Ces témoins de tant d'événements meurent sans qu'on ait pris la peine de recueillir leur déposition? Qui sait ce qu'ils auraient raconté ?" (extrait)
LENOTRE, Georges, Louis, Léon-Théodore Gosselin, dit Georges LENÔTRE
Reference : 5053
(1921)
1921 Paris Librairie Académique Perrin et Cie 1950 - In-8 broché - Faux-titre, titre, 2 feuillets non chiffrés (dédicace et avant-propos) - Frontispice & Illustrations NB PP HT, soit 12 HT - 451 pages et 2 feuillets non chiffrés (tables des gravures et des chapitres) -.Bel Exemplaire - Envoi rapide et soigné - Réf. 5053
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Hachette, 1948, in-8°, 296 pp, broché, un portrait en médaillon au 1er plat, couv. salie, bon état
"C'est une épopée dont M. Lenôtre s'est fait l'historien dans son nouveau livre : Monsieur de Charette, le roi de Vendée. Il y suit, et l'on suit avec lui, d'un intérêt passionné, son héros, de Machecoul à « la cour de Légé », à travers la terre vendéenne, par les marais, les bois et les landes. Epopée qui ne ressemble à aucune autre et qui est faite de 100 combats : Torfou, Montaigu, Saint-Fulgent, la prise de Noirmoutier, l'attaque de Nantes, Sainte-Honorine, etc., guerre d'embuscades, chasse à l'homme, où, après avoir été le chasseur, Charrette fut le gibier. M. Lenôtre raconte impartialement les faits il ne veut être et n'est l'apologiste de personne ; il prend ses témoins aussi bien dans les rangs des républicains que dans les rangs des royalistes ; il rend justice à qui le mérite. II constate simplement ce qu'il voit, ce qu'il entend ; le mouvement de la Vendée a été un mouvement spontané, un mouvement populaire..." (Charles Baussan, La Croix)