Write to the booksellers5 books for « lemaire jacques job »Edit
Les marins de la garde.
Paris, Librairie Delagrave, 15, rue Souflot , 1926; in-4, 300 pp., cartonnage de l'éditeur. Illustrations de Job--cartonn. polychrome rouge légèrement passé (dos), encoche de coiffe un peu abimé sur le bas sinon bon état général.
Illustrations de Job--cartonn. polychrome rouge légèrement passé (dos), encoche de coiffe un peu abimé sur le bas sinon bon état général.
Le tambour major Flambardin
Librairie Delagrave, 1932. Grand in/4 reliure éditeur en percaline myosotis, plat illustré, doré sur tête, illustrations en noir de Job, 129 pages.
Coiffes légèrement amorties, manque la garde volante, sinon, très bon état.
Les marins de la garde.
Librairie Delagrave, 15 rue Soufflot , Alfred Mame et fils, 1926; in-4, 300 pp., cartonnage de l'éditeur. Cartonn. polychrome rouge passé,dos et plat , légé débrochage.
Cartonn. polychrome rouge passé,dos et plat , légé débrochage.
Les marins de la garde.
Paris, Librairie Delagrave, 1926; grand in-8, 300 pp., cartonnage de l'éditeur. 2e éditions DESSINS DE JOB - bon état-cartonnage de l'éditeur toile rouge illustré.
2e éditions DESSINS DE JOB - bon état-cartonnage de l'éditeur toile rouge illustré.
Le Tambour-Major Flambardin
Seconde édition, contenant des illustrations en noir par Job et revêtue d'un cartonnage en pleine percaline rouge orné d'une jolie illustration dorée. Edité à Paris, chez la Librairie Ch. Delagrave, en 1932. Exemplaire assez bien conservé: quelques frottements d'usage sur les coiffes et sur le dos. Charnière solide. Intérieur frais avec d'infimes rousseurs. format in4, 29x24 Jacques Onfroy de Bréville, dit Job, est un dessinateur, caricaturiste et illustrateur français, né à Bar-le-Duc le 25 novembre 1858 et mort le 15 septembre 1931 à Neuilly-sur-Seine. Son nom d'artiste, « Job », est composé à partir de l'initiale de son prénom usuel Jacques et de celles de son nom de famille, Onfroy de Bréville. Son père s'étant opposé à ce qu'il entre à l'École des beaux-arts à sa sortie du collège Stanislas, il s'engage dans l'armée, mais revient à Paris en 1882. De cet intermède, il conserve un goût immodéré pour la chose militaire, le patriotisme, voire le chauvinisme. Il intègre enfin l'École des beaux-arts et expose au Salon des artistes français en 1886. Il y reçoit un accueil mitigé. Il commence alors une carrière de dessinateur et contribue à La Caricature et à La Nouvelle Lune à coup de portraits charges.
