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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8247

(1854)

‎ [MONTROUGE] Commune de Montrouge. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.‎

‎ 1854-1870. 614 x 891 mm.‎

‎Très grand et beau plan de la commune de Montrouge en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Montrouge, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce très grand plan figure Montrouge et les communes limitrophes de Vanves, Malakoff, Gentilly, Arcueil, Bagneux et Châtillon, ainsi qu'une partie du quartier de Montsouris dans le 14ème arrondissement de Paris. Au sud de Montrouge, on peut voir le fort du même nom, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des services du ministère de la Défense, notamment un groupement de gendarmerie. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune de Montrouge : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetière, église etc) et des établissements publics (Collège Saint-Joseph et Asile des Vieillards) ; route nationale de Paris à Toulouse ; routes départementales ; chemin vicinal de grande communication, chemin vicinal ordinaire et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Toulouse à Paris ; en jaune, la route départementale de Châtillon à Paris ; en vert, la route de Bagneux, chemin vicinal de grande communication ; en violet, le chemin vicinal ordinaire de Montrouge à Châtillon ; en bistre pâle, le chemin rural de Fontenay à Paris et Montrouge ; et en orange, les voies urbaines. Dans le 14ème arrondissement de Paris, on peut voir les réservoirs de la Vanne Montsouris, le quartier de cavalerie et école de dressage, ou encore la Clinique des Aliénés, actuel hôpital Sainte-Anne. La commune de Malakoff est nommée Village de Malakoff ou de la Nouvelle Californie. C'est ainsi que fut nommée Malakoff à ses débuts, lorsque l'entrepreneur Alexandre Chauvelot acheta les premières parcelles de la future commune en 1845. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Bagneux, renommée Avenue Henri-Ginoux en 1996, la rue de Courcelles, actuelle rue Sadi-Carnot, la rue Hortense, renommée rue Louis-Lejeune, l'avenue Orange, aujourd'hui disparue, la rue de la Princesse, renommée rue Armand Barbès, ou encore l'avenue des Trembles, renommée avenue Verdier. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.‎


 [MONTROUGE] Commune de Montrouge. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8261

(1854)

‎ [LE PLESSIS-ROBINSON] Commune de Plessis-Piquet. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.‎

‎ 1854-1870. 619 x 904 mm.‎

‎Très grand et beau plan de la commune du Plessis-Robinson en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. Nommée le Plessis-Liberté sous la Révolution, la commune reprend son nom d'origine de Plessis-Piquet en 1801, puis est baptisée Le Plessis-Robinson en 1909, du nom de la guinguette Au Grand Robinson, construite en 1845 par le restaurateur parisien Joseph Gueusquin. Avec ses cabanes dans les arbres comme dans Le Robinson suisse de Johann David Wyss, inspiré du Robinson Crusoé de Daniel Defoe, cette guinguette connut un tel succès que d'autres guinguettes firent leur apparition, et que le quartier finit par prendre le nom de Robinson. En 1870, la commune du Plessis-Robinson faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan figure Le Plessis-Robinson et les communes limitrophes de Fontenay-aux-Roses, Sceaux, Châtenay et Malabry (réunies en 1920). Une importante légende accompagne la commune du Plessis : liste des établissements communaux (mairie, écoles, cimetières, etc) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; cours d'eau (ru de la Fontaine du Moulin) ; route départementale de Choisy à Versailles ; chemins vicinaux ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route impériale de Versailles à Choisy-le-Roi ; en bleu, le ru de la Fontaine du Moulin (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale de Versailles ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines qui sont les rues de la Ferme et de l'Église. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Église renommée rue de la Mairie, ou les rues de l'Étang rouge et de Versailles, aujourd'hui disparues. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.‎


 [LE PLESSIS-ROBINSON] Commune de Plessis-Piquet. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8257

(1854)

‎ [CLAMART] Commune de Clamart. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.‎

‎ 1854-1870. 1,22 x 0,89 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune de Clamart en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune de Clamart, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Clamart et les communes limitrophes de Meudon, Vélizy, Issy-les-Moulineaux, et Le Plessis-Piquet, renommé Le Plessis-Robinson en 1909. On remarque que Meudon appartenait à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Au sud de la commune d'Issy-les-Moulineaux, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Sur la Seine, on peut voir les îles Seguin, Chabanne et de Billancourt, ainsi que le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Les îles Chabanne et de Billancourt forment aujourd'hui l'île Saint-Germain. Une importante légende accompagne la commune de Clamart : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, cimetières, lavoir, église, fontaines, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer, gendarmerie) ; route nationale de Versailles à Choisy-le-Roi ; routes départementales ; chemin vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale de Versailles ; en jaune, la route départementale n°54 de Chevreuse ; en vert, les chemins vicinaux de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de Chevreuse, devenue l'avenue Jean-Baptiste Clément, l'avenue de Fleury renommée avenue Adolphe-Schneider en 1885, la rue de la Forêt renommée rue du Président-Roosevelt, les rues Nouvelle et de Paris devenues l'avenue Jean-Jaurès, la rue de Saint-Cloud, renommée après la Seconde guerre mondiale rue d'Estienne-d'Orves, la rue de Sèvres renommée rue Paul-Vaillant-Couturier dans les années 1930, ou encore la ruelle des Truies, aujourd'hui disparue. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque, replié. Petite déchirure à une pliure restaurée.‎


 [CLAMART] Commune de Clamart. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8324

(1854)

‎ [ORLY] Commune d'Orly. Arrond.t de Sceaux. Canton de Villejuif.‎

‎ 1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 0,90 x 1,19 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune d'Orly en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Orly, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de près d'1,20 m de longueur, figure Orly et les communes limitrophes de Thiais, Choisy-le-Roi, Villeneuve Saint-Georges et Villeneuve-le-Roi. On remarque que ces deux dernières appartenaient à cette époque au département de Seine-et-Oise. Cet ancien département fut dissous en 1968 pour constituer les départements de l'Essonne, du Val-d'Oise et des Yvelines. Une importante légende accompagne la commune d'Orly : liste des établissements communaux (mairie, écoles, abreuvoir, fontaines, église, cimetières, etc) ; route nationale de Paris à Antibes ; cours d'eau du ru d'Orly ; route départementale de Choisy à Orly ; chemin vicinal de grande communication, chemins vicinaux ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu, comme les ruelles Andry ou aux Chiens, et les rues Greneta et des Caves, ou qui ont été renommées, comme la rue Paruseau devenue la rue Louis Bonin, ou encore la place de la Mairie, renommée place François Mitterrand. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.‎


 [ORLY] Commune d'Orly. Arrond.t de Sceaux. Canton de Villejuif.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8323

(1854)

‎ [VITRY-sur-SEINE] Commune de Vitry sur Seine. Arrond.t de Sceaux. Canton de Villejuif.‎

‎ 1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune de Vitry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune de Vitry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel de Vitry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Vitry-sur-Seine et les communes limitrophes d'Ivry-sur-Seine, Alfortville, Choisy-le-Roi, Thiais et Villejuif. Au sud d'Ivry-sur-Seine, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). La commune d'Alfortville porte ici encore le nom de Maisons-Alfort. Ce n'est qu'en 1885 que sera créée la commune d'Alfortville sur un territoire démembré de la commune de Maisons-Alfort, et incorporée au canton de Charenton-le-Pont. Dans la ville de Vitry, on peut voir les anciens quartiers du Petit Vitry, actuel quartier du 8-Mai-1945, et du faubourg Bacchus, aujourd'hui renommé rue Jules-Lagaisse. Dans Choisy-le-Roi figurent les manufactures de maroquins, de chapeaux, de pierres artificielles, et de porcelaine opaque. Sur la Seine, on peut voir le pont de Choisy, reliant les deux rives de Choisy, détruit pendant la guerre de 1870 puis reconstruit, et le barrage du Port-à-l'Anglais, entre les communes de Vitry et d'Alfortville. Une importante légende accompagne la commune de Vitry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, corps de garde, crèche, lavoir, fontaines, église, etc) et des établissements publics (station du chemin de fer d'Orléans, pompe de la ville de Paris et gendarmerie) ; route nationale de Paris à Antibes ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Les sept teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château de Vitry, détruit en 1910, ainsi que des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue d'Arnetal devenue l'avenue Roger Derry, la rue Saint-Aubin devenue l'avenue Maximilien Robespierre, la rue de la Barre devenue l'avenue Youri Gagarine, la rue de la Chapelle aux Granges, renommée rue du 10 Juillet 1940, la voie du Chevaleret devenue la rue Gabriel Péri, la rue des Étroits renommée rue Antoine Marie Colin, la rue Eugène Dubois devenue la rue Charles Infroit, la place du Petit Vitry devenue la place des Martyrs de la Déportation, la rue aux Prêtres, aujourd'hui disparue, ou encore la rue de Seine devenue la rue Jean Jaurès. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Petite déchirure restaurée à une pliure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 30 juin 1855, 1855, p. 463, 101.‎


 [VITRY-sur-SEINE] Commune de Vitry sur Seine. Arrond.t de Sceaux. Canton de Villejuif.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8322

(1854)

‎ [ANTONY] Commune d'Antony. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.‎

‎ 1854-1870. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,90 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune d'Antony en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune d'Antony, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Antony et les communes limitrophes de Sceaux, Bourg-la-Reine, Châtenay (réunie à Malabry en 1920), Fresnes, Massy, Verrières et Le Plessis-Piquet, renommée Le Plessis-Robinson en 1909. Une importante légende accompagne la commune d'Antony : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, fontaines, lavoirs, abreuvoir, cimetière, église, etc) et des établissements publics (station d'Antony, lavoir de Verrières, etc) ; routes nationales ; cours d'eau (Bièvre, ruisseau de Châtenay, etc) ; chemin vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Six teintes ont été utilisées : en rose, les routes nationales ; en bleu, les cours d'eau ; en vert, les chemins vicinaux de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue des Platrières, devenue la rue de Châtenay au début du XXe siècle, ou la rue de la Mairie, renommée rue Auguste-Mounié en 1941. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l’époque.‎


 [ANTONY] Commune d'Antony. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8321

(1854)

‎ [IVRY-sur-SEINE] Commune d'Ivry-sur-Seine. Arrond.t de Sceaux. Villejuif.‎

‎ 1854-1869. En deux feuilles jointes formant un plan de 1,21 x 0,89 m, replié.‎

‎Beau plan de très grand format de la commune d'Ivry-sur-Seine en 1869, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis corrigé en 1869. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine. En 1869, la commune d'Ivry-sur-Seine, aujourd'hui dans le Val-de-Marne, faisait partie du canton de Villejuif, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La commune prit son nom actuel d'Ivry-sur-Seine en 1897. Ce plan de très grand format, de plus d'1,20 m de hauteur, figure Ivry-sur-Seine et les communes limitrophes de Vitry-sur-Seine, Villejuif, Charenton-le-Pont, appelée Conflans les Carrières, Le Kremlin-Bicêtre, ainsi que le quartier de Bercy dans le 12ème arrondissement de Paris. On peut voir également une partie du 13ème arrondissement, sur laquelle figure la partie de la commune d'Ivry annexée à la ville de Paris. En 1860, le nord de la commune d'Ivry fut annexé à Paris pour constituer une partie du 13ème arrondissement. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers. Sur la Seine figurent le pont de Bercy, ouvert en 1864, le pont National, construit entre 1852 et 1853 pour relier les gares de Lyon (chemin de fer de Lyon) et d'Austerlitz (chemin de fer d'Orléans), et le pont d'Ivry, ici nommé pont d'Ivry ou de la Bosse de Marne. Au sud d'Ivry, on peut voir le fort d'Ivry, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui appartient aujourd’hui au ministère de la Défense. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Dans la ville d'Ivry sont représentées les fabriques de produits chimiques, de wagons, d'essieux, d'huiles et de bougies. Dans Paris sont représentés les entrepôts de Bercy, le magasin à fourrages, l'usine à gaz de la Compagnie Parisienne, et la manufacture de tabacs. À Charenton-le-Pont, on peut voir la gare aux charbons et aux longs bois, et les magasins généraux des vins. Une importante légende accompagne la commune d'Ivry : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, église, cimetière, etc) et des établissements publics (Hospice des Incurables, fort d'Ivry, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Bâle ; routes militaires (du fort de Bicêtre à celui d'Ivry, et du fort d'Ivry à celui de Charenton) ; routes départementales ; chemins vicinaux de grande communication et ordinaires, et chemins ruraux ; nomenclature des rues publiques et particulières ; signes conventionnels. Les huit teintes de la légende n'ont pas été utilisées, le plan a été laissé en noir et blanc. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des rues qui ont aujourd'hui disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Est, renommée rue Jean Jacques Rousseau en 1894, la rue des Fauconniers renommée rue Jules Vanzuppe, la rue de la Gorne, renommée rue Bernard Palissy en 1894, la rue Nationale, devenue le boulevard Paul Vaillant-Couturier en 1937, la rue Jean Picourt renommée rue Gaston Cornavin, la rue du Moulin de la Tour devenue la rue Baudin en 1888, la rue des Œillets renommée rue Kléber en 1894, la rue de l'Orme au Chat, renommée rue Maurice Gusnsbourg en 1945, la rue des Plantes renommée rue de Châteaudun en 1894, la place Saint-Frambourg devenue place Parmentier vers 1900, la rue de la Voyette, renommée rue Ledru Rollin en 1894, ou encore la rue Moïse renommée rue Edmé Guilloux en 1945. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire, replié. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 22 septembre 1855, 1855, p. 688, 222.‎


 [IVRY-sur-SEINE] Commune d'Ivry-sur-Seine. Arrond.t de Sceaux. Villejuif.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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Reference : LBW-8319

(1854)

‎ [ISSY-les-MOULINEAUX] Commune d'Issy. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.‎

‎ 1854-1870. 610 x 900 mm.‎

‎Très grand et beau plan de la commune d'Issy-les-Moulineaux en 1870, dressé par Onésime Théodore Lefèvre en 1854, puis révisé en 1870. Il a été lithographié par Avril Frères et Louis Wuhrer pour l'Atlas communal du département de la Seine, et finement aquarellé à l'époque. En 1870, la commune d'Issy, aujourd'hui dans les Hauts-de-Seine, faisait partie du canton de Sceaux, ancienne division administrative créée en 1800, au sein de l'arrondissement de Sceaux et du département de la Seine. Le département de la Seine, nommé département de Paris à sa création en 1790, comprenait trois districts ou arrondissements, et seize cantons. Il fut dissous en 1968, pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Issy fut officiellement renommée Issy-les-Moulineaux en 1893, lorsque le petit hameau des Moulineaux, qui appartenait à la commune de Meudon, fut rattaché à la commune d'Issy. Ce très grand plan montre les deux rives de la Seine, avec, sur la rive gauche, Issy et Vanves, avec une partie de l'enceinte de Thiers marquant les limites de Paris, et une partie du 15ème arrondissement de Paris, et sur la rive droite, Boulogne-Billancourt jusqu'au cimetière et la Route de la Reine. Sur la Seine, on peut voir les deux îles de Billancourt et Saint-Germain, aujourd'hui île Saint-Germain, et le pont de Billancourt, construit en 1862 pour relier les communes d'Issy-les-Moulineaux et de Boulogne. Au sud d'Issy, on peut voir le fort d'Issy, l'un des seize forts détachés de l'enceinte de Thiers, qui abrite aujourd'hui des logements ainsi que la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale. Construite entre 1841 et 1844, à la demande du roi Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable, l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris, mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Tout autour de cette enceinte, on fit construire, entre 1840 et 1846, 16 forts détachés (forts d'Issy, de l'Est, de Vanves, d'Aubervilliers, de Romainville, de Bicêtre, de Charenton, d'Ivry, de Montrouge, de Nogent, de Rosny, etc). Une importante légende accompagne la commune d'Issy : liste des établissements communaux (mairie, écoles, asile, fontaines, cimetières etc) et des établissements publics (hospices, usine à gaz, gendarmerie, etc) ; route nationale de Paris à Versailles ; routes stratégiques, destinées en premier lieu à faciliter les opérations et les approvisionnements des armées, notamment en cas d'insurrection, et départementales ; chemins vicinaux de grande communication, ordinaires et ruraux ; nomenclature des rues ; signes conventionnels. Sept teintes ont été utilisées : en rose, la route nationale ; en vermillon, la route stratégique (couleur non utilisée) ; en jaune, la route départementale d'Issy à Montrouge ; en vert, les chemins de grande communication ; en violet, les chemins vicinaux ordinaires ; en bistre pâle, les chemins ruraux ; et en orange, les voies urbaines. Les usines sont également indiquées : fabrique de cartouches, briqueterie, ou encore la fabrique de couleurs. Pour le 15ème arrondissement de Paris, l'auteur a indiqué la fabrique d'allumettes chimiques et la fabrique de produits chimiques ; pour Boulogne-Billancourt, la fabrique d'épingles. Plan intéressant pour l'histoire de cette commune, montrant des bâtiments qui n'existent plus aujourd'hui, comme le château d'Issy, château du XVIIe siècle détruit en 1871 lors de la Commune de Paris, ainsi que des rues qui ont disparu ou qui ont été renommées, comme la rue de l'Abreuvoir, aujourd'hui renommée rue Rouget-de-Lisle, ou la rue du Vivier, aujourd'hui renommée rue Guynemer. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine, et fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire aquarellé à l'époque.‎


 [ISSY-les-MOULINEAUX] Commune d'Issy. Arrond.t de Sceaux. Canton de Sceaux.. LEFÈVRE (Onésime Théodore).
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‎LEFÈVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-8036

(1856)

‎ [CHEMINS de FER] Chemins de fer de l'Ouest. Carte du réseau comprenant les voies de communication, les mines, hauts-fourneaux, usines et carrières ; dressée par ordre de M.M. les membres du Conseil d'administration d'après les documents du Dépôt de la Guerre et des Ad.ons des Ponts-et-Ch.ées et des Mines.‎

‎1856-1864. En 32 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 1,34 x 1,80 m ; étiquette au dos portant le titre ; sous chemise et étui de toile verte de l'époque (340 x 240 mm), avec titre "Chemins de fer de l'Ouest" en lettres dorées au dos.‎

‎Superbe carte monumentale figurant le réseau ferroviaire de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest, couvrant le quart nord-ouest de la France. Elle a été dressée par Onésime Théodore Lefèvre, et lithographiée en couleurs par Eugène Kæppelin à Paris. Elle a été publiée en 1856, puis mise à jour en janvier 1864. Elle s'étend du nord au sud entre Calais et Nantes, et à l'est jusqu'à Paris, avec les côtes de l'Angleterre. Un système de couleurs permet de distinguer les chemins de fer de la compagnie : en lignes continues de couleur gris foncé, les chemins de fer en exploitation ; en lignes continues de couleur rouge, les chemins de fer en construction ; en lignes ponctuées de couleur rouge, les chemins de fer communs avec la Compagnie du Nord. Les lignes étrangères au Réseau de l'Ouest sont également représentées. Elles concernent les lignes en exploitation, en construction ou en projet vers Orléans, en bleu, les lignes du Nord en mauve, les lignes de Paris, Lyon et Méditerranée en brun, les lignes de l'Est en jaune, et les lignes de la Petite Ceinture de Paris en orangé. Les mines, forges et usines, ainsi que les différents types de terrains, sont également reportés par des symboles de couleur : mines de fer, hauts-fourneaux, forges, mines d'étain, de plomb, usines à zinc, mines de houille, lignite, marbre, ardoise, granit, ou encore grès. Les zones frontières en ce qui concerne les chemins vicinaux de toute classe et les chemins forestiers, sont aquarellées de deux couleurs : en vert clair, les territoires réservés, en vert foncé les territoires non soumis à la surveillance de l'autorité militaire. Les forts et villes fortifiées sont aquarellés en rouge. La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest a été créée en 1855, à la suite de la fusion de plusieurs compagnies ferroviaires desservant la Bretagne et la Normandie. Elle reliait également Paris à Londres, via Rouen, Dieppe et New Haven, par la gare Saint-Lazare, avec un trajet de jour en 8h30. En 1908, elle fut rachetée par l'Administration des chemins de fer de l’État, ou Réseau de l’État, créée en 1878. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1871 une carte du département de la Seine. Il fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Très bel et rare exemplaire aquarellé à l'époque, avec la Manche finement aquarellée en bleu. Petites fentes aux mors de l'étui.‎


 [CHEMINS de FER] Chemins de fer de l'Ouest. Carte du réseau comprenant les voies de communication, les mines, hauts-fourneaux, usines et carrières ; ...  [CHEMINS de FER] Chemins de fer de l'Ouest. Carte du réseau comprenant les voies de communication, les mines, hauts-fourneaux, usines et carrières ; ...  [CHEMINS de FER] Chemins de fer de l'Ouest. Carte du réseau comprenant les voies de communication, les mines, hauts-fourneaux, usines et carrières ; ...
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‎LEFEVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-7862

(1871)

‎ Carte du département de la Seine.‎

‎ 1871. En 40 sections montées sur toile et repliées, formant une carte de 1,20 x 1,32 m.‎

‎Belle et rare carte murale du département de la Seine, dressée par Onésime Théodore Lefèvre d'après la carte hydrographique et l'atlas communal du département. Elle a été gravée en couleurs par Avril frères, et publiée en 1871. Créé en 1795, le département de la Seine avait Versailles pour préfecture. Il fut dissous en 1968 pour former les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. La carte s'étend au nord jusqu'à Saint-Gratien et Montmagny dans le Val-d'Oise, au sud jusqu'à Massy et Paray (renommée Paray-Vieille-Poste en 1926) dans l'Essonne, et Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne, à l'ouest jusqu'à Sartrouville, Carrières-Saint-Denis (renommée Carrières-sur-Seine en 1905) et Viroflay dans les Yvelines, et à l'est jusqu'à Montfermeil en Seine-Saint-Denis. Les limites de Paris sont marquées par l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet, construite entre 1841 et 1844, à la demande de Louis-Philippe, qui souhaitait faire construire autour de la capitale une enceinte bastionnée qui rendrait la ville imprenable. Constituée de 94bastions, elle englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes : Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, Passy, etc. La ville de Malakoff est nommée Village de Malakof ou de la Nouvelle Californie. La légende indique les routes nationales, stratégiques et départementales, et les chemins. Les courbes de terrain et les altitudes sont imprimées en rouge. Le relief a été tracé par le Génie Militaire. Onésime Théodore Lefèvre était ingénieur, géomètre et cartographe du département de la Seine, installé à Villejuif. Il a également dressé en 1882 une carte des chemins de fer de l'Ouest. Il fut maire de Villejuif de 1856 à 1871. Bel exemplaire. Vallée, 1842.‎


 Carte du département de la Seine.. LEFEVRE (Onésime Théodore).
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‎Lefèvre, Onésime Théodore / [Brialmont, Général Alexis]‎

Reference : 8160

(1871)

‎Carte Du Département De La Seine Dressée D'après La Carte Hydrologique et L'atlas Communal Par O.T. Lefèvre, Ingénieur Géomètre à Villejuif - 1871 - Le Relief a été tracé Par Le Génie Militaire‎

‎ Gravée Chez Avril Frères 120 x 132 Paris 1871 Carte topographique dépliante du département de la Seine réalisée par le Dépôt de la Guerre et entoilée, étiquette de titre gravée "Lanée, successeur de Longuet graveur éditeur de carte géographique" avec titre manuscrit "Dept. de la Seine 1 à 25.000", mention manuscrite sous l'étiquette "A. Brialmont" [Général Alexis Brialmont, 1821-1903, surnommé le "Vauban belge"]. La carte est dressée à l'échelle de 1/20000e et comporte 40 feuilles entoilées ou sections (8 feuilles en largeur sur 5 en hauteur). Les courbes de niveau ont été imprimées en rouge , le relief étant tracé par le Génie militaire. La légende indique entre autres les routes nationales, stratégiques, départementales, les chemins... et les voies ferrées...Le "département de Paris" a été créé en 1790 et prit le nom de "département de la Seine en 1795". Paris est au centre de la carte, entouré des fortifications de Thiers (1860). Belle carte qui a l'avantage d'une grande lisibilité et très intéressante pour les communes environnant Paris. Belle provenance également puisqu'elle provient de la bibliothèque du général Brialmont, qui révolutionna l'art de la fortification en Europe, construisant notamment celles d'Anvers, et, après la guerre franco-allemande de 1870, les forts de Namur et de Liège. Quelques salissures sur la partie entoilée. Bel et rare exemplaire.(B32) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST ‎


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‎LEFEVRE (Onésime Théodore).‎

Reference : LBW-5236

(1895)

‎ [LES LILAS] Commune des Lilas.‎

‎1895. 613 x 898 mm.‎

‎Très grande carte montrant la commune des Lilas, avec Pantin, le Pré Saint-Gervais et Romainville, dressé par les frères Lefèvre, ingénieurs géomètres à Villejuif, gravé par Wuhrer. La commune faisait alors partie du département de la Seine, créé en 1790, et comprenant Paris et les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Il fut supprimé en 1968. Bel exemplaire. Contours aquarellés à l'époque.‎


 [LES LILAS] Commune des Lilas.. LEFEVRE (Onésime Théodore).
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