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Traité élémentaire de chirurgie gynécologique par le Docteur A. Leblond médecin de Saint-Lazare. Avec 281 figures in texte
,Paris, G. Steinheil 1878, 659 pp., 1 vol. in 8 br. pâles rousseurs
Les plus anciens comptes de l'Hôtel-Dieu de Beauvais (1377-1380).
P., Imprimerie Nationale, 1915. In-8 br., 184 pp.
Essai sur l'administration de cet hôpital au XIVe s. Une pliure à la couv., bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
L'EGLISE SAINT-ETIENNE DE BEAUVAIS
Henri Laurens. 1929. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 120 pages. Plan en noir et blanc en frontispice. Illustré de nombreuses photos en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 720-Architecture
'Petites Monographies des Grands Edifices de la France', Collection fondée par E. Lefèvre-Pontalis, sous la dir. de M. Marcel Aubert. Etude sur les vitraux par Jean Lafond. Classification Dewey : 720-Architecture
Traité élémentaire de chirurgie gynécologique.
Couverture souple. Broché. 14 x 22 cm. Non coupé.
Livre. 281 figures intercalées dans le texte. Editions G. Steinheil, 1878.
Note sur la fécondation artificielle à propos d'un jugement de tribunal de Bordeaux. Rapport lu à la Société de médecine légale.
Couverture souple. Broché. 11 pages.
Livre. Extrait des Annales de gynécologie. Annales de gynécologie, 1883.
Madame de Sévigné et les remèdes de bonne femme
Beauvais, Imprimerie départementale de l'Oise, 1926, broch. in-8, 40 p., "Causerie faite le 15 février 1926 à la Société Académique de l'Oise", bon état.
Les Lettres de Mme de Sévigné, outre leur qualité littéraire, ont toujours constitué une source de documentation précieuse sur la seconde moitié du XVIIe siècle. Son état de santé, ainsi que celui de sa fille Mme de Grignan et d'autres personnes de la Cour, l'ont toujours fortement préoccupée. Elle ne tenait pas les médecins de son temps en grande estime et préférait s'en remettre le plus souvent à des charlatans. Dans cet opuscule, le docteur Leblond évoque plaisamment ce penchant de la célèbre épistolière.
