P., NRF, N°14, 15 février 1910 ; in-8, broché. 188 pp.- 2 pages hors-texte de fac-similé d'écriture, 1 portrait de Philippe par Ch. Guérin reproduit en héliogravure. Très bon état.
Charles Louis Philippe est mort à Paris le 21 décembre 1909. Il était l'un des fondateurs de la NRF. Ce numéro de la jeune revue lui est entièrement consacré. Il s'ouvre par un hommage de Claudel, puis on trouve les textes de : Michel Arnauld, L'uvre de Charles-Louis Philippe - Anna de Noailles, La Mère et l'Enfant - Marcel Ray, L'Enfance et la Jeunesse de Charles-Louis Philippe - Marguerite Audoux, Souvenirs - Régis Gignoux, Dans l'Île Saint-Louis - Émile Guillaumin, Charles-Louis Philippe en Bourdonnais - Charles-Louis Philippe, Journal de la Vingtième Année - Lettres - Les «Charles Blanchard» - André Gide, Journal sans dates. Suivent les notes de : Maurice Beaubourg, Quatre histoires de pauvre amour, par Charles-Louis Philippe, Édition de l'Enclos - Jean Schlumberger, La bonne Madeleine et la pauvre Marie, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque artistique et littéraire) - Henri Ghéon, La Mère et l'Enfant, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque artistique et littéraire) - Bubu de Montparnasse, par Charles-Louis Philippe (Édition de la Revue Blanche) - Edmond Pilon, Le Père Perdrix, par Charles-Louis Philippe (Bibliothèque Charpentier) - André Ruyters, Marie Donadieu, par Charles-Louis Philippe (Fasquelle) - Élie Faure, Croquignole, par Charles-Louis Philippe (Fasquelle) - Léon Werth, Les contes du «Matin», de Charles-Louis Philippe, Principaux articles sur Charles-Louis Philippe.On joint un article de Marcel Ray (1878-1951, normalien, journaliste, diplomate), ami d'enfance de CH.-L. Philippe, qui livre des souvenirs sur l'écrivain et des textes inédits composés lorsqu'il était lycéen au Lycée Banville à Moulins en 1893-1894
Soleure, Andreas Gymnicus, 1733. In-12 de (2)-198 pp.Réponse à la Lettre à un confesseur, touchant les devoirs des médecins et des chirurgiens au sujet des miracles et des convulsions. S.l.n.d. 35 pp. Le Naturalisme des convulsions démontré par la physique, par l'histoire naturelle et par les événemens de cette Oeuvre. Et démontrant l'impossibilité du divin qu'on lui attribue dans une lettre sur les Secours meurtriers. SECONDE PARTIE. Soleure, Andreas Gymnicus, 1733. 195 pp.Le Mélange dans les convulsions confondu par le naturalisme. TROISIÈME PARTIE. Soleure, Andreas Gymnicus, 1733. 102 pp.La Cause des convulsions finie. Causa finita est. S.l.n.d. 79 p. 5 pièces reliées en 2 vol. in-12, veau brun, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin rouge et de tomaison en maroquin noir, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale des cinq pièces imprimées à Soleure en Suisse. Réunion de la plus grande rareté des publications médicales de Philippe Hecquet relatives aux convulsionnaires de Saint Médard dont le Naturalisme des convulsions complet de ses trois parties, la Réponse à la lettre d'un confesseur et la Cause des convulsions finies.Médecin des religieuses de Port-Royal, de la famille de Condé et de la maison de Vendôme, Philippe Hecquet (Abbeville 1661-1737) doyen de la faculté de médecine de Paris en 1712, affirma et démontra le premier que le traitement des convulsionnaires relevait non pas de la théologie mais plus sûrement de la médecine.« Philippe Hecquet établit un parallèle entre les convulsionnaires de Saint-Médard et les possédées de Loudun. Pour cet auteur, le “naturalisme des convulsions” est comme affecté aux “personnes de sexe“ en raison de « l’étrange délicatesse du genre nerveux qui est en elles ». Cependant il arrive que les hommes aussi deviennent vaporeux comme les femmes, lorsque leurs nerfs perdent de leur fermeté naturelle ». Sur le caractère érotique des convulsions : « il est étonnant et presque définitif pour l’érotisme de leurs vapeurs qu’aucune d’elles n’ait demandé de femmes pour les secourir ». Philippe Hecquet diagnostique que la passion originaire des Ursulines de Loudun fut l’amour de l’argent parce qu’elles étaient pauvres et qu’on les avait excitées à se porter à tous ces manèges en leur faisant espérer que ce serait le moyen d’enrichir leur maison ». (Thérèse Griguer).Très bon exemplaire.Caillet, II, 5021 ; Dorbon, 2109 : « réunion rare » ; Thérèse Griguer, Historiographie et médecine : A propos de Jeanne des Anges et de la possession de Loudun. In: Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 99, numéro 2, 1992. pp. 155-163.
Paris, Points et Contrepoints, 1947. In-8 carré broché de 186-(12) pp., couverture rempliée illustrée.
Édition originale. Exemplaire sur vélin du Marais (n°650). La couverture est orné d'une vignette de Jean Frélaut répétée au titre. Dans sa préface, Francis Carco décrit la poésie de son ami en digne héritière de celle de Nerval.Exemplaire enrichi d'un poème autographe et de deux envois, signés de l'auteur ; au faux-titre : A Jean Uchan ces poèmes en souvenir du vieux temps de La Rochelle et bien amicalement. Philippe Chabaneix ; le poème Charme retranscrit à l'encre noir.Sur le deuxième feuillets de garde : A Guillaume Laroche ce choix de poèmes, en souvenir de Lyon où j'ai passé en 1929 une semaine inoubliable. Avec mes sentiments de bien vives sympathie. Philippe Chabaneix. Philippe Chabaneix, poète de l'École fantaisiste, devenu libraire rue Mazarine à Paris, recevait avec gentillesse les jeunes libraires inexpérimentés. Bel exemplaire.
Paris, Imprimerie Royale, 1837. In-8 de XV-200-(1) pp. 3 pp.bl., demi-veau taupe, dos fleurdelisé à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, tranches dorées (reliure moderne).
Tirage in-quarto sur papier fort de l'Imprimerie royale dont la pagination est différente de l'in-octavo sorti la même année des mêmes presses. L'édition originale a paru en 1824 dans la Collection des mémoires relatifs à la Révolution française. Mémoires importants, sur la période révolutionnaire, du Duc de Montpensier fils cadet de Philippe-Égalité le régicide, et donc le frère du Roi Louis-Philippe. Son récit est très détaillé et donne à la fois une bonne peinture des moeurs révolutionnaires et une analyse politique des principaux événements du temps. Portrait de l'auteur en frontispice "dessiné par lui-même" gravé par Dupont. Fierro, 1070. Rousseurs éparses.
P., Stock, 1947 ; in-8, en feuilles sous chemise et étui. 216pp.-2ff. 41 aquarelles in-texte, certaines pleines-pages. Très bon état.
Edition tirée à 932 exemplaires, un des 880 sur vélin chiffon du Marais, illustrée de 40 aquarelles de Philippe Jullian, reproduites en phototypie et coloriées au pochoir.
P., La Diffusion Scientifique, 1955 ; in-8, broché. 239 pp. - 4 planches hors-texte d'illustrations en noir. Photos et illustrations in-texte. Bon état.
Lipsiae (Leipzig), Johann Christian Wohlfart, Christian Scholvien, 1682. In-16 de (76)-671-38 pp., frontispice, vélin rigide, double filet à froid d'encadrement sur les plats, titre manuscrit sur le dos (reliure de l'époque).
Quatrième édition imprimée à Leipzig par Johann Christian Wohlfart et Christian Scholvein. La première bibliographie des bibliographies établie et publiée en 1653 dans le recueil inachevé "Nova Bibliotheca" du savant compilateur Philippe Labbe puis une première fois séparée sous son titre générique "Bibliotheca Bibliothecarum" en 1664.L'ouvrage est divisé en deux parties, la première bibliographique et alphabétique classée par noms d'auteurs avec une courte notice sur leurs travaux ; la deuxième est consacrée à la numismatique. Le jésuite Philippe Labbe (1607-1667) avait eu accès pour ses travaux philologiques à de nombreux catalogues de livres et aux manuscrits des collections publiques et privées. C'est la première fois dans l'histoire du livre que le terme "incunable" est associé à l'imprimé. Il s'agit « d’adresser aux lectoribus philobiblis [lecteurs aimant les livres], selon ses propres termes, une bibliothèque de bibliothèques, un catalogue de catalogues, un index d’index. Y sont rassemblés tous les recueils identifiés comme collections, qu’ils concernent la prosopographie, l’histoire, la numismatique, etc. (…) La Bibliotheca de Labbé n’est pas seulement le double imprimé de l’édifice, le simple catalogue de telle ou telle collection privée ou royale, elle est une collection d’autres bibliothèques du même type. À l’image de la bibliothèque elle-même, sans arrêt en expansion, l’acception sémantique du terme s’étend pour mettre en équivalence tout un réseau de métaphores, qui loin de détruire la cohérence du terme, lui donnent au contraire toute sa consistance en tant qu’idée. » (Gabriel, Frédéric. L’Église comme bibliothèque : Antiquité canonique, héritage patristique et usage controversial (XVIe-XVIIe siècles) In : Les Bibliothèques, entre imaginaires et réalités. Arras : Artois Presses Université, 2009).Frontispice gravé et titre en rouge et noir. Note bibliographique ancienne sur la première garde. Des rousseurs, sinon très bon exemplaire en reliure d'époque.Sommervogel, IV, 1322, 71 ; Breslauer & R. Folter Bibliography Grolier Club, 1984 n° 62 ; Besterman, The Beginnings of Systematic Bibliography, pp. 50 et 54.
S.l. [Genève], chez Jean Durant, 1581. In-8 de 248 pp. (A-P8 Q4), veau gris, dos orné à nerfs, triple filet doré sur les plats, tranches rouges (Galette).
Premier ouvrage de l'auteur. Troisième édition fort rare de ce petit traité de Philippe de Mornay, dédié à sa soeur et publié une première fois en 1575.Le texte de Mornay occupe les 70 premières pages. Il est suivi de traductions d'auteurs anciens sur le même thème : l'Axioque de Platon, le discours de Cicéron touchant la mort tiré de son traité De Senectute, un extrait de Sénèque sur la vie et la mort, le sermon de la mortalité de St Cyprien, le traité de St Ambroise Du bien de la mort et de quelques sentences, prières et méditations touchant la mort.Marque au livre enflammé entouré de deux rameaux (36 x 32 mm) de Jean Durant, imprimeur-libraire : originaire des environs de Châtillon-sur-Seine (Côte-d'Or), Jean Durant fut reçu habitant de Genève en 1553 et bourgeois en 1556.Provenance : Henri Lutteroth (1802-1889), journaliste protestant et laïque engagé ; Ernest Stroehlin (1844-1907) docteur en théologie et professeur d'histoire de la religion à l'Université de Genève - avec son ex-libris dont la devise est Mente Libera, le monogramme "GES" (pour Gaspard-Ernest Stroehlin), et l'inscription Champel allusion vraisemblable au lieu d'exécution de Michel Servet, opposant de Calvin : Ernest Stroehlin fut, en effet, membre du Comité pour l'érection du premier monument expiatoire de Champel, qui fut inauguré en 1903.Bel exemplaire établi au XIXe siècle par Galette, relieur rue Mazarine, ancien ouvrier de Thouvenin. Paul Chaix, Alain Dufour, Gustave Moeckli, Les Livres imprimés à Genève de 1550 à 1600, p. 104 ; Adams, M 1804 ; Haag VII, 538 ; Catalogue de livres sur le protestantisme composant la bibliothèque de feu H.-Th. Lutteroth (1889), 271.
Paris, C. Coulet et A. Faure, 1958 ; in-4, 153pp.-3ff. En feuilles sous emboîtage. Étui légèrement frotté ; exemplaire très frais.
Tirage limité à 835 exemplaires, un des 800 sur vélin d'Arches, après 35 sur Japon. Après la parution de "Bubu" en 1901, Philippe demanda à Marquet des illustrations pour une édition de son livre, mais l'éditeur, La Librairie Universelle, refusa ce projet craignant que sa clientèle ne "goûterait pas l'humour et le trait" de l'artiste. Cette publication, avec 71 dessins en noir que Marquet avait fait en 1903, est donc la plus conforme à celle qu'avait envisagée Ch.-L. Philippe.
Artpress, 2015, 72 pp., broché, passages signalés au stylo, traces d'usage, état très correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Collages de Philippe Favier. Montpellier, Fata Morgana, Scalps, 220, 14 x 22 cm, broché, couv. rempl., 96 p. Edition originale. 1/13 exemplaires numérotés accompagnés chacun de quelque chose de Philippe Favier.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
A Paris, chez Prault père, 1736. In-12 de (4)-45-(5) pp., vélin, pièce de titre en long en maroquin vert (reliure du XIXe siècle).
Édition originale. Comédie en un acte et en prose, écrite au printemps de 1727, représentée pour la première fois le 3 mai de la même année.Philippe Néricault Destouches (1680-1754), comédien, dramaturge et diplomate fut attaché à l’ambassade de Dubois à Londres et devint ministre plénipotentiaire ; il était protégé du Régent, faillit être ministre des Affaires étrangères et refusa l’ambassade de Russie. Il est l'auteur de nombreuses comédies : la Fausse Agnès, le Dissipateur, le Philosophe hardi, etc., qui occupent un rang élevé dans le théâtre du XVIIIe siècle. Destouches fut reçu à l'Académie Française par Fontenelle le 25 août 1723. L'Envieux est un plaidoyer pour sa pièce Le Philososphe marié mis en action et en dialogue, à la manière de la Critique de l'Ecole des Femmes ou de la Critique du Légataire universel. Le dramaturge « ne se contente pas de quelques scènes indispensables à l'apologie de la grande pièce : il lui faut toute une action, une intrigue, une histoire d'amour » (Hankiss).Soleinne, I, 1643 ; Jean Hankiss, Philippe Néricault Destouches : l'homme et l'oeuvre p. 131.
Paris, Ollendorff, 1901. In-8 de XXIII-270 pp., demi-veau rouge, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure moderne).
« Ces mémoires donnent le point de vue du musicien (Philippe-René Girault, 1775-1851) qui ne voit les combats qu'à l'arrière. Le problème du gîte y occupe une place plus grande que la conquête de la gloire, nous offrant ainsi un aspect pittoresque de la campagne de 1809. » Tulard, addendum. La première édition parut à La Rochelle en 1884 sous le titre Mes campagnes sous la République et l'Empire. Bel exemplaire.
Paris, Ollendorff, 1901. In-8 de XXIII-270 pp., demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de l'Aigle napoléonien, premier plat de couverture conservé (reliure moderne).
La première édition parut à La Rochelle en 1884 sous le titre Mes campagnes sous la République et l'Empire. « Ces mémoires donnent le point de vue du musicien (Philippe-René Girault, 1775-1851) qui ne voit les combats qu'à l'arrière. Le problème du gîte y occupe une place plus grande que la conquête de la gloire, nous offrant ainsi un aspect pittoresque de la campagne de 1809 » Tulard, addendum. Bel exemplaire.
Paris, Ollendorff, 1901. In-8 de XXIII-270 pp., demi-percaline verte, pièce de titre (reliure de l'époque).
« Ces mémoires donnent le point de vue du musicien (Philippe-René Girault, 1775-1851) qui ne voit les combats qu'à l'arrière. Le problème du gîte y occupe une place plus grande que la conquête de la gloire, nous offrant ainsi un aspect pittoresque de la campagne de 1809. » Tulard, addendum. Tête d'exemplaire tachée d'encre avec petites coulures sur le plat supérieur. Bel exemplaire.
Dessins de Philippe Hélénon. Montpellier, Fata Morgana, 2018, in-8, en feuilles, couv. rempl., 44 p. Edition originale. 1/19 exemplaires de tête accompagné d’un dessin de Philippe Hélénon.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
Illustrations de Philippe Hélénon. Montpellier, Fata Morgana, 2017, in-8, br., sous couvertures rempliéés, 64 p. 1/13 ex. de tête accompagnés d’un dessin original signé de Philippe Hélénon.
Phone number : 33 01 48 04 82 15
P., NRF - Marcel Rivière, 20 juin 1911 ; in-12 carré. 124pp.1f. Demi-chagrin bleu nuit à coins. Couvertures (salies) conservées à la fin du volume. Bel exemplaire.
Cette édition est la réimpression intégrale de celle donnée en 1900 à La Plume, à laquelle on a laissé les deux derniers paragraphes de la version longue de 1911. En effet, Ch.-L. Philippe venait de mourir et la NRF voulait honorer sa mémoire en publiant ses souvenirs d'enfance qu'il avait déjà fait paraître en 1900, mais incomplets de plusieurs passages (certains disent que c'était par manque d'agent pour payer l'impression de l'intégralité du texte). Marguerite Audoux, Francis Jourdain, Léon Werth... s'offusquèrent qu'on ne respecta pas le texte initial et obtinrent que la NRF fit imprimer à nouveau le texte suivant l'édition de 1900. Mais on oublia d'enlever les deux derniers paragraphes de la version longue achevée d'imprimée huit jours avant, le 12 juin. Si la "version longue" avait été imprimée à 3350 exemplaires, celle-ci ne fut tirée qu'à 500 non justifiés. On remarquera aussi sur notre exemplaire, le papillon qui recouvre la couverture pour faire disparaître de l'adresse de la NRF le nom de Marcel Rivière, celui-ci ayant quitté la maison d'édition en octobre 1912 et cette dernière s'étant installé depuis rue Madame. Ceci laisse entendre que les exemplaires de la version courte ne s'étaient pas bien vendus et étaient encore commercialisés plus d'un an après. (Cf Bulletin des Amis de Charles-Louis Philippe, N° 57, 2000. - Vignes - Boudrot N°3)
AUTOMOBILE - STREIFF Philippe, pilote de courses automobiles.
Reference : 8026
(1977)
1977 Affichette 1977 , de 29 X 32 cm , en noir et blanc portant les signatures autographes de Philippe Streiff et de B. Balas au feutre noir Photo de 1977 , le Volant Motul sur le Circuit de Nogaro.
Petit frottement dans le bandeau inférieur avec déchirure de 2 cm sans manque de papier. ( Cart Gr)
PRIOL Philippe, BOUCHER Alain-Michel, PORQUET Luis, DILHAC Emmanuel, WHITE Kenneth, RIGHI François, VAN DE VELDE Claude Robert,
Reference : 56865
L'instant perpétuel, 5 petits cahiers de 8 pages chacun, non agrafés, format 13 X 18 cm, Rouen, 1980 et 1981, illustrés en noir et blanc, bon état.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
2017 KZMO, les mille univers, 2017; volume étroit broché ( 20 x 10 cm) de 50pp. Illustré dans le texte en noir et blanc; couverture noire illustrée et imprimée en blanc. Edition originale à l'état de neuf.
Une histoire pas ordinaire en alexandrins. (Reu-Bur)
2016 (Sans lieu, 2016); volume broché (18 x 12,5 cm) de 60pp.renfermant 52 poèmes . Illustré de dessins en noir dans le texte. Couverture bleu nuit illustrée en couleurs, titre en rouge.Edition originale à l'état de neuf.
Diverses formes poétiques dont 7-1-9, tanka, sonnets, etc… Recueil mis en page dans l'atelier des mille univers.(Reu-Bur)
2016 Bourges, les mille univers, 2016; volume broché ( 18 x 12,5 cm), de 68pp. Avec 61 poèmes illustrés en noir dans le texte en noir. Couverture illustrée en couleurs.
Exemplaire de la deuxième édition, la première est parue en 2011. Exemplaire à l'état de neuf.(Reu-Bur)
(l'auteur, P. de Chastellux, Neuilly, (56, rue Edouard Nortier, 92200), 91-Marcoussis : Imprimé par R.G.B. 1982; In-4 broché ( 30 cm), de 341pp. dont (16 pp. de planches photographiques :paysage et portraits et 2 planches généalogiques dépliantes); couverture beige imprimée en brun au dos et 1er plat, illustré d'un blason.Imprimé sur papier de Navarre. ( Saffroy 55742).
Exemplaire abondamment annoté au crayon de papier et stylo rouge pour les nombreux ajouts et mises à jour.(S2)
Paris, Jean Richer, 1583. In-8 de (16)-603-(2) pp., vélin rigide à recouvrement, titre manuscrit sur le dos à nerfs, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Deuxième édition revue par l'auteur dédiée "a tres haut et tres puissant Henri Roy de Navarre". Texte majeur, dont l'originale fut imprimée à Anvers en 1581, où le politique et polémiste réformé Philippe de Mornay (1549-1623) - que son rôle fit surnommer « le pape des huguenots » - propose une apologie du christianisme contre les athées à qui il prouve l'existence de Dieu, contre les épicuriens à qui il montre la providence divine, contre les païens à qui il prouve l'immortalité de l'âme, contre les Juifs à qui il montre la nécessité d'un nouveau culte, etc. A la même époque, Duplessis-Mornay prit une place de premier rang auprès du futur Henri IV qui le nomma avec Henri III gouverneur de Saumur où il fondera en 1599 la première académie protestante. Provenance : Isaac d'Huisseau avec sa signature autographe sur le titre. Pasteur à Saumur, Isaac d'Huisseau (1607-1672) publia l'édition définitive en 1650 du texte de la Discipline des Églises réformées tandis que parut en 1670, sous le voile d'un anonymat vite découvert, La Réunion du christianisme ou la Manière de rejoindre tous les Chrestiens sous une seule confession de foy à l'origine d'une fameuse controverse qui entraîna son excommunication : bien que soutenue par certains professeurs de l'Académie de Saumur, La Réunion du chistianisme fut condamnée par le synode provincial de l'Anjou à deux reprises. Bel exemplaire en vélin du temps orné d'un titre à encadrement et d'un bandeau sur le dernier feuillet gravés sur bois. Pâle mouillure marginale sur les premiers feuillets, infime galerie de ver marginale. Haag, VII, 512.