HENRI GAUTIER. NON DATE. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
( James Hadley Chase - Grand-Guignol ) - Fredéric Dard - Robert Hossein.
Reference : 7546
(1954)
Théâtre du Grand Guignol, Saison 1954-1955. Programme in-12 agrafé de 20 pages au format 12 x 15,5 cm. Couverture avec présentation du Théâtre du Grand Guignol et date de la première, notée au crayon sur la couverture. Texte inédit de Frédéric Dard de 2 pages, consacré à Robert Hossein. Présentation du théâtre du Grand Guignol en début de plaquette et deux publicités, avec photos, en fin de plaquette pour 2 oeuvres : Le Bateau des Mille Caresses et La Marchand de Cadavre. Programme de la pièce " La Chair de l’Orchidée ", adaptée du roman de James Hadley Chase par Frédéric Dard et Marcel Duhamel, avec mise en scène de Robert Hossein. Reproduction d'une lettre tapuscrite, signée, de James Hadley Chase adressée à Frédéric Dard en mars 1955. Photos de Frédéric Dard ( avec moustache ), Marcel Duhamel, Robert Hossein et des acteurs Cécile Aubry, Pierre Vaneck, Roger Hanin, Luce Aubertin, etc. Etat magnifique, proche du neuf. Rarissime édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Sans lieu ni nom, 1789, 13 vol. in-8°, reliures demi-veau acajou à petits coins, dos lisses ornés de filets dorés, pièces de titres et de tomaison basane crème et noire, tranches mouchetées, (rel. de l'époque), bon état
Deuxième édition publiée à Bâle en 12 tomes, plus complète pour la correspondance que la seconde édition de Berlin et dans laquelle on trouve les “Pensées sur la religion”. Dans cette édition les réponses aux lettres de Frédéric sont placées après chacune des lettres : Tomes I-III : Mémoires sur le règne de Frédéric II, roi de Prusse, écrits par lui-même. 1. Histoire de mon temps. 2. Histoire de la guerre de Sept ans. 3. Histoire de la guerre de Sept ans. Mémoires depuis la paix de Hubertsbourg jusqu'à 1778. – Tomes IV-X : Correspondance. 1. Lettres du prince royal de Prusse et de M. de Voltaire. 2-3. Lettres du roi de Prusse et de M. de Voltaire. 4. Lettres du roi de Prusse et de M. d'Alembert. 1760-1774. 5. Lettres du roi de Prusse et de M. d'Alembert. 1775-1783. 6. Lettres du roi de Prusse et du Marquis d'Argens. 7. Lettres à divers. (M. Jordan, la Marquise du Chatelet, M. Rollin, Condorcet, Grimm) – Tomes XI-XII : Mélanges en vers et en prose. 1. Considérations sur l'état présent du corps politique de l'Europe. Essai sur les formes de gouvernement et sur les devoirs des souverains. Dialogues des morts. Examen critique du Système de la nature. Avant-propos sur la Henriade de M. de Voltaire. Dissertation sur l'innocence des erreurs de l'esprit. Poésies. 2. Le Palladion, poème. Pensées sur la religion (par La Serre). Épîtres. L'École du monde, comédie. – XIII. Correspondance du roi de Prusse et du baron de La Motte Fouqué, général d'infanterie prussienne. Réflexions du roi de Prusse sur le caractère et les talents militaires de Charles XII. (1788) — Par Frédéric II de Prusse, dit Frédéric le Grand (1712-1786), de la maison de Hohenzollern, simultanément Frédéric IV de Brandebourg, 14e prince-électeur de Brandebourg et Frédéric II de Prusse, troisième roi de Prusse (1740-1786). Le Brandebourg constituait le coeur du royaume de Prusse, intimement lié au royaume depuis que le Grand Electeur Frédéric III devint roi de Prusse en 1701 sous le nom de Frédéric Ier. Après avoir un temps fréquenté Voltaire, Frédéric II devint célèbre pour avoir été l'un des porteurs de l'idéal du prince des lumières en tant que « despote éclairé ». Dès 1736, il part s'installer à Rheinsberg. Il s'entoure là d'une cour qu'il choisit parmi des philosophes et des gens de lettres, il comble les lacunes laissées par l'éducation imposée par son père, rédige de la poésie en français. Il entame une longue correspondance avec Voltaire qui supervise et fait publier en 1740 l'Anti-Machiavel où le prince expose ses idées sur une monarchie contractuelle, soucieuse du bien des citoyens. Il gagne ainsi, l'année même où il succède à son père le titre de roi-philosophe.
Unique et somptueux exemplaire répertorié imprimé sur papier fin de Hollande conservé dans sa reliure royale de l’époque en maroquin citron à dentelle fleurdelysée avec doublures et gardes au semé d’étoiles et de points dorés. Potsdam, s.n., 1760. In-12 de viii pages et 299 pages. Plein maroquin citron, triple filet doré encadrant les plats, large dentelle fleurdelysée ornant les plats, dos lisse orné, pièce de titre de maroquin rouge, filet or sur les coupes, roulette intérieure, doublures et gardes de papier au semé d’étoiles et de points dorés, tranches dorées sur marbrures. Reliure fleurdelysée de l’époque. 160 x 88 mm.
Edition en partie originale des Odes et Épitres de Frédéric II, imprimée à Potsdam en 1760. Le philosophe de Sans-souci désigne le roi de Prusse Frédéric II le Grand: il fit bâtir le château de Sans-souci près de Potsdam à partir de 1745, au lendemain de la seconde guerre de Silésie. Il mourut dans ce lieu qu'il affectionnait particulièrement le 17 août 1786. Le manuscrit des œuvres contenues dans cette édition, annoté en marge par Voltaire qui le corrigea pour leur première édition, y est conservé. Dès son accession au trône, Frédéric prend, selon une formule de Pierre Gaxotte, « vingt édits à faire pâmer un philosophe » : il abolit la torture, interdit les brimades dans l’armée, allège les peines prévues pour avortement, assouplit la censure de la presse et de l'imprimerie, supprime la peine de mort pour les voleurs, supprime l’obligation des dispenses ecclésiastiques pour les mariages entre parents éloignés et prend un édit de tolérance sur le libre exercice de tous les cultes. Vers la fin de son règne, il a essayé de supprimer le servage mais il s’est heurté à l'aristocratie terrienne. Aux yeux de l’Europe entière, il incarne désormais ce que l’on a appelé plus tard « le despotisme éclairé », une expression que ni Voltaire ni aucun philosophe n'a utilisé puisqu’elle a été suscitée et répandue par des historiens au XIXe siècle… Les beaux esprits contemporains de Frédéric II ont une raison de tout accepter du monarque: au château de Sans-Souci, ils partagent son intimité. Voltaire a sa chambre à proximité de celle du souverain. La fameuse « table ronde » de Sans-Souci voit se dérouler de longues conversations où le roi se montre brillant causeur. Voltaire a évoqué ces soirées : « On soupait dans une petite salle dont le plus singulier ornement était un tableau dont le roi avait donné le dessin à Pesne, son peintre. C’était une belle priapée. Les repas n’étaient pas moins philosophiques. Un survenant qui nous aurait écoutés, en voyant cette peinture aurait cru entendre les sept sages de la Grèce au bordel. Jamais on ne parla en aucun lieu du monde avec tant de liberté de toutes les superstitions des hommes et jamais elles ne furent traitées avec plus de plaisanteries et de mépris ». Il convient d’ajouter que si les conversations étaient exclusivement en français, la cuisine était aussi d'inspiration française puisque Frédéric II a eu longtemps pour principal maître-cuisinier le Français André Noël (1726-1801) dont le père était pâtissier à Angoulême. Voltaire est le plus connu de ces invités de marque mais il est loin d’avoir été le seul. Diderot, admirateur pourtant de Catherine II de Russie, la « Sémiramis du Nord », s’il a préféré aller à Saint-Pétersbourg, a cependant tenu des propos dithyrambiques en l’honneur du « roi philosophe ». On trouve les mêmes propos flatteurs sous la plume de Mirabeau qui s’est trouvé à Berlin à la mort de Frédéric II en 1786. Frédéric parle mieux le français que l’allemand. Frédéric II homme de Culture et de Lettres: Son intérêt pour la culture, les arts et les sciences, se manifeste pendant tout son règne. Frédéric s’exprime essentiellement en français car à l’époque c’est la langue d’accès à la culture, il s’efforce de donner beaucoup de poids à sa réputation de prince philosophe, il reconstitue l’Académie de Berlin qui devient l’Académie Royale des Sciences et des Belles-Lettres dont Maupertuis, un Français, devient le président. Frédéric écrit de nombreux ouvrages, en 1740, l’Anti-Machiavel et Considérations sur l’état présent du corps politique de l’Europe, en 1746, l’Histoire de mon temps. En 1748, à l’issue des guerres de Silésie, il publie les Principes généraux de la guerre où il expose ses manœuvres d’enveloppement, il étudie et applique l’art militaire plus qu’aucun homme de son temps. En 1752 c’est le tour du Testament politique, en 1780, De la littérature allemande et enfin en 1781 l’Essai sur les formes de gouvernement et sur les devoirs des souverains. Mais c’est en 1760 qu’il publie ses Odes et ses Épitres. Précieux et remarquable volume imprimé sur papier fin de hollande, le seul répertorié de cette édition conserve dans son élégante reliure royale en maroquin citron a dentelle fleurdelysée de l’époque avec doublures et gardes de papier fort au semé d’étoiles et de points dorés. Des bibliothèques Henri Béraldi (juin 1934, n° 90) et Comtesse de Behague.
Frédéric II de Prusse (Hohenzollern, dit Frédéric-le-Grand ; 1712-1786)
Reference : 5375
Neuchâtel, jouxte la copie in-4, imprimée au Donjon du Château de Sans-Souci en 1750, s.n. , 1760 ; 4 tomes in-12, veau fauve marbré, dos lisse décoré et doré, pièce de titre et tomaison havane, tranches marbrées (reliure de l'époque) ; XXIV, tableau dépliant de la généalogie de la Maison de Brandebourg, 271 pp. ; tableau dépliant de la généalogie des maisons prétendantes à la succession de Jean-Guillaume, 320 pp. ; 344, (3) pp. ; 330, (2) pp. Edition qui a été faite sur l'originale de 1750 en 3 volumes in-4, augmentée, elle comprend : Mémoires pour servir à l'histoire de la Maison de Brandebourg ; De la superstition et de la religion ; Des Moeurs, des coutumes, de l'industrie, des progrès de l'esprit humain dans les arts et dans les sciences ; Dissertation sur les raisons d'établir ou d'abroger les loix ; L'Art de la guerre ; Odes ; Epitres ; Epitres familières ; Pièces diverses ; Lettres en vers et prose ; Pièces académiques ; Variantes. Quatre Epitres et deux Odes, dont une à Voltaire sont inédites. Bel exemplaire.
ray PF4
, , 1789. 15 vol. in-8, veau blond moucheté, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, guirlande dorée d'encadrement sur les plats guillochis dorés sur les coupes (reliure de l'époque).
Deuxième édition publiée à Bâle plus complète pour la correspondance que la seconde édition de Berlin et dans laquelle on trouve les Pensées sur la religion. Dans cette édition les réponses aux lettres de Frédéric sont placées après chacune des lettres : I-III. Mémoires sur le règne de Frédéric II, roi de Prusse, écrits par lui-même. 1. Histoire de mon temps. 2. Histoire de la guerre de Sept ans. 3. Histoire de la guerre de Sept ans. Mémoires depuis la paix de Hubertsbourg jusqu'à 1778. ; IV-X. Correspondance. 1. Lettres du prince royal de Prusse et de M. de Voltaire. 2-3. Lettres du roi de Prusse et de M. de Voltaire. 4. Lettres du roi de Prusse et de M. d'Alembert. 1760-1774. 5. Lettres du roi de Prusse et de M. d'Alembert. 1775-1783. 6. Lettres du roi de Prusse et du Mis d'Argens. 7. Lettres à divers. (M. Jordan, Marquise du Chatelet, M. Rollin, Condorcet, Grimm) ; XI-XII. Mélanges en vers et en prose. 1. Considérations sur l'état présent du corps politique de l'Europe. Essai sur les formes de gouvernement et sur les devoirs des souverains. Dialogues des morts. Examen critique du Système de la nature. Avant-propos sur la Henriade de M. de Voltaire. Dissertation sur l'innocence des erreurs de l'esprit. Poésies. 2. Le Palladion, poème. Pensées sur la religion (par La Serre). Épîtres. L'École du monde, comédie. XIII. Lettres du Roi de Prusse et du Général Fouqué. Exemplaire auquel ont été réunis les tomes XIV et XV de l'édition originale publiée par Jean-Charles Laveaux, à Berlin, chez Voss et Fils et Decker et Fils, 1788 : Correspondance Lettres de M. d'Alembert au roi. Bel exemplaire. Dos insolés, rousseurs.
1994 Editions Rive Droite, Paris - 1994 - 1 fort volume in-8 - Broché, couverture illustrée - 675 pages - Documentation incontournable sur tous les ouvrages de Frédéric Dard y compris les "San-Antonio" - Reproduction en couleur de couvertures de livres de Frédéric Dard ou pseudos utilisés par l'auteur en cahier central
Assez bon état général mais illustrations en couleur du cahier central ayant tendance à se détacher - Coins cornés - Tranches un peu pâles - Dos un peu voilé - Petites marques de frottements à la couverture - Plis de lecture au dos - Plis d'ouverture sur la première et la deuxième de couverture - Une marque de pli dans le coin inférieur de la deuxième de couverture
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Carlsruhe en 1826. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Carlsruhe en 1826. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
- Photographie 4 x 7, 5 cm, collée sur carton.
Photo. Né à Carlsruhe en 1826. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
FREDERIC II DE PRUSSE (DIT FREDERIC LE GRAND. 1712-1786). STANISLAS LESZCZYNSKI (ROI DE POLOGNE. 1677-1766).
Reference : 2686
(1768)
A NANCY. CHEZ LA VEUVE BABIN. 1768. IN-12 (10,5 X 16,5 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (10) + 360 PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 VELIN DE REEMPLOI, DOS LISSE, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN HAVANE, TRANCHES JAUNES. EDITION ORIGINALE ET UNIQUE DE CETTE COMPILATION DE PENSEES DES DEUX SOUVERAINS PAR ANDRE GUILLAUNE CONTANT D’ORVILLE (CA. 1730-1800). (BARBIER. III. 827). RELIE D’ORIGINE SANS LE FEUILLET DE FAUX TITRE, PETITE TACHE D’ENCRE SUR LE FEUILLET DE TITRE, SINON BEL EXEMPLAIRE.
A SANS-SOUCI. SANS NOM D’EDITEUR. 1760. 2 VOLUMES IN-12 (11 X 17 X 6 CENTIMETRES ENVIRON) DE XII + 284 + 79 + (1 BL) + IV ET IV + 368 PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE D'UN DECOR DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN HAVANE, ROULETTE DOREE SUR COUPES, TRANCHES ROUGES. (QUERARD. SUPERCHERIES. III. 117). INFIME TRAVAIL DE VER EN MARGE INFERIEURE BASSE DE QUELQUES PAGES DU TOME I, SANS AUCUNE GRAVITE, PETITS DEFAUTS EXTERIEURS SANS GRAVITE, SINON BON EXEMPLAIRE.
Berlin, chez Rodolphe Decker 1846-1847, 235x150mm, demi-chagrin à coins, dos à faux-nerfs, titre, tomaison et filets dorés, plats avec encadrement filets dorés, tranches dorées. Bel exemplaire.
2 fac-similié dépl.,
Gravure originale à l'eau forte et aquatinte - format 13,5 x 13,5 cm sur une feuille de 29,5 x 21 cm - Vers 1820 - bon état malgré quelques petites piqures marginales sans gravité -
Portrait en buste en costume d'apparat - Extrait des "Portraits de tous les souverains de l'Europe et des Hommes illustres modernes" par Meyer - vers 1820 -
Gravure originale à l'eau forte et aquatinte - format 13,5 x 13,5 cm sur une feuille de 29,5 x 21 cm - Vers 1820 - bon état malgré quelques petites piqures marginales sans gravité -
Portrait en buste en costume d'apparat - Avec une notice biographique - Extrait des "Portraits de tous les souverains de l'Europe et des Hommes illustres modernes" par Meyer - vers 1820 -
Photographie 7,5x4 cm - collée sur carton - vers 1900 -
Paris, Hachette, 1872. 3 contemp. hcalf. Spines slightly rubbed. A paperlabel pasted on lower part of spines. VII,476430,(2)(4),351 pp. Stamp on titlepages. A few scattered brownspots.
PRADT, de ( Dominique-Georges-Frédéric de Riom de Prolhiac de Fourt, baron de Pradt, Allanche, 23/04/1759, Paris, 18/03/1837, fils d'Isaac Dufour, seigneur de Pradt, et de Madeleine de Lastic-Fournels, Diplomate et historien des relations internationales - Evêque de Poitiers en 1805, Archevêque de Malines en 1808, Aumônier de Napoléon Ier, Ambassadeur de France à Varsovie en 1812, Grand Chancelier de la Légion dHonneur en 1814, Sénateur de l'Empire)
Reference : 20179
(1825)
1825 PARIS, Bechet ainé - 1825 - Edition Originale - In-8 - Reliure 1/2 basane - Dos lisse à filets dorés - Pièce de titre en maroquin cerise - Titre doré - 59 + (1) pages -Exlibris Léon godart - Bon exemplaire - Réf.20179
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Prince Fréderic-Charles publié par le capitaine Wolfgang Foerster du grand état major allemand traduction et résumé par le commandant Corteys
Reference : EXP18873
ernest Flammarion
Bon état
PHILIPS. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, Orchestre Antique Musica, direction: JACQUES ROUSSEL. Biographie de MARCEL MARNAT à l'intérieur de la pochette et une petite photo en noir et blanc.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n° 641.735 LL Classification : 410-33 Tours
FREDERIQUE SOPHIE WILHELMINE, Margrave de BAREITH, soeur de Frederic le grand.
Reference : 5290
Leipzig, H.Barsdorf, 1910, fort in 8 broché, 618 pages. Cinquième édition, continuée jusqu'à 1758 et ornée d'un portrait de la Margrave. Complet en un volume. Exemplaire à la couverture défraîchie et salie, un peu courte, avec très petits manques, dos bien ridé, bon état intérieur.
MECKLEMBOURG-STRELITZ (Georges de) prince de la Maison de Mecklembourg, qui régna sur le grand-duché de Mecklembourg-Strelitz de 1816 à sa mort. (1779-1860) Lettre autographe signée à Marguerithe de Wildermeth (1777-1839), dame des ordres impériaux et royaux de Sainte-Catherine, gouvernante de l’impératrice de Russie Marie Feodorovna (1777-1839), et de sa belle-fille Charlotte de Prusse, la fille ainée de Frédéric Guillaume III, future épouse de Nicolas 1er empereur de Russie, sous le nom d’Alexandra Feodorovna.
Reference : 28C22
Il faut savoir que la pierre malachite était utilisée communément en Russie par les tsars en tant que pierre de décoration, mais était surtout connue pour ses vertus protectrices, également pour lutter contre les énergies néfastes, notamment préconisée pour protéger les enfants contre les maladies mortelles. «…Aujourd’hui, où je me trouve enfin en possession de ces charmants petits objets, rien ne devra plus m’empêcher de laisser un libre cours à la joie que j’éprouve mais jamais je ne pourrais décider si c’est votre complaisante amitié, ou l’excellence de votre goût, que je dois admirer le plus. Croyez ma chère Wildermeth que je sais apprécier l’une et l’autre comme je le dois, et que par conséquent ma reconnaissance est extrême. Malgré tout cela vous ne serez pas surprise d’apprendre que les Malaquits n’ont fait que la partie inférieure de votre envoi et que ce qui l’emporte mille fois sur eux en prix et en agrément ». A propos de Charlotte, la future impératrice de Russie (en 1825), « C’est vraiment une bonne œuvre que vous avez faite ma chère Wildermeth que d’être entrée dans tous ces intéressants détails car quoique je savais Charlotte heureuse autant que je pouvais le savoir par des voies que vous connaissez, vous sentez bien que de telles données ne pouvaient me suffire. Soyez donc (vous qui savez combien j’aime Charlotte) de l’espèce de jubilation auxquelles je me suis livré en me disant que c’était vous qui m’apprîtes tout ce que je pouvais désirer à son sujet. Dieu vous le rende, ma chère Wildermeth et qu’il daigne continuer à bénir cette si digne Fille de la céleste Mère. J’imagine que votre solitude doit vous paraître bien douce, quand vous vous dites que c’est vous qui avez développé ce charmant naturel, qui l’avez préservé du souffle empoisonné du monde, qui avez dirigé enfin son esprit et son cœur de manière à en pouvoir trouver que le bonheur dans ce monde moins dans l’autre. Je vous en remercie pour ma part et au nom de celle que nous regretterons éternellement. Je vous dis cela bien du fond de mon cœur. Quand vous écrirez à Charlotte dite-lui mille choses tendres et affectueuses de ma part et parlez-lui de la satisfaction qu’à reproduit l’envoi des Malaquits. Elle m’a écrit une longue et délicieuse lettre peu de temps après votre départ, pour me féliciter de la bien heureuse naissance de mon fils […] Oui ma chère Wildermeth, il est le seul tyran qui me suffit, car depuis que Dieu m’a donné ce garçon je suis vraiment aussi heureux que l’on peut l’être ici -bas, et je sens vivement que jamais je ne pourrais mériter ce bonheur autant que je voudrais. Je n’ai plus qu’un seul vœu, c’est que Dieu me conserve ce qu’il m’a donné et tout autre vœu aussi serait le comble de la témérité et de l’indiscrétion… ». Il en arrive à parler de lui-même ainsi que sur la dame Marchetti, « et son ci-devant compagnon d’infortune. Comme cette bonne femme n’a jamais ambitionné un amant en forme et qu’elle avait grandement besoin d’en trouver un pour sa voix j’ai été vraiment enchanté d’apprendre que son bon génie le lui a fait rencontrer à Moscou, sans pourtant être tout à fait exempt de jalousie, vu que je suis également un de ses amants de ce genre et que par conséquent mon amour propre est très blessé, qu’elle n’a pas seulement voulu m’apprendre d’avoir trouvé ma pareille. J’espère de déterrer son adresse pour lui faire de tendres reproches… ».
FREDERIC II, dit le Grand, Roi de Prusse, ami de Voltaire (1712-1786)
Reference : 131C16
« Mr le comte de Grosberg-Bavière, je serai bien aise de faire votre connoissance ainsi que celle du Chevalier d’Aubigni, Capitaine de Cavallerie au régiment de Bourgogne. Dimanche prochain, 6 de ce mois avant midi, je pourrai me procurer ce plaisir et vous n’avés alors qu’a vous adresser à Mon Colonel Baron de Stern ici qui a ordre de vous presenter... ».