1918, 22.5x31 cm, dessin au crayon originale de Robert Charles Goff qui a residé en 1918 en Suisse, et a parcouru notre coin du pays. Signé et daté en bas a gauche. / et contre signé au dos.
Robert Charles Goff (1837–1922) was a printmaker and painter who specialised in topographical scenes.[1] As an etcher he was strongly influenced by the work of James McNeill Whistler. Goff lived in London and Brighton but travelled extensively. He moved in the 1890s to a villa overlooking Florence and he and his second wife wrote about the area. He then moved during the First World War to Villa Valerie, Bellaria, La Tour-de-Peilz (In the Canton de Vaud), Switzerland where he died in 1922. Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
LE GOFF (Jacques), sous la direction de, CHEDEVILLE (André), ROSSIAUD (Jacques).
Reference : 19103
(1980)
ISBN : 2-02-005666-6
Paris, Seuil, "L'Univers historique", 1980 1 volume 16,8 x 21,3cm Reliure éditeur pleine toile marron sous jaquette au 1er plat illustré couleurs; gardes illustrées. 653p., 1 feuillet; cartes, graphiques, plans, nombreuses illustrations in texte, vignettes et pleines pages, 16 planches couleurs hors texte. Volume en très bon état; jaquette un peu fendillée, petite et très pâle mouillure en marge supérieure du 2nd plat de la jaquette).
2è tome de la série "Histoire de la France urbaine" dirigée par Georges DUBY, volume dirigé par Jacques LE GOFF, en 3 parties: "Du début du Xe siècle au milieu du XIIe siècle, c'est la phase de genèse, d'ascension urbaine ["De la cité à la ville - 1000-1150" par André CHEDEVILLE]. Du milieu du XIIe siècle aux environs de 1330-1340, c'est l'apogée de la ville urbaine médiévale ["L'apogée de la France urbaine médiévale - 1150-1330" par Jacques LE GOFF]. Du milieu du XIVe au début du XVIe siècle, c'est une période à la fois de crise et de consolidation ["Crises et consolidations - 1330-1530" par Jacques ROSSIAUD]. Dans la première période, la ville se dégage du système domanial et, malgré la concurrence des châteaux et des monastères, remplace la cité. Dans la seconde elle s'épanouit dans le cadre seigneurial et monarchique, et dans la troisième elle se soumet au prince et à l'Etat mais devient le lieu du pouvoir et de la culture dominante. Subjuguée, déchirée, elle affirme son prestige et donne le ton" (in introduction de Jacques LE GOFF); index; bibliographie; riche iconographie (cartes, graphiques, plans, reproductions de gravures et peintures anciennes, photos). 1ère édition, reliée; exemplaire bien complet de sa jaquette (et non livre de poche).
S.n., s.l., [2017]. 8p A4. Travail de Jean-Pierre Le Goff resté jusqu'à ce jour inédit. Il consistait en diverses impressions, 128 en tout, dont on pourrait faire part sur des cartes de visites telles que « Faire signe ne donne pas pour autant de ses nouvelles », « On se maquille une façade avec quelques traces d'encre » ou « au cas où j'oublierais où je peux me trouver ». Chaque carte de visite porte le nom, l'adresse et le téléphone de Le Goff, et il y a écrit, de son encre turquoise habituelle, une impression. L'ordre des cartes de visite a été conservé telle que Le Goff l'a voulu. Tirage unique à 64 exemplaires tous numérotés et enrichis de cartes de visite. Un des 10 exemplaires contenant 5 cartes de visite
S.n., s.l., [2017]. 8p A4. Travail de Jean-Pierre Le Goff resté jusqu'à ce jour inédit. Il consistait en diverses impressions, 128 en tout, dont on pourrait faire part sur des cartes de visites telles que « Faire signe ne donne pas pour autant de ses nouvelles », « On se maquille une façade avec quelques traces d'encre » ou « au cas où j'oublierais où je peux me trouver ». Chaque carte de visite porte le nom, l'adresse et le téléphone de Le Goff, et il y a écrit, de son encre turquoise habituelle, une impression. L'ordre des cartes de visite a été conservé telle que Le Goff l'a voulu. Tirage unique à 64 exemplaires tous numérotés et enrichis de cartes de visite. Un des 51 exemplaires contenant 1 carte de visite
Editions du Perron, Liège, 2004. In-8, broché sous couverture illustrée en couleur, 101 pp. Préfaces - Prolégomènes, par Françoise Pirenne - Avant-propos, par Guy Massin Le Goff - Quelques questions autour de la tenture de l'Apocalypse d'Angers, par G. Massin Le Goff - Le goût pour la tapisserie au travers des archives angevines, par ...
Nombreuses illustrations en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Editions du Perron, Liège, 2004. In-8, broché sous couverture illustrée en couleur, 101 pp. Préfaces - Prolégomènes, par Françoise Pirenne - Avant-propos, par Guy Massin Le Goff - Quelques questions autour de la tenture de l'Apocalypse d'Angers, par G. Massin Le Goff - Le goût pour la tapisserie au travers des archives angevines, par ...
Nombreuses illustrations en couleur. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Albin Michel Broché D'occasion état correct 01/01/1947 150 pages
Editions La Découverte , Sur le Vif Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1999 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise et rouge, illustrée d'un marchand de journaux fin XIXe In-8 1 vol. - 126 pages
1ere édition, 2eme tirage, 1999 Contents, Chapitres : Introduction - 1. Moderniser à tout prix : Management et manipulation, les émancipations de l'ère nouvelle - Evaluation des compétences et déshumanisation du travail - Les outils pédagogiques libérateurs - L'école sous la pression moderniste - 2. Comment en est-on arrivé là ? : Aux origines culturelles de la barbarie douce - Aux origines de la gauche modernisée - Des conditions pour espérer ? - Conclusion - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps »8. Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bon exemplaire, frais et propre
Paris, Éditions Gallimard, 1978 ; in-8, 422 pp., broché. Jacques Le Goff, né le 1er janvier 1924 à Toulon et mort à Paris le 1er avril 20141, est un historien médiéviste français. Jacques le Goff est un spécialiste du Moyen-Âge, un maître de l'histoire nouvelle. Il est l'un des fondateurs de l'Ecole des Annales. Ces nouvelles traitent des marchands, du travail, des paysans, de l'université, du monde ecclésiastique, de l'historien et de l'idée du moyen âge chez Michelet. Bon état.
Le Goff, René ; Boulois, Max-Henri
Reference : 22709
(2001)
ISBN : 2865621030 9782865621033
Jean-Pierre Taillandier, coll. “Acteurs de la société” 2001 In-8 broché, couv. illustrée en coul., 219 pp + un cahier central de 8 pp de photos en coul. Très bon état. Poids : 900 gr avec emballage d’expédition
M-H Boulois, ancien champion, journaliste, cinéaste, écrivain donne la parole à un ami de longue date : René Le Goff, spécialiste de la microinformatique, ancien sportif de haut niveau et Conseiller de Paris à l’UMP. Des solutions pour rattraper le retard de la France en matière de Web et de sport, pour endiguer la fuite des cerveaux à l’étranger, évoluer dans le domaine des Nouvelles Technologies, prendre place au sein de l’Union Européenne... Bon état d’occasion
État : Très bon état - Année : 1999 - Format : in 8° - Pages : 220pp - Editeur : Gallimard NRF - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché avec jaquette illustrée - Divers : Un très léger pli de lecture au dos. - Collection : Bibliothèque des Histoires - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/jacques-le-goff/8938-saint-francois-d-assise?lrb
Une vie de Saint François par le grand médiéviste reconnu qu'est Jacques Le Goff et surtout son influence et celle de son action sur son siècle qui commence à voir naître le Moyen-Age moderne et dynamique. Mais ce n'est pas tout, il est le modèle d'un nouveau type de sainteté centré sur le Christ jusqu'à s'identifier à Lui, François est le premier à recevoir les stigmates. Regroupement dans ce volume de quatre textes écrits par l'auteur tout au long de sa carrière universitaire et publiés dans différentes revues scientifiques.
Phone number : 09 63 58 85 14
Le Goff Jean-Marie Dos agrafé 1949 Brochure in-8 (13.5 x 21 cm), dos agrafé, non paginé, un portrait en noir du Docteur Jean-Marie Le Goff hors-texte ; bords des plats frottés, des marques et taches d'usage sur les plats, ex-libris au 1er plat, par ailleurs assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
<p>Véritable immersion dans l’une des périodes de l’histoire les plus créatives, cet ouvrage dirigé par Jacques Le Goff explore le Moyen ge de l’intérieur, à travers 112 portraits d’hommes et de femmes qui ont vécu et donné vie à dix siècles de questionnements, d’échanges et de découvertes. Lespersonnages de ce volume ne se limitent pas à offrir une image résumée de leurs vies et de leur réputation au Moyen ge. Ils sont ici en tant que témoins et mémoire historique. Ces héros de l’histoire (Attila, Clovis, Charlemagne, Saladin, Marco Polo, Jeanne d’Arc…), ou ces personnages imaginaires (Arthur, Satan, Mélusine, Robin des bois...) révèlent une période qui s’éloigne de l’image d’un Moyen ge obscurantiste. Jacques Le Goff a demandé aux historiens les plus renommés de participer à l’écriture de cet ouvrage, qui offre une introduction passionnante et actualisée de cette période essentielle de notre histoire. Le livre est accompagné de cartes, d’une chronologie et d’une bibliographie de référence.</p> Paris, 2018 Flammarion 448 p., broché. 17 x 24
Neuf
Loudéac, Yves Salmon, 1989, gr. in-8°, 396 pp, préface de Jean Meyer, 16 pl. de gravures hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
Cet ouvrage décrit l'économie et la société du Vannetais, petit pays de la Bretagne du Sud qui, avec sa ville, comprenait environ 50.000 habitants au XVIIIe siècle, entre 1730 et 1793. L'auteur évoque les liens économiques entre la ville et sa campagne et entre les divers groupes sociaux, esquisse l'image que se faisaient ces groupes de leurs voisins, et analyse l'évolution de la société locale à travers ses vicissitudes économiques. La première partie étudie la ville de Vannes, s'intéressant surtout aux liens entre la fortune et le statut social, aux phénomènes de mobilité sociale et geographique (...) L'auteur analyse les luttes pour le pouvoir à l'intérieur de l'élite urbaine, querelles qui ont débouché sur les événements révolutionnaires de 1788-89. La société rurale forme la matière de la seconde partie, où sont analysés les modes de propriété, l'économie paysanne, les hiérarchies de fortune, l'acquisition de la terre, et les solidarités de base de la communauté paysanne. — "La Bretagne a offert à T. J. A. Le Goff l’occasion d’écrire une admirable étude sur Vannes. C’est une étude régionale, à la manière des études régionales françaises, revues et corrigées à l’anglaise. Deux parties : la ville de Vannes, l'une de ces villes typiques « moyennes », de moins de 10.000 habitants comme il y en a tant en France, mais qui est aussi ville maritime dont on voit ici ses relations avec la campagne, ses traits, sa société, sa vie politique, et même les prémonitions de la Révolution ; la deuxième partie traite du plat pays : les problèmes de la propriété et d’exploitation, si particulière en cette Basse-Bretagne où dominait le « domaine congéable », la répartition de la richesse et de la pauvreté, le monde des paysans, l’Eglise et le clergé, enfin, les évolutions économiques et sociales entre 1730 et 1789, avec, en guise d’épilogue, la Révolution dans le Vannetais. La documentation force l’admiration, les analyses sont pertinentes. Voilà l’un de ces livres que l'on aimerait avoir soi-même écrit. T. J. A. Le Goff s’est naturalisé vannetais, totalement. Historien il l’a toujours été. Or il a joué l'extrême difficulté : le sujet était sinon vierge, du moins peu exploité, et la bibliographie régionale limitée. Sous l’aisance du style se cache un énorme travail, une profonde sympathie : au total un livre qui, d’un sujet «limité », fait œuvre novatrice et profonde." (Jean Meyer, Revue Historique, 1985)
La Découverte Poche , Essais Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur gris foncé avec une petite vignette verte sur le bord gauche du plat In-8 1 vol. - 164 pages
1ere édition du nouveau tirage de 2000 Contents, Chapitres : Introduction - Crise et repères du management - Ingénieur, un métier qui se perd - Contextes et difficultés actuelles du management - Le management comme activité - Quelle formation au management - Conclusion et postface - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps ». Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bel exemplaire, frais et propre - format de poche
La Découverte Poche , Essais Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur gris foncé avec une petite vignette verte sur le bord gauche du plat In-8 1 vol. - 164 pages
1ere édition du nouveau tirage de 2000 Contents, Chapitres : Introduction - Crise et repères du management - Ingénieur, un métier qui se perd - Contextes et difficultés actuelles du management - Le management comme activité - Quelle formation au management - Conclusion et postface - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps ». Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bon état, intérieur frais et propre, un ex-libris sur la premiere page - format de poche
Paris, Leperlier, 1982. Grand in-4, 64p couverture illustrée et jacquette. Numéro 1 et unique de cette revue publiée sous la direction de François Leperlier (n°0042) dont le comité de direction contenait Jean-Pierre Le Goff. On y retrouve les textes de plusieurs personnes, en plus de ces deux susnommés, qui feront partie de la banalyse : Georges Sebbas (n°0350), Pierre Peuchmaurd (n°0367), Alain Joubert (n°0041), Laurent Gervereau (n°0226), Jean Benoît (n°0750), Antoine Leperlier (n°0360) & F.J. Ossang (n°0347) soit 9 des 15 contributeurs. Le texte de Le Goff est d'ailleurs un poème Miettes ferroviaires s'inscrit comme une prémonition de son arrivée au Congrès des Fades en 1984, quand personne ne l'y attendait.
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).