Revue de 32 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, bon état
Au sommaire : Masques secrets, visages révélés ; Bénin, cinq siècles d'art royal ; Geoges Vantongerloo (1886-1965) ; Gibier et tables gourmandes ; la collection Georges de Bellio ; Arcimboldo (1526-1593), etc.
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Revue de 32 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, bon état
Au sommaire : Histoire du compagnonnage à Troyes ; Les "Marianne" au Sénat ; Verreries d'Emile Gallé ; Maternité et petite enfance, etc.
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Revue de 32 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, bon état
Au sommaire : Objets emblématiques du notariat ; George Sand, une nature d'artiste ; Les années glorieuses de la pub (1950-1970) ; Abraham Bosse ; Histoire de l'imprimerie, etc.
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Revue de 32 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, bon état
Au sommaire : Diane chasseresse ; Images de soie ; Art primitif, etc.
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Revue de 32 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, bon état
Au sommaire : Faiences et porcelaines (XVIIe-XIXe siècle) ; Ordre de Malte ; Les Rouart, collectionneurs-peintres ou peintres-collectionneurs ; Il y a un siècle, Buffalo Bill ; Elsa Schiaparelli, etc.
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Henry-René d'ALLEMAGNE - [Marne-la-Coquette 1863 - 1950] - Historien et collectionneur français
Reference : GF25342
3 pages in4 - bon état - -
Trois intéressantes lettres à propos de leur collaboration pour sans doute "La Maison d'un vieux collectionneur" - Jean Kerhor (ou André Dupuis) a effectué de nombreux dessins d'objets, des lettres ornées et des frises pour le livre - Dans ces lettres, D'Allemagne donne des indications trés précises sur ce qu'il souhaite et ne manque pas de dire sa satisfaction -
FIRMIN-DIDOT (Amboise) éditeur, imprimeur et collectionneur français (1790-1876)
Reference : 58C30
Belle lettre. « J’ai lu avec un bien grand plaisir l’article Bibliofilique (sic) que vous insérez dans le 1er numéro de la Résurrection du Bibliofile français », annonce-t-il, « Elle ne pourrait paraître sous un meilleur patronage, le duc d’Aumale en titre et votre signature à la fin ». Il est surpris qu’il puisse trouver le temps d’écrire alors que lui, même « séquestré à la campagne, je ne puis qu’à grand peine achever quelques-uns des travaux pour lesquels j’ai amassé des matériaux pendant le cour de ma longue vie. Permettez-moi de vous offrir les deux derniers opuscules qui pourront peut-être vous intéresser sous peu je pourrai vous remettre mon Essai sur Jean Cousin [le peintre, dessinateur et graveur de la Renaissance], qui m’a pris près de trois ans de recherches ». Il s’est permis de modifier quelques mots de son article concernant « la cession que j’ai eu la faiblesse de faire à la bibliothèque de la ville Milles de Provence », et s’en excuse.
FEUILLET DE CONCHES (Félix Sébastien) diplomate, journaliste et collectionneur français. Il fût également un faussaire notoire d’autographes (1798-1887).
Reference : 49C23
Longue et intéressante lettre à propos du passeport demandé par Surville. « Je te renvoie ton pport (pour passeport) parce qu’il porte une désignation qui exposerait Mr Colin à des désagréments. Il n’y a plus de Hollande : il y a un Royaume des Pays-Bas. Dans l’état politique où se trouve vis-à-vis de nous ce Royaume depuis le démembrement de la Belgique, cette appellation hollande lui va au cœur et le blesse. Les pports qui se délivrent à Paris portent l’indication des Pays-Bas. Venant de France avec un pport pour la Hollande susciterait quelque embarras au voyageur…. Adieu, mets moi, je te prie, aux pieds de Madame de Balzac… ».
Gustave Bourcard (1846-1925), collectionneur et écrivain d'art, membre de la Société des peintres-graveurs français.
Reference : 008091
Gustave Bourcard (1846-1925), collectionneur et écrivain d'art, membre de la Société des peintres-graveurs français. L.A.S., Nantes, 7 août 1885, 1p in-12. Carte postale. Il demande à Durel s'il a des ex-libris et lui demande de les envoyer avec le prix. [259]
FILLON (Benjamin) grand collectionneur et numismate français. Il fut également un archéologue de grande renommée et un érudit poitevin (1819-1881)
Reference : 15C22
Superbe lettre sur l’art. Il veut apporter une précision à son confrère, au sujet de sa demande auprès de Philippe Burty. « Je tiens à ce que vous sachiez bien que Burty m’avait offert les renseignements biographiques que je lui ai demandé ; autrement je me fusse adressé naturellement à vous. J’étais loin de me douter qu’ils me vinssent de cette source si bien approvisionnée. Cela me donne toute garantie sur leur exactitude [......] Vous avez l’étrange image qu’à fait de moi Meryon. Pauvre grand artiste, il m’a vu avec des yeux d’hallucinés ; mais la gravure n’en est pas moins curieuse comme compréhension de traits d’un homme qui n’a rien d’un rodeur de grands chemins….il a mis sur mes traits ce qu’il supposait dans l’âme. Une revue de mes brochures anciennes sera faite à votre intention. Voici le catalogue des artistes et compositeurs de musique bientôt imprimé. Charavay vous a-t-il remis les bonnes feuilles ? Vous trouverez là dedans, toute mon esthétique. Elle est de nature a soulever bien des protestations surtout de la part des amateurs passionnés de l’art du XVIIIème siècle auquel je rends justice dans la nature du possible pour un homme de mon tempérament. Wateau (sic) est un fantaisiste qui me plait infiniment ; Est-ce une raison pour me pâmer devant Pater et Lancret ? Latour et Chardin ont toutes mes sympathies ; Dois-je pour cela, faire de Boucher le rival de Raphaël, et regarder Baudouin et Moreau comme des artistes de premier ordre ? Les aimables Goncourt sont des charmeurs qui ont oblitéré les vues bien douces et servi le peu de jugements qu’il y avait dans les cervelles d’un tas de niais. Quand je vois ces farceurs et admirations devant les gaudrioles des décorateurs de boudoirs de ce temps là ; quand j’en vois d’autre, en……émotions devant les scrofuleuses de Clodion, je suis pris de pitié pour ces jeunesses séniles et rêver volontiers aux maitres de l’art. Le XVIIIe siècle français est assez bien partagé sous d’autres rapports pour qu’on ne nous empruntasse pas de ces drôleries. Doit-on me taxer de curieux rococo. Je ne fais cas du Pompadour qu’en fait de meubles capitonnés. Je m’arrête…».
DAGUIN (Claude Arthur) ingénieur, magistrat français. Il fut également un collectionneur et un philanthrope éclairé, auteur de nombreuses publications portant sur de nombreux sujets tels que la faune et la flore, la généalogie, l’héraldique pour n’en citer que quelques uns. Son travail considérable et son œuvre conséquente sur la Haute Marne, reste une référence (1849-1944)
Reference : 44C25
Ce manuscrit de travail pour cet ouvrage, comporte plus de 40 pages in-4, avec de nombreux repentirs et corrections, où sont utilement insérées plusieurs épreuves d’imprimerie abondamment corrigées. Il fait référence à la bibliographie des volumes et plaquettes dus aux Juges de paix depuis la création des Justices de Paix, c’est à dire depuis 1780 jusqu’à nos jours, 1907, date de la publication.
FILLON (Benjamin) grand collectionneur et numismate français. Il fut également un archéologue de grande renommée et un érudit poitevin, possédant la plus grande collection de curiosités poitevines. Une partie de sa collection d’autographes et objets d’art fut présentée à la vente en 1877, vente assistée par l’archiviste et expert Etienne Charavay (1819-1881)
Reference : 14C22
Précieuse lettre au bibliographe, l’historien de l’art et de la littérature. Il lui précise qu’il lui a adressé par erreur, « deux exemplaires du portrait » de sa pauvre compagne, [Clémentine Fillon, sa cousine germaine, qu’il épouse en 1863. Elle était la fille de Pauline Victoire Poëy d’Avant et de Joseph René Fillon, 1830-1873], « gravé par Jacquemart. [Jules Ferdinand, gravure réalisée en 1858] Le second état destiné à Madame Amboise Milet [Madeleine Adèle, épouse du célèbre céramiste et conservateur de musée] à la Manufacture de Sèvres. Si par hasard, il vous venait une occasion de le lui faire remettre, je vous en serais reconnaissant. Vous recevrez en même temps que cette lettre, mon petit travail sur le Songe de Poliphile, où j’ai dégagé les abords de ce livre singulier de toutes les fausses attributions d’illustrateurs qu’on s’était ingénié à y amonceler… ». Il lui précise qu’il lui adressera prochainement une brochure qui aura pour titre : « la galerie de tableaux et de portraits réunie au château de Saumur par Duplessis-Mornay. Vous y trouverez, entre autres détails intéressants, des choses inédites sur Jean Fourquet, Charlotte Arbaleste, (auteure et poète française) femme de [Philipe] Duplessis [Mornay, en 1576], était arrière petite fille de l’argentier Estienne Chevalier, avait eu par succession, une foule d’objets d’art provenant de son ancêtre parmi lesquels figurent le fameux livre d’heures, dont les débris sont aujourd’hui entre les mains de Mons. Brentano de Francfort ». Il pense que la nomenclature des œuvres de l’abbé du Fresnoy ne lui a pas été remise et lui donne de précieuses informations. 1° « Histoire du Monastère des Evêques de Luçon, Luçon , 3 vol. in-8 (je vous donnerai l’indication exacte). 2° Dix pièces dramatiques à l’usage des cercles d’ouvriers, collèges, Salons, etc. Luçon, E. Antigny, 1877. In-8 de 544 pp ». Il ajoute, que l’abbé du Fresnoy est un réactionnaire, « mais c’est un travailleur infatigable qui a longtemps dirigé et écrit à lui seul un petit journal poétique fort âpre ; mais entaché aux yeux du Clergé, d’idées libérales. Il y a donc lieu d’en tenir compte. Vous recevrez d’ici peu une note complémentaire exacte… ».
FILLON (Benjamin) grand collectionneur et numismate français. Il fut également un archéologue de grande renommée et un érudit poitevin, possédant la plus grande collection de curiosités poitevines. Une partie de sa collection d’autographes et objets d’art fut présentée à la vente en 1877, vente assistée par l’archiviste et expert Etienne Charavay (1819-1881)
Reference : 52C40
Une des dernières très intéressantes lettres de ce grand érudit, qui devait disparaître 2 mois plus tard, toujours en quête de recherches, particulièrement sur Jean-Jacques Rousseau qu’il admirait. « Vous, qui vivez dans un commerce intime et continuel avec les hommes et les choses du XVIII siècle, vous êtes plus à même que personne de me fournir un renseignement dont j’ai besoin. Vous savez que j’ai pour J. J. Rousseau une sympathie que beaucoup de très bons esprits du reste ne partagent pas. Tout ce qui le concerne a donc pour moi un intérêt particulier. J’ai recherché avec soin les portraits les plus ressemblants de l’illustre philosophe, et parmi eux, je place au premier rang ceux exécuté par Latour. [pour Quentin de la Tour (1704-1788] Que savez-vous des originaux de ces portraits ? Existe-t-il une iconographie de Jean Jacques un peu complète. On a fait cet honneur à Voltaire, son rival préféré, dans notre temps d’individualisme ». Cette question le préoccupe et si Tourneux pouvait lui donner une indication « sur les deux pastels de Latour », il en serait ravi, ajoutant, « Dites moi aussi si la lettre du 14 octobre 1764, par laquelle Rousseau accepte l’hommage du second de ses portraits offert par l’artiste, est inédite. Elle a figurée, comme vous le savez, à la vente qui a eu lieu cette semaine sous la direction d’Etienne Charavay. Les théories sociales de Jean-Jacques le mettraient en défiance des arts, ou plutôt des artistes, ce en quoi il n’avait pas tout à fait tort ; mais, quand il se trouvait en présence d’une œuvre vraiment saine, il savait en apprécier la portée et la valeur. Le prince de Conti, grand amateur de dessins de maîtres lui avait fait présent d’une fort belle composition à la sanguine d’Eustache Lesueur représentant la mort de Sénèque. Il l’a donna au comte d’Antraigues parce que, disait il, elle pouvait lui donner désir de posséder d’autres dessins, et que c’eut été augmenter ses besoins. Les portraits de Latour ne pouvaient le laisser indifférent ».
FILLON (Benjamin) grand collectionneur et numismate français. Il fut également un archéologue de grande renommée et un érudit poitevin, possédant la plus grande collection de curiosités poitevines. Une partie de sa collection d’autographes et objets d’art fut présentée à la vente en 1877, vente assistée par l’archiviste et expert Etienne Charavay (1819-1881)
Reference : 51C40
Belle lettre dans laquelle il lui adresse avec précisions, les précieuses indications bibliographiques de plusieurs ouvrages, que Tourneux lui avait réclamées, notamment la « Vie de Mathieu de Gruchy, Histoire des Moines et des évêques de Luçon, Vie de Mr Soyer, évêque de Luçon, Puytesson », tous ces titres accompagnés de ses appréciations, en mentionnant le nom des éditeurs ainsi que les dates de publication. « M. l’abbé du Tressay est en outre, auteur d’une foule de brochures et d’articles traitant de politique ou de matières religieuses. Bien que sa manière de voir soit diamétralement opposée à la mienne, je rendre justice à l’abbé que ses ouvrages sont pleins de faits curieux, et qu’il a, des lors tous les droits possibles pour figurer dans le Dict. des Contemporains où tout homme de valeur a de droit sa place. C’est un sentiment de justice qui me fait parler ainsi, et vous le comprendrez sans peine… ».
LIFAR (Serge) danseur, chorégraphe et pédagogue russe naturalisé français. Il fut un grand collectionneur obstiné de la danse (1905-1986).
Reference : 82C24
18 janvier 1970. De l’Opéra du Caire, il le remercie pour le magnifique livre de l’Opéra de Paris que le peintre lui a adressé. « Hélas, c’est un peintre Egyptien qui est chargé par le Ministère d’exécuter le décors de Daphnis… ». 27 octobre 1977. De l’Opéra de Paris, il sera heureux de les voir pour la représentation du 31. 14 mars 1981. Sydney (Australie). «… Je règle la chorégraphie de "Suite en blanc ". L’œuvre du musicien français ! (de Lalo) ». Décembre 1986. Carte de vœux pour la nouvelle année 1987, année que Lifar ne pourra connaître, signée par « Lilian et Serge ». Une des dernières signatures de Lifar, décédé 15 décembre 1986, à Lausanne. 8 février et 19 décembre 1987. 2 lettres autographes signées par sa compagne, Lillian (ou Lillan) Ahlefeldt-Laurvig. Elle exprime son émotion au reçu de la lettre des Brayer, venant la réconforter dans sa douleur. « Vos si aimables pensées dans ces moments tristes sont d’un grand réconfort dans mon immense détresse. Serge était mort dans mes bras consiens jusqu’au presque dernière moment. Il été si fragil, si transparent comme un petit oiseau. Il été doux et calme, mais pleuré tout le temps. Peu de temps avant sa mort il demanda son agenda où il écrivait avec son joli fin petit main "adieu la vie, adieu Lillan mon ange, adieu les amis, adieu les beautés de la nature"… et c’était fini ! ». Elle reviendra prochainement à Paris pour s’occuper du monument du tombeau du danseur, au cimetière russe de Ste-Geneviève-des-Bois. Sachant l’attachement que Lifar accordait aux Brayer, elle s’aventure à ouvrir son cœur et à dévoiler des confidences. « Serge été depuis29 ans ! tous ma vie - car nul ne sait mieux que moi qui été le VRAI Serge Lifar avec les éminentes qualités de Bonté, de sensibilité et de total désintéressement qui habitaient son âme. Le vide est terrible et le silence aussi. IL faut - si le Dieu le veu – que je vie encore un peu du temps pour défendre les œuvres de Serge et pour réunir la collection qui reste et qui ne sera jamais à vendre. On joint une superbe photo montée sur carton, représentant Serge Lifar posant torse nu devant Yves Brayer, dans sa loge de l’Opéra de Paris en 1941.
L’ensemble des 7 documents
NIEUWERKERE (Emilien de), sculpteur et collectionneur d’art français (1811-1892)
Reference : 118C21
Il demande à son ami de bien vouloir lui prêter de l’argent. Il s’excuse de cette nouvelle demande, lui assure un remboursement rapide et justifie cette demande de prêt. « Pardon cher ami de vous prendre encore pour banquier et d’abuser ainsi de votre inépuisable complaisance. Une seule réflexion m’encourage c’est que je serai charmé d’être à même de vous rendre le même service d’où le fait. Les dames que j’accompagne ici ne comptaient y rester que 24 heures au lieu de ça les charmes du Havre les y ont retenues 3 jours en outre elles ont fait une quantité d’emplettes ce qui a fait dépasser le budget. Ayez la bonté de m’envoyer 200 francs et après demain vous recevrez une lettre à l’adresse de la Baronne de Reding contenant la même somme vous brûlerez la lettre et vous garderez l’argent ».
MEUSNIER (Mathieu), sculpteur et collectionneur d’art français (1824-1896)
Reference : 114C21
Il lui demande de lui envoyer deux places pour assister à sa pièce de théâtre. « J’attends depuis longtemps avec la plus vive impatience que vous soyez arrivé à la moitié de votre grand succès pour vous demander deux places pour ma femme et moi… ». Il lui souligne son adresse rue d’Assas, en lui précisant que « c’est pas "la Fille de Madame Angot" bien entendu. Ne confondons pas les succès. »