Baron ERNOUF - (Alfred-Auguste Ernouf de Verclives (1817-1889), historien, avocat à la cour royale de Paris.
Reference : 15770
(1858)
1858 PARIS, Libr.Techener - 1858 - In 8° - Broché, accroc au 1 er plat - - XV ,508 pages - 1 planche des monogrammes des empereurs et rois d'Italie - rousseurs éparses - bon exemplaire
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Perrin et Cie Libraires-Editeurs Relié D'occasion bon état 01/01/1888 351 pages
Emile Perrin. 1884. In-8. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Rousseurs. III+691 pages - gravure en noir et blanc sous serpente en frontispice - renfort papier sur le dos et sur les plats - couverture jaunie, rousseurs - tampons et annotation sur le 1er plat - tampon, annotation et étiquette collée sur la page de faux titre - tampons et annotation sur la page de titre - papier jauni.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
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Lib. de Techener. 1858. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Quelques rousseurs. XV + 508 pages. Nombreux passages soulignés au crayon de papier dans le texte. Léger manque en coiffe de pied.. . . . Classification Dewey : 929.2-Histoire des familles célèbres
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G.Charpentier. 1877. In-12. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Rousseurs. 352 pages - renfort papier recouvrant le dos - étiquette collée sur le dos.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
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G. Charpentier. 1878. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 691 pages. Dos cassé, léger manque en coiffe de tête. Traces de scotch sur le dos. 2e plat légèrement déchiré.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
HACHETTE & Cie.. 1867. In-12. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 225 pages. Titre et caissons dorés sur le dos cuir bordeaux, à 4 nerfs. Pages volantes.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Philippe de Girard - Jacquard. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
LES EDITIONS DU LAYET. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 454 pages. Quelques planches en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 625-Chemins de fer, routes, autoroutes
Classification Dewey : 625-Chemins de fer, routes, autoroutes
2 volumes totalisant 488 pages, format 100 x 150 mm, illustré de 260 gravures, brochés sous étui, réimpression de l'édition de 1868, bon état
Histoire, théorie et pratique de la création des parcs et jardins anciens et modernes
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P., Techener, 1858, in-8°, xv-508 pp, une planche hors texte, broché, qqs rares rousseurs, bon état
Par le baron Alfred-Auguste Ernouf (1816-1889) — "L'histoire de Waldrade et de ses fils, de Lothaire et de ses ennemis... Lothaire ou Liut-heer, fondateur du royaume de Lorraine, neveu de Charles-le-Chauve, et par conséquent arrière-petit-fils de Charlemagne, a été chargé de toutes les malédictions des écrivains ecclésiastiques. M. le baron Ernouf a résumé leurs narrations et reproduit leurs dires avec une fidélité trop aveugle. Son livre suit fidèlement la chronique monacale et gallo-romaine. Cet ouvrage est assez intéressant par lui-même, assez neuf et assez bien écrit. Donc Lothaire le Germanique est accusé par les écrivains ecclésiastiques d'avoir calomnié et chassé sa femme ; de lui avoir préféré une femme de basse extraction ; d'avoir installé cette indigne rivale sur son propre trône et d'avoir tramé la mort de l'épouse. Je pense qu'il n'y a pas un mot de vrai dans tout cela. Lothaire, dont le domaine semi-germanique embrassait les Vosges, la Bourgogne transjurane et la Lorraine, a défendu comme il a pu son royaume et sa femme menacés par des voisins puissants ; voilà son crimé. A côté de lui régnait son oncle, le possesseur de la portion la plus romaine de la Gaule ; ce chef frank devenu roi comme Clovis. C'était le Koenig que nous appelons maintenant Charles-le-Chauve. Maître de Paris et du centre français, il aurait bien voulu s'étendre jusqu'au Rhin, aux Alpes et aux Pyrénées. Pressé du côté de l'Allemagne par son neveu Lothaire {Liut-heer), du côté de l'Espagne par son autre neveu Karl, il convoitait un ou deux domaines qui lui manquaient. L'Alsace, la Lorraine et la Provence lui auraient fort convenu... Lothaire, que M. Ernouf traite si mal d'après les chroniqueurs et les flatteurs anti-germaniques, avait vu à sa petite cour une jeune fille très belle, nommée Wald-rath, évidemment de race teutonique, sœur de l'archevêque Gunther, nièce ou cousine de trois ou quatre autres évêques ou archevêques, tous assez probablement Saxons. Lothaire, épris d'elle, l'avait épousée solennellement, devant les parents assemblés, par le don de l'anneau et l'échange du serment (tryst). C'était, notez-le bien, la cérémonie germanique, non la consécration chrétienne. Tout, dans la vie de Liut-heer ou Lothaire, porte ce caractère d'un germanisme invétéré. Charles-le-Chauve, le successeur à demi romain de Clovis, était aussi fort amoureux de son côté ; ces rois barbares l'étaient beaucoup. Bien que sa femme fût en vie, il gardait à sa cour une maîtresse, Reich-hilt (Richilde), nièce, sœur et fille des Boson, lesquels (à ce que prétendent quelques généalogistes) seraient les premiers ascendans des Talleyrand-Périgord. C'étaient déjà de grands manoeuvriers politiques que ces Boson qui ont fondé le royaume d'Arles. Richilde-Boson, maîtresse de Charles-le-Chauve, lui persuada qu'il était dangereux de laisser subsister le mariage teutonique de Lothaire avec Wald-ralh, et que, la cérémonie ecclésiastique n'ayant pas consacré l'union légale, on forcerait aisément la volonté de Lothaire à qui l'on ferait épouser Theut-berge-Boson, – la propre tante de Riçhilde-Boson, qui relierait ainsi les deux cours et les deux couronnes. C'était un piège dangereux tendu au pauvre Lothaire. Soit que les fidèles, les leudes, alors plus puissants que les rois, lui aient forcé la main, soit qu'il ait pensé que ses deux femmes lui seraient laissées, l'une pour la politique, l'autre pour le coeur ; il contracta ce second mariage, sans renoncer au premier. Les annales mérovingiennes et carlovingiennes sont remplies de pareils scandales. Charlemagne avait impunément répudié ses femmes, gardé ses filles chez lui, tout en fermant les yeux sur leur plus ou moins de chasteté ; et usé trop librement du mariage. Son palais d'Aix-la-Chapelle laissait beaucoup à dire. Mais ses prouesses scandaleuses ne l'empêchaient pas de rester au mieux avec le Pape ; il protégeait Rome. Lothaire au contraire ne. protégeait personne et avait grand besoin qu'on le protégeât. Theut-berge Boson, dont on avait voulu faire la femme de Lothaire, malgré la cérémonie religieuse, et avec laquelle il refusait d'habiter, n'avait pas été entourée de bons exemples. On lui imputait des relations scandaleuses avec son propre frère, Huc-behrt Boson. Theut-berge en convenait. Toute la cour de Charles-le-Chauve était une école de licence. Le frère prit la fuite, ne défendit point sa sœur accusée, et se contenta de courir les bois et les champs avec une bande d'affidés. Lothaire suppliait Rome de le laisser épouser religieusement Wald-rath. Il voyait bien qu'en le contraignant à garder la tante de Charles-le-Chauve, on ne voulait que le jeter dans les bras du monde gallo-romain ; que Charles-le-Chauve amant de Reich-hilt et bientôt mari de cette dernière, entrerait sans peine dans ses secrets et son intimité ; que par le double mariage de Theut-berge avec lui et de Karl avec Reich-hilt, il courait toutes sortes de dangers ; et que dans une situation pareille, à la fois oncle de Karl par alliance et son neveu par le sang, il n'échapperait pas aux usurpations, aux chicanes et aux ruses qui dans une proche parenté s'exercent si aisément, et dont Karl n'était pas avare. A ses yeux sa véritable épouse était cette Wald-rath, sœur et nièce d'archevêques germains sans alliances avec la cour de Charles-le-Chauve, qui, ayant accepté l'époux qu'elle voulait choisir, l'ayant accepté en présence de parents, solennellement, publiquement, selon le tryst, la foi donnée (trust, confiance), d'après la coutume d'individualité personnelle que ces peuples aiment et pratiquent encore ayant échangé l'anneau des fiançailles contre celui de Liut-heer, ne pouvait (disaient les guerriers germains) être arrachée à son mari. Quant à la seconde épouse, n'étant pas l'épouse du choix, mais de la force elle devait se retirer et se taire. Imposée par Karl, par Boson et la terreur politique, cette Theut-berge. impure n'avait pas le droit de venir se substituer à l'épouse première, vraie, choisie, élue, seule légitime. Que manquait-il en effet à Wald-rath ? prétendaient-ils. Une formule : « Pareniibus arbitris (dit le capitulaire), matrirnonium contractum. » Les parents y étaient. Ils avaient consenti ; le serment mutuel, la parole ne pouvaient être brisés. Voilà l'opinion teutonique. Karl-der-Bald (Charles-le-Chauve) et Theut-berge elle-même la partagèrent. Quand il fut reconnu que le Germain Liut-heer (Lothaire) tenait à son premier choix et n'entendait pas manquer au serment, à la protection promise, le sentiment germanique parla chez l'un et l'autre ; ils se repentirent tous deux; Theut-berge s'effaça devant sa rivale; et Karl l'y encouragea. Elle alla même à Rome supplier le Pape de rendre libre Liut-heer. C'était le sentiment teutonique qui éclatait. Il avait tant de poids sur les esprits, que les enfants même de Theut-berge se réconcilièrent avec les enfants de Wald-rath, et finirent par livrer aux Gallo-Romains une guerre furieuse. (...) Un récit que M. le baron Ernouf a résumé élégamment d'après les chroniqueurs ecclésiastiques, tous ennemis de Wald-rath et partisans dévoués de son antagoniste Theut-berge." (Philarète Chasles, Journal des débats politiques et littéraires, 6 nov 1859)
8 lettres et billets autographes de petit format, sur papier au chiffre du Baron Ernouf, s.d. [ circa 1880 ]
Ensemble de 8 L.A.S. envoyées par l’historien et écrivain Alfred Auguste Ernouf (1816-1889) à son imprimeur. Dans l’une d’elle, il regrette le choix par l’imprimeur de petits caractères: «de cette manière, vous avez dévoré en 250 pages la matière de 450. Enfin, le mal est fait, et me voilà forcé de vous improviser un supplément qui ne peut être que très long pour faire 130 ou 140 pages de votre petit caractère. Veuillez dire à Lévy que je me décide de joindre comme annexe un choix de documents diplomatiques les plus curieux et les moins connus sur le traité définitif de 1815, qui a été la suite et le complément de la capitulation». On sait que le Baron Ernouf fut un fervent napoléonien. Cet ensemble d’autographes est passé par les collections Henri Chenu et Claude Seignolle.
, Paris, Plon, 1880., Relie de l' epoque, demi - umaroquin noir, plats marbre, dos orne de fil. dore et de piece de titre dore, plats de papier marbre, 11,5x18cm, 365pp, illustre n/b.
Souvenirs de voyage. d' Apres la relation de M. le baron de Thielmann.
P., Charpentier, 1878, in-8°, iii-691 pp, reliure demi-veau glacé fauve à coins, dos à 5 nerfs pointillés et caissons fleuronnés dorés, doubles filets dorés sur les plats, tête dorée (rel. de l'époque), mors et coupes lég. frottés, une garde recollée, bon état. Edition originale
Critiqué par Talleyrand ("Je ne connais qu'un homme plus bête que Maret, c'est le duc de Bassano") et dépeint sous des traits peu flatteurs par Thiers dans son Histoire du Consulat et de l'Empire, Hugues-Bernard Maret (1763-1839) fut pourtant l'un des pivots essentiels du régime napoléonien pendant près de quinze ans. Fils de médecin, avocat, diplomate et journaliste, il est nommé en 1799 secrétaire général des consuls et entame une ascension fulgurante. Secrétaire d'Etat ayant rang de ministre, il est la plaque tournante du gouvernement napoléonien et en recueille les fruits par des dotations, des décorations et des titres : comte de l'Empire, puis duc de Bassano en 1809. Son passé de diplomate justifie encore que l'Empereur l'emploie dans les grandes négociations (Presbourg, Tilsit, Bayonne) avant de lui confier pour un temps le ministère des Relations extérieures. Sa carrière se poursuit à la chute de l'Empire, d'abord dans les rangs des bonapartistes les plus affirmés, puis dans les cercles du pouvoir de la monarchie de Juillet. Louis-Philippe tente même sans succès d'en faire son président du Conseil. Travailleur acharné et homme d'autorité, Maret reste pour la postérité l'un des plus fidèles serviteurs de Napoléon et une figure méconnue de l'épopée. — "Les mémoires authentiques de Maret, écrits sous la seconde Restauration et dont le manuscrit fut volé par un secrétaire infidèle, ont été reproduits pour les parties restées en possession du fils de Maret par le baron Ernouf." (Tulard, 958) — "Maret joua un rôle discret mais certain dans la diplomatie révolutionnaire, surtout sous le Directoire." (Fierro, 950) — "Sur la première partie de la vie de Maret, avant l’an VIII, [le livre] apporte maints renseignements inédits, tirés de papiers de famille ou de souvenirs laissés par l’intéressé (...) Plus de la moitié de l’étude est une analyse du rôle de Maret comme ministre des Relations extérieures entre 1810 et 1813." (Thierry Sarmant, Bibliothèque Napoléon).
Michel Lévy Frères 14 x 23 Paris 1859 Broché, 380 p. Edition originale. Important pour l'histoire de l'après Waterloo. Exemplaire dérelié, accrocs à la couverture, rousseurs éparses en fin de volume. A relier.(C4)
1872 Paris, Didier, 1872. Un volume in-12 demi chagrin noir, dos à nerfs, titre doré, 286 pages et un feuillet non chiffré. Légères épidermures, bel exemplaire.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Paris J. Rothschild 1886 1 vol. relié in-4, bradel demi-maroquin vert à coins, tête dorée, couverture illustrée conservée (Carayon), XII + 364 pp., 510 illustrations en noir in et hors-texte. 3e édition entièrement refondue avec le concours de Adolphe Alphand. Reliure salie et frottée, dos passé, exemplaire un peu gauchi. Intérieur en bonne condition. En l'état.
Paris Didier et Cie 1881 1 Un volume de format petit in 8° de 2 ff. (faux titre et titre); IV pp. (Avant propos); 360 pp.; Reliure de l'époque en demi toile vert empire; titre doré; couverture conservée.
Bel état. Quelques pp. roussies au milieu du volume sans gravité. Ce jeune Abbé servit de la campagne de 1794 jusqu'à la campagne d'Italie. Il s'engagea pour sauver sa famille. Il livre ici un émouvant témoignage des remous révolutionnaires. Ouvrage peu fréquent. Voir les photos.
Charpentier 1877 Paris, G. Charpentier Editeur, 1877, 352 p., demi-basane, poinçons floraux et liserés dorés sur le dos, environ 185x120 mm. Taches décolorées sur le cuir de la reliure, coins un peu émoussés, des rousseurs sans gêne pour la lecture sur les pages.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, J. Rothschild 1886 In-4 29,5 x22,5 cm. Reliure demi-basane rouge, dos à nerfs encadrés de filets dorés, couverture conservée, 364 pp., 500 figures dans et hors-texte, table alphabétique des matières, des noms et des figures. Rousseurs marginales.
Histoire de l’art des jardins - Théorie de l’art des jardins. Bon état d’occasion
Didier et Cie 12,5 x 18,5 Paris 1872 In-12, broché, 320 p. Dos solide, bonne couverture, rousseurs intérieures, illustration collée p.149. Solide exemplaire.(C26)
1883 P., Plon et Cie, 1877, 1 vol. in-18 (188 x 116 mm) reliure à la Bradel, pleine toile à gros maillage verte, pièce de titre en maroquin rouge, première de couverture conservée, de (2) ff. (faux-titre et titre) - VI - 333 pp. - (1) f. (table des gravures).Rousseurs essentiellement concentrées sur les gravures hors texte, bon exemplaire par ailleurs.
Edition originale.Ouvrage enrichi d'un carte spéciale dépliante et de 11 gravures hors texte.Au sommaire : Avant-Propos - Gouvernement de Jummoo et Cachemire - La Vallée de Cachemire - Dardistan - Baltistan - Ladakh - Appendice (Traité entre le Gouvernement anglais et le Maharaja de Jummoo Gulab Singh, conclu à Umritsùr (Amritsir), le 16 mars 1846).
Didier et Cie libraires éditeurs Didier et Cie liraires éditeurs, 1872. In-12 broché de de 320 pages. La couverture est restaurée sinon Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Editions du Layet. 1980. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos plié, Intérieur acceptable. 453 pages.. . . . Classification Dewey : 625-Chemins de fer, routes, autoroutes
Classification Dewey : 625-Chemins de fer, routes, autoroutes
Paris Librairie Hachette et Cie 1883 In 16 Belle petite reliure en percaline ornée comportant quelques légers défauts . Papier bien blanc , très peu de rousseurs . - 228 p. , 450 gr
Couverture rigide Très Bon État .
Hachette, 1878, in-12, 225 pp, modeste reliure de bibliothèque pleine toile écrue, dos muet (rel. de l'époque), intérieur propre et sans rousseurs, état correct
Philippe Henri de Girard (1775-1845) est un ingénieur-mécanicien, inventeur de la machine à filer le lin. – Joseph Marie Charles dit Jacquard (1752-1834), est un inventeur, à qui l'on doit le métier à tisser semi-automatique.