( Enfantina ) - Lewis Carroll - Henri Galeron - Jean-Marie Gustave Le Clézio dit J.M.G. Le Clézio.
Reference : 11844
(1982)
Editions Gallimard / Collection Enfantimages 1982. In-12 cartonnage éditeur de 20 pages au format 19,5 x 14,5 cm. Couvertures illustrées. Dos carré avec petit tassement en haut et en bas. Plats et intérieur frais. Couvertures et superbes illustrations inédites, en couleurs, par Henri Galeron. Préface et traduction par Jean-Marie Gustave Le Clézio dit J.M.G. Le Clézio.. Superbe état général. Rare édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Editions Gallimard 1966. In-8 broché de 286 pages au format 14,5 x 21,5 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Dos carré. Plats et intérieur frais. Un des 85 exemplaires numérotés sur pur fil ( n° 67 ), après 30 hollande du tirage de tête. Bord de la page 9 légèrement mal découpé, sinon rare édition originale en superbe état.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris Gallimard 1967 1 vol. Broché in-8, broché, couverture à rabats, 243 pp. Édition originale. Un des 156 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, second papier. Très bon exemplaire.
1999 Paris, Le Chêne, 1999, in 4° broché, 189 pages ; couverture illustrée rempliée.
Bel exemplaire. Très nombreuses photographies in et hors-texte. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Gallimard, (22 avril) 1980. 1 vol. (105 x 195 mm) de 81 p. et [3] f. Broché. Édition originale. Un des exemplaires poinçonnés du service de presse. Envoi signé : "Pour Henri Michaux, ce rêve d'un ailleurs. J.-M.-G. Le Clézio".
Chancah, Tixacacal et Chun Pom sont trois villes antiques, aztèques ou mayas, que le jeune Le Clézio chante durant son séjour mexicain des années 1970. Le trentenaire, délaissant les récits de l’angoisse du milieu urbain, a quitté la métropole pour explorer l’ailleurs, et particulièrement le Mexique. Tout tournera alors autour des dieux morts des indiens Embera, des préoccupations écologiques, de l’onirisme et du cheminement méditatif sans lesquels nulle vie n’est possible. Les envahisseurs blancs ont vu, sont venus, ont vaincu, et la sécheresse s’est installée avec la fin des hommes. Mais, pour Le Clézio, les lieux terrestres où sont nées les civilisations, ne sauraient mourir. Ils attendent qu’un autre peuple ou d’autres circonstances permettent la renaissance, entre deux inserts de textes indiens anciens tirés des prophéties du Chilam Balam. Le Clézio, qui adore faire rouler les sonorités des noms étrangers, ou les éparpiller sur la page, observe comment « la civilisation moderne » a stérilisé ou isolé ces peuples « premiers », préférant l’éternité figée de l’âge d’or aux changements de la modernité. La vérité, la liberté, c’est l’eau venue du ciel, celle qui irrigue les champs et la forêt comme les gosiers des hommes. La conscience n’attend pas ni n’exige : « Elle ne juge pas. Ce qu’elle demande, comme cela, muettement, avec orgueil, ce n’est pas vengeance, ni l’argent. Elle est accordée avec le désir des dieux, et elle ne demande que ceci : le pain et l’eau ». Trois villes saintes paraît au printemps 1980, en même temps que Désert. Deux publications importantes, qui viennent confirmer la contestation et la révolte comme éléments permanents de l’œuvre de Le Clézio, dans une remise en cause de plus en plus généralisée du monde occidental.
Paris, Gallimard, (22 avril) 1980. 1 vol. (110 x 205 mm) de 81 p. et [3] f. Broché, non coupé. Édition originale. Un des 25 premiers exemplaires sur vergé de Hollande (n° 7).
Chancah, Tixacacal et Chun Pom sont trois villes antiques, aztèques ou mayas, que le jeune Le Clézio chante durant son séjour mexicain des années 1970. Le trentenaire, délaissant les récits de l’angoisse du milieu urbain, a quitté la métropole pour explorer l’ailleurs, et particulièrement le Mexique. Tout tournera alors autour des dieux morts des indiens Embera, des préoccupations écologiques, de l’onirisme et du cheminement méditatif sans lesquels nulle vie n’est possible. Les envahisseurs blancs ont vu, sont venus, ont vaincu, et la sécheresse s’est installée avec la fin des hommes. Mais, pour Le Clézio, les lieux terrestres où sont nées les civilisations, ne sauraient mourir. Ils attendent qu’un autre peuple ou d’autres circonstances permettent la renaissance, entre deux inserts de textes indiens anciens tirés des prophéties du Chilam Balam. Le Clézio, qui adore faire rouler les sonorités des noms étrangers, ou les éparpiller sur la page, observe comment « la civilisation moderne » a stérilisé ou isolé ces peuples « premiers », préférant l’éternité figée de l’âge d’or aux changements de la modernité. La vérité, la liberté, c’est l’eau venue du ciel, celle qui irrigue les champs et la forêt comme les gosiers des hommes. La conscience n’attend pas ni n’exige : « Elle ne juge pas. Ce qu’elle demande, comme cela, muettement, avec orgueil, ce n’est pas vengeance, ni l’argent. Elle est accordée avec le désir des dieux, et elle ne demande que ceci : le pain et l’eau ». Trois villes saintes paraît au printemps 1980, en même temps que Désert. Deux publications importantes, qui viennent confirmer la contestation et la révolte comme éléments permanents de l’œuvre de Le Clézio, dans une remise en cause de plus en plus généralisée du monde occidental.
Paris, Gallimard, (22 avril) 1980. 1 vol. (120 x 210 mm) de 81 pp. et [3] ff. Reliure demi-veau marron, dos à nerfs, titre doré, couvertures et dos conservés, étui. Édition originale. Un des 25 exemplaires sur vélin d'Arches Arjomari-Prioux (n° 35).
Chancah, Tixacacal et Chun Pom sont trois villes antiques, aztèques ou mayas, que Le Clézio chante durant son séjour mexicain des années 1970. Le trentenaire, délaissant les récits de l'angoisse du milieu urbain, a quitté la métropole pour explorer l'ailleurs. Et particulièrement le Mexique. Tout tournera alors autour des dieux morts des indiens Embera, des précoccupatiosn écologiques, de l'onirisme et du cheminement méditatif sans lesquels nulle vie n'est possible. Les envahisseurs blancs ont vu, sont venus, ont vaincu, et la sécheresse s'est installée avec la fin des hommes. Mais, pour Le Clézio, les lieux terrestres où sont nées les civilisations, ne sauraient mourir. Ils attendent. Qu'un autre peuple ou d'autres circonstances permettent la renaissance, entre deux inserts de textes indiens anciens tirés des prophéties du Chilam Balam. Le Clézio, qui adore faire rouler les sonorités des noms étrangers, ou les éparpiller sur la page, observe comment « la civilisation moderne » a stérilisé ou isolé ces peuples « premiers », préférant l'éternité figée de l'âge d'or aux changements de la modernité. La vérité, la liberté, c'est l'eau venue du ciel, celle qui irrigue les champs et la forêt comme les gosiers des hommes. La conscience n'attend pas ni n'exige : « Elle ne juge pas. Ce qu'elle demande, comme cela, muettement, avec orgueil, ce n'est pas vengeance, ni l'argent. Elle est accordée avec le désir des dieux, et elle ne demande que ceci : le pain et l'eau ». Trois ville saintes paraît au printemps 1980, en même temps que Désert. Deux publications importantes, qui viennent confirmer la contestation et la révolte comme éléments permanents de l'oeuvre de Le Clézio, dans une remise en cause de plus en plus généralisée du monde occidental.
Renens, Forma, 5 Continents, 1987, in 4° oblong broché, 148 pages ; couverture illustrée.
Nombreuses illustrations in et hors-texte. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1993 Paris, Stock, 1993, in 8° broché, 239 pages ; couvetrure illustrée en couleurs ; illustrations.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1982 Paris, NRF, Gallimard, 1966, in 8° broché, 285 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF, 2008, in 8° broché, 209 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Gallimard, NRF, 1995, in 8° broché, 467 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF, 1997, in 8° broché, 252 pages ; bande-annonce.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF, 1991, in 8° broché, 253 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF (Collection "Le Chemin"), 1989, in 8° broché, 205 pages ; bande-annonce.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF (Collection "Essais"), 1988, in 8° broché, 203 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., NRF, Gallimard, 1985, in 8° broché, 335 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
P., Gallimard, NRF, 1999, in 8° broché, 291 pages.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1982 Paris, NRF, Gallimard (Collection "Le Chemin"), 1982, in 8° broché, 247 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1982 Paris, NRF, Gallimard (Collection "Le Chemin"), 1986, in 8° broché, 136 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1982 Paris, NRF, Gallimard (Collection "Le Chemin"), 1975, in 8° broché, 308 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
1982 Paris, NRF, Gallimard, 2003, fort volume in 8° broché, 555 pages.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Gallimard, coll. «Le Chemin», (18 novembre) 1963. 1 vol. (140 x 205 mm) de 248 p., [2] et 1 f. Broché, non coupé. Note autographe de François Mitterrand : «Le Procès-verbal, Le Clézio, 100 [fr.], chez Cayla, mars 65». Exemplaire complet du prière d'insérer.
Ce premier roman – qui reçoit le prix Renaudot – raconte « l’histoire d’un homme qui ne savait trop s’il sortait de l’armée ou de l’asile psychiatrique » et est, selon son auteur – alors âgé de vingt-trois ans – une œuvre d’adolescent. En répondant au journaliste du Point Jacques-Pierre Amette, le romancier expliquait le contexte de sa rédaction : « C’était une drôle d’époque. J’ai commencé à écrire ce livre alors que la guerre d’Algérie n’était pas finie, et que planait sur les garçons la menace d’être envoyés dans le contingent. Un de mes camarades, un garçon très artiste, très rebelle, nommé Vincent, du fait de ses mauvaises notes, est parti à la fin de l’année 1960, et il a été aussitôt tué dans une embuscade. Un autre convoyait des fonds pour le F.L.N. Un autre était revenu en permission, le cerveau lessivé, ne parlant que de bazookas et de « bidons spéciaux » (comme on nommait pudiquement le napalm). […] Alors j’écrivais Le Procès-verbal par bribes, dans le fond d’un café, en y mêlant des morceaux de conversation entendus, des images, des découpes de journal. Au jour le jour. Le roman a été fini après les accords d’Évian, quand j’ai compris que la menace s’arrêtait, que nous allions vivre. Il est resté un peu plus d’un an à l’état de manuscrit… ». François Mitterrand acquiert l’ouvrage près de dix-huit mois après sa parution, chez le libraire Robert Cayla, installé 28 rue Saint-Sulpice. Le Clézio vient alors de publier son deuxième roman, La Fièvre. François Mitterrand acquiert les deux volumes ce même jour de mars 1965, au même endroit : à l’évidence, il apprécie l’œuvre du romancier qui est, de tous les auteurs strictement contemporains de la fin du XXe siècle, celui qui sera le plus représenté (avec huit titres) dans sa bibliothèque. En 1965, Le Clézio a déjà une certaine cote : le prix payé (100 francs) sur pur fil de La Fièvre est le même que cette édition – sur papier courant – du Procès-verbal.
Entre 1970 et 1974, J.M.G. Le Clézio partage l'existence des Indiens Emberas, au Panama ; une expérience qui bouleverse sa vision du monde en attirant son attention sur la destinée des anciens peuples de la Méso-Amérique. Parmi ses recherches figurent Les Prophéties du Chilam Balam, qu'il va traduire, présenter, et que son éditeur Georges Lambrichs va accueillir dans sa collection « Le Chemin » chez Gallimard : « une parole étrange où le verbe semble hésiter entre le passé, le présent et le futur ». Paris, Gallimard, (9 septembre) 1976. 1 vol. (155 x 225 mm) de 201 pp. et [4] ff. Broché. Édition originale. Un des 16 premiers exemplaires sur vélin de Hollande (n° 10).
Entre 1970 et 1974, J.M.G. Le Clézio partage l'existence des Indiens Emberaset Waunanas dans la province de Darien au Panama, une expérience qui bouleverse sa vision du monde en attirant son attention sur la destinée des anciens peuples et civilisations de la Méso-Amérique et du Nouveau-Mexique, Zunis. Il se documente sur les Incas, les Mayas et les Aztèques et lit notamment, en espagnol, des traductions de livres sacrés, chroniques et relations qui ont échappé aux autodafés et bûchers de la conquista : parmi ces témoignages figurent Les Prophéties du Chilam Balam, qu'il va traduire, présenter, et que son éditeur Georges Lambrichs va accueillir dans sa collection « Le Chemin » chez Gallimard. Chilam Bilam, du maya chi, bouche et de balam : le jaguar, est à l'origine le nom donné à une probable divinité et le titre religieux du principal prêtre du soleil. D'après le textes des Prophéties, le Chilam Balam aurait vécu à Mani lors du Katun 2 Ahau (circa 1500-1520), exerçant les fonctions d'oracle. « Pour ce peuple vivant si près du soleil, sur cette terre si exposée, la grande urgence, c'était de comprendre le temps. [ ...] Il fallait comprendre les lois du ciel, car c'était dans le ciel que se trouvait l'explication du mystère, la clef de l'avenir. » (Le Clézio, 1976, p. 10). À la suite de l'anéantissement de ces livres sacrés, de successives retranscriptions ponctuées d'ajouts ont fait des Prophéties du Chilam Balam une « parole étrange où le verbe semble hésiter entre le passé, le présent et le futur, comme si chaque événement survenu au cours des âges avait nécessairement son écho dans le temps à venir. » (in Sophie Normandin, « Le Popol Vuh et les Prophéties du Chilám Balám : l'obsession du passage du temps dans les textes fondateurs mayas», Postures, « Voix de femmes de la francophonie », n°5, p. 146-158).