Hachette 1920 560 pages in4. 1920. Relié. 560 pages. ouvrage illustré de nombreuses gravures hors texte par Bidou Gauvain Seignobos conclusion générale E. Lavisse
Etat Correct ancien exemplaire de bibliothèque couverture très frottée dos abîmé intérieur propre texte frais circa 1920
Hachette, 1893-1899, 2 vol. in-8°, xiii-451 et xiv-373 pp, reliures demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, têtes dorées, couv. conservées (rel. de l'époque), papier lég. jauni, rousseurs au 2e vol., bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, in-8°, xvii-373 pp, broché, dos factice, bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, fort in-8°, xvii-373 pp, biblio, reliure demi-maroquin caramel, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et date en queue dorés, filet doré sur les plats (rel. de l'époque), un mors fendu sur 3 cm, trace de mouillure ancienne en marge inf. des feuillets (sans atteinte au texte), bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1900-1910, 17 vol. pt in-4°, chaque volume comprend de 380 à 484 pp, reliures demi-basane verte, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres, sous-titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Bel exemplaire
Chaque volume de ce classique inégalé traite d'une période de l'Histoire de France et est rédigé par un (ou plusieurs) éminent(s) spécialiste(s). Les plus grands historiens de l'époque ont participé à la rédaction de cette somme. Manque le volume de tables. — "Pourquoi lire aujourd'hui les volumes de l'Histoire de France d'Ernest Lavisse ? Parce que ce monument est l'expression indépassable d'un grand moment historique et national, au croisement d'une histoire en train de se faire scientifique et d'une République en train de se faire définitive, du début du XXe siècle (1900) au lendemain de la guerre (1922). Un miroir de réfraction, le socle d'un édifice en partie détruit, en partie indestructible et dans lequel nous vivons encore, un roman qui nous permet une meilleure compréhension de ce que nous sommes par le récit de ce que nous ne sommes plus." (Pierre Nora de l'Académie française) — Détail : I.1. Tableau de la géographie de la France. Par P. Vidal de la Blache, 64 cartes et figures dont une grande carte dépliante en couleurs – I.2. Les origines. La Gaule indépendante et la Gaule romaine. Par G. Bloch – II.1. Le christianisme, les barbares, Mérovingiens et Carolingiens. Par Ch. Bayet, Ch. Pfister et A. Kleinclausz – II.2. Les Premiers Capétiens (987-1137). Par A. Luchaire – III.1. Louis VII, Philippe-Auguste, Louis VIII (1137-1226). Par A. Luchaire – III.2. Saint Louis, Philippe le Bel, les derniers Capétiens directs (1226-1328). Par Ch.-V. Langlois – IV.1. Les premiers Valois et la guerre de Cent ans (1328-1422). Par A. Coville – IV.2. Charles VII, Louis XI et les premières années de Charles VIII (1422-1492). Par Ch. Petit-Dutaillis – V.1. Les guerres d'Italie, la France sous Charles VIII, Louis XII et François Ier (1492-1547). Par H. Lemonnier – V.2. La lutte contre la maison d'Autriche. La France sous Henri II. Par H. Lemonnier – VI.1. La Réforme et la Ligue. L'Édit de Nantes (1559-1598). Par J. H. Mariéjol – VI.2. Henri IV et Louis XIII (1598-1643). Par J. H. Mariéjol – VII.1 et VII.2. Louis XIV (1643-1685). Par E. Lavisse – VIII.1. Louis XIV. La fin du règne (1685-1715). Par A. de Saint-Léger, A. Rébelliau, P. Sagnac et E. Lavisse – VIII.2. Louis XV (1715-1774). Par H. Carré – IX.1. Louis XVI (1774-1789). Par H. Carré, P. Sagnac et E. Lavisse.
Hachette, s.d. (v. 1930), 2 vol. gr. in-8° carré, 407 et 415 pp, 24 pl. de gravures hors texte, notes bibliographiques, brochés, bon état
I. La Fronde. Le Roi. Colbert. – II. La religion. Les lettres et les arts. La politique extérieure et la guerre. — Le Louis XIV de Lavisse, et son tableau de la France sous le Roi-Soleil, qui s'insère dans son Histoire de France depuis les origines jusqu'à la Révolution (1900-1911), fut largement pillé par des générations d'historiens, mais jamais dépassé. Les Français, dit-on, se situent politiquement en fonction de la manière dont ils jugent leur Révolution. Mais l'on peut observer, parmi eux, un clivage analogue à propos du règne de Louis XIV : de nos jours, on voit alterner, d'un volume à l'autre, le dénigrement systématique et la louange excessive. Aussi, pour l'« honnête homme » désireux de se former une opinion personnelle, le recours au livre de Lavisse apparaît-il indispensable. Certes, depuis 1908, date de sa parution, les historiens ont exhumé de nombreux documents et ouvert des perspectives nouvelles ; sur certains points, il est des révisions qui s'imposent. Il n'en demeure pas moins que les ouvrages fondés sur les sources – c'est précisément le cas de ce Louis XIV – sont ceux qui demeurent le plus longtemps valables. Si cette oeuvre de Lavisse souligne sans complaisance les zones sombres et les échecs du règne, elle permet en même temps de mesurer sa grandeur. Louis XIV et les Français lancèrent alors un véritable défi à une conjoncture foncièrement défavorable. Ils démontrèrent qu'il n'existe ni fatalité historique ni déterminisme absolu ; que le courage et la volonté sont toujours bénéfiques ; que ces deux vertus, guidées par la raison et le sentiment – se soutenant tour à tour et se gardant l'un l'autre –, peuvent permettre aux nations de triompher des circonstances les plus contraires. L'honneur du grand roi et de la nation est d'avoir réalisé une France « mère des arts, des armes et des lois » en dépit des tempêtes et d'une adversité quasi permanente.
HACHETTE et Cie. 3ème édition, 1890.IN12 pleine toile ,dos lisse titré, 346 pages. tampon de bibliothèque sur la page de titre
correct,un peu frotté.Ernest Lavisse, 1842 / 1922, historien français. Lavisse, boursier, intègre l'École normale supérieure en 1862. Il devient très rapidement précepteur du prince impérial sur recommandation de Duruy puis membre de son cabinet. La défaite de 1870 touche au plus profond de lui-même ce protégé du régime. Décidé à uvrer pour sa patrie vaincue, muni dun modeste viatique, il part étudier le fonctionnement du système universitaire de l'Allemagne victorieuse. Durant trois années, il étudie sur place l'histoire et les origines de la Prusse, thème qui restera sa spécialité.
Tallandier 1981 in8. 1981. Relié.
angles frotés intérieur propre bonne tenue
Hachette et cie 1906 412 pages in4. 1906. Relié. 412 pages.
Etat Correct ancien exemplaire de bibliothèque bords frottés dos abîmé intérieur propre texte frais grande déchirure superficielle sur le premier plat
Hachette et cie 1904 380 pages in4. 1904. Relié. 380 pages.
Etat Correct ancien exemplaire de bibliothèque bords frottés dos abîmé intérieur propre texte frais qq rousseurs légères
Chapelot et cie 1899 227+328 pages in12. 1899. Relié. 227+328 pages.
Etat Correct couvertures très défraîchies bords frottés ancien livres de bibliothèques (étiquette tampons fiche annotations...) intérieur jauni
Hachette et cie 1904 in8. 1904. Broché. exemplaire broché couverture souple
Etat Correct dos recollé entièrement intérieur taché de qq rousseurs
Armand colin 1932 in12. 1932. Cartonné jaquette.
Etat Correct
Hachette 1921 in8. 1921. Relié cartonné. frontispice noir et blanc
Bon Etat jauni légères taches
Hachette et cie 1904 430 pages in8. 1904. Relié. 430 pages.
Etat Correct exemplaire bibliothèque bords frottés couverture assez défraichie
Hachette et cie 1911 445 pages in8. 1911. Relié. 445 pages.
Etat Correct exemplaire bibliothèque bords + coiffes abimées
Hachette et cie 1908 485 pages in8. 1908. Relié. 485 pages.
Etat Correct exemplaire bibliothèque bords frottés bas 1er plat abimé dos frotté
Hachette et cie 1911 320 pages in4. 1911. Relié. 320 pages. Tome neuvième II table alphabétique texte en trois colonnes
Etat Correct ancien exemplaire bibliothèque bords frottés intérieur globalement propre qq rousseurs circa 1911
Librairie militaire L. Fournier 1910 in12. 1910. Broché.
Etat Correct couverture fortement défraîchie ternie qq tâche ancien livre de bibliothèque (tampons étiquette...) dos réparé au papier kraft
Hachette et cie 1890 in8. 1890. Relié.
Etat Correct ancien livre de bibliothèque (tampons étiquette fiche de suivi) couverture défraîchie bords frottés intérieur globalement propre qq rousseurs
Hachette et cie 1890 in8. 1890. Relié.
Etat Correct ancien livre de bibliothèque (tampons étiquette fiche de suivi) couverture défraîchie bords frottés intérieur globalement propre qq rousseurs circa 1890
Hachette et cie 1890 in8. 1890. Relié.
Etat Correct ancien livre de bibliothèque (tampons étiquette fiche de suivi) couverture défraîchie bords frottés intérieur globalement propre qq rousseurs
Editions De Borée 1998 in8. 1998. Broché.
Bon Etat de conservation trace ex libris intérieur uniformément jauni
Paris : Hachette, 1903 -1910 Neuf forts volumes petit in-4. Pleine basane racinée de l'époque, dos à nerfs orné.
Très bel exemplaire. Exemplaire bien complet de la Table générale.Référence incontournable, à laquelle ont collaboré Bayet, Bloch, Carré, Coville, Kleinclausz, Langlois, Lemonnier, Luchaire, Mariéjol, Petit-Dutaillis, Pfister, Rebelliau, Sagnac, Saint-Léger, Vidal de la Blache.Tome I/1: Paul Vidal de La Blache, Tableau de la géographie de la France, 1903, 395 p.Tome I/2: Gustave Bloch, Les Origines; La Gaule indépendante et la Gaule romaine, 1900, 451 p.Tome II/1: Charles Bayet, Arthur Kleinclausz et Christian Pfister, Le Christianisme, les Barbares; Mérovingiens et Carolingiens, 1903, 444 p.Tome II/2: Achille Luchaire, Les Premiers Capétiens (987-1137), 1901, 414 p.Tome III/1: Achille Luchaire, Louis VII, Philippe-Auguste, Louis VIII (1137-1226), 1901, 417 p., lire en ligne[archive]Tome III/2: Charles-Victor Langlois, Saint Louis, Philippe le Bel, les derniers capétiens directs (1226-1328), 1901, 433 p.Tome IV/1: Alfred Coville, Les Premiers Valois et la Guerre de Cent ans (1328-1422), 1902, 447 p.Tome IV/2: Alfred Coville et Charles Petit-Dutaillis, Charles VII, Louis XI et les premières années de Charles VIII (1422-1492), 1902, 455 p.Tome V/1: Henry Lemonnier, Les Guerres d'Italie, la France sous Charles VIII, Louis XII et François Ier (1492-1547), 1903, 393 p.Tome V/2: Henry Lemonnier, La lutte contre la Maison d'Autriche, la France sous Henri II (1519-1559), 1911, 379 p.Tome VI/1: Jean-Hippolyte Mariéjol, La Réforme et la Ligue, l'Édit de Nantes (1559-1598), 1904, 428 p.Tome VI/2: Jean-Hippolyte Mariéjol, Henri IV et Louis XIII (1598-1643), 1905, 492 p.Tome VII/1: Ernest Lavisse, Louis XIV, La Fronde, le Roi, Colbert (1643-1685), 1905, 404 p.Tome VII/2: Ernest Lavisse, Louis XIV: La religion, les lettres et les arts, la guerre (1643-1685), 1906, 414 p.Tome VIII/1: Philippe Sagnac et Alexandre de Saint-Léger, Louis XIV: La fin du règne (1685-1715), 1908, 484 p.Tome VIII/2: Henri Carré, Le Règne de Louis XV (1715-1774), 1909, 427 p.Tome IX/1: Henri Carré, Ernest Lavisse et Philippe Sagnac, Le Règne de Louis XVI (1774-1789), 1910, 445 p.Tome IX/2: Tables alphabétiques, 1911
Berger-Levrault, éditeurs à Paris et Nancy Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1914 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur verte grand In-8 1 vol. - 93 pages
1ere édition, 1914 Contents, Chapitres : Préface, xvi, Texte, 77 pages - Auguste Lalance, né à Ronchamp le 1er septembre 1830 et mort le 7 mai 1920 à Mulhouse, est un industriel français du XIXe siècle qui a fait partie du mouvement des députés protestataires, opposés au rattachement de l'Alsace-Lorraine au Reich : les députés d'Alsace et de Lorraine. Il est également connu pour la création du sanatorium de Lutterbach. - Auguste Lalance naît le 1er septembre 1830 au hameau de la Houillère de Ronchamp, près du puits Saint-Louis (un charbonnage), où il passe son enfance. Son père né en 1802 et mort en 1842 est ingénieur des mines aux houillères de Ronchamp. Il est marié avec Mélanie Kchlin (nièce d'André Kchlin). À la mort de son père, lui et ses deux frères sont élevés seuls par leur mère qui se retrouve sans ressources. À l'âge de 15 ans, il entre à la Société alsacienne de constructions mécaniques (SACM). Cinq ans plus tard, il devient représentant de son entreprise à linternational, notamment à l'exposition universelle de 1855. Avec Henry Haeffely et Gustave Schaeffer il a fondé les Établissements d'impression, de teinture et de blanchiments de Pfastatt, dans l'enceinte de l'ancien château de Pfastatt en 1870. Auguste Lalance a été vainqueur aux élections au Reichstag de février 1887 de Jean Mieg-Koechlin, qui avait inauguré le premier réseau de tramway mulhousien (1882). Puis il sest installé à Paris en 1887 pour effectuer des travaux pour le compte de la Société alsacienne de constructions mécaniques (SACM) puis de devenir cofondateur en 1888 de la Société électrique du secteur de la place Clichy. Il a confié plusieurs chantiers à l'architecte Paul Friesé, ainsi que plusieurs projets déquipements électriques : usine de production du secteur de Clichy, du quai de Jemmapes (Paris 10e), dArmentières, dAsnières, de Bourges et de Poitiers, usine génératrice pour le Métropolitain (1898-1904), usine Schneider de Champagne-sur-Seine (1901). En 1901, il fonde un sanatorium à Lutterbach, en Alsace. - Ernest Lavisse, né au Nouvion-en-Thiérache le 17 décembre 1842 et mort à Paris le 18 août 1922, est un historien français, fondateur de l'histoire positiviste, et un manueliste, auteur des nombreux « manuels Lavisse ». Chantre du « roman national » au service de l'histoire et de son enseignement, il a contribué à répandre des images et une mythologie qui sont restées gravées dans la mémoire de générations d'écoliers. Ainsi la phrase inscrite dans le fameux petit manuel d'histoire et rapportée par Michel Vernus : « Tu dois aimer la France, parce que la Nature l'a faite belle, et parce que l'Histoire l'a faite grande. » Promu pendant plus d'un demi-siècle conscience nationale des hussards noirs, il est enterré au Nouvion-en-Thiérache. (source : Wikipedia) couverture en bon état, mais avec quelques rousseurs et quelques traces de pliures, un petit manque au coin supérieur gauche du plat supérieur, intérieur sinon frais et propre, cela reste un bon exemplaire