Paris Editeurs Armand Colin & Cie 243 pages in-12. Sans date. broché. 243 pages. (fin XIXème) - 4ème édition. In-12 broché VIII-243 pages. Couverture en mauvais état général avec le dos restauré vulgairement. Brochage fragilisé par endroits sinon intérieur propre avec de rares rousseurs. Poids : 360 gr
HACHETTE et Cie. 3ème édition, 1890.IN12 pleine toile ,dos lisse titré, 346 pages. tampon de bibliothèque sur la page de titre
correct,un peu frotté.Ernest Lavisse, 1842 / 1922, historien français. Lavisse, boursier, intègre l'École normale supérieure en 1862. Il devient très rapidement précepteur du prince impérial sur recommandation de Duruy puis membre de son cabinet. La défaite de 1870 touche au plus profond de lui-même ce protégé du régime. Décidé à uvrer pour sa patrie vaincue, muni dun modeste viatique, il part étudier le fonctionnement du système universitaire de l'Allemagne victorieuse. Durant trois années, il étudie sur place l'histoire et les origines de la Prusse, thème qui restera sa spécialité.
Imp. Crété. Non daté. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Papier jauni. 10 pages recto verso. Texte sur deux colonnes. Quelques déchirures et rousseurs. Pliures.. . . . Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
N°1: Patience, effort, confiance par Emile Durkheim- N°4: L'usure des forces allemandes par Ernest Lavisse- N°5: Les forces militaires des alliés de l'Allemagne par le Général Malleterre- N°6: Le bloc des Alliances par Ernest Denis- N°7: Les forces russes par A. Meillet- N°8: Les forces anglaise par Louis Cazaman- N°9: La maîtrise de la mer par le Contre-Amiral Degouy- N°10: Les forces italiennes, la Belgique, la Serbie et le Monténégro par Emile Durkheim- N°11: Les forces Françaises par Emile Durkheim- N°12: la vitalité française par Ernest Lavisse. Classification Dewey : 940-Histoire générale de l'Europe
Hachette, 1893-1899, 2 vol. in-8°, xiii-451 et xiv-373 pp, reliures demi-chagrin brun, dos à 5 nerfs, têtes dorées, couv. conservées (rel. de l'époque), papier lég. jauni, rousseurs au 2e vol., bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, in-8°, xvii-373 pp, broché, dos factice, bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Hachette, 1893, fort in-8°, xvii-373 pp, biblio, reliure demi-maroquin caramel, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et date en queue dorés, filet doré sur les plats (rel. de l'époque), un mors fendu sur 3 cm, trace de mouillure ancienne en marge inf. des feuillets (sans atteinte au texte), bon état
"Le second volume de M. Lavisse sur la jeunesse de Frédéric II, intitulé "le Grand Frédéric avant l 'avènement", l'emporte encore sur le premier en intérêt historique et psychologique. Ce qui était plus difficile, c'était de montrer comment s'était formée l'intelligence de Frédéric, une fois qu'il s'était résigné et à son mariage sans amour et à l'apprentissage du métier de roi, comment s'étaient faites sa philosophie du monde et de la vie, et ses idées sur l'Europe et sur la Prusse, comment enfin s'était développé le génie politique le mieux pondéré, le plus clairvoyant et le plus capable de créer des œuvres durables, que l'histoire ait peut-être jamais vu. M. Lavisse nous le montre successivement dans la triste résidence de Neu-Ruppin, où il n'est entouré que de subordonnés sans culture et sans esprit, mais où il apprend à administrer des domaines, à l'armée pendant la campagne de 1734, puis à Rheinsberg, où il trouve enfin la vie et la résidence qui lui convenaient, entouré d'amis de choix, entretenant une correspondance active avec les esprits les plus éclairés du temps, se préparant par l'étude des lettres et de la philosophie à la carrière politique la plus laborieuse, la plus active, la plus difficile qui fût jamais. Ce portrait de Frédéric à Rheinsberg est un chef-d'œuvre de psychologie historique. Ces pages de M. Lavisse sont d'un maître écrivain et d'un historien de premier ordre." (G. Monod, Revue Historique, 1893) — "On se rappelle le succès obtenu, il y a deux ans, par la “Jeunesse du grand Frédéric”. Le second et dernier volume de cette curieuse étude a paru. L'auteur a voulu s'arrêter aux origines et il ne poussera pas plus loin ses recherches. Il lui suffit d'avoir montré comment la famille royale de Prusse, si méprisable et si grotesque qu'elle fût, a pu ouvrir les voies à un des princes les plus remarquables de son époque et de tous les temps, et comment un jeune homme qui n'était point parfait, éloigné du trône depuis dix ans et brouillé avec son père, a su, par une force de volonté supérieure, trouver dans son isolement même la meilleure préparation au rôle qu'il devait jouer. (...) Personne ne connait comme l'auteur les sources allemandes de cette époque : il en a fait la synthèse et comme extrait le suc philosophique avec une ironie contenue. A ces informations il a joint le dépouillement de la correspondance diplomatique de nos représentants à Berlin, le marquis de la Chétardie d'abord, M. de Valori ensuite. Leurs dépêches, citées en appendice, ne sont pas un des moindres régals de ce volume, qui se lit d'un trait comme un roman." (G. Baguenault de Puchesse, Revue des questions historiques, 1894) — "Reçu à l'École normale en 1862, agrégé d'histoire (1865), Ernest Lavisse (1842-1922) est bientôt appelé dans le cabinet de Victor Duruy et devient un des précepteurs du prince impérial. Après la défaite, Lavisse séjourne trois ans en Allemagne. Il y étudie les origines de la Prusse et prépare ses deux thèses : “De Hermanno Salzensi ordinis Teutonici magistro” et “La Marche de Brandebourg sous la monarchie ascanienne”. Suppléant de Fustel de Coulanges à la Sorbonne (1880-1883), professeur adjoint (1883), titulaire en 1888, année où il succède à Henri Wallon (1812-1904) dans la chaire d'histoire moderne. En 1904, il est nommé directeur de l'École normale supérieure et le demeure jusqu'en 1919. Il est élu à l'Académie française en 1892. L'activité intellectuelle, pédagogique et administrative de Lavisse a été considérable et, à la suite de son ralliement progressif au régime, il est devenu l'un des grands personnages de la République. La partie la plus originale de son oeuvre historique est celle de ses travaux sur l'Allemagne. Outre ses thèses, sont à citer : “Etudes sur l'histoire de Prusse” (1879), “Trois Empereurs d'Allemagne, Guillaume Ier, Frédéric III, Guillaume II” (1888), “La Jeunesse du Grand Frédéric” (1891), “Le Grand Frédéric avant l'avènement” (1893)." (François Léger, Encyclopædia Universalis)
Paris : Hachette, 1903 -1910 Neuf forts volumes petit in-4. Pleine basane racinée de l'époque, dos à nerfs orné.
Très bel exemplaire. Exemplaire bien complet de la Table générale.Référence incontournable, à laquelle ont collaboré Bayet, Bloch, Carré, Coville, Kleinclausz, Langlois, Lemonnier, Luchaire, Mariéjol, Petit-Dutaillis, Pfister, Rebelliau, Sagnac, Saint-Léger, Vidal de la Blache.Tome I/1: Paul Vidal de La Blache, Tableau de la géographie de la France, 1903, 395 p.Tome I/2: Gustave Bloch, Les Origines; La Gaule indépendante et la Gaule romaine, 1900, 451 p.Tome II/1: Charles Bayet, Arthur Kleinclausz et Christian Pfister, Le Christianisme, les Barbares; Mérovingiens et Carolingiens, 1903, 444 p.Tome II/2: Achille Luchaire, Les Premiers Capétiens (987-1137), 1901, 414 p.Tome III/1: Achille Luchaire, Louis VII, Philippe-Auguste, Louis VIII (1137-1226), 1901, 417 p., lire en ligne[archive]Tome III/2: Charles-Victor Langlois, Saint Louis, Philippe le Bel, les derniers capétiens directs (1226-1328), 1901, 433 p.Tome IV/1: Alfred Coville, Les Premiers Valois et la Guerre de Cent ans (1328-1422), 1902, 447 p.Tome IV/2: Alfred Coville et Charles Petit-Dutaillis, Charles VII, Louis XI et les premières années de Charles VIII (1422-1492), 1902, 455 p.Tome V/1: Henry Lemonnier, Les Guerres d'Italie, la France sous Charles VIII, Louis XII et François Ier (1492-1547), 1903, 393 p.Tome V/2: Henry Lemonnier, La lutte contre la Maison d'Autriche, la France sous Henri II (1519-1559), 1911, 379 p.Tome VI/1: Jean-Hippolyte Mariéjol, La Réforme et la Ligue, l'Édit de Nantes (1559-1598), 1904, 428 p.Tome VI/2: Jean-Hippolyte Mariéjol, Henri IV et Louis XIII (1598-1643), 1905, 492 p.Tome VII/1: Ernest Lavisse, Louis XIV, La Fronde, le Roi, Colbert (1643-1685), 1905, 404 p.Tome VII/2: Ernest Lavisse, Louis XIV: La religion, les lettres et les arts, la guerre (1643-1685), 1906, 414 p.Tome VIII/1: Philippe Sagnac et Alexandre de Saint-Léger, Louis XIV: La fin du règne (1685-1715), 1908, 484 p.Tome VIII/2: Henri Carré, Le Règne de Louis XV (1715-1774), 1909, 427 p.Tome IX/1: Henri Carré, Ernest Lavisse et Philippe Sagnac, Le Règne de Louis XVI (1774-1789), 1910, 445 p.Tome IX/2: Tables alphabétiques, 1911
Hachette, 1900-1910, 17 vol. pt in-4°, chaque volume comprend de 380 à 484 pp, reliures demi-basane verte, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres, sous-titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état. Bel exemplaire
Chaque volume de ce classique inégalé traite d'une période de l'Histoire de France et est rédigé par un (ou plusieurs) éminent(s) spécialiste(s). Les plus grands historiens de l'époque ont participé à la rédaction de cette somme. Manque le volume de tables. — "Pourquoi lire aujourd'hui les volumes de l'Histoire de France d'Ernest Lavisse ? Parce que ce monument est l'expression indépassable d'un grand moment historique et national, au croisement d'une histoire en train de se faire scientifique et d'une République en train de se faire définitive, du début du XXe siècle (1900) au lendemain de la guerre (1922). Un miroir de réfraction, le socle d'un édifice en partie détruit, en partie indestructible et dans lequel nous vivons encore, un roman qui nous permet une meilleure compréhension de ce que nous sommes par le récit de ce que nous ne sommes plus." (Pierre Nora de l'Académie française) — Détail : I.1. Tableau de la géographie de la France. Par P. Vidal de la Blache, 64 cartes et figures dont une grande carte dépliante en couleurs – I.2. Les origines. La Gaule indépendante et la Gaule romaine. Par G. Bloch – II.1. Le christianisme, les barbares, Mérovingiens et Carolingiens. Par Ch. Bayet, Ch. Pfister et A. Kleinclausz – II.2. Les Premiers Capétiens (987-1137). Par A. Luchaire – III.1. Louis VII, Philippe-Auguste, Louis VIII (1137-1226). Par A. Luchaire – III.2. Saint Louis, Philippe le Bel, les derniers Capétiens directs (1226-1328). Par Ch.-V. Langlois – IV.1. Les premiers Valois et la guerre de Cent ans (1328-1422). Par A. Coville – IV.2. Charles VII, Louis XI et les premières années de Charles VIII (1422-1492). Par Ch. Petit-Dutaillis – V.1. Les guerres d'Italie, la France sous Charles VIII, Louis XII et François Ier (1492-1547). Par H. Lemonnier – V.2. La lutte contre la maison d'Autriche. La France sous Henri II. Par H. Lemonnier – VI.1. La Réforme et la Ligue. L'Édit de Nantes (1559-1598). Par J. H. Mariéjol – VI.2. Henri IV et Louis XIII (1598-1643). Par J. H. Mariéjol – VII.1 et VII.2. Louis XIV (1643-1685). Par E. Lavisse – VIII.1. Louis XIV. La fin du règne (1685-1715). Par A. de Saint-Léger, A. Rébelliau, P. Sagnac et E. Lavisse – VIII.2. Louis XV (1715-1774). Par H. Carré – IX.1. Louis XVI (1774-1789). Par H. Carré, P. Sagnac et E. Lavisse.
Paris, Librairie Hachette 1879. Grand In/8 reliure demi-chagrin rouge, caissons et titres dorés, 324 p.
Ernest Lavisse, 1842 / 1922, historien français. Lavisse, boursier, intègre l’École normale supérieure en 1862. Il devient très rapidement précepteur du prince impérial sur recommandation de Duruy puis membre de son cabinet. La défaite de 1870 touche au plus profond de lui-même ce protégé du régime. Décidé à œuvrer pour sa patrie vaincue, muni d’un modeste viatique, il part étudier le fonctionnement du système universitaire de l’Allemagne victorieuse. Durant trois années, il étudie sur place l’histoire et les origines de la Prusse, thème qui restera sa spécialité. Personnage phare de la IIIe République, membre de l’Académie française en 1892, directeur de la Revue de Paris en 1894, instituteur national, surtout lorsqu’il devient, en 1904, directeur de l’École normale supérieure, Lavisse mène durant toute sa carrière la régénération du système universitaire et scolaire du régime.
Letrillard Broché D'occasion état correct 01/01/1908 422 pages
A. Colin Broché D'occasion bon état 01/01/1890 596 pages
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 24 OCT 1885. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 513 à 544. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : UNE CAMPAGNE ELECTORALE PAR DIONYS ORDINAIRE, L'EUROPE MODERNE PAR ERNEST LAVISSE, LE MIROSAURUS PAR CH. EPHEYRE, LA RENTREE DES TRIBUNAUX SOUS L'ANCIEN REGIME PAR CH.-L. LIVET, VOYAGES ET VOYAGEURS PAR LEO QUESNEL Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 11 FEV 1888. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 192. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : LE TRAITE AUSTRO-ALLEMAND PAR ERNEST LAVISSE, LE TRAITE DE COMMERCE FRANCO-ITALIEN PAR CH. BENOIST, LE BOUQUET DE VIOLETTES PAR BOURGAULT-DUCOUDRAY, L'ALLIANCE FRANCAISE PAR PIERRE FONCIN, LE PLAN DE CAMPAGNE PAR JAMES DARMESTETER, PUVIS DE CHAVANNES PAR GABRIEL SEAILLES Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 17 MARS 1888. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 321 à 352. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : L'EMPEREUR GUILLAUME DANS L'HISTOIRE PAR ERNEST LAVISSE, LA SOCIETE DES ECOLES ENFANTINES PAR JULES FERRY, MOTZA PAR E-A. SPOLL, SULLY PRDUHOMME PAR PAUL DESJARDINS, LES MEMOIRES DE CLUSERET PAR G. NAQUET Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 7 JUIL 1888. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 32. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : UN EMPEREUR DANS L'OPPOSITION PAR ERNEST LAVISSE, MELIE PAR JULES LEMAITRE, L'ALLIANCE ALLEMANDE ET L'OPINION EN ITALIE PAR EUGENE RENDU, ADAM MICKIEWICZ PAR HELENUS, LE MONDE DES EQUILIBRISTES PAR HUGUES LE ROUX, Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIBRAIRIE GERMER BAILLIERE. 10 NOV 1888. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 577 à 608. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Revue des cours littéraires. Sommaire : L'UNIVERSITE DE LYON PAR ERNEST LAVISSE, MAXIME GAUCHER PAR PAUL DESJARDINS, AU GRAND-SAINT-ELOI PAR GASTON BERGERET, LES ETUDES SANSCRITS EN FRANCE PAR PAUL REGNAUD, CONTE CHINOIS PAR LE GENERAL TCHENG-KI-TONG, CHOSES ET LIVRES DE L'AFRIQUE FRANCAISE PAR PIERRE FONCIN Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
s.d. (circa 1905), 10,5x6cm, feuillet recto.
Carte de visite autographe imprimée d'Ernest Lavisse alors Immortel et Directeur de l'Ecole Normale Supérieure (depuis 1904) , sur laquelle il a ajouté ses mots : "Aves ses remerciements" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
P , Hachette , 1903 - 1910 , 17 vols petit in 4° , 1/2 chagrin vert foncé , dos à nerfs , fleurons dorés . Manque le 18 ème volume ( tome 9 / 2 ) . Quelques coiffes et nerfs parfois très légèrement frottés. Langue: Français
Hachette, s.d. (v. 1930), 2 vol. gr. in-8° carré, 407 et 415 pp, 24 pl. de gravures hors texte, notes bibliographiques, brochés, bon état
I. La Fronde. Le Roi. Colbert. – II. La religion. Les lettres et les arts. La politique extérieure et la guerre. — Le Louis XIV de Lavisse, et son tableau de la France sous le Roi-Soleil, qui s'insère dans son Histoire de France depuis les origines jusqu'à la Révolution (1900-1911), fut largement pillé par des générations d'historiens, mais jamais dépassé. Les Français, dit-on, se situent politiquement en fonction de la manière dont ils jugent leur Révolution. Mais l'on peut observer, parmi eux, un clivage analogue à propos du règne de Louis XIV : de nos jours, on voit alterner, d'un volume à l'autre, le dénigrement systématique et la louange excessive. Aussi, pour l'« honnête homme » désireux de se former une opinion personnelle, le recours au livre de Lavisse apparaît-il indispensable. Certes, depuis 1908, date de sa parution, les historiens ont exhumé de nombreux documents et ouvert des perspectives nouvelles ; sur certains points, il est des révisions qui s'imposent. Il n'en demeure pas moins que les ouvrages fondés sur les sources – c'est précisément le cas de ce Louis XIV – sont ceux qui demeurent le plus longtemps valables. Si cette oeuvre de Lavisse souligne sans complaisance les zones sombres et les échecs du règne, elle permet en même temps de mesurer sa grandeur. Louis XIV et les Français lancèrent alors un véritable défi à une conjoncture foncièrement défavorable. Ils démontrèrent qu'il n'existe ni fatalité historique ni déterminisme absolu ; que le courage et la volonté sont toujours bénéfiques ; que ces deux vertus, guidées par la raison et le sentiment – se soutenant tour à tour et se gardant l'un l'autre –, peuvent permettre aux nations de triompher des circonstances les plus contraires. L'honneur du grand roi et de la nation est d'avoir réalisé une France « mère des arts, des armes et des lois » en dépit des tempêtes et d'une adversité quasi permanente.
Tallandier, 1978, 2 vol. gr. in-8°, xv-594 et 732 pp, préface de Roland Mousnier., brochés, couv. à rabats, bon état (Coll. Monumenta Historiae)
Le Louis XIV de Lavisse, et son tableau de la France sous le Roi-Soleil, qui s'insère dans son Histoire de France depuis les origines jusqu'à la Révolution (1900-1911), fut largement pillé par des générations d'historiens, mais jamais dépassé. Les Français, dit-on, se situent politiquement en fonction de la manière dont ils jugent leur Révolution. Mais l'on peut observer, parmi eux, un clivage analogue à propos du règne de Louis XIV : de nos jours, on voit alterner, d'un volume à l'autre, le dénigrement systématique et la louange excessive. Aussi, pour l'« honnête homme » désireux de se former une opinion personnelle, le recours au livre de Lavisse apparaît-il indispensable. Certes, depuis 1908, date de sa parution, les historiens ont exhumé de nombreux documents et ouvert des perspectives nouvelles ; sur certains points, il est des révisions qui s'imposent. Il n'en demeure pas moins que les ouvrages fondés sur les sources – c'est précisément le cas de ce Louis XIV – sont ceux qui demeurent le plus longtemps valables. Si cette oeuvre de Lavisse souligne sans complaisance les zones sombres et les échecs du règne, elle permet en même temps de mesurer sa grandeur. Louis XIV et les Français lancèrent alors un véritable défi à une conjoncture foncièrement défavorable. Ils démontrèrent qu'il n'existe ni fatalité historique ni déterminisme absolu ; que le courage et la volonté sont toujours bénéfiques ; que ces deux vertus, guidées par la raison et le sentiment – se soutenant tour à tour et se gardant l'un l'autre –, peuvent permettre aux nations de triompher des circonstances les plus contraires. L'honneur du grand roi et de la nation est d'avoir réalisé une France « mère des arts, des armes et des lois » en dépit des tempêtes et d'une adversité quasi permanente.
Paris Librairie Hachette et Cie 1879 in 8 (22x14) 1 volume demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, XI et 324 pages [1], plats de percaline rouge ornés d'un décor d'encadrement estampé à froid, plat supérieur orné d'un fer doré du Lycée Henri IV, rousseurs sur les premières et dernières pages. Ernest Lavisse, 1842-1922, historien français. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
Armand Colin, s.d. (1888), in-12, 295 pp, proclamations, discours et messages des empereurs Frédéric III et Guillaume II en annexe (pp 267-295), reliure demi-percaline bordeaux, dos lisse, pièce de titre basane noire (rel. de l'époque), qqs rares et pâles rousseurs, bon état
Le portrait comparé des trois empereurs d'Allemagne par l'historien Ernest Lavisse (1842-1922). Élève de l'École Normale supérieure, reçu deuxième à l'agrégation d'histoire derrière Gabriel Monod, il devient secrétaire du cabinet du ministre de l'Instruction publique Victor Duruy (1865-1868) puis est nommé précepteur adjoint du prince impérial Louis-Napoléon en 1868. Il se rallie définitivement au régime républicain en 1877. En 1888, il accède à la chaire d'histoire moderne à la Sorbonne. À cette époque, il a surtout publié des ouvrages sur l'Allemagne où il avait passé trois ans après 1870 : Étude sur l’histoire de la Prusse (1879) ; Essai sur l'Allemagne impériale (1881) ; Trois Empereurs d’Allemagne (1888). Sa carrière se déploya ensuite jusqu'à faire de lui « l'instituteur national » de la Troisième République. — "Ses cours publics, à certaines heures, furent pour lui des triomphes : nul de ses auditeurs n'a pu oublier les leçons qu'il professait en 1888 sur Guillaume Ier, Frédéric III et Guillaume II, durant ces cent jours qui virent se succéder, sur le trône allemand, trois empereurs..." (René Doumic, Revue des Deux Mondes, 1922)
Paris, Armand Colin, s.d. (1917) in-16, 25 pp., [2] pp. n. ch., broché.
Dans le conflit mondial, France et Allemagne enrôlèrent leurs intellectuels dans la propagande officielle de chacun des Etats : on assista, de la part de plumes habituellement élevées et modérées, à des débauches de mauvaise foi et de falsifications. Dans ce genre, Ernest Lavisse (1842-1922), historien presque officiel de la IIIe République radicale, co-fondateur de la Ligue française, se signala par des variations indéfinies sur la "guerre du droit", la "victoire du droit", etc.Cachet de la Ligue française aux titres. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie I. Rirachovski, s.d. (1917) in-8, 32 pp., broché.
Il s'agissait de répondre à la question existentielle et angoissée d'une jeune normalienne de Valence (réelle ou fictive ...) : "Devrai-je exciter la vengeance et la haine de l'ennemi dans le coeur de mes élèvres, ou devrai-je, afin qu'ils détestent la guerre à tout prix, faire dominer les sentiments humanitaires ? Je me sens très troublée par les débats [sic] du problème."Dans le conflit mondial, France et Allemagne enrôlèrent leurs intellectuels dans la propagande officielle de chacun des Etats : on assista, de la part de plumes habituellement élevées et modérées, à des débauches de mauvaise foi et de falsifications. Dans ce genre, Ernest Lavisse (1842-1922), historien presque officiel de la IIIe République radicale, co-fondateur de la Ligue française, se signala par des variations indéfinies sur la "guerre du droit", la "victoire du droit", etc. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT