259 books for « larsen »Edit

‎TERRE ROUGE, aventure caraïbe‎

‎La Baconnière, Neuchatel, 1965, 150x215, broché, photo couleur sur la couverture, photos NB et couleur, 169 pages. Au cur de la forêt guyanaise, sur les rivages ensoleillés de la mer des Antilles, puis dans la jungle étouffante du Darién, à la recherche des derniers Caraïbes, indiens attachants entre tous.-410g.L. - Très bon état.‎

‎Renaissance women writers. French texts / american contexts. Edited with an introduction by...‎

‎ Detroit, Wayne State University Press, 1994. In-8 rel. pleine toile éditeur sous jaquette ill., 242 pp., bibliographie, index. ‎

‎Envoi autographe de Colette H. Winn. Jaquette légèrement frottée, ouvrage en très bonne condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Life and land use on the Bahrain Islands. The geoarcheology of an ancient society.‎

‎ Chicago, The University of Chicago Press, 1983. In-8 broché, XX-339 pp., qq. fig. et cartes en noir dans le texte, bibliographie, index. (Prehistoric archeology and ecology series). ‎

‎ Very fine condition. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎The evolution of the system of long and short adjectives in old russian.‎

‎ München, Otto Sagner, 2005. In-8 broché, 283 pp., bibliographie, index. (Slavistische Beiträge, 439). ‎

‎ As new. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

‎Terre rouge : aventure Caraïbe.‎

‎Paris Albin Michel 1965 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats, 174 pp., 35 illustrations en noir et en couleurs hors-texte, glossaire, bibliographie. Dos ridé et usé. Couverture défraîchie. Larges plis sur la 4e de couv. Intérieur propre. Etat convenable.‎

‎Lointain tam-tam.‎

‎Paris Albin Michel 1967 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats, 198 pp., 42 illustrations en noir et en couleurs hors-texte. Dos ridé. Sinon bon état général.‎

‎Brousse malefique‎

‎ROTO SADAG S.A.- IMP. DE LA TRIBUNE DE GENEVE. 1969. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 210 PAGES - Nombreuses planches photos en noir/blanc + 1 planche en couleur - jaquette découpée et collée sur le 1er plat - page de titre manquante - annotation en page de faux titre - usures sur le 2e plat. . . . Classification Dewey : 910.9-Explorations‎

‎ Classification Dewey : 910.9-Explorations‎

‎J. Anker Larsen. Marthe et Marie : EMartha og Mariae roman traduit du danois par Marguerite Gay‎

‎Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1948 150 pages ‎

‎Hans Christian Andersensa vie et son œuvreUn livre sur le poète danois‎

‎Copenhague, Det Berlingske Bogtrkykkeri, 1955. In-8, broché sous couverture illustrée, 218 pp. Introduction, par Julius Bomholt - La vie d'Andersen, par Svend Larsen - Idée et forme des contes d'Andersen, par Paul V. Rubow - Andersen en quatre-vingt langues, par Erik Dal - Andersen exemple pour les poètes, par Cai M. Woel. ...‎

‎Illustrations en noir et blanc in texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

‎Rondes- Année I- n°2- Roman-photo-Sommaire: Viva maria- Les joies du mestier- Parfun explosif par François Sauvage- La mort a bonne mémoire- Le troisième larron par Kris Larsen- humour- Une fille pas comme les autres- etc.‎

‎Editions brandt/N.M.P.P.. Non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Papier jauni. 194 pages. Roman-photos en noir et blanc. Plats en couleurs. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

‎Sommaire: Viva maria- Les joies du mestier- Parfun explosif par François Sauvage- La mort a bonne mémoire- Le troisième larron par Kris Larsen- humour- Une fille pas comme les autres- etc. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

‎Lointain Tam-Tam.‎

‎ALBIN MICHEL / A LA BACONNIERE. 1967. In-12. Broché. Etat d'usage, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 198 pages. Frontispice en couleurs, hors-texte. Nombreuses planches de photos en héliogravures hors-texte. Couverture rempliée. Accroc sur le 2nd plat de couverture.. . . . Classification Dewey : 960-Histoire générale de l'Afrique‎

‎ Classification Dewey : 960-Histoire générale de l'Afrique‎

‎156 Recettes de Boissons Americaines simples et faciles a préparer chez soi.,‎

‎ 1932 Bernardin-Bechet, Paris. 1932,19 x 12 cm.95pp,un volume broché,,couverture ill; conservée,bon état,‎

‎rare ‎

‎Sable noir. Expédition Nouvelles-Hébrides.‎

‎ Neuchâtel, Edition la Baconnière 1959, 215x155mm, 223pages, broché. Bon état. ‎

‎ photos couleurs et n/b, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal‎

‎Incertitude (Uden sikker viden)‎

‎ RIVAGES/THRILLER (1998) - Broché de 242 pages - Couverture en couleurs - Traduction du danois de Alain GNAEDIG - Bon état‎

‎Je m'appelle Radar‎

‎ 2016 Paris, Nil éditions , 2016, 20 x 23 cm , 729 pp, état neuf, car service de presse, ‎

‎. ‎

‎Festskrift til Amund B. Larsen på hans 75-Års Fødselsdag 15. desember 1924.‎

‎Kristiania, Aschehoug, 1924. Samt. hshirtbd. Portræt. (6),246 pp.‎

‎Omkring Axen Assissi-Salzburg.‎

‎K., 1938. 4to. Indb. m. det orig. for- og bagomsl. i et nydeligt hldrbd. af lys langnarvet maroquin (Harry Larsen). 119, (1) pp.‎

‎Johannes Larsen og den danske Sommer. Halvtreds Tegninger med et Digt af Johannes V. Jensen.‎

‎Kbh., 1941. Tvær4to. Orig. hellærred med smudsomslag. Upagineret. Helt friskt eksemplar i kassette.‎

‎Stæren - Nattergalen - Storken. 3 Bd.‎

‎Kbhvn., 1925-27. Med orig. foromslag i privat helshirtbd. Med mange illustr. af Johannes Larsen.‎

‎L'ami du médecin. Mars 1926. Qui a découvert l'Amérique ? Par le Dr Sofus Larsen (4 pages). Suivi de Une rencontre aux mines d'or, par Fred H. White, dessins de A. de Parys (8 pages).‎

‎Couverture souple. Revue brochée. 16 pages.‎

‎Périodique. Revue illustrée mensuelle. L'Ami du médecin, 1926.‎

‎Le Danemark.‎

‎Couverture souple. Broché. 194 pages. Cachets.‎

‎Livre. 186 héliogravures. Couverture de Hugo Larsen. Editions Arthaud (Collection : Les beaux pays), 1935.‎

‎"La soirée au théâtre" Smoking et cape "Priola", de Larsen (pl.57, La Gazette du Bon ton, 1922 n°9)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une double page.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte de Caylus "Le bois dans la mode". - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎Nemrod ou le départ pour la chasse, Costume de chasse de Larsen (La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une double page.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. Avant l'illustration sur la dernière page du double feuillet, texte "Pour Cendrillon", soulier de femme. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎"Neuf heures...il faut que je rentre dîner" Costumes veston, de Larsen (pl.57, La Gazette du Bon ton, 1922 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

‎"Pauvres petites bêtes..." ou Le Voyage sentimental. Robe d'après-midi de Martial et Armand. Pardessus de Larsen (pl.74, La Gazette du Bon ton, 1922 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur, Paris 1922, 18x24cm, une feuille.‎

‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎