Paris, L'Édition, 1922 ; in-16, broché ; (4), 115, (3) pp., couverture bleue rempliée, étiquette de titre illustrée tirée en bordeaux sur papier crème et en tout 15 dessins de Chas Laborde.
EDITION ORIGINALE. Né à La Grand Combe dans le Gard, Léo Larguier fut tout à la fois poète, romancier, auteur dramatique, essayiste, conteur et mémorialiste ; ce petit ouvrage s'inscrit dans ce dernier genre. Exemplaire en très bel état.
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1928 Paris : Bernard Grasset, (1928); in-8 broché de (3) ff. - 257pp. - (1)f.; couverture bleu pale titre en noir et rose au 1er plat, en noir au dos. Exemplaire du service de presse, marqué S. P. au 1er plat. Envoi autographe signé, sur le 1er feuillet blanc, de Léo Larguier à Maurice Bourdet. Il s'agit sans doute du journaliste Maurice Bourdet, né à Marseille le 9 avril 1902 et mort en déportation en 1944, romancier, journaliste au "Petit Parisien" et créateur et rédacteur en chef du Journal parlé au "Poste Parisien".
Dans ce recueil de souvenirs Larguier évoque briévement chacun des auteurs, poètes, artistes qu'il a rencontrés, les vernissages, les terrasses des cafés, la vie politique, etc. Couverture jaunie en bordure des plats et au dos, très petit manque au dos en tête. (GrG)
LARGUIER Léo - (La Grand-Combe 1878 - 1950) - Ecrivain français- manuscrit autographe
Reference : 27787
un volume en cahier, IN4 reliure ancienne demi chagrin à coins,dos lisse orné,manuscrit autographe avec dessins aquarèllés,daté janvier (19)34,47 pages recto, bon état
L'auteur (1878-1950), est un poète, nouvelliste, critique et essayiste. Il fit partie de l'Académie Goncourt. Nicolas BOILEAU, dit BOILEAU-DESPRÉAUX, poète, né à Paris en 1636, mort à Paris en 1711.Vite célèbre, il fut protégé par Louis XIV, et se lia à Molière, Lafontaine et Racine. Il entra à l’Académie française en 1684. Sa principale œuvre est « L’art poétique » (1674). Il fut le chef du parti favorable aux Anciens dans la querelle des Anciens et des Modernes. Au 26, rue Boileau figure une plaque commémorative : « Ici s’élevait la maison où vécut, de 1685 à 1709, Nicolas BOILEAU, poète et critique ».(in Hubert Demory, « La mémoire du XVIe arrondissement. Inventaire des plaques commémoratives ». L’Harmattan, coll. Histoire de Paris, 2010).La Société Historique d’Auteuil et de Passy (SHAP),
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4 pages in4 - quelques corrections -
Texte d'un article sur "Le Dit des rues de Paris" par Guillot, découvert chez un bouquiniste d'Avignon - "il m'a semblé honnête de donner une pensée à ce vieux parisien qui rima fort naivement, au déclin du XIIIe siècle, le premier guide du promeneurs à travers les ruelles de la capitale" - "Cher Guillot, sa tache était facile...Paris ne comptant alors que trois cent dix rues " alors qu'il y en a "plus de six-mille" aujourd'hui -
Paris. Flammarion. (1914). In-12 (120 x 187 mm) broché, couverture crème imprimée, 2ff., 229 pages. Couverture un peu insolée et poussiéreuse, avec de tout petits défauts, dos fendillé, rousseurs éparses mais assez bon état intérieur, exemplaire non coupé de l'édition originale. Peu courant.
2 pages in4 + enveloppe - bon état -
Longue lettre : Il lui enverra les Quatrains recopiés et lui donne la préface à ses "Petites images de France" :"24 quatrains qui forment un tout assez émouvant" - Robert Burnand a pleuré - "Je crois que ce n'est pas mal et que c'est la France - J'ai laché tout le reste - Je veux mille quatrains " - Il a donné quelques vers à Poésie 42, "le petit Seghers ayant tellement insisté" - Il n'en revient pas de l'idée d'Henriot - "Si on m'avait dit que le Temps...Vous faites une révolution" - Il est d'accord pour les articles et comptes donner: 1 - les romantiques - 2 -Flaubert, Goncourt.. - 3 -Zola... - Aubanel a du lui envoyé les épreuves de la Bovary - Il l'attends pour le printemps, il aura une chambre à l'auberge et feront des promenades "en auto" -
2 pages in8 + enveloppe - et - Manuscrit autographe de 4 pages in8 -
La lettre : Elle lui arrive un "matin de cafard" - Il est sûr que leurs vues sont communes mais "Nous sommes le dernier carré ..je crains que nous ne soyons plus que quelques uns à aimer ce que nous aimons"..."Souvenez vous de la prose de Péguy" - Il a hate de voir "l'habit que Lardanchet va donner au bouquin" et il lui envoie quelques strophes d'un poème pour la revue des Deux-Mondes, "Gilles me les ayant demandé" - Il a levé son chapeau devant le Maréchal, mais c'était à la Préfecture ou le préfet Chiappe l'avait convié - "Le vieux soldat est encore solide" - Puis il parle de la maison de Stendhal à Grenoble et précise qu'il donnera sous peu "une chose mi romancée, mi historique" qui "se passera en 1840 dans une boulangerie de Nimes" - Le manuscrit joint se compose de 8 dizains et commence ainsi: "Les plus grands laissent peu de choses/Lucrèce? un cri de désespoir/.../et Virgile un antique soir..."-
2 pages in8 + enveloppe - avec: une lettre autographe signée "L.L" paraissant incomplète de 1 page 1/2 in8 (29 avril 1941) - et une lettre autographe signée de sa fille Catherine au sujet des "Quatrains" de 2 pages 1/2 in8 (26 janvier 1953 + enveloppe) -
Il a été "infiniment touché" par son article du Temps - Il va partir dans les Basses-Alpes et le previendra - "Je suis désespéré mais je travaille à mon énorme bouquin: Automne" - "Cela m'aide à oublier" - Il lui demande de lui expédier me manuscrit des "poèmes prosaiques" -
1 page 30 x 14 cm pliée en deux - bon état -
Long poème de 32 vers répartis en 8 quatrains en alexandrins - "Quand la nuit pèse au toit de la maison fermée/ ne parle pas trop fort, goute, comme il convient/ tout ce qu'apporte à l'homme une lampe allumée/ quand il est solitaire et quand il se souvient...."-
1 page in4 - bon état -
Il lui envoie les deux quatrains supplémentaires nécessaires pour la mise en page - "Dans un placard, on relégua les dictionnaires/grosses malles de cuir..."- Il lui demande de lui adresser plusieurs numéros du Temps "ou cela sera" -
8 pages in8 -
Long ensemble de 24 quatrains en alexandrins (qui seront publiés en livre dans "Quatrains d'automne" en 1953 - "La France ne peut pas être cette déesse/ que sur les vieux écus aurtrefois on voyait/ elle n'est pas non plus la farouche druidesse/ aux cheveux ceints du gui qu'à l'an neuf on cueillait...."-