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Semaine sainte
Editions du Sagittaire, Paris 1925, 11,5x16cm, relié.
Edition originale de la traduction française établie par Valéry Larbaud et Noémi Larthe. Reliure en demi box noir, dos lisse, date dorée en queue, plats de papier façon bois, gardes et contreplats de papier façon bois, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée de Daniel-Henri Mercher. Bel exemplaire agréablement établi. Envoi autographe signé de Valery Larbaud à Jules Romains enrichi de la signature de Noémi Larthe. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Le Souvenir de Gabriel Miro.
La Nouvelle Revue Française, n°51, mars 1957, in-8, br., 2 pp. (paginées 575-576) sur 576. (Z23)
Écrivain espagnol, Gabriel Miro est le second fils du peintre. Ce numéro contient aussi un hommage à Valery Larbaud, signé M[arcel] A[rland].
Le Souvenir de Gabriel Miro.
In : La Nouvelle Revue Française, n° 51, mars 1957, in-8, br., 2 pp. (paginé 575 et 576). (Z23)
Deux pages ont été ajoutées à ce numéro, à la suite du décès de V. Larbaud (pp. 385-386). V. Larbaud est le préfacier (et le co-traducteur) de Semaine sainte, premier livre de Gabriel Miro paru en France (Éditions du Sagittaire, 1925).
Semaine Sainte.
Lyon, Société des XXX, 1931 ; in-folio en feuilles sous chemise à rabats et étui d'éditeur. Dos demi-vélin écru, titre doré. 2ff. blancs-6ff. non chiffrés-59pp.-1f. 19 compositions gravées sur bois en couleurs, dont 7 à pleines pages, 1 vignette de titre et 1 cul-de-lampe in-texte en deux tons de bleu. Bel exemplaire.
Ecrivain et poète espagnol, Gabriel Miro, appartient au courant moderniste dit "Génération 14". La Semaine Sainte est son premier texte traduit en français, par Valery Larbaud, qui dit de lui dans sa préface, qu'il est comparable à Gabriele d'Annunzio, "non pas, certes, à cause des tendances morales ou du contenu de leurs ouvrages, mais à cause de l'action qu'ils ont exercée comme grammairiens et comme stylistes sur la langue littéraire de leur pays". L'ouvrage est par ailleurs parfaitement mis en pages et illustré de bois gravés en couleurs par Daragnès, qui en a assuré aussi l'impression. Tiré à 130 exemplaires sur beau vélin d'Arches avec la marque de la Société des XXX en filigrane. L'édition originale de la traduction a paru en 1925 aux éditions du Sagitaire.
