Bordas 1979 poche. 1979. ntoché. 79 pages. Bon état
Dentu 1865 in12. 1865. Reliure demi-basane à coins. 280 pages. Bon Etat de la reliure qq rousseurs
Editions serg 1977 in 4 à l'italienne. 1977. Reliure editeur. 74 pages. Bon Etat intérieur propre couverture légèrement salie avec un petit choc sur une pointe ( voir photo)
Paris, Didier, Paris, Didier1869 ; in-8, plein chagrin violet, filets dorés, fleuron central et fleurs de lys aux angles dor., dos orné, dent. int. dor., tranches dorées. (Relié vers 1880) 2 ff., VIII pp., 304 pp.ÉDITION ORIGINALE. Idylle héroïque qui peut se comparer au Herman et Dorothée du grand poète allemand. Laprade est allé chercher se héros dans les champs du Forez, sa terre natale. Une vieille chanson, écho vague d’une antique légende recueille sur les lèvres d’un laboureur lui en a fourni le thème.La Pernette se lèveDeux heures avant le jourChaque jour qu’elle filePousse un soupir d’amourNe pleure pas PernetteNous te maridarons...Je veux mon ami PierreQu’est dedans la prison.Tu n’auras pas ton PierreNous le pendoularons.Si vous pendoulas PierrePendoulas-nous tous deuxCouvrissez mois de rosesEt Pierre de mille fleursPour lui donner vie, Laprade la transporte au début du siècle. Pierre qui fut pris et pendu à Montbrison pour rebellion contre le fisc sous Philippe le Bel devient un conscrit réfractaire du Premier Empire. Cet insoumis, après avoir refusé de se battre au loin pour le conquérant est tué en repoussant de sa terre natale l’invasion étrangère. Quand à Pernette, Laprade ne l’a pas caché, c’est sa grand-mère, veuve du martyr de la Terreur. Le médecin mis en scène est le propre père du poète, le docteur Laprade. C’est donc de son pays, de sa famille, que Laprade a tiré le plus considérable, le plus achevé de ses ouvrages, celui qu’il estimait au-dessus de tous les autres. Le succès fut rapide, éclatant et consacré par de nombreuses éditions. Laprade n’avait encore rien écrit d’aussi humain. Les paysages qu’il décrit sont ceux où s’est écoulée son enfance, les champs, les fermes et les horizons de son cher pays de Forez.À cette époque Laprade ne savait pas qu’un jour il pourrait retourner se fixer dans son Forez. Ce n’est qu’en 1876, après un héritage recueilli par sa femme dans la succession de son père, M. de Parieu, qu’il fera l’acquisition du château de Perrey situé non loin de Montbrison, d’où il pourra contempler sur ses vieux jours, les montagnes de son enfance. Le Perrey lui deviendra aussi cher que St.-Point à Lamartine.Très bel exemplaire relié pour Adda, la fille du poète.
Paris, Michel Lévy, 1855; in-12, plein chagrin violet, filets dorés, fleuron central et fleurs de lys aux angles dor., dos orné, dent. int. dor., tranches dorées. (Relié vers 1880). 2 ff., 344 pp "EDITION ORIGINALE. Laissons la parole à Emmanuel des Essarts """"Les beautés de ce livre, descriptives et philosophiques, n'ont été dépassées par aucun de nos contemporains. Cette muse des lacs, des glaciers, des montagnes, occupe par droit de conquête les cimes de l'imagination contemplative, les sommets de la pensée"""". Impossible de ne pas évoquer ici un autre poète immense, peut-être épigone de Laprade, le grand Milosz qui lui aussi nous a laissé d'admirables Symphonies des saisons. Le poète lituanien et Laprade ne se contentèrent pas de chanter les charmes de la nature. Tous deux s'attachèrent avec une sorte de passion à nous montrer l'âme humaine aux prises avec la douleur et tendant, par le sacrifice, à la béatitude céleste et à l'amour infini. La note triste qui persiste dans les vers de Laprade justifie la comparaison qu'on à faite entre lui et Mendelssohn. """" A prendre les Symphonies de Laprade, dit Condamin, c'est en effet à Mendelssohn plus qu'à Beethoven qu'on pense de part et d'autre, même ampleur, même sérénité, mais aussi mêmes tristesses; il y a du mineur dans les Symphonies comme il s'en rencontre à toutes les pages de l'auteur du Songe d'une Nuit d'été. Les Symphonies furent accueillies avec enthousiasme dans toute l'Europe. Un journal de Breslau et une revue anglaise lui consacrèrent d'élogieux articles. Très bel exemplaire relié pour Adda, la fille du poète avec ses initiales. LYON POESIE XIX e S."
Paris, Didier ( 1881) in-12, plein chagrin violet, filets dorés, fleuron central et fleurs de lys aux angles, dos orné, dentelle int. dor., tr. dor. (Reliure de l'époque). IX pp., 362 pp., 1 f. blanc. "EDITION ORIGINALE. Vers 1866, dans le Correspondant, Laprade avait publié sous le titre Philosophie de la Musique des pages où, après avoir rappelé que la musique et la poésie étaient sœurs, deux Muses jumelles, il n'avait pas craint de signaler les abus de la musique contemporaine. Laprade se refusait de placer l'art musical au-dessus de tous les autres. Il le plaçait historiquement après l'architecture, la statuaires, la peinture et la poésie. Il ne fallut pas davantage pour qu'on lui appliquât le vers de Molière """"Cet homme assurément n'aime pas la musique? """"Falloux entra en lice contre lui et combattit avec beaucoup d'esprit quelques unes de ses affirmations. Laprade développa ses arguments et fit paraître ce livre """"Je ne reproche (à mes contradicteurs) que de m'avoir pris pour un adversaire, pour un ennemi du plus séduisant des arts et d'avoir ainsi, malgré moi, imposé à cette modeste et impartiale étude son vilain titre """"Contre la musique"""". Laprade reproduit les pages de Falloux et les fait suivre de sa réponse. C'est un dialogue où les deux hommes, l'homme d'Etat et le poète, alternent avec un égal talent et une verve digne du sujet. Biré en relisant ces pages, songe aux bouviers de Théocrite et aux bergers de Virgile qui se disputent le prix du chant et aiment à terminer leur lutte courtoise par un échange de présents. Très bel exemplaire relié pour Adda, la fille du poète avec son chiffre sur le plat.
1923 1 Quinze aquarelles de Pierre LAPRADE. Paris, Librairie de France, F. Stan'Andrea, L. Marcerou & Cie, 1923, in-4, en feuilles, sous couverture illustrée en coulerus par Pierre LAPRADE, sous étui et emboîtage cartonnés rouges.
"Ces poèmes sont de France et d'Italie. On les y retrouvera toutes deux. L'inspiration de Pierre LAPRADE qui, d'un ton, d'un trait, exprime l'essence de l'une ou de l'autre, fut aussi leur atmosphère natale". Un des 110 ex. num. comportant un état des quinze aquarelles sur Grand Vélin et le texte est tiré sur papier d'Arches à la forme.
1903 Paris : [s.n.], 1903-1906.fort IN4 demi basane noire,Direction et administration: Mme. Laurence de Laprade. Bureaux: 21, Rue de Labruyère, Paris.--1ere à 4e. année,du no. 1(3/08/1903) à decembre 1906).ill. ; 32 cm.trés rare complet,tout ce qui a été publié ? trés rare receuil ?,déscriptif complet sur demande,bon état.
Founded by Mme Laurence de Laprade -"Bureaux de vente & abonnements: Librairie generale de l'architecture et des arts decoratifs, Vve Charles Schmid, editeur."
Lyon, Paris, Girard, Lyon, Paris, Girard1871 ; plaquette in-12, demi-chagrin violet très fin, coins, dos fleurdelysé, tranches dorées. (Reliure de l’époque) 51 pp.ÉDITION ORIGINALE. Ce petit livre devenu très rare, était vendu au profit des blessés militaires.Cinq pièces dans ce volume : Aux bretons, un hymne qui fit le tour de la France : on le lisait autour du feu des bivouacs - Au roi Guillaume de Prusse - Aux Héllènes venus combattre pour la France - et une sorte de chanson, pleine de fureur et de rage intitulée Bons Allemands. Après avoir lu ces textes, le poète de Mireille écrivit à un ami : “Cette dernière inspiration du grand poète est une des plus belles choses de la poésie humaine... Les races qui trouvent de tels bardes pour glorifier leurs défaites ne sont pas près de mourir.” - Mistral, lettre à E. Grimaud, déc. 1870 - Lorsque parut ce recueil, un habitant de Lyon qui a voulu rester anonyme et dont Laprade lui-même n’a pu découvrir l’identité, lui demanda l’autorisation de réimprimer à 60000 exemplaires l’ode À la France, afin de le répandre parmi les gardes mobiles. Un imprimeur d’Aurillac, où Laprade passait le lugubre hiver 1870-71 en fit un tirage à 3000 exemplaires. La cuisinière de Madame Laprade arrivau au marché le lendemain du jour où le poème avait été mis en vente. Toutes les mères l’avaient lu. On aborde la brave fille, on l’entoure. “Ah Madame, dit la pauvre cuisinière en rentrant, il ne faut plus que Monsieur fasse des vers comme ça : tout le monde pleure !”Bel exemplaire, de la bibliothèque d’Adda, la fille du poète.
1920 Aquarelle signée et titrée en bas à gauche et dans le dessin, (1909), 19 x 27 cm., cadre doré.
Pierre Laprade (Narbonne 1875 - 1931 Fontenay aux Roses), fréquente l'atelier de Bourdelle et l'école des Beaux-Arts. Il participa au Salon des Indépendants (1901), exposa au Salon d'automne (1905), à la Libre Esthétique (Bruxelles 1907), à New-York et Chicago mais aussi chez Ambroise Vollard et chez Berthe Weill. Membre fondateur du Salon des Tuileries il y exposera jusqu'en 1930. Pierre Laprade nous offre une vue plongeante sur Florence et les bords de l'Arno. Petite tache sous le dessin n'atteignant pas l'oeuvre. Accidents au cadre.Mention au dos du cadre "Ancienne collection Valloton".
P., Didier, [1881], in-18, demi-veau glacé havane clair, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre mauve, tête mouchetée, non rogné (rel. de l'ép.), IX-(3)-362 pp. (GK17B)
Édition originale. "Vers 1866, dans Le Correspondant, Laprade avait publié, sous le titre Philosophie de la musique, des pages où il n'avait pas craint de signaler les abus de la musique contemporaine. Il se refusait à placer cet art au-dessus de l'architecture, la statuaire, la peinture et la poésie... Falloux entra en lice contre lui et combattit avec beaucoup d'esprit quelques-unes de ses affirmations. Laprade développa ses arguments et fit paraître Contre la musique où il reproduit les pages de Falloux et les fait suivre de sa réponse. C'est un dialogue où les deux hommes, l'homme d'État et le poète, alternent avec un égal talent et une verve digne du sujet. Biré, en relisant ces pages, songe aux bouviers de Théocrite ou aux bergers de Virgile qui se disputent le prix du chant et aiment à terminer leur lutte courtoise par un échange de présents" (Oberlé, cat. hiver 1990). Vicaire, V, 32. Lég. épidermures. Peu commun.
Berger-Levrault, 1980, in-4 rel. toile oblong (24,5 x 31), 139 p., nouveau tirage de 1987, présentation par Yvan Christ, 122 planches dont de très nombreux croquis, jaquette ill., bon état.
Un vade-mecum où est enclos tout le génie de l'ancien Paris : tel est l'album de croquis d'Albert Laprade, minutieusement constitué par un architecte qui voyait, la mort dans l'âme, s'effondrer de larges pans de ce royaume de l'architecture que fut, à travers les siècles, le coeur de la ville.
Générique Broché D'occasion état correct 01/01/1907 150 pages
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1957 150 pages
GALLOTTI Jean - LAPRADE Albert (ill.) - VOGEL Lucien (photos)
Reference : 132082
(1926)
Albert Lévy 1926 2 volumes in-8, cartonnage éditeur, dos toilé jaune, VIII- 120 pp. & 57 planches ; 94 pp. & 79 planches. Texte de Jean Gallotti, 160 dessins noir et blanc in et hors-texte de Albert Laprade, 136 planches en héliogravure d’après les photographies de Lucien Vogel, Félix, Vve P. R. Schmitt, G. Faure et Canu, lettre de Lyautey. Légeres humidité aux coins inf. des premiers plats et aux premiers ff. du premier volume. Marques adhévives en gardes. Par ailleurs frais. Seconde édition. Gallotti passe en revue tous les détails de la construction et de la décoration du jardin et de la maison, auxquels de superbes planches viennent apporter l'appoint des plus significatives illustrations. A. Laprade, architecte et décorateur de jardins a donné près de 200 dessins pour expliquer tous les secrets des constructions arabes. Les dessins schématiques sur l'art arabe dans cet ouvrage constituent de précieux documents d'étude.
Editions du Centenaire, Paris, Librairie de France , F. Sant'Andrea, L. Marcerou & Cie. Paris., 1922 - Grand In octavo ( 24x19 cm ), broché, plat originel en papier moiré café, second plat orné du monogramme de l'édition et p. plat titré en sépia; tranche de t. de même facture, nombreux culs-de-lampe , bandeau et lettrine, hors texte en noir de Pierre Laprade , 457pages-1ff.
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Sequana, Editeur, coll. "Les Maîtres de demain", Paris, VIII, 1943. In-16, broché sous couverture illustrée, 32 pp. - pl. Note biographique - Roger Limouse, par Jacques de Laprade- Planches.
Illustrations in texte et planches en noir en hors texte in fine. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Sequana, Editeur, coll. "Les Maîtres de demain", Paris, V, 1943. In-16, broché sous couverture illustrée, 32 pp. - pl. Note biographique - André Planson, par Jacques de Laprade - Planches.
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1943 A Paris, Editions de la Galerie Charpentier - 1943 - In-4, feuillets libres sous chemises et emboîtage cartonné (1 volume de texte illustré et un volume de suite) - Avec des aquarelles de Laprade et Suite en noir des gravures de Laprade - 161 p. + suite - Exemplaire de collaborateur imprimé pour Monsieur Georges Libert
Bon état malgré chemise et emboîtage insolé - Petits départ de fentes à l'emboîtage
Paris, Labitte ; 1843; in-12; plein chagrin violet, filets dorés, fleuron central et fleurs de lys aux angles dor., dos orné, dent. int. dor., tranches dorées. (Relié vers 1880) XX, 311 pp.EDITION ORIGINALE. Dans ce nouveau recueil, le poète de Psyché chante successivement la Grèce, la Nature et l'Amitié. """" Avant lui, dit Biré, de grands poètes, Byron , Lamartine et Hugo, avaient chanté la nature ; mais ils l'avaient aimée du dehors, ils en avaient rendu les aspects extérieurs. Victor de Laprade pénètre dans son intimité…Nulle part cette pénétration de l'âme de l'Univers et de l'âme du poète n'a été rendue avec plus d'originalité et de puissance que dans Hermia, un des poèmes du recueil…La poésie française compte peu de pages comparables à la peinture des amours d' Hermia"""". Le volume est dédié à l'un des plus chers compagnons de sa jeunesse, Barthélemy Tisseur, mort peu de mois auparavant noyé dans un lac. Trois poèmes lui sont dédiés. A lire ces vers solennels et tendres, austères et doux, on sent bien que, pour le poète, l'amitié est une véritable religion. Superbe exemplaire relié pour Adda, la fille de Laprade. Qq. ff. intervertis.
Edition Originale 97/125, édité(e) à Bruxelles par les Editions Société des Bibliophiles et Iconophiles de Belgique en 1931, imprimé(e) en Français. En 1 Vol. au format In-Folio (34/36) de 53 pp. En Feuilles, Couverture Rempliée, Plats Cartonnés Souples, Premier Plat Titré, Couvert sous Papier Cristal, Sous Etui et Emboitage.
Livre 97/125, imprimé(e) sur papier Hollande Pannekoek. Emboitage Refait. Très Bon Etat, Légères Imperfections. Nombreux(ses) Illustrations Originales (2), en hors Texte Noir et Blanc. Ouvrage Illustré par LAPRADE (Pierre). Gravé(es) par Frans Van Ermengen. Photos Contractuelles, envoi soigné au coût réel de la Poste.
[Laprade -Malassis ] - La Fontaine (Jean de) - Pierre Laprade
Reference : BBA-622
(1930)
Louis Conard de 1930 à 1933, 3 volumes 1930,1931 et 1933 (234, 290 et 355 pages), reliures demi-maroquin vertes, dos à nerfs multiple, textes or, illustrés en couleur par Laprade. (Blancasm)
300 compositions décoratives de Pierre Laprade, illustrations de Edmond Malassis er Fred Money gravées sur bois en couleur par André et Paul Baudier. Ensemble irréprochable, comme neuf!
Paris à la Galerie 1964 1 Une affiche de dimensions 54,5 x 71,5 cm; belle lithographie de René Guillard; Paris.
Bel état. Voir photo.