Librairie de Firmin-Didot et Cie Relié 1880 Vingt volumes in-8 (14,5 x 21,8 cm), reliure demi-peau, dos à 5 nerfs orné de fers dorés, 3e édition revue par M. Lacombe, 661, 623, 488, 541, 715, 544, 560, 496, 560, 707, 640, 708, 670, 495, 645, 828, 780, 565, 438 et 437 pages ; dos un peu insolés, quelques épidermures sur le cuir notamment aux coiffes et nerfs, quelques frottements aux coupes, par ailleurs bon état général pour celle belle série complète. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Alcan Félix Bibliothèque de philosophie contemporaine Broché 1926 In-12 (19*12), dos broché, 168pp., édition originale ; passages soulignés et annotations en marge, par ailleurs bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Laget Léonce Manuels-Roret Cartonné 1977 In-12 (13 x 17,2 cm), cartonné, 144 pages, réimpression de l'édition de 1877 ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Saint-Exupéry Patrick De Stavridès Yves Raynal Patrick Lacombe Stéphanie Collectif
Reference : 179484
(2009)
ISBN : 9782356380098
XXI éditions 2009 29x20x1cm. 2009. Broché. 66 pages. veuillez lire la description complète de nos annonces avec leur état . Envois en suivi pour la France et l'étranger Très Bon Etat
Librairie Encyclopédique de Roret Manuels-Roret Broché 1887 In-12 (9,8 x 15,5 cm), broché, 204 pages, catalogue de 72 pages in fine ; réparation à la colle au dos, manque dans le coin supérieur du premier plats ,rousseurs sur les plats et à l'intérieur, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Fédération de l'Education Nationale, Centre Henri Aigueperse Les Cahiers du Centre Fédéral Broché 1999 In-8 (14,5 x 24 cm.), broché, 485 pages ; dos insolé et incurvé, bords, mors et coins légèrement frottés, intérieur frais, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Plon 1910 in12. 1910. cartonnage editeur. 316 pages. Bon Etat intérieur propre
Librairie Encyclopédique de Roret Manuels-Roret Broché 1868 In-12 (9,8 x 15,5 cm), broché, 144 pages, catalogue de 36 pages in fine ; quelques manques sur le dos réparé à la colle, quelques marques d'usage sur les bords des plats, état moyen. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Belfond 1992 16x24x3cm. 1992. Broché. 322 pages. Bon Etat intérieur propre couverture brunie et pointes légèrement cornées
Numero hors serie cinema 1981 in8. 1981. Broché. 352 pages. Bon Etat
Michel Lafon 2001 in4. 2001. Reliure editeur. 155 pages. Très Bon Etat
Payot 1974 in8. 1974. Broché. 271 pages. envoi suivi pour la France et l'étranger Bon Etat
Herissant, A Paris, chez les frères Estienne Relié 1755 In-8 (17.5*11), relié plein cuir, dos lisse à pièce de titre, décor doré, traces sur les tranches du rouge d'origine, VI+758 pages, abrégé de ce qui concerne l'architecture, la sculpture, la peinture, la gravure, la poésie et la musique, avec la définition de ces Arts, l'explication des termes et des choses qui leur appartiennent : les noms, la date de la naissance et de la mort, les circonstances les plus remarquables de la vie, et le genre particulier des personnes qui se sont distinguées dans ces différents arts parmi les Anciens et les Modernes, en France et dans les pays étrangers, avec les textes de l'approbation et du privilège du Roi ; mouillures, reliure frottée, prix en l'état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Larousse Album cartonné 1991 In-4 (23,5 x 29,6 cm), cartonné, 163 pages, photographies en couleurs ; quelques marques de frottement au quatrième plat, par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris, Nicolas Augustin Delalain, 1767. 1767 1 vol. In-8° ( 205 x 135 mm.) de: LXXII (faux titre, titre, hommage, avis au lecteur); 560 pp. (mention manuscrite à lencre burne au dos du premier feuillet blanc: «Cyril Jackson 1769, à Lyon. Lady Charlotte»). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, titres de maroquin rouge, tranches rouges.
Édition originale de ce dictionnaire très complet du vieux français dû à François Lacombe (1726-1795), écrivain français. Au cours de sa vie, il fut peu productif sur le plan littéraire. Il traduisit notamment et fit publier les lettres de personnes de renom dont celle de Christine, reine de suède, qui savère être en réalité une pure fantaisie. Si son uvre littéraire nest pas très marquante, ce dictionnaire du vieux français savère être son travail le plus abouti et témoigne de la valeur de son auteur. Cette dernière fut dailleurs reconnue par la Convention de 1792 à 1795. Dans cet ouvrage, Lacombe dresse un dictionnaire très complet du «vieux français» aujourdhui appelé ancien français et dont lutilisation est attestée de 750 à 1400 environ. Pour ce faire, il sappuie sur des manuscrits en vers et en prose, des actes publics ou encore des ordonnances de rois, en ne manquant pas den fournir quelques uns afin denrichir son dictionnaire. Celui-ci sadresse tout particulièrement aux légistes, notaires, archivistes, généalogistes ou tout autre lettré ayant affaire avec des textes anciens. De plus, lauteur rappelle la grande utilité dun tel dictionnaire pour la compréhension des textes de lois dAngleterre, publiés en ancien français dans sa variété normande par Guillaume le conquérant (1027-1087) et jusquà Édouard III (1312-1377). Ce dictionnaire de Lacombe traite donc alphabétiquement un très grand nombre de mots en fournissant le terme en ancien français, en français de son époque, en latin et en fournissant quelques éléments détymologies, le tout accompagné parfois dune petite définition pour les termes les plus obscurs. Lauteur ajoute aussi régulièrement quelques vers de poésie ancienne afin de contextualiser certaines entrées de son dictionnaire. Louvrage est dédié sur la page de titre à Monseigneur le duc d'Aiguillon. Par ancien français, il est question ici de l'ensemble des langues romanes de la famille des langues d'oïl parlées approximativement dans la moitié nord du territoire français actuel ainsi que dans le sud de la Belgique actuelle et dans le canton du Jura en Suisse romande. Bien que ces langues présentaient chacune des particularités notables, leur grande proximité de par leur origine commune en faisait finalement des dialectes dune même langue, la langue doïl. Ainsi, cette proximité les rendaient relativement intelligible entre dialectes proches géographiquement. En effet, le domaine doïl était une bonne illustration de cette notion de continuum dialectal. Toutefois, si la compréhension était donc difficile à loral entre dialectes éloignés géographiquement, à lécrit, ils se rejoignaient grandement. Effectivement, si les graphies pouvaient varier régionalement, elles étaient tout de même très semblables de sorte que létude des textes anciens permettent de parler dancien français comme dune seule et même langue dialectalisée. Il faut rappeler quune autre partie du royaume de France parlait quant à elle la langue doc. Il sagit de la langue romane parlée dans le tiers sud de la France actuelle, mais aussi dans les Vallées occitanes (Piémont et Ligurie) et Guardia Piemontese (Calabre) en Italie, le Val d'Aran (Catalogne) en Espagne et à Monaco. Lacombe, originaire dAvignon, était lui-même très attaché au provençal, variété dialectale de la langue doc. En effet, de la même manière que pour la langue doïl, la langue doc était également dialectalisée et globalement commune à lécrit. Ce premier dictionnaire de Lacombe traite de la langue doïl, dont le français de son époque et daujourdhui hérite très majoritairement, entre autres du fait de son usage par les rois de France et leur cour. Il ne manque pas de sinscrire dans la tradition de lépoque visant à considérer le français comme la langue la plus parfaite et à en faire la démonstration en retraçant son évolution dans son ouvrage: «Je métais proposé de placer en tête de ce dictionnaire une dissertations sur lorigine et les progrès de la langue françoise. Outre lhistoire que je devais donner des révolutions par lesquelles cet idiome a passé pour arriver au point de perfection où nous le voyons parvenu, je métais attaché à suivre, dans les époques que javais à parcourir, les progrès de notre poésie.». En effet, à la suite de la création de lAcadémie Française en 1634, les travaux sur la langue française nont cessé de glorifier cette dernière en lélevant au titre de langue la plus parfaite. Elle devance désormais le latin qui avait demeuré la langue de léglise, des sciences, de ladministratif et du juridique jusqualors, bien que son usage persistera encore longtemps après. Cest là le cur de lobjectif originel de lAcadémie Française et des travaux sur le français: une langue parfaite et élitiste. Enfin, dans son avis au lecteur, Lacombe annonce quun second ouvrage traitera du provençal cher à son cur et dont il rappelle la valeur: «[] trésor précieux où brille également lérudition la plus vaste, le goût le plus vrai, le discernement le plus exquis.». Bel exemplaire de ce dictionnaire très complet bien conservé dans sa belle reliure dépoque. 1 volume. 8-vo ( 205 x 135 mm.) of : LXXII (half title, title, tribute, notice to the reader); 560 pp. (handwritten mention in burne ink on the back of the first blank page: " Cyril Jackson 1769, à Lyon. Lady Charlotte") Full contemporary calf, spine decorated with red morocco titles, red edges. First edition of this very complete dictionary of old French and Provençal due to François Lacombe (1726-1795), French writer. This work follows directly on from his previous work beginning with the same title "Dictionnaire du vieux langage françois..." of which we also have a copy but only dedicated to old French published the year before (1766). Indeed, the author announced in the preface of this last one that this first dictionary would be followed by a second one the following year which would dwell more on the Provençal and its history, subject developed in great part in the very long and complete preface of the present work. This preface includes numerous verses by troubadours and poets giving a glimpse of the origin and evolution of Provençal as well as of the langue d'oïl from Charlemagne to François I. In fact, this work acts as a supplement to his previous one. During his life, Lacombe was not very productive on the literary level. He translated and published the letters of famous people, including that of Christine, queen of Sweden, which turns out to be a pure fantasy. If his literary work is not very outstanding, this dictionary of Old French proves to be his most accomplished work and testifies to the value of its author. The latter was recognized by the Convention from 1792 to 1795. In this work, after a very long preface dedicated in large part to Provençal and its history, Lacombe draws up a very complete dictionary of "Old French" today called Old French and whose use is attested from 750 to 1400 approximately. To do this, he relies on manuscripts in verse and prose, public acts or even orders of kings, not failing to provide some of them to enrich his dictionary. This dictionary is particularly intended for lawyers, notaries, archivists, genealogists or any other scholar dealing with ancient texts. Moreover, the author recalls the great utility of such a dictionary for the comprehension of the texts of laws of England, published in old French in its Norman variety by William the Conqueror (1027-1087) and until Edward III (1312-1377). This dictionary of Lacombe thus treats alphabetically, like his precedent, a very great number of words by providing the term in Old French, in French of its time, in Latin and by providing some elements of etymologies, the whole sometimes accompanied by a small definition for the most obscure terms. The author also regularly adds a few verses of ancient poetry in order to contextualize certain entries in his dictionary. The work is dedicated on the title page to the city of Avignon. By Old French, we mean all the Romance languages of the Oïl family spoken approximately in the northern half of present-day France as well as in the south of present-day Belgium and in the canton of Jura in French-speaking Switzerland. Although each of these languages had its own particularities, their close proximity due to their common origin made them dialects of the same language, the langue d'oïl. Thus, this proximity made them relatively intelligible between geographically close dialects. Indeed, the domain of Oïl was a good illustration of this notion of dialectal continuum. However, if the comprehension was thus difficult with the speech between geographically distant dialects, with the writing, they joined largely. Indeed, if the spellings could vary regionally, they were all the same very similar so that the study of the old texts make it possible to speak of Old French as a single dialectalized language. It should be remembered that another part of the kingdom of France spoke the langue d'oc. This is the Romance language spoken in the southern third of present-day France, but also in the Occitan Valleys (Piedmont and Liguria) and Guardia Piemontese (Calabria) in Italy, the Val d'Aran (Catalonia) in Spain and in Monaco. Lacombe, originally from Avignon, was himself very attached to Provençal, a dialectal variety of the langue d'oc. Indeed, in the same way as for the langue d'oïl, the langue d'oc was also dialectalized and globally common in writing. This second dictionary of Lacombe deals with the langue d'oïl, from which the French of his time and of today inherits very largely, among other things because of its use by the kings of France and their court. He did not fail to follow the tradition of the time to consider French as the most perfect language and to demonstrate this by tracing its evolution in his work: "I had proposed to place at the head of this dictionary a dissertation on the origin and progress of the French language. In addition to the history that I had to give of the revolutions by which this idiom passed to arrive at the point of perfection where we see it reached, I was attached to follow, in the times that I had to traverse, the progress of our poetry". Indeed, following the creation of the French Academy in 1634, the works on the French language did not cease to glorify the latter by raising it to the title of the most perfect language. From then on, it overtook Latin, which had remained the language of the church, of science, of administration and of law until then, although its use would persist long afterwards. This is the heart of the original objective of the Académie Française and of the work on French: a perfect and elitist language. A fine copy of this second dictionary by the author, very complete and well preserved in its beautiful period binding.
Paris, Panckoucke, 1766. 1766 1 vol. In-8° ( 205 x 135 mm.) de: VIII (faux titre, titre, hommage, avis au lecteur) ; 498 pp.; [1] f. (approbation, privilège). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné, titres de maroquin rouge, tranches rouges. (mors usé, coins frottés).
Édition originale de ce dictionnaire très complet du vieux français dû à François Lacombe (1726-1795), écrivain français. Au cours de sa vie, il fut peu productif sur le plan littéraire. Il traduisit notamment et fit publier les lettres de personnes de renom dont celle de Christine, reine de suède, qui savère être en réalité une pure fantaisie. Si son uvre littéraire nest pas très marquante, ce dictionnaire du vieux français savère être son travail le plus abouti et témoigne de la valeur de son auteur. Cette dernière fut dailleurs reconnue par la Convention de 1792 à 1795. Dans cet ouvrage, Lacombe dresse un dictionnaire très complet du «vieux français» aujourdhui appelé ancien français et dont lutilisation est attestée de 750 à 1400 environ. Pour ce faire, il sappuie sur des manuscrits en vers et en prose, des actes publics ou encore des ordonnances de rois, en ne manquant pas den fournir quelques uns afin denrichir son dictionnaire. Celui-ci sadresse tout particulièrement aux légistes, notaires, archivistes, généalogistes ou tout autre lettré ayant affaire avec des textes anciens. De plus, lauteur rappelle la grande utilité dun tel dictionnaire pour la compréhension des textes de lois dAngleterre, publiés en ancien français dans sa variété normande par Guillaume le conquérant (1027-1087) et jusquà Édouard III (1312-1377). Ce dictionnaire de Lacombe traite donc alphabétiquement un très grand nombre de mots en fournissant le terme en ancien français, en français de son époque, en latin et en fournissant quelques éléments détymologies, le tout accompagné parfois dune petite définition pour les termes les plus obscurs. Lauteur ajoute aussi régulièrement quelques vers de poésie ancienne afin de contextualiser certaines entrées de son dictionnaire. Louvrage est dédié sur la page de titre à Monseigneur le duc d'Aiguillon. Par ancien français, il est question ici de l'ensemble des langues romanes de la famille des langues d'oïl parlées approximativement dans la moitié nord du territoire français actuel ainsi que dans le sud de la Belgique actuelle et dans le canton du Jura en Suisse romande. Bien que ces langues présentaient chacune des particularités notables, leur grande proximité de par leur origine commune en faisait finalement des dialectes dune même langue, la langue doïl. Ainsi, cette proximité les rendaient relativement intelligible entre dialectes proches géographiquement. En effet, le domaine doïl était une bonne illustration de cette notion de continuum dialectal. Toutefois, si la compréhension était donc difficile à loral entre dialectes éloignés géographiquement, à lécrit, ils se rejoignaient grandement. Effectivement, si les graphies pouvaient varier régionalement, elles étaient tout de même très semblables de sorte que létude des textes anciens permettent de parler dancien français comme dune seule et même langue dialectalisée. Il faut rappeler quune autre partie du royaume de France parlait quant à elle la langue doc. Il sagit de la langue romane parlée dans le tiers sud de la France actuelle, mais aussi dans les Vallées occitanes (Piémont et Ligurie) et Guardia Piemontese (Calabre) en Italie, le Val d'Aran (Catalogne) en Espagne et à Monaco. Lacombe, originaire dAvignon, était lui-même très attaché au provençal, variété dialectale de la langue doc. En effet, de la même manière que pour la langue doïl, la langue doc était également dialectalisée et globalement commune à lécrit. Ce premier dictionnaire de Lacombe traite de la langue doïl, dont le français de son époque et daujourdhui hérite très majoritairement, entre autres du fait de son usage par les rois de France et leur cour. Il ne manque pas de sinscrire dans la tradition de lépoque visant à considérer le français comme la langue la plus parfaite et à en faire la démonstration en retraçant son évolution dans son ouvrage: «Je métais proposé de placer en tête de ce dictionnaire une dissertations sur lorigine et les progrès de la langue françoise. Outre lhistoire que je devais donner des révolutions par lesquelles cet idiome a passé pour arriver au point de perfection où nous le voyons parvenu, je métais attaché à suivre, dans les époques que javais à parcourir, les progrès de notre poésie.». En effet, à la suite de la création de lAcadémie Française en 1634, les travaux sur la langue française nont cessé de glorifier cette dernière en lélevant au titre de langue la plus parfaite. Elle devance désormais le latin qui avait demeuré la langue de léglise, des sciences, de ladministratif et du juridique jusqualors, bien que son usage persistera encore longtemps après. Cest là le cur de lobjectif originel de lAcadémie Française et des travaux sur le français: une langue parfaite et élitiste. Enfin, dans son avis au lecteur, Lacombe annonce quun second ouvrage traitera du provençal cher à son cur et dont il rappelle la valeur: «[] trésor précieux où brille également lérudition la plus vaste, le goût le plus vrai, le discernement le plus exquis.». Bel exemplaire de ce dictionnaire très complet bien conservé dans sa belle reliure dépoque. 1 volume. 8-vo ( 205 x 135 mm.) of : VIII (half title, title, homage, notice to the reader) ; 498 pp. ; [1] f. (approval, privilege). Contemporary full calf, spine ribbed and decorated, titles in red morocco, red edges. (worn hinge, corners rubbed). First edition of this very complete dictionary of Old French by François Lacombe (1726-1795), a French writer. During his life, he was not very productive on the literary level. He translated and published the letters of famous people, including the one from Christine, Queen of Sweden, which turns out to be a pure fantasy. If his literary work is not very outstanding, this dictionary of Old French proves to be his most accomplished work and testifies to the value of its author. The latter was recognized by the Convention from 1792 to 1795. In this work, Lacombe drew up a very complete dictionary of "Old French", now called Old French, whose use is attested from 750 to 1400 approximately. To do this, he relies on manuscripts in verse and prose, public acts or even orders of kings, not failing to provide some of them to enrich his dictionary. This dictionary is particularly intended for lawyers, notaries, archivists, genealogists or any other scholar dealing with ancient texts. Moreover, the author recalls the great utility of such a dictionary for the comprehension of the texts of laws of England, published in old French in its Norman variety by William the Conqueror (1027-1087) and until Edward III (1312-1377). This dictionary of Lacombe thus treats alphabetically a very great number of words by providing the term in Old French, in French of its time, in Latin and by providing some elements of etymologies, the whole sometimes accompanied by a small definition for the most obscure terms. The author also regularly adds a few verses of ancient poetry in order to contextualize certain entries in his dictionary. The work is dedicated on the title page to Monseigneur le Duc d'Aiguillon. By Old French, we mean all the Romance languages of the Oïl family spoken approximately in the northern half of present-day France as well as in the south of present-day Belgium and in the canton of Jura in French-speaking Switzerland. Although each of these languages had its own particularities, their close proximity due to their common origin made them dialects of the same language, the langue d'oïl. Thus, this proximity made them relatively intelligible between geographically close dialects. Indeed, the domain of Oïl was a good illustration of this notion of dialectal continuum. However, if the comprehension was thus difficult with the speech between geographically distant dialects, with the writing, they joined largely. Indeed, if the spellings could vary regionally, they were all the same very similar so that the study of the old texts make it possible to speak of Old French as a single dialectalized language. It should be remembered that another part of the kingdom of France spoke the langue d'oc. This is the Romance language spoken in the southern third of present-day France, but also in the Occitan Valleys (Piedmont and Liguria) and Guardia Piemontese (Calabria) in Italy, the Val d'Aran (Catalonia) in Spain and in Monaco. Lacombe, originally from Avignon, was himself very attached to Provençal, a dialectal variety of the langue d'oc. Indeed, in the same way as for the langue d'oïl, the langue d'oc was also dialectalized and globally common in writing. This first dictionary by Lacombe deals with the langue d'oïl, from which the French of his time and of today is mostly inherited, among others because of its use by the kings of France and their court. He did not fail to follow the tradition of the time to consider French as the most perfect language and to demonstrate this by tracing its evolution in his work: "I had proposed to place at the head of this dictionary a dissertation on the origin and progress of the French language. In addition to the history that I had to give of the revolutions by which this idiom passed to arrive at the point of perfection where we see it reached, I was attached to follow, in the times that I had to traverse, the progress of our poetry". Indeed, following the creation of the French Academy in 1634, the works on the French language did not cease to glorify the latter by raising it to the title of the most perfect language. From then on, it overtook Latin, which had remained the language of the church, of science, of administration and of law until then, although its use would persist long afterwards. This is the heart of the original objective of the Académie Française and of the work on French: a perfect and elitist language. Finally, in his notice to the reader, Lacombe announces that a second work will deal with the Provençal language, which is dear to his heart and whose value he recalls: "[...] a precious treasure in which the most extensive erudition, the truest taste, and the most exquisite discernment also shine. A beautiful copy of this very complete dictionary well preserved in its beautiful contemporary binding.
in-4, 1 p.Huit alexandrins d’inspiration bucolique:De ses baisers fleuris mai féconde la plaine...Ce poème figura en lieu et place du livre de Francis Lacombe manquant à l’exposition Malassis de 1957.Au verso poème autographe signé de Louis Delâtre, 26 mai 1857. Seize vers hexamètres:Comme la fleur briséeImplore la roséeComme l’âme épuiséeImplore le sommeilLouis Delâtre naquit à Paris en 1815. Outre la romance il s’est consacré à l’étude des langues indo-européennes et a publié notamment De la langue dans ses rapports avec le sanscrit (1852-1854), ouvrage considérable qui valut à son auteur de figurer en belle place, avec une importante notice dans le Larousse du XIX°: “Nous avons eu bien des fois recours à ce travail savant et curieux pour établir les étymologies que le lecteur trouve presque à chacune des pages du Grand Dictionnaire.”On ne saurait conclure ici sans saluer le travail accompli par l’Amicale Delâtre, société philologique qu’anime avec toute sa pugnacité légendaire le révérend Espagnon et qui poursuit, aujourd’hui encore, la vaste entreprise du savant linguiste au service de la lexicographie française.LACOMBE (Francis)Un auteur qui valut des ennuis à l’éditeur Poulet-Malassis. Francis Lacombe est né à Toulouse en 1817 et mort à Arcachon en 1867 fit surtout carrière dans la presse politique. Il débuta vers 1830 dans la Gazette du Languedoc avant de se signaler dans la presse parisienne, à partir de 1837, comme collaborateur de l’Echo de France, l’Echo français, les Débats industriels (dont il fut le fondateur) et en 1848 de l’Assemblée Nationale. Cette feuille créée pour combattre les institutions républicaines attaquait avec violence les doctrines du jour. Lacombe s’y livra à une guerre acharnée contre Louis Blanc au point qu’il fut provoqué en duel par Charles Blanc, le frère de l’homme politique. Lacombe reçut en pleine poitrine une balle qui par bonheur pour sa vie vint s’amortir contre une pièce de 5 francs. Cela lui valut le sarcasme de Méry : « Vous avez de l’argent bien placé ! ». Lacombe continua sa carrière dans divers organes de parti légitimiste : le Spectateur, l’Union, la Mode Nouvelle. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : De l’organisation générale du travail (1848) ; Etudes sur les socialistes modernes (1851) ; Histoire de la Bourgeoisie de Paris (1851-52) ; Histoire de la Monarchie en Europe (1853-55) ; Histoire de la papauté (1867). Un seul de ses livres parut chez Malassis, un livre qui fut détruit.
in-8°, 1 p.Il imforme les sociétaires des nouvelles dispositions prises pour les obsèques d’Alexandre Soumet. La famille espère pouvoir compter sur la présence de certains d’entre eux.Alexandre Soumet, né à Castelnaudary en 1786 fut un des fondateurs du Cénacle de La Muse française (1823-27). On lui doit une Divine Epopée, de douze mille vers dantesques, bizarres, émaillés de hardiesse et de mièvreries. Il a successivement chanté Napoléon et le roi de Rome, Louis XVIII (dont il fut le poète préféré) avant de déposer son encens aux pieds de Charles X, de Louis-Philippe et du Comte de Paris.Un talent aussi flexible méritait bien un fauteuil. Il l’obtint en 1824. Le Théâtre Français et l’Odéon lui vaudront quelques beaux succès dramatiques : Clytemnestre (1822), Saül (1822), Cléopâtre (1824), Jeanne d’Arc (1825), Jeanne Grey (1844).LACOMBE (Francis)Un auteur qui valut des ennuis à l’éditeur Poulet-Malassis. Francis Lacombe est né à Toulouse en 1817 et mort à Arcachon en 1867 fit surtout carrière dans la presse politique. Il débuta vers 1830 dans la Gazette du Languedoc avant de se signaler dans la presse parisienne, à partir de 1837, comme collaborateur de l’Echo de France, l’Echo français, les Débats industriels (dont il fut le fondateur) et en 1848 de l’Assemblée Nationale. Cette feuille créée pour combattre les institutions républicaines attaquait avec violence les doctrines du jour. Lacombe s’y livra à une guerre acharnée contre Louis Blanc au point qu’il fut provoqué en duel par Charles Blanc, le frère de l’homme politique. Lacombe reçut en pleine poitrine une balle qui par bonheur pour sa vie vint s’amortir contre une pièce de 5 francs. Cela lui valut le sarcasme de Méry : « Vous avez de l’argent bien placé ! ». Lacombe continua sa carrière dans divers organes de parti légitimiste : le Spectateur, l’Union, la Mode Nouvelle. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages : De l’organisation générale du travail (1848) ; Etudes sur les socialistes modernes (1851) ; Histoire de la Bourgeoisie de Paris (1851-52) ; Histoire de la Monarchie en Europe (1853-55) ; Histoire de la papauté (1867). Un seul de ses livres parut chez Malassis, un livre qui fut détruit.
Paris Lacombe 1767 -in-12 plein-veau 2 volumes, reliure plein veau havane blond in-douze (binding full calfskin duodecimo)(17,2 x 10,3 cm), doslong (spine without raised bands), décoration "or" et à froid (gilt and blind stamping decoration), titre et tomaison frappés "or", pièce de titre sur fond rouge avec triple filets "or" en encadrement, pièce de tomaison sur fond vert olive avec triple filets "or" en encadrement, triple filets "or" en place des nerfs et en tête et en pied, entre nerfs à fleuron "étoile" "or", la coiffe de tête du tome 2 manque, plats décorés à froid d'un filet à froid en encadrement (trés légèrement épidermés), toutes tranches lisses jaspées rouge, sans illustrations (no illustration) excepté une vignette différente à chaque tome en bas du titre gravée sur bois en noir + des front de chapitre et vignettes historiées gravées sur bois en noir, (VII + 345) + (371) pages, 1767 à Paris chez Lacombe Editeur,
Par H. Lacombe de Prezel, avec la collaboration de Jacques-Charles-Louis Clinchamps de Malfilâtre, d'après Barbier.......Nouvelle Edition Augmentée....la Meilleure........(certainement un livre de chevet pour tous les Nobles invités à briller en société à la cour du Roi de France......voir et revoir le film "Ridicule").......Rare......en bon état (good condition). bon état
Paris, H. Leclerc, Ch. Bosse, 1922 - 1923 3 vol. in-8, 16 pp., 178 pp., numéros 801-3490, brochés.
Réunit les catalogues des trois ventes successives des 8-13 décembre 1922, des 29 janvier-2 février 1923 et des 26-29 mars 1923.Le bibliophile Paul Lacombe (1848-1921) - à ne pas confondre avec son homonyme et contemporain l'historien Paul-Joseph Lacombe (1834-1919) - s’était créé une bibliothèque, majoritairement parisienne, classée selon le système suivi à la Bibliothèque historique de la Ville de Paris, et dispersée au cours de quatre ventes successives. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, H. Leclerc, Ch. Bosse, 1922 - 1923, 3 parties en un vol. in-8, 200 pp., 216 pp., 178 pp., numéros 801-3490, demi-percaline orangée, pièce de titre cerise, tranches mouchetées, couvertures conservées (reliure de l'époque).
Réunit les catalogues des trois ventes successives des 8-13 décembre 1922, des 29 janvier-2 février 1923 et des 26-29 mars 1923.Le bibliophile Paul Lacombe (1848-1921) - à ne pas confondre avec son homonyme et contemporain l'historien Paul-Joseph Lacombe (1834-1919) - s’était créé une bibliothèque, majoritairement parisienne, classée selon le système suivi à la Bibliothèque historique de la Ville de Paris, et dispersée au cours de quatre ventes successives.Vignette ex-libris aux armes de Paris contrecollée sur les premières gardes. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
DE LACOMBE (Jean) - (Translated by Stephanie and Denis CLARK) (Edited with Introduction and Notes by Ashley GIBSON)
Reference : 10514
The Golden Cockerel Press, London, 1937. 1 volume, small in-folio, 210 pp., illustrated with 6 double-page engravings, bound in publisher's cloth, original batik boards, spine repaired with leather back, a good copy.
This is the first publication, from the Bordeaux Manuscript of 1681, with an English translation from the old French by Stephanie & Denis Clark, Edited with an introduction and notes by Ashley Gibson. Jean de Lacombe traveled through Ceylon, Java, Sumatra, Ternat, Nambonne, Gounongapy, Siam, Moluccas, China in the seventeenth century. The plates are from contemporary engravings of some of the principal places visited reproduced from Schultzen's Ost-indische Reyse, Amsterdam, 1676. The Maps used as end-papers are from a contemporary Mercator Atlas. The Edition is limited to 300 copies in Perpetua Type on Arnold's hand-made paper (No 183).
Lyon, éd. Anaf auctions, mars 2004, un des 1500 exemplaires publiés, in-4, cartonnage souple, couv. photos coul. éd., 328 pp., papier glacé, préface de Jean-Paul Lacombe, très nb. reproductions de documents anciens en coul. et en noir, index, complet du double feuillet in-4 des estimations pour la vente des lots, les prix de vente sont indiqués au crayon en face de chaque lot adjugés, Un ouvrage INDISPENSABLE pour tout amateurs et collectionnaires de livres de cuisine ! Une iconographie de première main. Ce qui est important, c'est que tous les prix d'adjudication sont inscrit dans notre exemplaire ! RARE Très bon état
Paris, Chez P. Rouquette, Libraire, 1887. XX. 249 pages. 1 feuillet. (25,5x16,5 Cm). Toile cirée. Dos lisse. Emblème imprimé à froid sur le 1er plat. Publiée en 1887 par P. Rouquette à Paris, cette bibliographie, rédigée par Paul Lacombe et préfacée par Jules Cousin, illustre les mœurs parisiennes de 1600 à 1880. À une époque où Paris se transformait radicalement, notamment sous l'impulsion des rénovations haussmanniennes, cet ouvrage offre un aperçu unique des courants sociaux et culturels qui ont traversé la ville. En limitant l'édition à 500 exemplaires sur vélin, numéro 51 étant proposé ici, Lacombe souligne l'exclusivité de son travail, invitant à une exploration approfondie des influences qui ont façonné non seulement la capitale française mais aussi, par extension, des tendances culturelles influençant l'époque contemporaine. Interieur du livre en très bon état.
Partitions sur le Militaria Gallet 1896 approx.
Bon état Petit format