Librairie D.Chabas. 1933. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 55 pages - étiquette collée sur le dos - quelques planches de photos en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
Librairie D. Chabas, Hossegor. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 pages. Illustré de quelques gravures en noir et blanc dans le texte, et de photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
'Villes du Sud-Ouest'. Bois d'Henri Martin. Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
Hossegor (Landes), Librairie D. Chabas, 1933, collection Villes du Sud-Ouest, petit in-8 broché, couverture illustrée, 55 pp + table, illustrations hors-texte (photos). Couverture en bon état, intérieur en très bon état.
Hossegor, Chabas, années 30. In-12, br, 56p. Col. les villes du Sud-Ouest. Avec une carte des photographies et 2 dessins d'Henri Martin.T.b.e.
D.CHABAS. 1933. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 pages - quelques photographies en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
Classification Dewey : 908.4486-Régionalisme : Midi-Pyrénées
IMPRIMERIE LIBRAIRIE DELMAS. 1939. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Mouillures. 63 pages - traces de mouillures au niveau de la tranche supérieure sans conséquence réelle pour la lecture. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
LE CHERCHE MIDI. 2010. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 286 pages.. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine
Pau, Imprimerie artistique et commerciale de l'Indépendant, 1930, IV-281 p., in-12 br., E.O., préface de Georges Balencie, petits manques au dos et à la couverture, envoi de l'auteur, bon état
Le sort de Cauterets, « le fleuron le plus beau et le plus précieux » du comté de Bigorre, a été intimement lié à l'histoire du Lavedan et surtout à celle de la Rivière de Saint-Savin. Pendant les huit siècles qui précédèrent la Révolution, le village a vécu sous la dépendance étroite de l'abbaye des bénédictins de Saint-Savin, qui reçut en 945, en donation de Raymond 1er, l'entière vallée de Cauterets, non seulement avec ses riches pâturages mais surtout avec les sources thermales qu'elle renfermait. Tandis que le monastère était reconstruit sur les ruines du palais Émilien, le bourg se groupa autour des sources de l'Est, les seules exploitées à l'époque, sur le flanc même du pic des Bains. Son extension, lente mais continue, l'obligea plus tard, face à des considérations d'ordre matériel, à chercher un autre emplacement. Au cours de XIVe siècle, il descendit dans le vallon et s'installa sur la rive droite du Gave, puis très longtemps après, il enjambera le torrent pour s'étendre sur sa rive gauche. Jeanne de Navarre vint y guérir sa lèpre ; Gaston Phœbus, sa surdité ; Marguerite de Navarre y conduisit plusieurs fois sa fille Jeanne d'Albret, atteinte du « mal des écrouelles ». En attirant de bonne heure la cour de Navarre, malgré la pénibilité des déplacements jusqu'à la station thermale, la reine Marguerite permit à Cauterets de bénéficier d'une solide réputation, fortement renforcée par « l'éloge hyperbolique » qu'elle fit de ses sources. La station était réputée, aussi, pour lutter efficacement contre la stérilité, indication qui fut à l'origine d'une satire à propos des soins prodigués lors des cures par les frétayrés, mot patois signifiant frotteurs. Les eaux pouvant aussi se révéler abortives, il advint que la même année, une des maîtresses d'Henri IV, surnommée la Fosseuse, se rendit à Cauterets dans le dessein de s'y faire avorter, tandis que l'épouse légitime du monarque, Marguerite de Valois, vint chercher un remède contre la stérilité à Bagnères ; les résultats ne furent pas ceux attendus. Mais si pendant longtemps la station dut sa renommée aux personnages illustres qui accoururent nombreux, aux poètes et aux écrivains, comme George Sand, Chateaubriand ou Victor Hugo qui surent chanter sa beauté et ses richesses thermales, à partir du XVIIIe siècle, ce furent les médecins « les prêtres de nos sources », qui surent, en donnant une explication rationnelle des guérisons, assurer la postérité la plus lointaine à Cauterets, dont « l'humanité souffrante » n'oubliera jamais totalement le nom. Voir le sommaire sur photos jointes