Précieux exemplaire particulièrement grand de marges de cette édition originale recherchée. Cologne, Pierre Van Dyck, 1662.In-12 de (2) ff., 400 pp. Relié à l’époque sans le f. d’errata. Relié en maroquin citron de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs finement orné, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque.128 x 67 mm.
Précieuse édition originale de ces célèbres Mémoires sur l’une des périodes les plus fiévreuses et les plus confuses de l’histoire de France.Tchemerzine, IV, 25 ; Brunet, III, 848.Imprimée chez Foppers à Bruxelles, elle est précédée d’un « Avis » de l’éditeur qui s’excuse des fautes contenues dans cette « première édition », par la précipitation avec laquelle il a dû effectuer le tirage pour satisfaire l’empressement du public. Ces fautes seront corrigées dans les éditions suivantes. Le fleuron à la tête de buffle de la page 1 est placé tel qu’il doit être, alors qu’il est à l’envers dans la seconde édition ; par contre il n’y a pas de f. d’errata et les fautes n’ont pas été corrigées. Il s’agit donc bien d’un exemplaire du premier tirage, avec les fautes signalées dans l’errata, mais relié à l’époque sans ce f. d’errata.Les pages 387 à 400 contiennent les Lettres du Cardinal de Mazarin et de M. de la Chastre à M. de Brienne.Ces Mémoires si fameux couvrent la période 1624-1652 et mettent en scène les principaux protagonistes de la Fronde.Seuls les extraits provenant de copies clandestines furent imprimés du vivant de La Rochefoucauld qui craignait fortement le ressentiment des personnes dont il dévoilait les intrigues parfois sordides.Madame de Chevreuse à laquelle l’écrivain s’attacha à son arrivée à la cour prend une place de choix dans les Mémoires, c’est elle qui avait encouragé Buckingham à courtiser la reine Anne d’Autriche. La Rochefoucauld conte avec cœur cette aventure dont il connut le détail et c’est dans son texte qu’Alexandre Dumas puisa certains épisodes des Trois Mousquetaires et notamment celui des ferrets de diamants.Déçu de ne pas voir son dévouement pour la reine récompensé et haï par Mazarin, La Rochefoucauld allait se tourner ensuite vers Condé et Conti et concevoir une violente passion pour Madame de Longueville, sœur de ces 2 princes.« Par leur intérêt historique et psychologique, par leur style élégant et bien charpenté, ces ‘Mémoires’ se placent au premier rang du genre littéraire qu’ils représentent ». (Laffont-Bompiani).Précieux exemplaire particulièrement grand de marges de cette édition originale recherchée.Elle est si rare en maroquin de l’époque que ni Brunet, ni Deschamps, ni Tchemerzine, ni Rochebilière n’en citent d’exemplaires ainsi reliés.Provenance : de la bibliothèque de l’écrivain L. S. Auger avec ex libris.
Précieux exemplaire de cette édition originale recherchée dans une ravissante reliure en maroquin janséniste de Trautz-Bauzonnet. Paris, Claude Barbin, 1665. Avec privilège du Roy. In-12 de (24) ff. préliminaires y compris le frontispice, 150 pp., (5) ff. de table et de privilège. Relié en plein maroquin brun janséniste, dos à nerfs, double filet or sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées sur marbrures. Reliure signée Trautz-Bauzonnet. 147 x 83 mm.
Edition originale, rare et fort précieuse, de l’une des œuvres importantes de la littérature française du XVIIe siècle. Tchemerzine, IV, 35; Cioranescu 40229; Le Petit, Editions originales, pp. 337 à 343; Rochebilière n°445 à 450. Elle est ornée d’un frontispice à pleine page attribué à N. Poussin et gravé par Stéphane Picart. Le privilège est du 14 janvier 1664 et l’achevé d’imprimer du 27 octobre 1664. C’est la première édition publiée en France et avec l’autorisation de l’auteur. Exemplaire de premier état avec des cartons de second état, comportant 316 maximes. Les Maximes sont l’ouvrage de la maturité et de la vieillesse d’un écrivain qui s’engage tardivement dans la voie de la littérature. Elles montrent l’évolution d’une pensée progressivement enrichie par l’expérience, mais aussi assombrie par les désillusions. Le succès de ce livre fut considérable. Les bons esprits de l’époque se reconnaissaient dans cette vision lucide et désabusée du monde. «Dans ces remarques sur le comportement humain qui se succèdent sans ordre établi, s’affirme, en fait, une pensée cohérente. La Rochefoucauld y démontre cruellement la véritable motivation de l’homme. Il montre comment toute action s’explique par le jeu de l’amour-propre, pulsion instinctive qui pousse chaque individu à tout ramener à soi, à raisonner en fonction de son propre intérêt. Il développe ainsi une philosophie pessimiste reposant sur l’idée que l’être humain est incapable de rechercher l’absolu et d’aspirer à l’idéal du bien». Précieux exemplaire de cette édition originale recherchée dans une ravissante reliure en maroquin janséniste de Trautz-Bauzonnet. Il provient des prestigieuses collection du comte de Fresne (1893, n°75), Jules Lemaitre et Auguste Garnier avec leurs ex libris. Le dernier feuillet imprimé porte au verso des annotations manuscrites du XVIIIe siècle (inventaire de vêtements avec prix).
MADEMOISELLE DE MONTPENSIER, DITE « LA GRANDE MADEMOISELLE » / MME DE LA FAYETTE / MME DE SEVIGNE / LA ROCHEFOUCAULD, ETC…
Reference : LCS-17847
Unique exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle. Paris, Charles de Sercy et Claude Barbin, 1659. 2 volumes in-8 de : I/ (16) ff. dont 1 frontispice, 452 pp. mal chiffrées 454 (la pagination saute de 16 à 25, de 40 à 31, de 258 à 257, de 355 à 362) ; pp. 455-916 mal chiffrée 912 (la pagination saute de 758 à 755), 3 pp. pour la Clef des noms des portraits qui sont abregez dans la galerie de peintures. Veau brun granité, filet à froid encadrant les plats, dos à quatre nerfs ornés à la grotesque, filet doré sur les coupes, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 166 x 102 mm.
Edition originale mythique du siècle des Précieuses, la seconde très augmentée, et l’un des livres les plus rares de la littérature française du XVIIe siècle, ayant fait l’objet de nombreuses rééditions et études commentées aux XXe et XXIe siècles. (Réédition B.n.F - Hachette le 1er juin 2012, réédition Hermann le 16 mai 2013, etc…). Rahir, Bibliothèque de l’amateur, p. 607 ; Tchemerzine, IV, p 938 ; Lachèvre, Bibliographie des recueils collectifs, II, pp. 106-112 : 103 portraits dont 82 nouveaux. Edition b, à pagination unique décrite par Denise Mayer in Bulletin du Bibliophile, 1970, pp. 140-142. La même année fut publié à Caen un volume proche de format in-4 sous le titre « Divers Portraits ». Il ne contenait que 59 portraits. Ce recueil présente 103 portraits dont 82 nouveaux avec les deux les plus célèbres : - celui de Madame de Sévigné écrit par Madame de La Fayette ici en édition originale. Ce portrait constitue le premier texte imprimé de Madame de La Fayette. - celui de La Rochefoucauld par lui-même, premier texte imprimé de l’auteur des « Maximes ». Le recueil présente par ailleurs 16 portraits écrits par la Grande Mademoiselle (1627‑1693). Ces deux volumes sont ornés d’un superbe frontispice, véritable galerie de portraits, portant les armoiries de la Duchesse de Montpensier. Il fallut attendre l’étude approfondie de Denise Mayer consacrée à ce livre si important au siècle des Précieuses, le premier de la littérature française décrivant exclusivement des portraits et caractères, précédant de quelques années les La Bruyère, La Rochefoucauld et autres, pour déceler dans cette édition en 912 pages une véritable originale différente des Divers Portraits publiés à Caen la même année. Ce Recueil est d’une très grande rareté. Brunet ne cite qu’un exemplaire, celui de La Vente Libri en 1857 (II, 770). Tchemerzine (IV, 938) en mentionne deux dont l’exemplaire Rahir aux armes de La Grande Mademoiselle porté au prix colossal de 18 000 Fr Or sur le catalogue Fontaine de 1879. Un livre de bibliophilie se négociait alors à compter de 10 F Or , 1 800 fois moins. Le présent exemplaire en reliure de l’époque est le seul passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle en cette condition. Jacques Guérin mettait Les Divers Portraits à l’honneur de sa célèbre vente de 1984 et plaçait le titre de ce volume orné des armoiries de la Grande Mademoiselle « en frontispice de son catalogue ». Ce célèbre texte a fait l’objet de très nombreuses études récentes reproduites très partiellement ci-après : « Le Recueil des Portraits marque une date dans l'histoire littéraire entre la Clélie et les Caractères, entre Montaigne et la Princesse de Clèves : il suffit, pour s'en convaincre, de lire des portraits comme ceux, en prose, de Condé par Mademoiselle de Montpensier ou de l'abbesse de Caen par elle-même. Le Recueil des Portraits publié en 1659 par les soins de Mademoiselle de Montpensier est, selon le mot de Rebelliau, un « trésor des portraits », paru à l'heure où la mode du portrait, vieille de deux ou trois ans, est déjà sur son déclin.» (J. D. Lafond – xviiè Congrès de l’Association, Tours, le 29 juillet 1965). En 1659, Charles de Sercy écrivait : « Cet ouvrage qui est un ‘Recueil des Portraits de Leurs Majestez, de Vostre Altesse royale, & de tout ce qu'il y a de plus illustre dans nostre Cour, paroistra sans doute d'autant plus éclatant & plus merveilleux, qu'il n'a pour Artisans & pour Peintres que de grandes Princesses, ou Duchesses, & toutes les plus galantes Dames du Royaume, qui ont pris plaisir ou à se peindre elles-mesmes, ou à représenter leurs Amies d'une manière tout à fait tendre, délicate, & spirituelle’. » En février 2013, le professeur Leah Chang (Georges Washington Library) louait la nouvelle analyse des « Divers Portraits » réalisée par Sara Harvey. « La force du livre de [Sara] Harvey se trouve dans la relation qu'elle décrit entre le contexte historique durant lesquels les Divers portraits ont été produits, l'esthétisme du portrait littéraire et les caractéristiques physiques du livre lui-même. ( ... ) [Sara] Harvey nous prouve avec succès que la richesse apparente des Divers portraits n'était pas seulement un effet de style du portrait littéraire mais plutôt un instrument nécessaire dans les efforts de Mademoiselle de Montpensier pour clamer et promouvoir son statut de personnage central dans un cercle d'élites à l’influence culturelle et politique. » (Leah Chang, H-France Review volume 14-2014.) Le 16 mai 2013 sortait en librairie l’étude et édition critique des « Divers portraits » de Sara Harvey présentée ainsi par l’éditeur : « Cet ouvrage à une double vocation : il présente en première partie une lecture des Divers portraits de Mademoiselle de Montpensier et fournit, dans un second temps, la première édition critique complète de ce recueil de portraits littéraires publié à un tirage limité en 1659. L'étude proposée repose sur l'ambiguïté fondatrice des Divers portraits : œuvre de circonstance témoin d'une mode du portrait littéraire qui dura moins de trois ans (1656-1659) et livre d'apparat à prétention historique et mémorielle dédié à la gloire d'Anne-Marie-Louise de Montpensier. De la genèse des Divers portraits jusqu'à l'histoire de sa réception (xviiè-xxè siècle), les enjeux du recueil sont évalués sous l'angle de ce double statut de production mondaine et d'archive aristocratique. Afin de retracer les lignes de forces qui accusent de la singularité des Divers portraits, l'enquête fait dialoguer l'histoire littéraire et l'histoire du livre. Aussi accorde‑t‑elle une place centrale à l'histoire de la représentation de Mademoiselle de Montpensier dont la place est déterminante dans la constitution du recueil. L'édition critique des Divers portraits complète la lecture de cette galerie de portraits à plus d'un titre. Les nombreuses notes historiques, littéraires et linguistiques ancrent l'ouvrage dans son contexte social et culturel, alors que les notices annexées à chaque portrait, fournissent non seulement un éclairage biographique sur la communauté représentée dans le volume, mais apportent également des précisions sur l'architecture et la cohérence symbolique de l'œuvre collective. » En l’année 2005, Lucie Desjardins (Université de Montréal) écrit : « Dans les cercles précieux qui se réunissent autour de Mademoiselle de Montpensier et à la faveur de l'influence exercée par les romans de Madeleine de Scudéry, le portrait mondain devient un véritable divertissement de société dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Mais alors que le portrait romanesque s'élabore souvent sous la forme d'éloges hyperboliques adressés aux contemporains sous le couvert de personnages à clés, le portrait mondain, du moins si l'on en juge par le recueil de 1659, décrit généralement des êtres réels sans employer de pseudonyme et recourt à une technique assez fixe. Les auteurs proposent la représentation d'un modèle ou d'eux-mêmes en commençant généralement par une énumération des traits physiques à laquelle ils ajoutent une description de traits moraux. On retrouve, dans ce recueil, une majorité de modèles féminins, mais aussi plusieurs femmes portraitistes qui s'appliquent à décrire tantôt leurs propres qualités, tantôt celles des autres. En même temps, le portrait littéraire entretient des liens étroits avec l'art pictural, auquel il emprunte son vocabulaire (portraire, dessiner, peindre) et sa théorie qui, comme l’a montré Édouard Pommier est hantée, depuis la Renaissance, par le problème de la ressemblance. Par la mise en scène du moi, les portraits qui figurent dans les Divers portraits se trouvent à la fois à remplir les conditions de la mode en respectant ses règles, ses formules banales et convenues qui sont le fondement même de ce divertissement de société, mais aussi, paradoxalement, à introduire une distance critique entre le jeu et la réalité sociale. En effet, le portrait mondain se veut plus qu'un simple divertissement ; il invite à interroger non seulement sa représentation ou celle de l'autre, mais aussi l'importance et la valeur qui sous-tendent la représentation individuelle dans une société qui refuse de reconnaître la singularité de l'être. En ce sens, il témoigne peut-être d'abord et avant tout de la volonté et de la conscience qu'avaient les portraitistes de présenter une image de soi digne d'être offerte à la postérité et d'assurer une permanence de soi sur la scène d'un théâtre du monde où le fugitif l'emporte sur le durable. Enfin, ces différentes stratégies ne sont pas sans rappeler la posture d'un Montaigne décrivant le projet de se peindre dans l'avis au lecteur des Essais : C'est ici un livre de bonne foi, lecteur [...]. Je l'ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis […]. Si c'eût été pour rechercher la faveur du monde, je me fusse mieux paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voit en ma façon simple, naturelle, ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve autant que la révérence publique me l'a permis. » (Lucie Desjardins, 2005, Université de Montréal) Rappelons enfin que la critique récente la plus exhaustive parait en Février 2013, œuvre de Leah Chang (George Washington University) : « In this first critical edition of Mademoiselle de Montpensier's Divers portraits (1659), Sara Harvey makes available to scholars a lesser-known work by Anne-Marie-Louise d'Orléans, duchesse de Montpensier. Known as "La Grande Mademoiselle", Mademoiselle de Montpensier is most famous for her proximity to the throne during the reign of her cousin, Louis xiv, for her role in the Fronde, and for her Mémoires (first published in the eighteenth century). The Divers portraits are particularly distinctive as a collaborative work, for the 1659 volume contained literary portraits and self-portraits authored by both the duchess and those in her circle during the years 1653‑1657. In an extensive introductory study that precedes the critical edition, Harvey immediately lays out the interpretive question that underpins an analysis of both the material volume and the historical circle that generated it. Why, she asks, was the book published as an ornate, limited edition livre d'apparat (akin to a highly decorative vanity publication) when the vogue for this kind of literary portrait would last only about three years in mid-century? And what is the scholarly interest for such a book today? As Harvey outlines, the critical approaches to the Divers Portraits have generally taken two forms. On the one hand, literary historians have been interested in the Divers portraits principally as representative of the genre and form of the literary portrait it elaborates, its production among a circle of mondain participants, and its reception among a narrowly defined and elite audience. On the other hand, historians of the book have approached the Divers portraits as a "patrimonial object" whose historical value is largely found in its memorializing objectives. Harvey situates her presentation of the Divers portraits between these two critical perspectives. How, she asks, does the collection walk the line as witness both to an aristocratic, memorial endeavor and to the fleeting mondain tasse for the literary portrait? At the heart of the Divers portraits, Harvey argues, is Mademoiselle de Montpensier herself. When she was born in 1627, the birth of the future Louis xiv was still nine years away. As the only child of Louis xiii’s younger brother, Gaston d’Orléans, and Marie de Bourbon, Mademoiselle de Montpensier was, as a young child, the scion of the Bourbon dynasty. Her prominent identity as the “first child of France” earned her international visibility, an exceptional education, and an enviable position as both object and patron of countless writers and artists. It was in this culturally dynamic milieu during her early years, Harvey shows, that Mademoiselle first became the object of numerous visual and literary portraits, which worked to celebrate the young duchess as the flower of French nobility within a genealogical narrative of royal dynasty, inheritance, and female heroic power. After the Fronde (1648-1653), the duchess’s interest in the literary portrait took on a different dimension. During her period of exile, beginning in 1653, the composition of portraits served to entertain the duchess, but also to explore and construct the centrality of her own royal identity. By assembling the Divers portraits and printing the volume in limited edition with careful attention to its aesthetic design, Mademoiselle de Montpensier marked the creation and publication of the literary portrait as an exclusive affair in which she was the central and directive figure. In its material production, then, the volume of the Divers portraits became both the medium and the material incarnation of the duchess’s self-promotion. Harvey divides her book into two distinct sections : an extensive, three-part introduction, followed by a critical edition of the 1659 text. The introduction is particularly notable and exhaustive in its detail. The three parts trace the production of the Divers portraits from its first publication to its reception post-facto through the nineteenth century. Part One covers the origins of the literary portrait, the intersections of the development of the genre as it was intertwined with Mademoiselle’s personal history, the moral and political uses of the portrait, and the ways in which the duchess used the portrait to develop a personal mythology. Part Two analyzes aspects of the material production of the book, including paratextual material, frontispieces, the uses of titles and ornaments, the arrangements of the portraits within the collection, and dedications. The third and final part examines the reception of the Divers portraits from the seventeenth century onward. Harvey closely compares the Divers portraits to the Recüeil de portraits et éloges, another portrait collection also published in 1659, with which the Divers portraits is often confused (the publication in the same year of both collections testifies to the popularity, if ephemeral, of the genre). This comparison highlights the précieux backdrop that informed the composition and publication of literary portraits, and shows how the two collections followed two distinct modes: while Mademoiselle’s Divers portraits was indeed inspired by the literary pastimes of the aristocracy, it also sought politically to glorify and memorialize that elite, while the Recueil belonged more properly to the mode of “gallant literature.” After a discussion of seventeenth-century commentaries on the portrait, Harvey concludes the introduction by tracing the nineteenth-century reception of the Divers portraits, emphasizing in particular the ways in which its material form—as livre d’apparat—ensured its continued attention by historians of the book and paved the way for its historical reception as a memorializing endeavor, as distinct from the category of littérature mondaine in which the literary portrait could otherwise be inscribed... » (Leah Chang – George Washington University). Remarquable exemplaire de ce livre célèbre a grandes marges (hauteur 166 mm), le seul conservé dans sa reliure strictement d’époque passé sur le marché depuis plus d’un demi-siècle. Il est complet de la clef imprimée à l’époque, « que nous n’avons vue nulle part » dit Rochebilière (Cat. I, 1882, n°713). Des bibliothèques Louis de Monmerqué (1780-1860), avec note autographe, et Jacques Dennery, avec ex-libris.
Paris, Académie des Bibliophiles (impr. D. Jouaust), 1867 / 1868. In-8, (6)-XVIII-309-(3) pp. et (4)-XXXIII-(3)-226-(2) pp., reliures modernes plein veau noir (Claude Darrieux), dos ornés, sous étui.
Deux ouvrages sous reliures et étui modernes signés. Régnier : tirage limité à 532 exemplaires numérotés, ici un des 500 sur vergé, exemplaire nominatif (A. Dethomas) paraphé par Jouaust. / La Rochefoucauld : tirage limité à 525 exemplaires numérotés, ici un des 493 sur vergé. Bel exemplaire. * Voir photographies / See pictures. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, chez Lefèvre, 1827. In-4, III-248 pp., veau brun, quintuple filet doré et frise à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de frises à froid et filets dorés, pièces de titre et de tomaison vertes, tranches marbrées (quelques minuscules épidermures, petites rousseurs).
Nouvelle édition ornée d'un portrait de l'auteur en frontispice. Ex-libris héraldique des Harcourt, de la bibliothèque du château de St Eusoge, propriété de la famille. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Reliure plein cuir de l'éditeur (pas de jaquettes, pas de rhodoide et pas d'étui carton), 18X11 cm, 1986, 996 pages, édition établie par L. Martin-Chauffier revue et augmentée par Jean Marchand, bibliothèque de la pléiade, éditions Gallimard. Bon exemplaire.
En feuille sous emboitage, 29X20 cm, 1950, 129 pages, exemplaire nominatif numéroté sur 3333 pur chiffon "trois fleurs de lin" des papeteries du marais, portrait de l'auteur, texte conforme à l'édition de 1678, les bibliolatres de France. Non coupé, très bon état.
Paris, Imprimerie nationale, 1790. In-8, 29 pp., bradel de papier à la cuve moderne, pièce de titre brune (pâles mouillures marginales en début et fin de volume).
Édition originale de ce rapport effectué le 15 juillet 1790 à l'Assemblée nationale et imprimé par son ordre. Dreyfus, Un Philanthrope d'autrefois: La Rochefoucauld-Liancourt, I, B. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Imprimerie nationale, 1790. In-12, 165 pp., bradel de papier à la cuve moderne, pièce de titre brune (rares rousseurs).
Édition originale de ce rapport fait à l'Assemblée nationale le 12 juin 1790 pour définir les différents objectifs de ce comité. Dreyfus, Un Philanthrope d'autrefois: La Rochefoucauld-Liancourt, III, B. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Paris, Ernest Leroux, 1888, in-8, (4), 192pp, 1 pl, demi-chagrin marron, dos à nerfs (Rel. mod.), Une planche h.t. montrant le bas-relief de la croix au Grand Temple de Palenqué. Figures dans le texte représentant l'alphabet des anciens mayas, des inscriptions, l'alphabet des yucatèques de ti-hoo-mérida, etc. Palenque est un important site archéologique maya dans l'état mexicain du Chiapas. Couvertures imprimées conservées. Rousseurs. Quelques mouillures. Ouvrage très rare tiré à seulement trois cents exemplaires Couverture rigide
Bon (4), 192pp., 1 pl.
Paris, Librairie de L. Hachette et Ch. Lahure, 1868. 3 volumes in-8 reliés demi-maroquin rouge à coins, titre et ornements dorés sur le dos, tête dorée. Bel ensemble bien relié et complet en 3 vol.- Pour le tome 1 : IV (avertissement) - CXVIII (Notice biographique), X-492 pages : Variante de trois textes des Maximes, étude sur l'édition de 1664/. Tableaux de concordance, Réflexions diverses, Notice bibliographique, Additions et corrections, Oortrait du Duc de la Rochefoucauld fait par lui-même, Portrait du Cardinal de retz.- Réflexions ou sentences et Maximes morales, Maximes posthumes, Maximes supprimées, Réflexions diverses, Jugements des contemporains, Appendice.- Table alphabétique et analytique des Maximes et des Réflexions diverses, des oeuvres morales ./// Pour le tome 2 : LIII-584 pages : Mémoires, Notice, Mémoires 1624 à 1652, Apologie du Prince de Marcillac, Appendice aux Mémoires, Table alphabétique des Mémoires et de l'Apologie /// Pour le tome 3 : 310-CVV et 464 pages : Avertissement, Lettres et Table des Lettres (première partie du T. III - Lexique de la langue de la Rochefoucauld par MM. D. L. Gilbert et J. Gourdault.- 4,2kg.- Intérieur très frais, beau papier vélin non rogné, Reliure en bel état.
Garnier, coll. « Classiques Garnier » 1999 Expédition très soignée, tous les mardis et vendredis. . In-16. Broché. Édition illustrée de 26 reproductions en noir et blanc. 3e édition revue et augmentée. Livre en Français. Pas de jaquette. Très bon état d’occasion. 682 pages. Poids sans emballage : 526 grammes. Sommet de la littérature moraliste du XVIIe siècle français, les Maximes de La Rochefoucauld gagnent à être lues ou relues dans cette édition critique fournie sans être pédante. - Edité par Jacques Trichet
Sommet de la littérature moraliste du XVIIe siècle français, les Maximes de La Rochefoucauld gagnent à être lues ou relues dans cette édition critique fournie sans être pédante. Très bon état d’occasion
A Cologne, chez Pierre Van Dyck, 1663.
Un volume petit in-12° (8, 5 x14 cm), reliure d’origine en vélin, dos avec inscription manuscrite partielle du nom de l’auteur. Intérieur: 2 ff; puis page titre et page avis au lecteur, puis 400 pages et 2 ff. de garde. Comme l’indique le titre, cet ouvrage est composé de plusieurs textes, tous écrits de la main du Duc de la ROCHEFOUCAULD: “Les Brigues pour le gouvernement à la mort de Louis XIII”, “ Guerre de PARIS”, “Récapitulation de ce que dessus, avec la Prison des Princes”, “Ce qui se passa depuis la Prison des Princes jusqu’à la guerre de Guyenne”, “Guerre de Guyenne et la dernière de Paris”, “Lettre de Monsieur le Cardinal de Mazarin à Monsieur de Brienne”, “Apologie ou Défense de Monsieur le Duc de Beaufort contre la Cour, la Noblesse et le Peuple”, “Mémoires de Monsieur de la Chastre”. Le Duc François de la ROCHEFOUCAULD (1613-1680), connu principalement aujourd’hui pour ses MÉMOIRES, eût d’abord une vie fort animée, partagée entre complots (en particulier la Fronde) et activités militaires. Appartenant à une grande famille de la noblesse française, il fut d’abord Prince de MARCILLAC et ne prit le titre de Duc de la ROCHEFOUCAULD qu’en 1650. C’est en 1662 que sont publiés à COLOGNE les présents MÉMOIRES (sans son autorisation, dit-on). Ces MÉMOIRES firent un tel scandale qu’il dut les désavouer (pour les re-publier en 1665, corrigés, expurgés)... C’est en cette même année 1665 qu’il publiera son ouvrage majeur : “Réflexions ou sentences et maximes morales” que l’on appela les MAXIMES de LA ROCHEFOUCAULD.. Notre exemplaire des MÉMOIRES forme un ouvrage compact et bien relié dans son vélin d’origine. Il a pu être considéré comme une production elzévirienne (titre à la sphère) : Tchémerzine IV 25, Brunet -III , 848. Deuxième édition, rare. TRÈS BON ÉTAT [50526].
Paris, Renard, Prodhomme ; Imprimerie de Rignoux, Paris, Renard, Prodhomme ; Imprimerie de Rignoux1824 ; in-24, demi-veau beige, fil. dor. (Rel. de l’époque) 94 pp.ÉDITION ORIGINALE TRÈS RARE de ce recueil lilliputien signé par un imposteur déguisé sous les initiales E. L. “Ces pensées sont tirées soit de manuscrits de M. de La Rochefoucauld inconnus jusqu’à ce jour, soit de sa correspondance particulière. Quoique fort inférieures aux maximes publiées de son vivant, le nom de leur auteur leur donne peut-être des droits aux regards du public” dit l’éditeur en tête du recueil. “Il est évident que c’est une imposture. Il n’y a pas dans ce livre un mot qui ne soit indigne d’un homme de bon sens” dit Quérard IV, 566 qui décrit cette tromperie dans les colonnes des éditions de La Rochefoucauld publiées aux XVIIIe et XIXe siècles. - J. Marchand ne signale pas ce volume dans sa Bibliographie de La Rochefoucauld - Pas dans Barbier. ENVOI AUTOGRAPHE À Monsieur Dablin de la part de l’auteur E. L. Nous n’avons pas pu identifier E. L. et laissons volontiers cette enquête à un autre bûcheron bibliographe.
Une imposture littéraire
MONTGLAT (Francois de Paule de Clermont, Marquis de) – LA ROCHEFOUCAULD (François, prince de Marsillac, baron de Verteuil, duc de) – GOURVILLE (Jean Hérault de).
Reference : 114719
(1838)
P., Chez l'éditeur du Commentaire analytique du Code civil, 1838, pt in-4°, 593 pp, texte sur 2 colonnes, reliure demi-chagrin carmin, dos à 4 larges faux-nerfs ornés, caissons dorés et à froid, titres et tomaison dorés (rel. de l'époque), qqs rares rousseurs, bon état (Nouvelle Collection des Mémoires pour servir à l'histoire de France depuis le XIIIe siècle jusqu'à la fin du XVIIIe, avec des notices, par MM. Michaud et Poujoulat)
"Ces souvenirs sont rédigés selon l'ordre des temps, comme ceux de Saint-Simon, mais divisés par campagnes ; ce sont donc des annales historiques. Ils ont, des annales, "l'exactitude, l'allure calme et monotone, la forme régulière et pesante". Toutefois, la grande qualité de l'auteur est l'impartialité : s'il mêle à son récit des réflexions et des critiques, celles-ci sont toujours judicieuses et jamais méchantes. De plus, comme la plupart du temps Montglat a été un témoin oculaire, les informations qu'il donne doivent être prises en considération. Les négligences de son style ajoutent même en quelque sorte à la véracité de l'écrivain : celui-ci n'avait songer qu'à rédiger ses souvenirs pour lui-même, et non pour la postérité : il n'a donc eu aucun souci de farder ou de dissimuler la vérité." (Bourgeois et André II, 747) – Les Mémoires de La Rochefoucauld racontent avec netteté, élégance et précision l'histoire de la régence d'Anne d'Autriche. On y trouve en particulier le récit particulièrement saisissant de la Fronde à laquelle La Rochefoucauld participa activement aux côtés des Princes, contre le jeune Roi, la Reine mère et Mazarin. Un des plus importants témoignages sur la période allant de 1624 à 1652. – "Jean Hérault, devenu plus tard seigneur de Gourville (1625-1703), est le type de ces hommes partis de rien qui surent, au XVIIe siècle, faire leur fortune dans la finance. D'abord au service des La Rochefoucauld, il tâtat de la Bastille, s'enfuit à l'étranger; mais il s'était rendu indispensable, on l'amnistia, il se retrouva successeur désigné de Colbert (1683). Il mourut respecté de tous." (Bourgeois et André II, 808)
Académie des Bibliophiles, Paris, 1868
Un volume grand in-12° (14 x 21, 5cm), demi-reliure cuir rouge à coins, dos à 4 mors et 5 caissons dont l’un mentionne simplement le titre en lettres dorées et les autres sont ornés d’élégants motifs décoratifs classiques. Cet exemplaire présente au premier contre-plat la mention suivante : Bibliothèque de la Princesse Antoine Radziwill et, en regard un bel ex-libris de Stanislas Radziwill. On trouvera ensuite l’emblème de la maison d’édition (LACOUR ) et de l’imprimeur (JOUAUST). François de La ROCHEFOUCAULD (1613-1680) est un des grands écrivains du 17ème siècle, connu surtout pour ses MAXIMES. Voici l’une d’entre elles: “La nature fait le mérite, et la fortune le met en œuvre”... L’ouvrage compte 226 pages dont une liste des Variantes, une Table générale et une liste des souscripteurs. Le tirage de ce exemplaire a été limité à 525. Notre exemplaire porte le N°56 et est imprimé sur papier vergé. Signalons une tache noire sur la coiffe inférieure due sans doute à la trace d’une étiquette décollée. traces d’âge et d’usage mais ETAT TRES SATISFAISANT.
1. Vie du Duc de La Rochefoucauld Liancourt par Frédéric Gaetan, comte de La Rochefoucauld, son fils. Patis, 1827, illustré d'un frontispice (portrait) et d'un fac-similé, 108p.; 2.Vie et Bienfaits de La Rochefoucauld-Liancourt, par A. Prosper Faugère. Paris, 1835, 36p. Couverture supérieure conservée avec HOMMAGE de l'auteur; 3. Eloge de Jean Gerson, discours par A. Prosper Faugère, 95p.; 4. Eloge funèbre de Monseigneur Forbin-Janson, par Lacordaire, 2e tirage, Paris, 1844, 46p.; 5. Discours prononcé par le comte de Montalambert à l'Académie française en venant prendre séance a la place de M. Droz... Paris, 1852, 57p.; 6. Discours de M. Guizot en reponse au discours par le comte de Montalambert... Paris, 1852, 20p.; 7. Discours de M. Berryer prononcé a sa réception a l'Académie française... Paris, 1855, 40p.; 8. Discours de Salvandy en réponse au discours de Berryer... Paris, 1855, pp. 41-79; 9. Discours de M. S. de Sacy prononcé a sa réception a l'Académie française. Paris, 1855, 30p.; 9. Discours de Salvandy en réponse au discours prononcé par. M. S. de Sacy... Paris, 1855, pp.31-64. :: Liste manuscrite des brochures à la fin. :: Reliure de l'époque, demi-veau vert, titrée : Notices, Eloges et Discours. Coiffe de tête frottée, claire mouillure en pied.
# AUTEUR: La Rochefoucauld # ÉDITEUR: Société des écrivains ami des livres # ANNÉE ÉDITION: Sans date # ENVOI, BEAUX PAPIERS: vélin pur fil Lafuma # COUVERTURE: rempliée - imprimée illustrée en 2 couleurs # DÉTAILS: In 8° broché 3 ff + XVI + 201 p + 4 ff. d'après un manuscrit inédit avec une préface de Gabriel de La Rochefoucauld, exemplaire imprimé pour M Henri Bordeaux. n° 90 des 300 exemplaires sur vélin pur fil. # PHOTOS visibles sur www.latourinfernal.com
# ÉTAT: très bon non coupé
Paris, Alphonse Lemerre, 1870. 15,5 x 9,5 cm, XIX-240 pp., en frontispice portrait de La Rochefoucauld par Bracquemond. Relié plein maroquin rouge, dos à nerfs, caissons richement ornés, encadrements de roulettes et de filets sur les plats, encadrements de roulettes et filets sur les contreplats, filets sur les coupes et les coiffes, tête dorée. Reliure légèrement usée, coins émoussés et traces de frottements sur les coiffes sinon bel exemplaire. Sur une page de garde une maxime de La Rochefoucauld recopiée à la plume. Livre monogrammé M. Provenance : Lannes de Montebello.
Ant. Aug. Renouard, An XII, 1804
Petit in-8 (17,5 x 11 cm), veau blond glacé, dos lisse orné, pièce de maroquin rouge, dentelle autour des plats, tranches dorées (reliure d’époque). Exemplaire sur grand papier vélin. Ilustré de 7 portraits gravés : Duc de la Rochefoucauld gravé par Aug. St. Aubin d‘après Nicolas Monsiau, Anne d'Autriche, Mazarin, Prince de Condé, Cardinal de Retz, Louis XIV, Turenne. Exemplaire agréable, malgré quelques frottements, notamment sur le dos, coins un peu émoussés, petite trace d’encre ancienne au bas du portrait et du titre.
DE LA ROCHEFOUCAULD Bernard .//. Bernard de la Rochefoucauld.
Reference : 9567
(1822)
Paris, Lefèvre, 1822, 1 volume, in-8, relié, VIII-221 p. / 140 p.. Portrait en frontispice gravé par Bertonnier d'après Laguiche. L'examen critique par Aimé-Martin possède sa propre page de titre et une pagination séparée. Reliure d'époque, cartonnage bradel rouge, filets dorés et pièce de titre de maroquin vert au dos, deux petits accrocs au mors du premier plat, petit manque de papier et petits frottements au second plat, petites rousseurs sur la page de titre.
Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).
Paris, Lefèvre, 1834. Un volume in-8 plein veau glacé caramel, dos à nerfs orné très habilement restauré, pièce de titre en maroquin noir, double-filet doré en encadrement sur les plats, dentelle intérieure dorée, tranches dorées, reliure signée Thompson, 763 pages + table, texte sur deux colonnes. Légères épidermures, néanmoins bel exemplaire, intérieur frais.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Adolphe Le Goupy, 1914, 1 recueil de format à l'italienne de 450x330 mm environ, contenant 31 reproductions et 1 portrait en feuillets libres sous chemise à rabats toilée fermée par un ruban avec intérieur marbré, textes de Georges Cain et P. Vignal. Ce recueil publié par ordre de la Comtesse Guy de La Rochefoucauld et tiré sur papier d'Arches à la main à 200 exemplaires numérotés en lettre à la presse de I à 200. Des rousseurs, traces d'usures sur l'extérieur de la chemise, sur l'intérieur papier marbré fendu sur les pliures, feuillets non rognés en bon état.
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Paris, Bossard, 1925 14 x 19, 317 pp., 1 portrait gravé sur bois, broché, bon état
1 des 2500 Ex. Num. sur chiffon Mongolfier, 1 portrait gravé sur bois par Ouvré