Paris, 1922, in-8, 279pp, broché, Très bel exemplaire! 279pp
1671 Thomas Jolly, Paris, 1671- Chez Thomas Jolly, au Palais en la Gallerie des Merciers, au coin de la Gallerie des Prisonniers, a la Palme & aux Armes de Hollande, reliure pleine basane époque,dos orné,[8], 243 p.,bon état.
Sous le patronage de Richelieu De 1633 à 1638, il met sa plume au service de la politique étrangère du cardinal, hostile à la Maison d'Espagne et favorable à des alliances avec les protestants de Hollande, de Suède et de Suisse. Paraissent ainsi successivement quatre Discours : Sur la bataille de Lutzen, Sur la proposition de trêve aux Pays-Bas, De la contrariété d'humeurs qui se trouve entre certaines nations, et singulièrement entre la française et l'espagnole, dédié à Richelieu, et De l'histoire, où est examinée celle de Prudence de Sandoval, chroniqueur du feu roi d'Espagne Philippe III et évêque de Pampelune, qui a écrit la Vie de l'empereur Charles-Quint, également dédié à Richelieu, comme le seront toutes les œuvres que La Mothe Le Vayer fera paraître jusqu'à la mort du cardinal, en décembre 1642.pensée dite libertine au XVIIᵉ siècle.
1646 Paris , Somnaville , 1646, Héritier et disciple de Montaigne, magistrat qui professait «une aversion naturelle» pour la jurisprudence, voyageur curieux des cultures et moeurs étrangères, lecteur omnivore, François de La Mothe Le Vayer (1588-1672) fut longtemps un grand seigneur indolent qui suivait sa seule inclination vers le plaisir. «Honnête homme et bonnes moeurs, soutenait-il, ne s'accordent pas ensemble». Il n'avait pas, à quarante ans, publié le moindre ouvrage, se retrouva sur le tard, et comme incidemment, précepteur de Monsieur, puis du jeune Louis XIV, écrivit un Hexameron rustique longtemps mis à l'index pour son indécence. Devenu intarrissable, il publia, outre un Dialogue sur les rares et éminentes qualités des Asnes de ce temps un ensemble de Petits traités - dont certains rassemblés sous le Lire la suitedition originale , 1 volume petit In-8 velin ancien d'origine
In-4 (227 x 162 mm), plein veau acajou de l'époque, dos à 5 nerfs orné de compartiments cloisonnés et fleuronnés à la fleur de lys, filet d'encadrement doré sur les plats avec fleurs de lys aux angles, nom du collège doré au centre des plats, tranches jaspées, (8), 374 p. Paris, François Targa, 1642.
Edition originale de ce brûlot polémique dressé contre la rigueur janséniste et livre politique que La Mothe Le Vayer aurait rédigé, selon Pintard, avec le soutien de Richelieu auquel l'ouvrage est dédié.Dans cet élégant examen de la philosophie des anciens, l'auteur tend à démontrer que "tous ceux qui suivent le droit usage de la raison naturelle, fussent-ils reputez athées, ne laissent pas d'estre véritablement Chrestiens" (cité par Pintard, p. 520) - thèse qui poussée aux dernières conséquences conduisait à déclarer inutile la rédemption du Christ et à séculariser la morale en la soustrayant au contrôle des religions. Antoine Arnauld répliqua immédiatement.Sur cet ouvrage, cf. R. Pintard, 'Le Libertinage érudit', p. 520 sq. et H. Busson, 'La pensée religieuse française', p. 405 sq.Selon Peignot ('Livres condamnés', I, 335), La Mothe Le Vayer, en réponse à l'éditeur qui se plaignait que le livre ne se vende pas, eut l'idée d'en solliciter la censure auprès des autorités: "À peine cette défense fut-elle connue, que chacun eut envie de le lire, et lédition en fut bientôt épuisée".(Arbour, 1784. Pintard, n° 845. Tchemerzine-Scheler, III, 967).Exemplaire de présent du Collège d'Avalon (provenance dorée sur les plats), offert en 1713 à "François Marantz" en classe de rhétorique, avec mention calligraphiée et sceau de cire rouge sur la première garde blanche.Qqs épidermures, minime accroc de papier au titre, qqs rousseurs sans gravité.Bon exemplaire, relié à l'époque.
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Paris, Augustin Courbé, 1661. 3 parties en 1 vol. in-12 de (2)-98-(4) ; (6)-95-(5) pp. ; (4)-100-(4) pp., maroquin vert, dos à nerfs orné, tranches dorées (reliure moderne).
Édtion originale. « Esprit original, jaloux de son indépendance, digne héritier spirituel de Montaigne, mais en plus sombre, ce contemporain du Roi Soleil lui renvoie sa part d'ombre ; libre et bigarrée, toute baroque dans sa composition décousue, La Prose chagrine de ce Cioran de jadis accumule avec l'énergie d'un désespoir roboratif les mille raisons de se fâcher avec l'existence, depuis la brièveté de la vie jusqu'à la maltraitance des animaux, depuis la débauche des vieux jusqu'à l'incurie des médecins, en passant par quelques dizaines d'autres sujets de mécontentement encore. Et l'auteur de louer le scepticisme, qui demeure la seule certitude raisonnable. Après deux cents pages de ce maelström pittoresque, varié, cliquetant d'exemples et coloré de mille citations piquantes, La Mothe Le Vayer conclut : « Je m'impose donc silence, pour ne passer pas les bornes que j'ai prescrites à mon chagrin » (Guillaume Tomasini, Paris, Klicksieck, coll. Le Génie de la Mélancolie, 2012). De la bibliothèque du monastère de Sainte-Marie de la Daurade, à Toulouse, avec ex-libris manuscrit sur le titre : Monasteri B. Mariæ Deauratæ.Tchemerzine, III, 976.
Paris, Veuve Nicolas de Sercy, 1647. Petit in-8 de (12)-384 pp., vélin souple, titre manuscrit sur le dos.
Quatrième série des Opuscules publiée une première fois l'année précédente (1646). « Suggestive coïncidence : Richelieu meurt le 4 décembre 1642, et aussitôt La Mothe le Vayer est revenu au pyrrhonisme : l'idée de la bizarrerie et de l'inconstance des "humeurs, fantaisies et opinions des hommes", liées à la diversité inévitable des tempéraments, réapparaît dans les Opuscules » (Pintard, Le Libertinage érudit, p. 523). Ces sept traités présentent une grande variété de sujets. La Mothe Le Vayer (1588-1672) prenait en effet souvent son inspiration philosophique et morale dans l'expérience journalière de la vie, qui devenait dès lors l'occasion de multiples références à Sénèque, Aristote, Cardan etc. Ex-libris manuscrit "Ciffongne avril 1684" à l'encre du temps répété sur les feuillets de garde. Galeries de ver marginales, dos noirci. Tchemerzine, III, 968.
2 tomes et 3 parties en 3 volumes in-folio, plein veau granité de l'époque, dos à nerfs ornés de caissons fleuronnés, tranches mouchetées , (24), 1015, (52) p. et (8), 1166, (72) p., dont 3 pages de titre, grande vignette de titre, portrait gravé par Nanteuil en frontispice, planche allégorique hors texte au tome I, titres noir et rouge. Paris, Augustin Courbé, 1662.
Troisième édition en partie originale, comportant une dédicace au roi, augmentée de 'La Physique du Prince' -- 'Discours sur la bataille de Lutzen et sur la trêve des Pays-Bas' -- un ouvrage composé vers 1636 qui paraît pour la première fois: 'En quoi la piété des Français diffère des Espagnols dans une profession de même religion' -- Ainsi que, dans le deuxième volume, les cinquante "Petits traités en forme de lettres" et "la Prose chagrine". (James, 'Libertins Erudits', n°238. Tisserand, Bibliographie in : 'La Mothe Le Vayer', p. 236. Pintard, n° 861).Reliure usée et épidermée, auréoles dans la marge inférieure des 2 premiers volumes, fente et manque de cuir au mors supérieur du tome I, défauts aux coiffes.
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Paris : Louis Billaine, 1670 In-12, (4)-252-(1) pages. Basane mouchetée de l'époque, dos à nerfs orné.
Coiffe de tête manquante et coiffe de queue accidentée, charnières frottées, coins émoussés. Première édition de l'ouvrage le plus célèbre de La Mothe Le Vayer. Ouvrage représentatif du scepticisme de la première moitié du XVIIe siècle, il met en scène un groupe de jeunes érudits, personnages derrière lesquels se cachent l'auteur et cinq de ses amis, qui pendant six séances débattent avec impertinence de littérature classique, de philosophie et de théologie."Philosophe ambigu, La Mothe Le Vayer demeure un philosophe gaillard, et l'Hexaméron rustique, qui est son dernier péché, n'est pas le plus anodin. [En effet, l'ouvrage] ressuscite les gaillardises juvéniles, patauge dans l'obscénité et la raillerie, censure avec des intentions incertaines 'les abus introduits par le peuple dans la Religion' : et la plus folle des fantaisies du jeune magistrat, souvenir de ses débauches d'esprit et de corps, le commentaire de l'Antre des Nymphes, y trouve place" (Pintard). Barbier II, 626 ; Tchemerzine III, 984 ; Brunet III, 800.
A Paris, Chez Thomas Jolly, 1670. In-12 de (4)-252-(1) pp., maroquin rouge, dos orné à nerfs, triple filet d'encadrement sur les plats, fleurons dorés aux angles et filets dorés au centre, tranches dorées (reliure de l'époque).
Édition originale. Livre à clef où Egisthe figure Chevreau, Marulle l'abbé de Marolles, Racemius Bautru, Ménalque Ménage, Simonidès l'abbé Le Camus, enfin Tubertus Ocella La Mothe Le Vayer.« Philosophe ambigu, La Mothe Le Vayer demeure un philosophe gaillard, et l'Hexameron rustique, qui est son dernier péché, n'est pas le plus anodin. L'ouvrage, en effet, ressucite les gaillardises juvéniles, patauge dans l'obscénité et la raillerie, censure avec des intentions incertaines les abus introduits par le peuple dans la religion : et la plus folle des fantaisies du jeune magistrat, souvenir de ses débauches d'esprit et de corps, le commentaire de l'Antre des Nymphes, y trouve place » (Pintard, p. 431 et 536).Provenance : bibliothèque Georges Lainé, arrière petit-fils d'Edouard Pelay, président de la Société des bibliophiles normands, avec ex-libris.Bel exemplaire Pintard, 859 ; Tchemerzine III, 984a.
Paris, Jacques Villery, 1644. 1 vol. petit in-8°, veau fauve, dos à nerfs orné de petits fleurons dorés encadrés d'un double filet doré, encadrement d'un double filet doré sur les plats. Reliure de l'époque restaurée, coins émoussés. Ex-libris ms. du couvent franciscain de Toulouse, p. 1. (6) ff., 500 pp. Partie sup. du feuillet de titre découpée (sans atteinte au texte), ex-libris raturés sur la page de titre ayant perforé le papier, essais de plume en marge de qq. ff., perforation avec légère perte de texte pp. 273-274, manque angulaire dans la marge du dernier ff., qq. mouillures marginales en début de volume.
Edition originale. C'est la troisième série des Opuscules que La Mothe Le Vayer publia en 1643 et 1644 et qui marque son retour au scepticisme pyrrhonien. Et même si son style s'est un peu assagi, c'est bien le libertin érudit qui ressurgit ici. "Parmi eux, le traité de la Vie et de la Mort est particulièrement intéressant en ce qu'il résume les principales idées de Le Vayer sur ces problèmes" (Jammes). On relève également De la lecture des livres et de leur composition qui préfigure l'ouvrage de Sorel sur le même sujet (1664), ou encore De la bonne chère, véritable petit traité sur la bonne cuisine et l'organisation des banquets. Tchemerzine-Scheler III, 968a; Jammes, cat. Libertins érudits, n°215.
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Francfort, Jean Savius, 1716. 2 vol. in-12, [16]-416 pp. + [18]-466 pp., veau havane, filet à froid en encadrement sur les plats, dos à nerfs orné de caissons dorés, pièces de titre et de tomaison rouges, tranches rouges (trois petits manques, coin émoussé, frottements, rares taches).
Nouvelle édition réunissant les neuf dialogues rédigés par le philosophe François de La Mothe Le Vayer et publiés sous le pseudonyme Oratius Tubero. Quérard, III, 861b. * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Oratius Tubero, i.e. François de La Mothe Le Vayer, Cinq dialogues faits à l'imitation des anciens. I. De la Philosophie Sceptique. II. Le Banquet Sceptique. III. De la Vie privée. IV. Des rares & éminentes qualités des Asnes de ce temps. V. De la diversité des Religions. Mons, Paul de La Flèche, 1673. In-12, [20]-406p. Une des deux éditions supposément imprimée à Mons par La Flèche pour lesquelles ni le lieu d'édition, ni le libraire ne sont réels et peut-être même les dates sont fausses (voir le catalogue de la bibliothèque Arthur Dinaux, n°646 : « tout est faux »). L'édition datée 1671 est assurément d'Amsterdam, par Daniel Elzevier ou Blaeu ; la nôtre est probablement belge partagée entre deux libraires fictifs : le nôtre et chez Grégoire Rousselin à Liège. L'utilisation de Paul de La Flèche pour notre édition vient vraisemblablement du fait qu'elle est copiée sur celle de 1671. La Bibliographie montoise de Rousselle (n°442) n'apporte aucun détail sur ces éditions (et confond même les informations sur les deux éditions). Cette fantaisie dans les éditions est une forme de tradition pour cet ouvrage puisque la première édition fut imprimée en 1630 mais datée 1506. Notons d'ailleurs qu'il s'agit des quatre premiers dialogues ici divisés en cinq. Un second ensemble de dialogues seront publiés sous la date tout aussi fantaisiste de 1606. Plein veau, dos à nerfs orné. Une coiffe arasée, coins usés, mors en partie fendus, reliure solide néanmoins. Peu commun.
Cologne, Pierre Brenussen, 1671 In-12 de (2) ff., 156 pp., vélin de l'époque.
"Edition donnée à Cologne par Pierre Brenussen une année après la première. ""Philosophe ambigu, La Mothe Le Vayer demeure un philosophe gaillard, et l'Hexaméron rustique, qui est son dernier péché, n'est pas le plus anodin."" L'ouvrage, en effet, ""ressuscite les gaillardises juvéniles, patauge dans l'obscénité et la raillerie… et la plus folle des fantaisies du jeune magistrat, souvenir de ses débauches d'esprit et de corps, le commentaire de l'Antre des Nymphes, y trouve place (Pintard, Le Libertinage érudit, I, p. 431 et 536). En 1649, il se vit confier par Mazarin l'éducation du duc d'Orléans, frère du roi, puis en 1652, celle de Louis XIV. Merveille du hasard, celui qui enseigna ""ad usum delphini"" la logique, la morale et la politique, n'eut jamais assez de sarcasmes pour ces trois sciences dont il se méfiait et qu'il jugeait inférieures. Très bel exemplaire en vélin de l'époque. Ex-libris héraldique volant Jacques Chavane conseiller au parlement."
A Paris, chez Louis Billaine, 1669. In-12 de (10)-215 pp., veau brun granité, dos orné à nerfs (reliure de l'époque).
Troisième édition de la Géographie du Prince réimprimée par Louis Billaine en 1669. Reçu à l'Académie française en 1639, La Mothe Le Vayer se mit sur les rangs pour la charge de précepteur du dauphin (le futur Louis XIV) et publia à cette occasion un livre intitulé De l'instruction de Monsieur le Dauphin (1640), qu'il dédia au cardinal de Richelieu. Il inscrivit sur son programme la géographie, dont une première édition séparée couplée à la morale sera publiée en 1651, rééditée dans les Oeuvres de 1663. Ex-libris « Parham Sussex ». Tchemerzine, III, 961.
Paris : Louis Billaine, 1670 In-12, (4)-252-(1) pages. Veau blond du XVIIIe siècle, dos lisse orné, trois filets dorés sur les plats, tranche dorée.
Bel exemplaire. Première édition de l'ouvrage le plus célèbre de l'auteur. Ouvrage représentatif du scepticisme de la première moitié du XVIIe siècle, il met en scène un groupe de jeunes érudits, personnages derrière lesquels se cachent l'auteur et cinq de ses amis, qui pendant six séances débattent avec impertinence de littérature classique, de philosophie et de théologie."Philosophe ambigu, La Mothe Le Vayer demeure un philosophe gaillard, et l'Hexaméron rustique, qui est son dernier péché, n'est pas le plus anodin. [En effet, l'ouvrage] ressuscite les gaillardises juvéniles, patauge dans l'obscénité et la raillerie, censure avec des intentions incertaines 'les abus introduits par le peuple dans la Religion' : et la plus folle des fantaisies du jeune magistrat, souvenir de ses débauches d'esprit et de corps, le commentaire de l'Antre des Nymphes, y trouve place" (Pintard). Barbier II, 626 ; Tchemerzine III, 984 ; Brunet III, 800.
Paris, Augustin Courbé 1662, 370x250mm, reliure plein veau de l’époque. Dos à 6 nerfs. Dos richement orné de dorures. Dorures légèrement passées. Coiffes usées. Taches sur la tranche vertical et sur les bords des dernières pages au tome premier et tome second mouillures sur tous les coins inférieurs des pages.
frontispice, tome premier: titre gravé, 11 ff. + 1 une planche n/b + 1015 pages + 24 ff. (tables des matières et choses plus remarquables); tome second: titre gravé, 3 ff. + 656 pages, lettrines, bandeaux, culs-de-lampes,
1662 Paris, Augustin Courbé, 1662. 24x37 cm. 1015 pages + table non paginée & 1166 pages + table non paginée. Ouvrage en 2 volumes, enrichi de 1 portrait de l'auteur en frontispice, de 1 gravure en pleine page, et que de 2 plus petites gravures. Nombreuses lettrines et bandeaux. Pages de titre en rouge et noir. Reliures de l'époque en plein veau. Dos à 6 nerfs, ornés de caissons dorés. Titre sur pièces de maroquin rouge. Tomaison en lettres dorées. Petites taches et auréoles pâles, principalement au premier tome. Traces de frottement sur les reliures, cependant ensemble solide et en bon état général.
P., Bossard, 1922, in-16, br., 280 pp., bibliographie. (GD26A)
Introduction et notes (58 pp.) de Ernest Tisserand avec un portrait gravé sur bois par OUVRÉ, d'après le portrait de Nanteuil. Le texte reproduit dans ce volume est celui de l'édition originale, portant la date de 1506, et parue en 1630-1631. Exemplaire sur papier Bibliophile inaltérable (pur chiffon).
Klincksieck. 2012. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XXVIII+149 pages.. . . . Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle
"Edition critique établie par Guillaume Tomasini - Collection "" génie de la mélancolie n°50 "". Classification Dewey : 840.04-XVII ème siècle"
Editions Bossard Paris 1922 In-8 ( 190 X 135 mm ) de 279 pages, broché sous couverture imprimée. Bel exemplaire.
1663 Paris, Thomas Jolly, 1663, in 12 de (2)pp. (faux-titre)-182 pp. (titre compris)-(4) pp. (privilège), jolie vignette de l'éditeur gravée sur la page de titre, rel. d'ép. de plein veau brun moucheté, dos à nerfs orné de fers dorés, titre doré, restauration à la reliure et dans le coin supérieur de la page de titre (sans manque de texte), bon ex.
Éd. orig. peu courante de la 2e partie de cette "Promenade", qui en compte 4 au total, et comprend en tout 9 dialogues, et qui selon Tchemerzine (VII, p. 8), se trouve rarement réunies. Il s'agit ici, dans cette partie des 4e, 5e et 6e Dialogues de l'auteur (Tubertus Ocella) avec Charles Du Bosc (Xilinus). La "Promenade" et une suite de 9 Dialogues faits à limitation des Anciens sous le pseudonyme de Tubertus Ocella. Une ancienne mention manuscrite au crayon de papier mentionne : "De la bibliothèque de Hérédia". suivi du prix de l'époque : 2 (francs).
Le promeneur Le promeneur, 2003. In-12 carré broché, couverture à rabats de 125 pages. Très bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
, Paris, Bossard, 1922, 283pp., dans la série "Chefs-d'oeuvre méconnus", éd.limitée et numérotée nr.1176/2500, pour la plupart non coupé
Paris, Isidore Lisieux 1875 xi + 57 + [ii] pp., titre rouge et noir, 15cm., brochure originale avec qqs. rousseurs, imprimé sur papier de luxe, texte frais et sans rousseurs, tirage limité à 600 exemplaire (cfr. Vicaire II,588), avec note et préface, dans la "Collection Elzévirienne (petite)", bon état, Y94097
Paris, Fayard, corpus des oeuvres de philosophie en langue gfrançaise, 1988. Fort in-8°, 507 pp., intérieur frais. Reliure d'éditeur jaune clair titrée noir, dos titré noir (minimes petits défauts, étiquette de prix en partie arachée au second plat). Bel exemplaire sinon.