Write to the booksellers3 books for « la mothe houdancourt »Edit
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Les quatre Factum pour Messire Philippes De la Mothe Houdancour, Duc de Cardonne, & Mareschal de France, cy-devant Vice-Roy & Capitaine general de Catalogne Contre Monsieur le Procureur Général du Roy au Parlement de Grenoble.- (Adresse) A nos seigneurs de Parlement…
1648 velin souple, usagé. (la marge supérieure de l'Adresse a été mouillée et le papier en est affaibli). in-4, 31pp.,; 56pp. ; 51pp. ; 71pp., et 24pp. (mq. les pp. 25, 26 et 27 de l'adresse venant après les 4 factums. s.l., s. n. (1648)
Philippe de La Mothe-Houdancourt devait sortir de prison à la suite de ces quatre factums…Ex-libris gravé et ms. "Aubret" de la Dombe.
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
Supplique des héritiers du maréchal de La Mothe Houdancourt touchant la possession des titres et archives, et principalement ceux concernant l'érection de la terre du Fayel en duché et pairie.
1685 Manuscrit in-4, 12 pages. Broché, cousu, sans couverture.
Belle écriture très lisible. La seigneurie du Fayel fut érigée en duché-pairie en 1653 en faveur du maréchal de La Mothe-Houdancourt qui venait de perdre son duché de Cardone en Catalogne.
LA MOTHE-HOUDANCOURT (Henri) évêque de Rennes, frère du maréchal (1612-1684)
Reference : 66C27
Lettre autographe signée au duc de Longueville, (Henri II d'Orléans, aussi appelé Henri II de Valois-Longueville, né en 1595–1663). Le duc de Longueville dirigeait la délégation française lors des pourparlers préliminaires des Traités de Westphalie qui marquent le terme de la Guerre de Trente Ans (1648). Lettre datée du 4 janvier 1644 (sic, pour 1645, le maréchal fut arrêté en décembre 1644) 2 p. in-4. Adresse, avec 2 petits cachets de cire armoriés et reste de fils de soie. Le maréchal de la Mothe-Houdancourt ayant perdu la bataille de Lerida et levé le siège de Tarragone avait été arrêté et enfermé au château de Pierre-Encise, à Lyon, le 28 décembre.
L’évêque sollicite pour son frère, la protection du duc de Longueville : « Je crois que vous aurés appris la triste nouvelle de la détention de mon frère à Lion. Tous les avis qu’il en avait reçeû par differents couriers et ceux mesme qu’il apprenoit de Lion n’ont peu le faire resouldre à une retraite qui auroit peu le faire soupçonner d’aulcune tasche... Les mauvais offices qu’on luy a rendu ont prévalu contre un homme absent et quy ne se debat pas. C’est maintenant, Monsieur, qu’il a besoin de votre protection... ».
Belle pièce
