Paris, A. Appert, 1843. 2 tomes en un volume in-8 de 556 et 536 pages, demi-veau brun, dos à nerfs orné de filets et fleurons dorés.
Illustré de deux frontispices: un portrait du prince de Ligne et une séance des plénipotentiaires à Vienne. Rare. Rousseurs marquées, coins tapés, dernière page de la table de la seconde partie abîmée.
Paris, A. Appert, Imprimeur-Libraire-Éditeur, 1843. 8vo. Bound in 2 contemporary half morocco. Spines gilt. Gilt title labels. 5 raised bands to spines. Crack to lower front outer hinge on vol. 2. Hinges and capitals somewhat worn. Hinges professionally strengthened from the inside. With 2 frontispieces. Minor brownspotting. (2),536(2),536 pp.
Paris, Vivien, 1901 in-8, XV-461 pp., portrait-frontispice, 2 gravures h.-t., index et table, broché.
Tulard, 815. "L'une des sources les plus utilisées par les historiens pour évoquer le Congrès de Vienne". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Vivien, 1901. In-8 de XV-461 pp., index, demi-chagrin vert, dos orné à nerfs, premier plat de couverture conservé (reliure moderne).
Portrait-frontispice et 2 gravures hors-texte. Tulard, 815 : « L’une des sources les plus utilisées par les historiens pour évoquer le Congrès de Vienne ». Bel exemplaire.
Paris Treuttel et Würtz [Imprimerie de Crapelet] 1824 in-8 demi-chevrette noire, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, tranches marbrées [Rel. de l'époque]
3 ff.n.ch., pp. vij-viij, 440 pp., portrait-frontispice lithographié par Carbonnier.Quérard IV, p. 424. Édition originale.Le comte de La Garde de Chambonas était membre de la Société royale de Varsovie, de l'Académie de Naples et de la société littéraire de la ville de Cracovie. Après avoir émigré en Autriche et en Pologne sous la Terreur, il effectua le voyage de Moscou à Vienne en 1811, puis rentra en France après 1815, avant de s'installer à Londres. Homme de lettres, il est aussi l'auteur d'un recueil de poésies, d'un ouvrage sur la Bavière et de plusieurs romances, dont l'une sur la mort du prince Poniatowski.Ouvrage peu commun, interdit à l'époque par la censure russe