[BAUDELAIRE] LA FIZELIERE (Albert Patin de) et DECAUX (G.)
Reference : 46403135
(1868)
Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles, Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles1868 ; in-12, broché. XIII pp., 70 pp.C’est la PREMIERE BIBLIOGRAPHIE DE BAUDELAIRE. “... En recueillant cette liste, aussi complète qu’il nous a été possible de la dresser, nous avons eu le désir de procurer aux curieux, aux délicats, le plaisir par nous éprouvé à connaître et apprécier un écrivain, un poëte, dont le nom ne doit jamais tomber dans l’oubli”.Malassis avait fourni de nombreuses indications à La Fizelière pour ce travail. Il écrira au sujet de ce livre à Narcisse Ancelle : “Vous serez sensible, comme moi, Monsieur, à ce que Baudelaire, du fait de cette publication, soit traité, ainsi qu’il convenait, comme un classique de la littérature française ”. Pichois-Ziegler 611 - Vicaire IV 881.Exemplaire numéroté sur vergé.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
[BAUDELAIRE] LA FIZELIERE (Albert Patin de) et DECAUX (G.)
Reference : 46403136
(1868)
Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles, Paris, Librairie de l’Académie des Bibliophiles1868 ; in-12, broché XIII pp., 70 pp.C’est la PREMIERE BIBLIOGRAPHIE DE BAUDELAIRE. “... En recueillant cette liste, aussi complète qu’il nous a été possible de la dresser, nous avons eu le désir de procurer aux curieux, aux délicats, le plaisir par nous éprouvé à connaître et apprécier un écrivain, un poëte, dont le nom ne doit jamais tomber dans l’oubli”.Malassis avait fourni de nombreuses indications à La Fizelière pour ce travail. Il écrira au sujet de ce livre à Narcisse Ancelle : “Vous serez sensible, comme moi, Monsieur, à ce que Baudelaire, du fait de cette publication, soit traité, ainsi qu’il convenait, comme un classique de la littérature française ”. Pichois-Ziegler 611 - Vicaire IV 881.Exemplaire sur vergé, non numéroté.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
1856 ; 1 p., 1/2 in-8 sur papier avec son chiffre.Lettre adressée au directeur d’une revue d’art. Sur la recommandation de son ami le Marquis de Belloy il propose à son correspondant de lui fournir divers articles, l’un sur le célèbre amateur Mariette, un autre sur Charlet. Il donne son adresse à Paris au 12 rue du Havre.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
Paris, Aubry, Paris, Aubry1859 ; in-16, demi-basane rose, filet doré, couverture illustrée (Reliure de l’époque). 2 ff., 106 pp., 1 f.EDITION ORIGINALE rare de cette curiosité sur l’histoire de la mode. Il existe quelques rares exemplaires sur papiers de couleurs.vicaire IV 880 - Colas 1719 - Lipperheide 1731.Ex-libris Emile Miguet.LA FIZELIERE (Albert Patin de)Le bibliophile Jacob a rédigé une notice nécrologique très flatteuse après la mort de La Fizelière dans le Bulletin du Bouquiniste du 15 mars 1878 : « Le plus grand éloge et aussi le plus rare qu’on puisse faire d’un homme de lettres, d’un journaliste, d’un ami des arts, en témoignage du regret de l’avoir perdu, c’est de constater que chez lui les qualités de l’esprit n’ont jamais fait tort aux qualités du cœur et qu’il a traversé la vie littéraire en restant toujours bon et bienveillant, honnête et loyal, digne à la fois de l’estime et de la sympathie de tous… ».La Fizelière, né à Marly (Moselle) le 8 août 1818 était fils du chevalier de La Fizelière, capitaine d’artillerie que la Restauration avait mis au placard. Sa mère était une Lamberty Cortembach, vieille famille lorraine. Son père descendait du célèbre médecin Guy Patin. La Révolution fit de lui un militaire. A Wagram il fut décoré par Napoléon. Le jeune La Fizelière refusa la carrière des armes, et dégagé de tous préjugés de naissance se trouva instinctivement républicain. Il quitta Metz pour Paris en 1836 et s’introduisit dans les ateliers des jeunes peintres, se posant en amateur passionné de l’art réaliste. En même temps, il avait pénétré dans les bureaux des journaux de l’opposition où il ne traita que des questions d’art. Il se fit en quelque sorte le secrétaire, l’historiographe, l’orateur de la peintrerie réaliste et indépendante. Sans le sou, comme ses amis rapins, il tançait le bourgeois qui regardait à peine les tableaux de la nouvelle école. La Fizelière réussit à convaincre le libraire Techener de financer une exposition et de fonder en 1842 l’Ami des Art auquel collaborèrent Janin et Nodier. En 1848, il mit sa plume au service de la République et signa plusieurs pamphlets démocratiques. Un confortable mariage lui assura une existence facile et lui permit de donner carrière à ses aptitudes littéraires. Il fut en contact permanent avec les bibliophiles dont il partageait les fantaisies bibliographiques. Des revers de fortune le firent rentrer dans la fournaise du journalisme. Exécuteur testamentaire de son ami Janin, il consacra les trois dernières années de sa vie à publier ses œuvres illustrées. Il mourut en 1878. La Fizelière et Malassis étaient amis. Ils se rendaient des services mutuels. Pendant l’exil de Malassis à Bruxelles, La Fizelière fit pour lui de multiples recherches à la Bibliothèque Nationale et chez les libraires parisiens : « Des amis parisiens, parmi lesquels A. de La Fizelière et Ph. Burty, se manifestent comme de fidèles pourvoyeurs de littérature épicée » dit R. Fayt p. 37. Le catalogue de sa vente (Aubry, 1878) donne la liste détaillée de ses productions.
1 L. A.S. de 3 pages sur papier bleu, datée du 18 septembre (sans mention d'année) : [ Il regrette qu'on ne l'ai pas prévenu que ses services n'étaient plus attendus : ] "J'ai donc fait une chronique, mais on me l'a laissée pour compte. Il aurait peut-être été plus correct de le faire savoir qu'on n'en avait plus besoin. Mais je n'ignore pas que les moeurs du journalisme ont beaucoup changé depuis quelque temps, aussi je passe condamnation sur ce sujet. J'ai lu votre nouveau programme. J'ai vu que le Courrier de Paris s'est mis en frais d'une "Nuance littéraire". Je vous en félicite et je m'en félicite aussi de mon côté ; car cela m'explique en quoi vous n'avez plus besoin de ma collaboration. J'éprouvais quelque embarras à la réfuter à un jeune confrère, et je suis aise de me trouver libre d'un engagement qui, je l'avoue, devenait onéreux pour moi. Et puis vous exigiez de moi - si j'ai bien compris votre lettre - des courriers dans le genre des inimitables lettres de Mme de Girardin ou des spirituelles chroniques de Villemot. C'était là plus que je pouvais faire. Si vous avez eu l'adresse de mettre la main sur le "rara avis" capable de réaliser ce prodige, faites le moi connaître, je vous prie, et je me charge de lui faire donner mille francs par mois dans un grand journal. Quant à moi, mon ambition personnelle ne saurait aller jusque là. Vous l'aurez bien compris, & je vous remercie de m'avoir épargné la rougeur de vous en faire l'aveu. Enfin, le Courrier de Paris a une nuance littéraire, comme la Revue des Deux Mondes a un esprit. C'est parfait. [... ] permettez-moi à ce sujet, un petit conseil : exigez d'eux aussi une légère teinture grammaticale. Il y en a deux ou trois dont la syntaxe doit faire tressaillir d'horreur les cendres de Lhomond et de Wailly dans leur vénérable sépulture" [il reste néanmoins à sa disposition : ] "pourvu que vous n'exigiez de moi ni le génie du Vicomte de Launay ni le bon sens incisif d'Auguste Villemot ]
Belle et curieuse lettre autographe signée du critique et historien Albert de la Fizelière (1819-1878), proche de Baudelaire, Champfleury ou Baudelaire, dont il rédigera la première bibliographie. L'un des grands journaux parisiens, le "Courrier de Paris" inaugura le règne de la chronique quotidienne.
Paris, au bureau de Notre histoire, 1848 in-8, 60 pp., table des matières au recto de la seconde couverture, broché sous couverture crème imprimée.
Ludovic de Marsay est l'un des pseudonymes par lesquels le critique d'art Albert-André Patin de La Fizelière (1817-1878), par ailleurs républicain convaincu, signait ses opuscules politiques. Ce petit Manuel de l'électeur constituant connut un grand succès.Curieusement, au CCF il n'est signalé d'exemplaires qu'à la BnF et à l'Inguimbertine. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, chez l'éditeur, 1848 2 tomes en un vol. grand in-8, [4]-480-100 pp., broché, non coupé.
Ensemble bien complet de toutes les "semaines" qui doivent composer ce récit au jour le jour de la Révolution de février 1848, et qui a été composé, outre Albert-André Patin de La Fizelière (1819-1878), par René de Kerambrun, Louis-G. Giraudeau, Francis Lacombe. Il est fréquent de voir des exemplaires incomplets, s'arrêtant en avril ou en mars 1848. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
1859 Paris, Aubry, 1859; in-12 de (4) - 106 - (1) pp.; demi-chagrin lissé à coins, filet doré soulignant mors et coins, dos à nerfs finement orné et doré de petits fers, auteur et titre dorés, premier de la couverture illustrée en couleurs conservé, tête dorée. Renferme une Petite bibliographie des stoles, basquines, vertugales et paniers. Edition originale ( cf. Vicaire IV-880).
Les attributs de la mode déclinés en poèmes. Fine reliure signée de Capé, frottements aux charnières et coiffes.(Reu-Bur)
Paris, Librairie des Bibliophiles, 1875, 1 broché. in-12 de VIII-71 pages ;
Artistes exposés: Bouguereau, Benjamin Constant, Gustave Doré, Puvis de Chavannes, Corot, Fantin-Latour, Auguste Bartholdi, etc...
Phone number : 06 80 15 77 01
Paris, Techener, 1874, 1 broché, couverture muette, étiquette de titre contrecollée sur la 1ère de couverture. in-8 de 22 pages ;
Extrait du "Bulletin du Bibliophile".
Phone number : 06 80 15 77 01
1866 br. (dos défait). in-16, frontispice, 84pp., (6ff.), P. Pincebourde 1866
"tiré à petit nombre pour les amateurs".
Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03
1859 1 Paris, Aubry, 1859, in-16, broché, couverture. illustrée en couleurs, 108 pages.
Histoire de la coquetterie des femmes mise en vers. Tache et usures à la couverture.
(BAUDELAIRE Charles) LA FIZELIERE Albert de & DECAUX Georges
Reference : 84979
(1868)
Librairie de l'Académie des bibliophiles, Paris 1868, 10,5x17cm, broché.
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur vergé, le nôtre non justifié, seul tirage avec 10 Chine. Deux petits manques angulaires en tête et en pied du premier plat, bel état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
(BAUDELAIRE Charles) LA FIZELIERE Albert de & DECAUX Georges
Reference : 17998
(1868)
Lib. de l'Académie des bibliophiles, Paris 1868, 10,5x17cm, broché.
Edition originale, un des 350 ex numérotés sur vergé, seul tirage avec 10 Chine. Une petite déchirure en tête du dos, ex-libris à la plume en tête du premier plat, un infime manque angulaire sur le premier plat, bel état intérieur. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, A la Librairie de l'Académie des Bibliophiles, 1868. Petit in-8 de XIII-(1)-70 pp., demi-percaline beige (reliure de l'époque).
Édition originale tirée à 360 exemplaires numérotés. Un des 350 sur papier vergé. Première bibliographie critique (123 numéros décrits) de Charles Baudelaire, publiée un an après sa mort.Provenance : Arthur Christian (1838-1906), directeur de l’imprimerie nationale ; double ex-libris dont celui au portrait de Rabelais (1900).Vicaire IV, 881.
Paris : Auguste Aubry, 1859 - in-16 bradel demi percaline vert empire avec une pièce de titre (reliure de l'époque), couverture consevée, 106 pages - bon état -
Délicieuse histoire littéraire des crinolines, paniers et autres vertugadins qui de tous temps excitèrent la verve des moralistes, philosophes, prédicateurs, médecins et chansonniers. Petite bibliographie in-fine. Jolie couverture illustrée en couleurs. (Vicaire IV, 880).
Paris, A. Aubry éditeur, 1859. In/12 en papier dominoté, 106 pages. Déjà fort en vogue en 1859, la crinoline, bien que décriée par les hygiénistes et moquée par les caricaturistes fut encore portée de longues décennies.
Colas 1719.
A. Aubry, Paris 1859, 10,5x16,5cm, relié.
Nouvelle édition. Reliure à la bradel en demi percaline jaune, dos lisse, pièce de titre de chagrin bleu marine comportant deux petits manques, plats de papier peigné, gardes et contreplats de papier caillouté, couvertures conservées. Quelques petites rousseurs sans gravité. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Chez Auguste Aubry, éditeur, 1868. In-8, demi-basane glacée bleu nuit, dos à nerfs titré, orné d'un fer représentant des roses dorées, plats ornés d'un décor original rare "petites comètes avec leurs trainées", gardes marbrées, 152pp, 279 notices descriptives de bibliothèques, tirage à petit nombre, table alphabétique des bibliothèques citées,
Ex. à pleines marges non rognées, dans une reliure originale au dos un peu passé, l'intérieur est très frais. - Frais de port : -France 8,45 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Avec des notes et un essai sur les autres bibliothèques particulières du temps. Aug.Aubry. 1869. In-8 br.couverture imprimée, 152pp. Exemplaire sans dos, plats détachés et lgt abîmés, marque perforée des Franciscains de Québec répétée. A relier. Rare.
LA FIZELIERE (Albert de), NISARD (de) [pseudonyme de Hénissart (Jean-Félix d')]
Reference : 8709
Paris, A. Aubry, 1859. 1 volume In-12 Reliure demi-veau blond à coins, dos à 5 nerfs et 4 caissons ornés de motifs dorés, coins et mors des plats soulignés de triples filets dorés; tête dorée; plats de couverture couleurs conservés, le 1er illustré. 1faux-titre, 1titre, 106p., 1feuillet; petits ornements. Reliure en mauvais état: mors supérieur cassé (1er plat indépendant), manque le caisson supérieur; intérieur propre, plats de couverture compris.
Histoire mi-amusée mi-savante des corsets, vertugadins et basquines, paniers et "culs de crin", agrémentée de poétiques extraits et nourrrie de références bibliographiques; suivie de "Satyre sur les cerceaux, paniers, criardes, et manteaux volans des femmes et sur leurs autres ajustemens" et autres histoires, textes de 1727 du chevalier de NISARD (pseudonyme de Jean-Félix d' Hénissart) en vers précédés d'une lettre-préface signée "L. C. D.***"; et de "L'Indignité et l'extravagance des paniers pour les femmes sensées et chrétiennes", par "un prédicateur"; in fine, "Petite bibliographie des stoles, basquines, vertugales et paniers" (24 ouvrages XVIè-XIXè siècles). 1ère édition de ce curieux ouvrage du journaliste, critique, bibliographe et bibliophile (1819-1878), "très en avance sur ce qui deviendra plus tard l'histoire des modes" (Jean-Paul Fontaine); exemplaire en reliure endommagée mais propre à l'intérieur et bien complet de sa belle couverture en couleurs au 1er plat illustré.
1859 PARIS, A. AUBRY - 1859 - Edition Originale -In-12 ° - 1/2 reliure basane à 5 nerfs - Couverture conservée - têtes de chapitres , lettrines et culs de lampe de lampe décorés - 107 pages - Très bel exemplaire. Rare - réf. 48531
Pour partie, histoire de la coquetterie des femmes mise en vers. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris, A. Aubry éditeur, 1859. In/12 broché, 106 pages, couverture illustrée en couleurs.
Déjà fort en vogue en 1859, la crinoline, bien que décriée par les hygiénistes et moquée par les caricaturistes fut encore portée de longues décennies. Colas 1719.