Sans lieu sans nom 1762 In-12 (10 X 17 cm) basane brune, dos à nerfs orné de fers dorés, pièce de titre rouge, tranches rouges mouchetées. 160 pp. (Reliure de l'époque).
Nouvelle édition, revue et corrigée. Bien complet in-fine de l' « Arrest du parlement de Bretagne du 27 mai 1762 » par L. C. Picquet, de l' « Extrait des registres du parlement du 28 mai 1762 ». Réquisitoire sans concession à l’encontre de la Compagnie de Jésus, que le magistrat breton La Chalotais (1701-1785) compare à « une institution fanatique ». Adepte de la philosophie des Lumières, ce procureur au parlement de Bretagne, provoqua en partie l'abolition de la société de Jésus en France. Il fut également en faveur de l’abandon du latin au profit des langues vivantes. Emprisonné à Saint-Malo (1765), puis exilé à Saintes (1768), il fut rétabli dans sa charge en 1775.
1762 1 Sans lieu, sans nom, 1762, in-12° de 288 et 310 pp. rel. plein veau, dos orné à nerfs, titre or sur pièce peau.
La Chalotais, magistrat né et mort à Rennes (1701-1785), occupa les fonctions de procureur général au Parlement de Bretagne. A ce titre, il contribua largement à provoquer l'abolition de la Société de Jésus en France, en publiant son "Compte rendu des constitutions des Jésuites". Grimm a dit de lui que les Jésuites pouvaient le regarder comme le destructeur de leur ordre en France. L'auteur publia deux comptes rendus, celui de son allocution des 21, 22 & 24 mai 1762 et celui de décembre 1762. HOEFER 28, 496. QUERARD II, 49 (signale deux volumes réunissant les deux titres.)
Paris : Louis Cellot, 1770 In-4, 51 pages. Broché, tel que paru, non rogné.
Né à Rennes en 1701, janséniste, La Chalotais est nommé avocat général au Parlement de Bretagne en 1730, et procureur général en 1752. Opposant farouche des jésuites, il présente au Parlement, en 1761, un mémoire sur les constitutions de la Compagnie qui contribue à sa suppression en France. En 1763, il publie un Essai d'éducation nationale, dans lequel il propose un programme d'enseignements scientifiques destinés à se substituer à ceux des jésuites. La même année commence le conflit entre les États de Bretagne et le gouverneur de la province, le duc d'Aiguillon. Les États refusent de voter les impôts extraordinaires demandés par le gouverneur au nom du Roi. La Chalotais est un ennemi personnel du duc d'Aiguillon et, lorsque le Parlement se range aux côtés des États, il prend la tête de l'opposition. Le secrétaire d'État à la Maison du roi chargé des affaires de la province, Louis Phélypeaux, comte de Saint-Florentin, reçoit deux lettres anonymes dont La Chalotais est suspecté d'être l'auteur, ce que confirment alors trois experts en graphologie. La Chalotais est arrêté le 11 novembre 1765, ainsi que son fils et quatre autres parlementaires. Cette arrestation fait sensation et l'on parle de despotisme. Voltaire forge la légende du procureur général emprisonné à Saint-Malo, puis au château du Taureau, et réduit, faute d'encre, à écrire sa défense avec un cure-dent trempé dans du vinaigre. Le 16 novembre 1765, une commission spéciale est nommée pour juger La Chalotais. Celui-ci plaide l'illégalité du procès, soutenant qu'étant procureur général, il ne peut qu'être jugé par le Parlement de Bretagne ou, à défaut, par celui de Bordeaux, conformément à la coutume de Bretagne. Les juges n'osent pas le condamner sur la base d'expertises en écriture et, à la fin de l'année 1766, les choses n'ont pas progressé. En novembre, La Chalotais est transféré à la Bastille4,5. Louis XV décide alors d'évoquer l'affaire devant le Conseil, qui exile La Chalotais à Saintes (1767). Cette sentence augmente l'agitation des esprits. Les Philosophes, les parlementaires, les jansénistes soutiennent que La Chalotais est la victime de la vindicte du duc d'Aiguillon et des jésuites. En définitive, le roi accepte de rappeler les parlementaires bretons qui ont démissionné.
Sans lieu, 1762 In-12 de 288 pp. maroquin rouge, triple filet doré en encadrement sur les plats, fleurons dorés aux angles, dos à nerfs orné de fleurons de caissons dorés, pièce de titre de maroquin vert, filets dorés sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrure (reliure de l'époque).
"Édition originale de ce réquisitoire breton contre la Compagnie de Jésus. L'antagonisme entre les parlements, défenseurs jaloux et vétilleux du gallicanisme, et les jésuites - considérés comme les suppôts de l'ultramontanisme - date de l'installation même de l'ordre en France, au XVIe siècle. Au XVIIIe siècle, sur fond de querelle janséniste réactivée par la bulle Unigenitus (1713), le conflit devient plus virulent encore. En 1758, la guerre de Sept ans entraîne la banqueroute des établissements commerciaux des jésuites à la Martinique dirigés par le P. La Valette . Les créanciers de la Compagnie de Jésus entament des poursuites judiciaires devant un tribunal de commerce, mais l'affaire prend rapidement une tournure politique quand les parlements s'en emparent. Après avoir exigé la communication des Constitutions de l'ordre de saint Ignace, les magistrats se livrèrent dès lors à une attaque systématique des fondements mêmes de la Compagnie. Dans ce Compte-rendu présenté devant le Parlement de Bretagne les 1er, 3, 4 et 5 décembre 1761 - et qui vient à la suite du discours prononcé par l'abbé Chauvelin devant le Parlement de Paris, en avril de la même année -, La Chalotais (1701-1785) se livre à un implacable réquisitoire. Le procureur général au parlement de Bretagne stigmatise les règles - particulièrement leur obéissance absolue et directe à l'égard du pape - et l'organisation de l'ordre - selon lui ""une institution fanatique"" -, attentatoires à l'autorité des conciles, incompatibles avec la Déclaration des Quatre articles de 1682 et les lois de la monarchie française. La Chalotais reprend les traditionnelles antiennes des antijésuites - la Compagnie délivre un enseignement corrompu, excite troubles et querelles, ne condamne pas la doctrine du régicide -, et se prononce pour la dissolution d'une société jugée irréformable. L'arrêt du Parlement de Bretagne du 23 décembre, pris à la suite du compte-rendu de La Chalotais, anticipant la condamnation finale de la Compagnie de Jésus, lui fait défense de recevoir de nouveaux membres ou novices, de poursuivre ses activités d'enseignement et enjoint à ses étudiants de ""vuider les collèges de ladite Société"". A la suite de ces multiples attaques des Parlements, Choiseul décide de sacrifier les jésuites : en 1764, Louis XV est contraint d'entériner la suppression de l'ordre dans le royaume. Deux ans plus tard, La Chalotais publia son Essai d'éducation nationale, proposant un système d'enseignement pour se substituer à celui des jésuites qu'il avait contribué à détruire. Peu après, La Chalotais se signala à nouveau en prenant la tête de l'opposition parlementaire de Bretagne. Il se rebellait contre son gouverneur, le duc d'Aiguillon, et contre les ordres du roi. Il fut emprisonné en 1765 puis exilé jusqu'en 1775. Très bel exemplaire en maroquin de l'époque. Mention manuscrite ancienne à l'encre brune au verso de la première feuille de garde : ""Reliure de Derome""."
Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59
La Chalotais (Louis-René de Caradeuc de) - Yves Lagree et François Lemonnier eds.
Reference : 81890
(1985)
Editions Alréa Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1985 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur blanche, illustrée d'un portrait de La Chalotais sur fond marron grand In-8 1 vol. - 165 pages
1ere édition chez cet éditeur, 1985 (la première date de 1763) Contents, Chapitres : Yves Lagree : Avant-propos - François Lemonnier : Introduction (10 pages de présentation) - Essai d'éducation nationale : Avertissement, ii, Texte, 152 pages, et errata, i (soit un total de 165 pages) - Louis-René de Caradeuc de La Chalotais, né à Rennes le 6 mars 1701 et mort dans la même ville le 12 juillet 1785, est un magistrat breton. Janséniste, il est procureur général du parlement de Bretagne et l'une des principales personnalités du mouvement de la fronde parlementaire qui se déroule à la fin du règne de Louis XV. - La Chalotais est nommé avocat général au parlement de Bretagne en 1730 et procureur général en 1752. Opposant farouche des jésuites, il présente au parlement en 1761 un mémoire sur les constitutions de la Compagnie (Compte rendu des constitutions des Jésuites), qui contribue à sa suppression en France. En 1763, il publie un Essai d'éducation nationale, dans lequel il propose un programme d'enseignements scientifiques destinés à se substituer à ceux des jésuites. Voltaire le félicite d'en exclure les enfants du peuple : « Je vous remercie de proscrire l'étude chez les laboureurs. Moi qui cultive la terre je vous présente requête pour avoir des manuvres et non des clercs tonsurés. » (source : Wikipedia) couverture un peu jaunie, et tres legerement empoussiérée, intérieur sinon propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire, cette version est un reprint en fac-similé de l'édition de 1763 publié en 1985 pour le 2eme centenaire de sa mort en 1785
1762 1762 S.l n.e., 1762. In-12 plein veau d'époque, dos à nerfs orné de caissons et fleurons, pièce de titre maroquin rouge, [1f.], portrait en frontispice, 155 pp., suivi de: page de titre, 288 pages. Un mors fendu avec manque, manque la page de titre. Relié avec une lettre imprimée, signée par La Chalotais.
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné. La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
SANS LIEU D’EDITION. SANS NOM D’EDITEUR. 1763. IN-12 (10 X 16 X 2,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (4) +140 PAGES, RELIURE D’EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTES MAROQUIN HAVANE ET ROUGE, ROULETTE DOREE SUR COUPES, TRANCHES MARBREES. RELIE AVEC:- CARACCIOLI LOUIS ANTOINE. (1719-1803). LE VERITABLE MENTOR, OU L’EDUCATION DE LA NOBLESSE PAR LE MARQUIS CARACCIOLI, COLONEL AU SERVICE DU ROI DE POLOGNE, ELECTEUR DE SAXE. SECONDE EDITION. A AVIGNON. CHEZ LOUIS CHAMBEAU, IMPRIMEUR-LIBRAIRE. 1762. IN-12 DE XIV + (2) ET 200 PAGES.2 OUVRAGES RELIES EN UN VOLUME. BEL EXEMPLAIRE.
1762, 163x100mm, 142 + 155pages, cartonnage, étiquette de titre manuscrite au dos.
1762 221p 1 volume IN12. Reliure d'époque en plein veau blond.Dos à nerfs orné avec pièce de titre. Tranches colorées.
Paris, Raynal, 1825. 160 g In-16, demi veau bleu nuit, dos lisse orné d'un double filet, [2] ff., liii pp., [2] ff., [1] ffb., 259 pp.. Edition peu courante. Ex-dono à l'avocat général Le Marchadour de la part du procureur général, daté de 1915 à Amiens. Frottement sur le dos, petites rousseurs. . (Catégories : Education, )
LA CHALOTAIS (Louis René de CARADEUC de), FONTETTE (Chevalier de), CARRE (Henri)
Reference : 27765
Grand in-8, demi-basane de l'époque, dos à nerfs, une charnière faible, (2) f., 615 p. Paris, Librairies-imprimeries réunies, 1893.
Première édition de cette correspondance entre le commandant du fort de Saint-Malo, le chevalier de Fontette et Louis René de La Chalotais qui y avait été emprisonné pour avoir mené la fronde des parlementaires bretons contre le pouvoir de Louis XV. Appareil critique de Henri Carré, table de correspondance, bibliographie, index.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
S.l. 1762 In-12, 288-150 pages. Basane racinée de l'époque, dos à nerfs orné, roulette sur les coupes.
Ex-libris aux armes de la famille "Pannard", gravé par Le Pescheux, collé sur le premier contreplat. Accident à la coiffe supérieure. [Relié avec :] Arrest du Parlement de Provence, du 6 mars 1762, fait à Aix en Parlement, les 6 Chambres assemblées. In-12, 20 pages. [Et :] Arrest et arrêtés de la Cour de Parlement, séant à Rouen, pour l'éxecution des Arrêts des 22 Février, 21 et 28 Juin 1762. Rouen : Chez Le Boulenger, 1762. In-12, 27-(1) pages. [Et :] [Anonyme] Lettre d'un curé de campagne, aux jésuites de Bordeaux. Pour servir de Réplique aux Mémoire, Précis et Réflexions qu'ils viennent de distribuer à leurs Juges. S.l., 1762. In-12, 62 pages.Caradeuc de la Chalotais se montra l'un des plus ardents adversaires des jésuites sous le règne de Louis XV et contribua fortement, par ces deux rapports, à la suppression de l'ordre. Quérard II-49.
1763. In 8 plein veau marbré de l’époque, dos orné à nerfs (coiffes et coins usés), tranches rouges, (4)-152 pp. + errata. Relié avec: [DE LESPINASSY] – Essai sur l’Education des Demoiselles par Mademoiselle de ***. P. Hochereau, 1764. VIII-84 p. + feuillet non ch. (table et approbation).
Edition originale. On connaît au moins trois tirages de 140, 145 et 152 pages publiés la même année (1763), sans savoir précisément leur ordre d'apparition. Un an après ses deux Comptes rendus des constitutions des Jésuites, présentés au Parlement de Bretagne en1761 et 1762 qui provoqua la suppression de la Compagnie, le procureur général La Chalotais (1701-1785) déposait sur le bureau de la cour ce mémoire, afin de remplacer la Compagnie de Jésus dans ses nombreux Collèges. Contre l'éducation religieuse, il préconise l'établissement d'une éducation civile qui prépare chaque génération naissante à remplir avec succès les différentes professions de l'Etat. Le nombre de collèges et d'étudiants dépend de la constitution politiques et économique de l'État, et du rapport entre les différentes professions. La Chalotais condamnait le grand nombre de professions improductives (religieux, gens de justice, écrivains), et préconisait l'éducation des femmes. Diderot, Grimm, Voltaire, considéraient cet ouvrage, comme un monument de la sagesse politique de leur temps.
1826 Paris. J.-G. Dentu. 1826. 1 volume in-8, demi-basane de l'époque, dos lisse orné de filets dorés. [1] f. ; 265 pp.
Nouvelle édition. L’ouvrage comprend les comptes rendus et des extraits des Registres correspondants du Parlement.Procureur général au Parlement de Bretagne sous le règne de Louis XV, La Chalotais fut chargé de présenter des comptes rendus sur la Société des Jésuites, leur morale et leur enseignement, ce qu’il fit en 1762. Le Parlement de Bretagne adopta ses rapports et demanda la dissolution de la Compagnie de Jésus en France.Rousseurs, annotations marginales au crayon. Petite galerie de vers en queue.
avec des notes latines explicatives, précédés d'une introduction, et ornés d'un portrait. P. Langlois fils 1826. In-8, XII-436 pages. Demi basane, dos lisse orné de filets dorés (mors du premier plat fendu, qq.rousseurs). Reliure de l'époque.
1762, in-8vo, 288 p., reliure en demi toile verte, dos avec titre et filets en or. Exemplaire en bon état.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1763 sans lieu ni éditeur, 1763, volume in-12 relié plein veau marbré de l'époque, II-195 pages, dos lisse orné de caissons dorés à motifs floraux, tranches rouge, pièce de titre bordeaux, édition originale, sans défaut notable, excellent état
Sans nom Sans nom ni lieu, 1762. In-12 relié plein veau brun, dos lisse à filets et fleurons dorés, pièce de titre rouge. 200 + 16 pages. Avec, in fine "ARREST DU PARLEMENT DE BRETAGNE DU 23 DECEMBRE 1761" contenant, entre autres, la liste des livres condamnés à être lacérés et brulés et la liste nominative des Pères Jésuites ayant rédigé des écrits interdits avec leurs titres. Très bon exemplaire.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
SIMON Pierre-Guillaume /. XVIIIème siècle. In-16. Relié plein cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Mors fendus, Intérieur acceptable. 72 + 60 + 175 + 112 + 59 + 59 pages. Relié plein veau, consolidé sur les mors. Tranches mouchetées.. . . . Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
Nouveau Catéchisme sur les Affaires présentes des Jésuites, ou l'Anti-Jésuitisme, chez Cusson (1762) - Tout le Monde à Tort ou Jugement Impartial d'une Dame Philosophe, sur l'Affaire Présente des Jésuites (1762) Classification Dewey : 94.3-Livres anciens XVIII ème
sans lieu, ni nom d'éditeur, 1763, format 185x115mm, broché, couverture muette d'attente, (2)pp+152 pages, la couverture est un peu usagée, un petit trou de ver sur le haut des sept premiers feuillets ( pages de garde et de couverture incluses ) et une petite tache d'encre sur l'angle inférieur des pages 73 à 80, sinon l'exemplaire est dans un état correct.Il est joint à l'ouvrage quatre feuillets manuscrits de commentaires sur le livre.
Langlois fils et Cie, librairie, 1826. Un volume in-8°, demi-reliure cuir.
[17755]
Paris, Langlois 1826, 215x130mm, XII- 436pages, broché. Couverture d’origine, tranches non rognées, quelques rousseurs.
Sans lieu pour les 2 premiers textes et Toulouse de l'Imprimerie de Caranove pour les 2 derniers, tous datés de 1762. 4 textes en 1 volume in-12 221pp, 142pp, 150pp, 31pp. Basane blonde, dos à nerfs orné de cadres de filets dorés, pièce de titre grenat, cadre de filet doré sur les plats, tranches brique, reliure de l'époque. Coins et coiffes légèrement émoussés, papier légèrement bruni.
Les compte-rendu de ce Magistrat Breton contribuèrent amplement à la suppression de l'ordre des Jésuites en France.
S.l. 1763 in-12 cartonnage d'attente de papier bleu, dos lisse [cartonnage de l'époque], importants manques au dos, essais de plume sur les gardes
[2] ff. n. ch, 152 pp., un f. n. ch. d'errata.Edition originale de cet essai qui forme le meilleur texte du procureur de Rennes. Cet ouvrage de La Chalotais connut, à peine publié un succès considérable et fut vite traduit en néerlandais, en russe, et en allemand. Il s'agit d'un essai sur une politique éducative nouvelle, reflétant le courant d'idées des Lumières. Parmi ses propositions, on trouve nombre de vues novatrices comme le contrôle de l'Etat sur l'éducation (à la place des religieux), une école adaptée à la vie et aux possibilités de chacun, une action didactique inspirée de la nature etc. "L'Essai de La Chalotais. aida à la formation d'une conscience pédagogique moderne" (Laffont-Bompiani)
CARADEUC DE LA CHALOTAIS Louis-René de - Vicomte de CHATEAUBRIAND :
Reference : 48504
Paris, chez J.G.Dentu, 1826, in-8°, (2)pp nn + 265 pp. [2] (Chateaubriand) Paris, chez Normant, 1824, in-8°, xii pp + 48 pp. Relié à la fin '' Lettre d'un ancien jurisconsulte à M. le Vicomte de Chateaubriand''. 10 aout 1830, imprimerie d'Auguste Mie, 7 pp. . Reliure demi-cuir. reliure usée, Mors supér. fendu sur 4 cm. Qq tâches à la page de titre.