P., Alphonse Lemerre, 1871, pet. in-12, br., (4)-32 pp. (L79)
Édition originale de "ce catéchisme paru anonymement et rédigé par Leconte de Lisle sur les notes qui lui ont été fournies par Ernest Courbet pour la partie concernant l'organisation communale, et, par Louis Xavier de Ricard pour la partie relative à l'organisation départementale. La partie État est entièrement de Leconte de Lisle". Pamphlet plus nettement politique que l'Histoire populaire de la Révolution française parue la même année, également anonyme. "Tour à tour sont étudiés l'homme, l'individu, le corps social, l'État, la République" (Flottes, Leconte de Lisle, p. 196). Influences de Rousseau ("le bien est ce qui est conforme à la nature de l'homme"), de Robespierre (éloge de la petite propriété), de Lakanal (droit à l'instruction). Petit ouvrage peu commun non pas du poète mais du pamphlétaire qui se mit à écrire des brochures militantes à 53 ans.Petit manque au dos défraîchi.
P., Perrin, 1929, 2ème éd., in-12, br., XII-272 pp., portrait en frontispice. (SC23)
Marque d'appartenance.
P., Librairie Académique Perrin, 1929, in-8, br., 272 pp. (DE15)
P., Lemerre, 1872, gr. in-8, br., 350 pp. (GC14A)
Édition définitive revue et considérablement augmentée.
S.l., s.n., s.d., 4 ff.n.ch. pet. in-folio, imprimés au recto. (GO30B)
4 planches en couleurs sur papier vélin fort. Texte gravé et illustrations en couleurs de STAAL, gravées par Nargeot. Il s'agit d'une réédition des planches, sans les 4 pp. de notice et musique notée, parues en noir dans Chants et chansons populaires de la France (Garnier, 1848, 3 vol. gr. in-8) et mises à la couleur. Elles sont au format 400 x 270 mm. et les coloris sont de toute fraicheur.
[ROUGET DE LISLE (Claude Joseph)]; LE ROY DE SAINTE-CROIX (François Noël)
Reference : 19985
Strasbourg, Hagemann et Cie, 1880. In-4, 211 pp., maroquin bordeaux de Popelin, frises et filets dorés en encadrement sur les plats cantonnés d'arabesques, fleurons et faisceaux de licteur surmontés de bonnets phrygiens dorés, dos à nerfs orné de caissons dorés, importante bordure intérieure ornée de dentelles dorées, tête dorée sur témoins, couverture conservée (habiles restaurations des mors, minuscules épidermures en marge du 2nd plat, quelques petites rousseurs et taches).
Exceptionnel exemplaire de l'édition originale de cette monographie consacrée à La Marseillaise, abondamment truffée, évoquant ses paroles et sa musique, son histoire et son auteur, ses imitations et parodies ainsi qu'une bibliographie. Elle est comporte la partition pour chant et piano de l'hymne ainsi qu'une seconde partition pour choeur de 4 hommes. Elle est ornée de 6 photogravures en noir. Un précédent propriétaire a pris le soin de truffer l'exemplaire de nombreux autographes et portraits gravés. Le premier autographe est une lettre signée sur papier à en-tête des marchands d'autographes Étienne et Noël Charavay, datée du 6 juillet 1920 attestant que les deux pièces de Rouget de Lisle sont bien de sa main (1 p. in-12). La première planche est une gravure en bleu et rouge de Staal tirée sur Japon représentant un portrait de Rouget de Lisle dans un médaillon surmontant une scène guerrière et surmontée par une allégorie et des attributs de la Victoire et de la guerre. Le second manuscrit autographe de Rouget de Lisle est intitulé "Stances parodiées sur un air allemand" composé de 6 strophes de 5 vers comportant plusieurs corrections (2 pp. in-4). En frontispice se trouve une gravure en couleurs représentant la Probité, gravée par Mercier d'après Desrais. Le troisième manuscrit est intitulé "L'Amitié - Stances de Mr. Millevoye" d'une main non identifiée, composé de 4 strophes de 4 vers au recto et, d'une seconde main, une strophe de 8 vers, la dernière d'un poème de Béranger "Charles VII" (2 pp. in-4). Le quatrième manuscrit autographe "Vers à S.M. l'Empereur de Russie" de Rouget de Lisle est daté de janvier 1814 (1 p. in-4). Le cinquième manuscrit est une lettre autographe signée de Rouget de Lisle à M. Tastu, datée du 21 juin 1832 (2 pp. in-8). Le sixième manuscrit autographe est de la main du sculpteur David d'Angers à Carrier-Belleuse à propos de portrait de Proudhon (1 p. in-12). Le septième est une lettre autographe signée de Béranger à Rouget de Lisle, datée du 14 janvier 1832 (3 pp. in-12). En regard des Notices chronologiques, il a été relié un exemplaire de La Marseillaise illustrée, publiée à Paris par Abert en 1840 ([5] ff. in-4). Enfin, l'ouvrage comprend un grand nombres de portraits gravés des personnages historiques et artistiques évoqués au cours de l'ouvrage comme David d'Angers, Auguereau, Ney, Napoléon, Béranger ou encore Victor Hugo. Superbe exemplaire truffé dans une très belle reliure de maroquin de Popelin. Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Édition originale avec envoi autographe de Rouget de Lisle « au citoyen Bennezek ». Bel exemplaire, des bibliothèques Pixérecourt et docteur Lucien Graux. A Paris, de l'Imprimerie de P. Didot l’aïné, 1796. In-8 de (2) ff., 157 pp., 5 pages de partitions gravées, 1 gravure hors texte.Veau blond raciné, petite guirlande dorée en encadrement, dos lisse finement orné, pièce de titre de maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de ['époque. 190 x 109 mm.
Edition originale du premier livre de Rouget de Lisle présentant les couplets de la Marseillaise. Elle fut composée tant pour les paroles que pour la musique, dans la nuit du 24 au 25 avril 1792, à Strasbourg, chez le maire de la grande cité alsacienne, Dietrich, par Claude Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), simple capitaine du génie, originaire du Jura. Entonné le 22 juin de la même année, à Marseille, par un étudiant en médecine de Montpellier, François Mireur, lors du banquet qui réunissait les volontaires du bataillon marseillais qui se préparait à partir pour la défense du pays, ceux-ci, enthousiasmés, l'adoptèrent comme chant de ralliement. De ville en ville, partout où ils passaient, les Marseillais le chantèrent, avec passion. La Marseillaise paraît ici pour la première fois dans un volume entièrement dû à Rouget de Lisle et portant son nom. Elle y est en six stances, telle qu’il la composa. Titre : « Le Chant des Combats, vulgairement L’Hymne des Marseillois. Aux Mânes de Sylvain Bailly, premier maire de Paris ». « Le 30 juillet 1792, les 516 hommes composant ce bataillon de Fédérés entrèrent dans Paris : guidés par Santerre « ils débouchèrent sur la place de la Bastille, tambours battant, drapeau tricolore déployé, à une allure martiale, chantant l'hymne, encore inconnu à Paris, de l'armée du Rhin » (Ph. Sagnac, la Révolution, 1789-1792, « Histoire de France contemporaine », de Lavisse). « Les larmes, dit encore le Père Duchesne d'Hébert, coulaient de tous les yeux ; l'air retentissait des cris de : Vive la Nation / Vive la liberté ! » Dès lors, l'hymne reçut le nom de Chanson des Marseillais, puis, par abréviation, de Marseillaise. Chanté le 10 août de la même année, toujours par les bataillons marseillais, lorsqu'ils envahirent les Tuileries, adopté par les soldats de la République, par ces « Volontaires de 92 » ; il est présent sur les champs de bataille. Le 17 octobre, la convention décida d'en faire l'Hymne de la République. Décrété chant national le 26 messidor an III (14 juillet 1795), ce titre lui sera confirmé ; au début de la IIIe République, à la suite d'un débat à la Chambre des Députés, le 14 février 1879. Chant de la patrie envahie, la Marseillaise dit l'amour du foyer, la douceur des campagnes menacées par l'ennemi du dehors ; elle en appelle à la juste vengeance, au courage, à l'héroïsme ; elle proclame la mort plutôt que la honte. Jaillissant spontanément des cœurs, elle fut un signe de ralliement dans la victoire comme dans la défaite. » « Chant révolutionnaire, sorti des entrailles d'un peuple souverain, amoureux de la liberté et de la fraternité, elle sonne l'heure du combat contre toutes les formes de la tyrannie, contre tous les visages de l'oppression. A ce titre, elle fut chantée dans toute l'Europe par les troupes révolutionnaires à l'assaut de la monarchie et de l'ancien régime, en ce sens, elle est, comme l'a dit Michelet, « un chant éternel ajouté à la voix des nations. » Ce recueil contient en outre en prose Adélaïde de Monville, avec une jolie figure gravée par Gaucher d’après Lebarbier, en premier tirage. A la fin : « Chant de l’Hymne à l’Espérance. Gravé par Richomme », soit ce titre et 5 pages de paroles et musiques gravées. Précieux exemplaire imprimé sur beau papier vélin, conservé dans sa reliure de l’époque, l'un des rares contenant un envoi autographié signé de Rouget de Lisle sur le titre « J. Rouget de Lisle au citoyen Bennezek ». Des bibliothèques Guilbert de Pixérecourt (Crozet, 1838, n°705 du catalogue) et du docteur Lucien Graux avec ex-libris (n°155 du catalogue de la vente du 18 juin 1958).
Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise.
Reference : 012474
Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise. L.A.S. « R. de Lisle », Choisy-le-Roy, 5 janvier 1829, 2p et demi in-8. A son ami, le docteur Emile Chapelain, « dernier adepte de la grande secte de Mesmer », adepte du magnétisme animal, « l'homme aux miracles » selon les dires de Balzac : « Cher Docteur, Vous m'avez donné tant de marques d'amitié que je crois pouvoir vous en demander une nouvelle, non pas sans encourir le reproche d'indiscrétions, mais au moins sans mériter celui d'inconvenance. Si je me trompais, j'aurais recours à votre indulgence et vous suppliant de ne pas me la refuser, tout en regardant cette lettre comme non avenue. Peut-être mon infernale situation me donne-t-elle des droits à celle de tous ceux qui ont le coeur trempé comme le vôtre. Il s'agirait, non de me prêter, mais de me faire prêter 100fr, qui me sont nécessaires, sous peine de désagréments mortels, pour acquitter un billet de cette somme que j'ai dû souscrire pour le 15 de ce mois. Ces 100fr, et cela sur ma parole, seraient remboursés moitié le 15 février, moitié le 15 mars prochains. Il est inutile de vous dire que je ne regarderais pas à l'intérêt que pourrait exiger la personne à qui vous vous adresseriez. Encore une fois, cher Docteur, pardonnez ma ridicule démarche à la détresse que me fait éprouver cette bagatelle et aux désappointements de toute espèce que j'éprouve. Il m'est dû 4000fr de droite et de gauche. Depuis que j'ai signé le billet en question, j'ai écrit de tout côté pour en recueillir quelques bribes. On compte sur mon état ; on se rit de menaces que d'ailleurs je ne sais pas faire, et toutes mes lettres restent ou sans réponses, ou sans résultats qu'en perspective, et j'en suis où vous me voyez. Soyez tranquille cependant sur le paiement des 100fr que je vous prie de me trouver. Il est hypothéqué in petto, sur la partie d'une chétive pension mensuelle dont vous avez connaissance, partie que n'absorbe pas l'autre pension que mes amis ont bien voulu accepter. Or j'irais tout nu plutôt que d'y toucher avant que le billet en question soit payé. Avez-vous reçu un billet de moi relativement aux livres que Mde Levi a bien voulu me procurer. Je comptais qu'on les apporterait hier, mais la personne n'est pas venue, ce qui achève de me désoler. Adieu - pourquoi ne m'avez-vous pas laissé mourir ? - un mot de réponse, dans tous les cas, je vous en supplie. Faites agréer mes compliments et mes voeux du jour de l'an à Mlle Constance. Quant à ce que je forme pour vous-même, ils sont en proportions de ma gratitude et de mon dévouement. R. de Lisle ». Longue et belle lettre au moment de l'écriture de ses souvenirs sur Quiberon. On apprend par une des autres lettres à Chapelain que parmi les livres demandés se trouvent les mémoires de Puisaye qui est à l'origine de l'expédition de Quiberon. Rouget de Lisle se battait dans l'autre camp. Les lettres à Chapelain étaient jusqu'à ce jour inédites. Leur existence a été signalée par Marguerite Henry-Rosier dans son livre Rouget de Lisle (Paris, Flammarion, 1937, p.206-207) mais le contenu n'avait pas été révélé. Elles appartenaient alors à madame Paul Parisot (peut-être l'épouse du journaliste et syndicaliste né en 1917). [242]
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Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise.
Reference : 012476
Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise. L.A.S. « R. de Lisle », Choisy-le-Roy, 26 janvier 1829, 1p in-8. A son ami, le docteur Emile Chapelain, « dernier adepte de la grande secte de Mesmer », adepte du magnétisme animal, « l'homme aux miracles » selon les dires de Balzac : « Le hasard, cher Docteur, vient de me faire toucher quelque peu d'argent, et je m'empresse de vous l'annoncer. Voulez-vous que je vous renvoie à la fois les 100fr que vous m'avez prêtés ? Pouvez-vous, pour le moment vous contenter de la moitié, ce qui me ferait plaisir ? Un seul mot à ce sujet, et de suite je vous ferai passer le tout ou la partie. Bonjour - toujours point de nouvelles des mémoires de Vauban. J'espérais que Mr Pellecat viendrait hier, et me les apporterait : mais on ne l'a pas vu. Patience, pourvu que Mde Levi ne s'impatiente pas ! Adieu, cher ami, déchirez ce billet si on vous l'a présenté, comme je n'en doute pas. Tout à vous du fond du coeur. R. de Lisle Le Gal arrive de Paris, et me remet votre livre ainsi que le billet qu'il contient. JE vous remercie mille fois de l'un et de l'autre, ainsi que de la déclaration que vous me faites de la part de Mlle Céline, que je mérite si peu, et à laquelle je suis bien embarrassé de répondre car je n'ai plus d'esprit, du tout ». Belle lettre au moment de l'écriture de ses souvenirs sur Quiberon. On apprend par une des autres lettres à Chapelain que parmi les livres demandés se trouvent les mémoires de Puisaye qui est à l'origine de l'expédition de Quiberon. Rouget de Lisle se battait dans l'autre camp. Les lettres à Chapelain étaient jusqu'à ce jour inédites. Leur existence a été signalée par Marguerite Henry-Rosier dans son livre Rouget de Lisle (Paris, Flammarion, 1937, p.206-207) mais le contenu n'avait pas été révélé. Elles appartenaient alors à madame Paul Parisot (peut-être l'épouse du journaliste et syndicaliste né en 1917). [242]
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Alphonse Lemerre, Paris 1869, 16x24,5cm, relié sous emboitage.
Édition originale de la traduction française établie par Charles-Marie-René Leconte de Lisle. Reliure en demi-maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, tête dorée, contreplats et gardes de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, quelques rares rousseurs, emboîtage de toile beige, reliure moderne. Précieux envoi autographe de Leconte de Lisle à George Sand: «à Madame G. Sand hommage de respectueuse admiration Leconte de Lisle» Dès ses premiers écrits, Leconte de Lisle se plaça directement sous l'influence de George Sand, à qui il dédia deux poèmes de jeunesse: à George Sand et Lélia dans la solitude. Cette filiation se transforma progressivement en admiration réciproque, puisque George Sand rendra hommage à l'auteur dans un article du Tempsdu 31 juillet 1872:«M. Leconte de Lisle est grand poète aussi, et d'une si forte originalité qu'il est devenu chef d'école. On lui doit une vraie reconnaissance? il faudrait que ce fût une reconnaissancenationale.» Cet envoi, sous forme d'hommage, rend compte de l'estime et de l'admiration réciproques que se portaient les deux auteurs. Très bel hommage littéraire sur un exemplaire joliment relié. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise.
Reference : 012480
Claude-Joseph Rouget de Lisle (1760-1836), officier, poète, écrivain, auteur de La Marseillaise. L.A.S. « R. de Lisle », Choisy-le-Roy, 11 juin 1829, 2p in-8. A son ami, le docteur Emile Chapelain, « dernier adepte de la grande secte de Mesmer », adepte du magnétisme animal, « l'homme aux miracles » selon les dires de Balzac : « Comme vous êtes dur pour le pauvre monde, cher Docteur ! Pourquoi ne pas me répondre un mot, fût-ce, vous m'ennuyez ; laissez-moi tranquille, au moins je saurais à quoi m'en tenir ; que vous vous portez bien, quoique de mauvaise humeur, et je me tiendrai coi, tout en rongeant mon frein. Mais votre silence me désole, et met le comble à mes tribulations qui, vous le savez de reste, n'ont besoin d'aucun supplément. Peut-être êtes-vous fâché que je ne vous rende pas votre argent. Je ne vous l'avais demandé qu'avec l'intention et la persuasion de vous rembourses, presque instanti quo. Le retranchement dont je vous ai parlé ne me l'a pas permis, et me tient si court qu'on ne saurait davantage. Parlez-moi franchement sur ce point afin qu'à tout prix je prenne des mesures en conséquence. Bonjour. Aux griefs que vous pouvez avoir contre moi, je ne veux pas joindre celui de vous faire perdre un temps précieux. Mais j'insiste pour que vous m'accordiez cinq minutes de réponse sur votre santé, votre argent et le résultat de vos démarches par rapport au recueil, si toutefois vous en avec fait quelques unes. Vous ne me dites plus rien de Mlle Céline, et je n'ose plus vous en parler moi-même. Je finirai par croise que tout de bon, vous êtes jaloux. R. de Lisle Mon bras est toujours fort douloureux. Il ne me permettra pas le voyage de Paris, d'ici à quelque temps encore ». Les lettres à Chapelain étaient jusqu'à ce jour inédites. Leur existence a été signalée par Marguerite Henry-Rosier dans son livre Rouget de Lisle (Paris, Flammarion, 1937, p.206-207) mais le contenu n'avait pas été révélé. Elles appartenaient alors à madame Paul Parisot (peut-être l'épouse du journaliste et syndicaliste né en 1917). [242]
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Alphonse Lemerre 1939 in12. 1939. Broché. 2 volume(s).
Bon état intérieur frais tranches un peu ternies sous papier de soie
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1861 ; in-12, bradel demi-maroquin vert sombre, dos lisse, fil et fleurons dorés, entièrement non rogné, couverture (Lemardeley) 2 ff., 274 pp., 1 f. avec la marque. [Impr. à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1000 exemplaires, plus quelques-uns sur Chine.C’est sur ce volume qu’apparaît pour la première fois la nouvelle adresse des éditeurs “97 rue Richelieu et passage Mirès”. Dans sa livraison de la première quinzaine d’octobre 1860 La Revue anecdotique annonçait : “L’éditeur Poulet-Malassis, dont la maison à Paris était située jusqu’ici rue des Beaux-Arts, vient de louer une boutique au coin du passage Mirès... On parle beaucoup de la décoration future de cette nouvelle librairie. Les peintres réalistes doivent y peindre des plafonds et des fresques; on cite les noms de Courbet, d’Amand Gautier et autres. On y viendra comme à la Librairie Nouvelle, feuilleter et parcourir les ouvrages nouveaux. Ce sera un centre où l’on se retrouvera, et où l’on apprendra les nouvelles littéraires du jour. La Revue anecdotique ne doute pas du succès de l’entreprise...” Malassis quant à lui est moins optimiste. Dans une lettre adressée le 10 novembre à La Sicotière, il écrit : “Nous avons fait un grand saut. Réussirons-nous? C’est ce que moi-même ne je n’oserais pas affirmer”.Launay 127 - Talvart et Place 85 n°23 - Carteret II, 42 - Vicaire VII, 784LECONTE DE LISLE (Charles-Marie-René Leconte, dit)Né à Saint-Paul (Ile de la Réunion) le 22 octobre 1818, mort à Voisins près de Louveciennes le 17 juillet 1894. Le maître de l’Ecole Parnasienne a publié trois livres chez Poulet-Malassis. Il a fréquenté plusieurs auteurs de l’écurie Malassis, en particulier Baudelaire « dont il demeura l’ami sans trop de lacunes ni de heurts, malgré l’esprit un peu cynique et les blessantes fanfaronnades de ce méphistophéliste » (Calmettes. Leconte de Lisle et ses amis p. 77).
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1861 ; in-12, Demi-veau fauve, coins, tête dorée. (Reliure moderne) 2 ff., 274 pp., 1 f. avec la marque. [Impr. à Alençon]EDITION ORIGINALE tirée à 1000 exemplaires, plus quelques-uns sur Chine.C’est sur ce volume qu’apparaît pour la première fois la nouvelle adresse des éditeurs “97 rue Richelieu et passage Mirès”. Dans sa livraison de la première quinzaine d’octobre 1860 La Revue anecdotique annonçait : “L’éditeur Poulet-Malassis, dont la maison à Paris était située jusqu’ici rue des Beaux-Arts, vient de louer une boutique au coin du passage Mirès... On parle beaucoup de la décoration future de cette nouvelle librairie. Les peintres réalistes doivent y peindre des plafonds et des fresques; on cite les noms de Courbet, d’Amand Gautier et autres. On y viendra comme à la Librairie Nouvelle, feuilleter et parcourir les ouvrages nouveaux. Ce sera un centre où l’on se retrouvera, et où l’on apprendra les nouvelles littéraires du jour. La Revue anecdotique ne doute pas du succès de l’entreprise...” Malassis quant à lui est moins optimiste. Dans une lettre adressée le 10 novembre à La Sicotière, il écrit : “Nous avons fait un grand saut. Réussirons-nous? C’est ce que moi-même ne je n’oserais pas affirmer”.Launay 127 - Talvart et Place 85 n°23 - Carteret II, 42 - Vicaire VII, 784LECONTE DE LISLE (Charles-Marie-René Leconte, dit)Né à Saint-Paul (Ile de la Réunion) le 22 octobre 1818, mort à Voisins près de Louveciennes le 17 juillet 1894. Le maître de l’Ecole Parnasienne a publié trois livres chez Poulet-Malassis. Il a fréquenté plusieurs auteurs de l’écurie Malassis, en particulier Baudelaire « dont il demeura l’ami sans trop de lacunes ni de heurts, malgré l’esprit un peu cynique et les blessantes fanfaronnades de ce méphistophéliste » (Calmettes. Leconte de Lisle et ses amis p. 77).
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1861 ; in-12, broché, sous couverture jaune muette de l’éditeur. 2 ff., 274 pp., 1 f. avec la marque. [Impr. à Alençon]C’est une couverture de Malassis pour un autre livre, dont on a ici utilisé le verso.EDITION ORIGINALE tirée à 1000 exemplaires, plus quelques-uns sur Chine.C’est sur ce volume qu’apparaît pour la première fois la nouvelle adresse des éditeurs “97 rue Richelieu et passage Mirès”. Dans sa livraison de la première quinzaine d’octobre 1860 La Revue anecdotique annonçait : “L’éditeur Poulet-Malassis, dont la maison à Paris était située jusqu’ici rue des Beaux-Arts, vient de louer une boutique au coin du passage Mirès... On parle beaucoup de la décoration future de cette nouvelle librairie. Les peintres réalistes doivent y peindre des plafonds et des fresques; on cite les noms de Courbet, d’Amand Gautier et autres. On y viendra comme à la Librairie Nouvelle, feuilleter et parcourir les ouvrages nouveaux. Ce sera un centre où l’on se retrouvera, et où l’on apprendra les nouvelles littéraires du jour. La Revue anecdotique ne doute pas du succès de l’entreprise...” Malassis quant à lui est moins optimiste. Dans une lettre adressée le 10 novembre à La Sicotière, il écrit : “Nous avons fait un grand saut. Réussirons-nous? C’est ce que moi-même ne je n’oserais pas affirmer”.Launay 127 - Talvart et Place 85 n°23 - Carteret II, 42 - Vicaire VII, 784LECONTE DE LISLE (Charles-Marie-René Leconte, dit)Né à Saint-Paul (Ile de la Réunion) le 22 octobre 1818, mort à Voisins près de Louveciennes le 17 juillet 1894. Le maître de l’Ecole Parnasienne a publié trois livres chez Poulet-Malassis. Il a fréquenté plusieurs auteurs de l’écurie Malassis, en particulier Baudelaire « dont il demeura l’ami sans trop de lacunes ni de heurts, malgré l’esprit un peu cynique et les blessantes fanfaronnades de ce méphistophéliste » (Calmettes. Leconte de Lisle et ses amis p. 77).
Paris, Alphonse Lemerre, coll. « Œuvres de Leconte de Lisle » 1900 In-16 16,5 x 9,5 cm. Reliure demi-maroquin bleu-marine à coins, filets dorés, dos à nerfs ornés de roulettes et encadrés de fers dorés, tête dorée, vignette de marque au titre, 317 pp., table.
Bon état d’occasion
HÉSIODE - THÉOCRITE / - LECONTE DE LISLE ( Charles Marie ).Traduction nouvelle par
Reference : 41209
Paris Alphonse Lemerre, Editeur 1869 in 8 (24x15,5) 1 volume broché, couverture rempliée imprimée, 142 pages [1], non rogné. Charles Marie Leconte de Lisle. Edition originale de cette traduction. Tirage limités à 135 exemplaires numérotés et paraphés par l'éditeur, celui-ci un des 100 exemplaires imprimés sur papier de Hollande. Bel exemplaire, exempt de rousseurs ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché Ed. numérotée
Lons-Le-Saunier, 1869. In-12 reliure demi maroquin, dos à filets, nom d'auteur et titre dorés. Coll. " Illustrations jurassienne ". Biographie de l'auteur de La Marseillaise en 1792, adopté comme hymne national de la République française le 14 février 1879. E.O.
Partitions sur la Révolution Française Rouart,Lerolle 1890 approx.
Très bon état Petit format
[Abrioux ] - - Marcus,Méhul,Rouget De Lisle,Dessaix Antony,Van Campenhout François,Bérat Frédéric - Rouget De Lisle,Dessaix Antony,Bérat Frédéric,Chenier Marie-Joseph,Marcus
Reference : 99231
(1944)
Partitions sur la Seconde guerre mondiale Marcus 1944 approx.
Bon état Grand format Accordéon
0 Lettre autographe signée au propriétaire d'un " journal dont le titre m'effraie un peu " 2 feuillets in12 , signée , datée du 15 Aout 1883. Extrait : " Monsieur , je vous remercie de l'aimable lettre que vous me faites l'honneur de m'adresser , et je serai heureux de vous etre agréable en retour des sympathies que vous voulez bien me témoigner , mais je désirerais lire au moins un numéro de votre journal dont le titre m'effraie un peu , avant de vous rien promettre . " Charles Leconte de Lisle ( 1818/1894) fut le chef de fil de la poésie Parnassienne .
Bon
[Clérice Frères ] - - Méhul,Rouget De Lisle,Van Campenhout François,Yenko Daoorine,Lvow Alexis,Carey Henry - Rouget De Lisle,Rogier Charles,Chenier Marie-Joseph,Carey Henry,Georgévitch Yovan
Reference : 77798
(1914)
Partitions sur la Première guerre Mondiale Librairie Hachette 1914
Bon état Petit format Piano
Leconte de Lisle Charles-Marie Institut de France Académie française
Reference : 007461VPJB
ISBN : B001D814M6
Impr. de Firmin-Didot Broché D'occasion état correct 01/01/1887 64 pages