Thèse. Bordeaux. Destout. 1937. In-8 br.78pp. dont 4 de biblio. (2).
L'auteur, né à Nouméa en 1911, après un assez large aperçu historique et social, nous donne une intéressante étude sur une médecine qui n'arriva jamais à se défaire complétement des pratiques mystiques qui, dans les débuts, en constituaient la presque totalité. Ceci parce que les médecins eux-mêmes sont imbus des principes d'une religion polythéiste, parce que leur théorie de la possession démoniaque subsiste jusqu'à la chute de Babylone et même, déformée, lui survit.