Editions Philippe Picquier 2013 2013. Exemplaire en très bon état voir photo
Kenzaburo Oe, René de Ceccatty (Traduction), RYOJI Ryôji Nakamura (Traduction)
Reference : 128312
(1989)
ISBN : 2070717399 9782070717392
Gallimard, coll. « Du Monde Entier » 1989 In-8 broché 20,6 cm sur 14,0. 352 pages. Bon état d’occasion.
Bon état d’occasion
1995 Gallimard nrf, Du monde entier Broché, 264p. Bon état, quelques mots en première page.
Phone number : 04 76 97 79 28
1 volume in-8° broché, 344 p., couverture un peu jaunie sinon très bon état d'occasion.
Phone number : 06.31.29.75.65
Editions philippe picquier 2013 20x13x4cm. 2013. Broché. 475 pages. Très Bon Etat
Paris, Gallimard, 1993. 14 x 21, 468 pp., broché, très bon état.
Traduit du japonais par René de Ceccatty et Ryôji Nakamura.
Kodansha International Ltd. 1974. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 274 pages.. . . . Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
Awarded The Tanizaki Prize. A powerful novel from the author of 'A Personal Matter'. Classification Dewey : 420-Langue anglaise. Anglo-saxon
GALLIMARD. 1995. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 344 pages - ACHEVE D'IMPRIMER LE 03 JANVIER 1995 - annotations à l'encre n'altérant pas la lecture - 1 trace d'autocollant sur le 1er plat. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Traduit du japonais par René de Ceccatty et Ryôji Nakamura - Roman - Du monde entier Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
GALLIMARD. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 344 pages - ACHEVE D'IMPRIMER LE 16 JANVIER 1985 -. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Traduit du japonais par René de Ceccatty et Ryôji Nakamura - Roman - Du monde entier Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
GALLIMARD. 1995. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 258 pages - ACHEVE D'IMPRIMER LE 30 JANVIER 1995 - annotations à l'encre n'altérant pas la lecture - 1 trace d'autocollant sur le 1er plat. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Traduit du japonais par Anne Bayard-Sakai - Roman - Du monde entier Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
GALLIMARD. 2017. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 189 pages - EX LIBRIS en page de titre -. . . . Classification Dewey : 895-Littérature d'Asie
TRADUIT DU JAPONAIS PAR RENE DE CECATTY ET RYOJI NAKAMURA Classification Dewey : 895-Littérature d'Asie
Gallimard. 05-1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 343 pages.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Paris, Gallimard 2001, 185x115mm, 96pages, broché. Exemplaire à l'état de neuf.
Oé Kenzaburô Mariko Ozaki Quentin Corinne
Reference : 24073
(2014)
ISBN : 9782809710465
Philippe Picquier 2014 380 pages 20x13x3cm. 2014. Broché. 380 pages.
french édition - Hors mis quelques très légères marques de stockage l'ouvrage ne présente aucune marques de lecture et est du reste comme neuf. - Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis France
Oé Kenzaburô Mariko Ozaki Quentin Corinne
Reference : 25520
(2014)
ISBN : 9782809710465
Philippe Picquier 2014 380 pages 20x13x3cm. 2014. Broché. 380 pages.
French édition -le livre présente des petites marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état d'ensemble - Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis la France
Gallimard. " Arcades ". 1996. In-8° broché. 230 pages. E.O. française.
Envoi autographe de Kenzaburô Ôé (en français et en japonais). Très bon état.
PICQUIER EDITIONS
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782809710465
Par l'auteur, s.l. 1988, 22x22cm sur papier Ilford 30x40cm, une feuille.
Grand portrait photographique original en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris, le musée de l'Elysée à Lausanne et le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. Les photographie des grandes personnalités de son époque que Marc Trivier réalise ne cherchent pas à montrer l'image publique de ces artistes. Prises de face, avec un regard dirigé vers l'objectif, elles nous montrent une image d'intimité: «(...) au lieu d'être un portraitiste d'écrivains et d'artistes parmi tant d'autres, il se marginalise par son dispositif: sous prétexte de réglages, il fait attendre ses modèles, il les fait poser plusieurs minutes ce qui leur donne un air las. Il attend peut-être un comportement plus naturel. Et on se retrouve face à Francis Bacon en équilibre précaire, Samuel Beckett, Jean Dubuffet ou encore Michel Foucault plus ou moins tassés sur leur chaise. Des images intimes.» (Sylvie Rousselle-Tellier, «Une image de fatigue chez Marc Trivier », Marges 2004). Photographiés dans leur univers personnel, la plupart du temps leur chambre, les sujets s'abandonnent, ne maitrisent plus leur image. Le déséquilibre qui en résulte révèle les fragilités de ces personnalités si fortes, etpermet à Trivier de restituer l'unité du corps intime et de l'uvre publique. «Je lisais Genet; pour moi Genet, c'était des lettres sur un livre. Et puis un jour j'ai vu son portrait, il y a eu comme une fracture. Comment était-il possible que ces signes soient aussi quelqu'un? Faire un portrait, c'est ressouder le nom et le visage.» (Marc Trivier). Plus qu'un portrait, chaque photo est le témoignage d'un échange entre le sujet et l'artiste, d'un instant de vie réelle. La présence du photographe est sensible dans chacun des portraits que réalise Trivier: « Ce qui m'intéressait, ce n'était pas de photographier simplement un corps ou un visage, mais cette situation particulière qui est quelqu'un en train de faire la photo de quelqu'un d'autre. » (Marc Trivier). - Photos sur www.Edition-originale.com -