Editions de l'Aube, collection Cuisines migrantes, 1994. In-8 broché, couverture illustrée. En belle condition.
"Les délices de l'aubergine, douce aux palais délicats, racontée par un écrivain de talent. Un beau récit plein de fraternité et d'émotion. Dans la préface, les pérégrinations de l'aubergine servent de toile de fond à une très belle histoire d'amour (...). Etonnant et succulent. L'aubergine a une histoire et Nina Kehayan nous la conte joliment. De quoi faire saliver les gourmands. Un excellent livre de recettes. Le trajet personnel même de Nin KEHAYAN la prédisposait à écrire sur ce "caviar du pauvre" qui, au Sud, régale aussi bien le riche que le démuni." * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier de livre jusqu’à mi-décembre au plus tôt. Si vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
Seuil Broché D'occasion bon état 01/11/1978 221 pages
Editions France Loisirs 1979 15x21x2cm. 1979. Relié jaquette. 222 pages. Bon Etat intérieur propre jaquette frottée sur ses bords
Seuil, 1978, in-8°, 222 pp, broché, couv. illustrée, qqs rares annotations stylo, bon état
Témoignage désabusé et critique sur l'Union soviétique de deux anciens militants communistes. Tout a commencé par une histoire d'amour pour un pays, pour un peuple. Communistes français, Nina et Jean Kéhayan sont partis travailler en URSS, au service du PCUS, de 1972 à 1974. Pendant sept cents jours, avec leurs deux jeunes enfants, ils ont partagé intensément la vie quotidienne des Soviétiques. Revenus en France, ils ont voulu témoigner : la course folle aux produits de toutes sortes, la paupérisation sexuelle, l'alcoolisme, l'enfance livrée à la propagande, le parti-réducteur-de-têtes... mais aussi l'autodéfense individuelle et puis encore, lointaines, colorées, vivaces, les terres de Russie, de Géorgie, d'Arménie. Une dénonciation des mensonges colportés pendant des décennies par le parti communiste français sur la vraie nature de l'Union soviétique. — Deux communistes français en URSS. "Pour y aller, c'est très simple. Tu prends le métro à Kirov, après Marx tu changes à Place-de-la-Révolution, tu descends à Maïakovski, puis laissant derrière toi l'hôtel Pékin, tu longes la ceinture des jardins sur le trottoir qui fait face à l'ambassade du Chili, et tu tournes à gauche dans la rue du Prolétaire rouge, celle qui se trouve avant le théâtre de marionnettes d'Obreztsov. Impossible de te tromper. Il n'y a qu'un restaurant." Un restaurant de Moscou. Les touristes n'y mettent jamais les pieds. On est ici entre Soviétiques, et l'on peut parler à cœur ouvert. Dans le calme. Le juke-box, en panne, ne risque pas de couvrir les voix. Travaillant en URSS au service du PCUS, Nina et Jean Kéhayan s'y rendent à la moindre occasion pour discuter avec des Russes, des Arméniens, des Juifs des Ouzbeks et tant d'autres... Communistes français, ils partagèrent intensément la vie quotidienne des Soviétiques. Pendant sept cents jours. Avec leurs deux enfants. Aujourd'hui, préoccupés de l'enjeu démocratique en France, ils témoignent. La course folle aux produits de toutes sortes, la paupérisation sexuelle, I'alcoolisme, I'enfance livrée à la propagande, le parti-réducteur-de-têtes... mais aussi l'autodéfense individuelle... et, lointaines, colorées, vivaces, les terres de Russie, de Géorgie, d'Arménie... Leur livre impose une vision sans précédent de l'Union soviétique. Pourtant, tout avait commencé pour eux par une histoire d'amour pour un pays, pour un peuple. (4e de couverture)
1980 1980. Nina et Jean Kéhayan: Rue du Prolétaire Rouge/ France Loisirs 1980
Bon état
Seuil, 1988, in-8°, 126 pp, broché, couv. illustrée, bon état
Que se passe-t-il dans l'Union soviétique d'aujourd'hui ? Peut-on entrevoir une possibilité de renouveau dans une société monolithique où parti unique et pouvoir d'État se confondent ? A ces questions qui pouvait mieux répondre que Nina et Jean Kéhayan ? Dix ans après leur livre « Rue du prolétaire rouge », qui avait levé un coin du voile sur le naufrage de l'ère Brejnev, ils ont obtenu un visa et sont retournés voir les amis dont ils avaient partagé la vie deux ans durant avec leurs enfants. De Khabarovsk à Irkoutsk, dans les gares, les marchés, les rues, les Soviétiques d'aujourd'hui leur ont parlé en toute confiance. Parce que, si les magasins sont toujours aussi mal approvisionnés, la parole, elle, a pris des airs de liberté. Le chantier de la place Rouge nous restitue au quotidien ce que les Soviétiques espèrent et ce qu'ils redoutent. Ces témoignages ne coïncident pas toujours avec ce que croit l'Occident.
Seuil, 1995, in-8°, 183 pp, broché, couv. illustrée, bon état
Nina et Jean Kehayan ont été interdits de séjour en URSS pendant dix ans après la publication de “Rue du Prolétaire rouge”. Leur témoignage sur deux années passées à Moscou avait suscité débats et polémiques, en particulier au sein du PCF dont ils étaient membres. En 1988, ils reçoivent enfin un visa et retournent régulièrement en Russie. En 1994 : ils acceptent l'invitation de passer l'été dans une isba du village de Lieskovo. Là, accueillis dans une famille amie, ils vont partager la vie de ceux qui hier encore s'appelaient des kolkhoziens. Ils en rapportent un livre inattendu qui, à travers les conversations, les rencontres, les promenades, les confidences, dresse le portrait d'un peuple désemparé par les récents bouleversements. Un peuple qui malgré tout retrouve les réflexes et la solidarité que l'histoire tumultueuse n'a pas entamés. La mémoire des babouchkas, les récits de l'ère stalinienne, des déportations, de la guerre. Et une pointe de nostalgie pour la Russie «d'avant». Confidences aussi de jeunes sans avenir, du président de l'ex-kolkhoze qui a perdu de sa morgue mais conservé ses pouvoirs. Etonnants dialogues avec un fougueux tractoriste, partisan de Jirinovski ; avec les femmes qui évoquent le soir sur les bancs les derniers épisodes de «Santa Barbara». Et les hommes qui boivent et boivent encore, et la statue de Lénine, et la vieille église de briques, rescapée des pioches révolutionnaires. Tout un monde, loin des villes, loin des gangs, raconte la vraie Russie d'aujourd'hui.
AUBE EDITIONS -DE L'-
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782815949248
La Tour d'Aigues, Éditions de l'Aube, 1990, in-8, br., 110 pp. (S2B62B)
Envoi de l'auteur.
Couverture souple. Broché. 223 pages.
Livre. Editions du Seuil, 1978.
Couverture souple. Broché. 223 pages.
Livre. Editions du Seuil, 1978.
Editions Du Seuil broché Bristol illustré Paris 1980 Exemplaire de bibliothèque 2.02.005586.4
Très Bon État
Editions Du Seuil broché Bristol illustré Paris 1980 159 pages en format grand -8
Très Bon État
Editions Du Seuil - Collection Points Actuels broché Bristol illustré Paris 1980 221 pages en format -12
Très Bon État
France Loisirs Jaquette en très bon état Paris 1979 222 pages en format -8 - reliure rigide en percaline rouge avec titres en blanc
Très Bon État
Paris, Editions du Seuil, 1981. 14 x 20, 192 pp., broché, bon état.
L'Aube. 1990. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 118 pages.. . . . Classification Dewey : 958-Asie centrale
'Regards croisés', dir. par Jean Viard. Classification Dewey : 958-Asie centrale