Grez-Doiceau, Beya Editions, N°11 de la Collection Beya, 2011, 306 pp., 12 ill. n&b, 8 ill. couleur, rel. cartonnée cousue, livre neuf.
Le lecteur trouvera dans le présent cahier une série d'articles consacrés aux oracles issus de diverses grandes traditions : égyptienne, chaldéenne, grecque, romaine, juive, chrétienne, islamique, humaniste,
Beya Editions Grez-Doiceau 2012 Grand et fort in-8 carré ( 235 X 165 mm ) de 1099 pages, cartonnage crème à la bradel. Illustrations dans le texte. Très bel exemplaire.Les commentaires sur le grand Homère sont légion, cependant très inégaux en qualité. Les débordements littéraires et superficiels ont achevé de transformer jusquà nos jours sa momie pour en faire le splendide ornement de salon que nous connaissons.Selon Anatole France, « à lheure actuelle, nous nentendons pas un seul vers de lIliade [...] dans le sens qui y était attaché primitivement ». Qui se souvient encore de la définition de Rabelais : « Homère, père de toute philosophie » ?« Il faut donc envisager dans les ouvrages dHomère [...] un sens hiéroglyphique ou allégorique, qui voile les plus grands secrets de la physique et de la nature. Les seuls philosophes naturalistes, et ceux qui sont au fait de la science hermétique par théorie bien méditée, ou par pratique, sont en état de le comprendre. Ils admirent dans ses ouvrages mille choses qui les frappent et les saisissent dadmiration, pendant que les autres les passent et nen sont point touchés. » ( A.-J. Pernety )Seul est habilité à commenter valablement le texte dHomère celui qui a saisi la vérité cachée derrière les dires menteurs de sa mythologie.« Il sagit le plus souvent dun enseignement dordre physique, et Proclus, définissant linterprétation allégorique, déclare que lon y fait des phénomènes physiques lobjet dernier des significations cachées dans les mythes. Mais la théologie y trouve aussi sa place. » ( J. Pépin )Le lecteur trouvera, dans le présent ouvrage, un très large éventail des commentaires les plus intéressants sur luvre dHomère, principalement orientés vers le sens physique et théologique de ses poèmes.En empruntant à Porphyre, pour intituler ce florilège, lexpression « questions homériques », nous entendons lui rendre son titre de noblesse. Il ne sagit pas tant de savoir si lIliade et lOdyssée sont luvre dun seul poète ou de plusieurs, ni si le nom dHomère sapplique à un personnage historiquement existant ou non, que de percevoir lintention de lauteur dans tel vers ou tel passage.
Grez-Doiceau, Beya éditions, n°12 de la collection Beya, 2012, fort in-8°, lxxxviii-1099 pp., fig. en n&b dans le texte. Rel. de l'éditeur. Livre neuf.
Le lecteur trouvera, dans le présent ouvrage, un très large éventail des commentaires les plus intéressants sur luvre dHomère, principalement orientés vers le sens physique et théologique de ses poèmes. En empruntant à Porphyre, pour intituler ce florilège, lexpression « questions homériques », nous entendons lui rendre son titre de noblesse. Il ne sagit pas tant de savoir si lIliade et lOdyssée sont luvre dun seul poète ou de plusieurs, ni si le nom dHomère sapplique à un personnage historiquement existant ou non, que de percevoir lintention de lauteur dans tel vers ou tel passage. Plus d'info. sur le site Beya éditions.
Grez-Doiceau, Beya éditions, n° 18 de collection Beya. 2015. Fort in-8°, xi-653 pp., qqs ill. n&b et couleurs dans le texte. Rel. d'éditeur. Livre neuf.
Dans La Table dor (1617), la Chimie invite douze nations à un banquet. Leurs principaux représentants (Hermès Trismégiste, Marie la Juive, Démocrite, Morien, Avicenne, Albert le Grand, etc.) y font tour à tour lapologie de leur vénérable hôtesse, souillée par les incessantes attaques des orgueilleux et des ignorants. Il appartient au lecteur, avec laide dIsis, de récolter, de rassembler et de réunir, dans cette fresque impressionnante dérudition, les enseignements les plus précieux que lauteur y a éparpillés.
Grez-Doiceau, Beya éditions, n°20 de la collection. 2016. In-8°, 168 pp., 54 ill. n&b. et une en couleurs. Rel. d'éd. Neuf.
Il y a un siècle, en avril 1917, on découvrit près de la Porta Maggiore à Rome une basilique souterraine datant de lAntiquité. « Les murs, les voûtes, labside et sa conque et jusquaux parois des pilastres sont ornés de bas-reliefs en stuc, de leffet le plus saisissant. » (J. Hubaux)« Lesprit reste presque partout confondu par le merveilleux état de conservation de ces uvres fragiles. [...] Aux murs de la basilique de la Porte Majeure se déploie le triomphe des stucateurs romains. » (J. Carcopino). Tout porte à croire que le monument fut érigé vers 25 ou 20 avant J.-C., cest-à-dire au début du règne de lempereur Auguste. Or puisque tous les stucs représentent des scènes de lÉnéide de Virgile et sont contemporains de lépoque où celui-ci composait sa célèbre épopée (entre 27 et 19 avant J.-C.), il est évident que le poète était lui-même directement impliqué dans la décoration de lhypogée, dautant plus que chaque image colle au plus près au passage du poème quelle illustre. Le monument confirme dailleurs lanalyse de nombreux philologues qui voient dans lÉnéide une succession de véritables tableaux peints ou sculptés, réunis dans un ensemble architectural. Le présent ouvrage cherche à montrer en quoi les scènes de lhypogée constituent un commentaire, souvent surprenant, mais très précis, du texte de lÉnéide, commentaire dautant plus précieux et révélateur quil remonte à lauteur même de lépopée.
Beya Editions Grez-Doiceau 2011