Paris, Editions du temps, 1936. In-8° broché, 6 + 253 pages.Portrait frontispice. non coupé,
correct
Paris Editions A. et J. Picard 1934 in 8 (25x16) 1 fort volume broché, 582 pages [1]. Edmond Faral, membre de l'Institut et Julia Bastin, membre de l'Académie royale de Langue et Littérature française de Belgique. Fondation Singer-Polignac. Tome 1 seul. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Broché Ed. originale
Edmond Ortigues, Monique Schneider, Octave Mannoni, Julia Kristeva, Geneviève Haag, Collectifs
Reference : lc_92191
DENOEL (22 mars 1984)
Broché, très bel état.
P., Picard, 1969, 2ème tirage, 2 vol. gr. in-8, br., 582-350 pp., glossaire, index. (SD71F)
Paris, Picard 1959-1960 Complet en 2 tomes: 582 + 349pp., 25cm., brochures originales, publié par la Fondation Singer-Polignac, bon état, Y107746
Picard Paris Picard 1976, 2 volumes grands et forts In-8 brochés, 582 + 349 pages. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
1977, Éditions A et J. Picard, fondation Singer-Polignac, in-8 brochés de 348 + 582 pages, Oeuvres complètes de Rutebeuf, 4ème tirage | Etat : bon état, tranches piquées, annotations au crayon (Ref.: ref90681)
Éditions A et J. Picard
Paris, Editons A. et J. PICARD, 1977; in-8, 582-349 pp., broché (dos un peu bruni tache, . Les 2 volumes. Bon état.
Bon état.
Picard Fondation Singer Polignac / Picard 1977, grand et fort In-8 broché, 582 pages. Parfait état.
L'EGLISE, LES ORDRES MENDIANTS ET L'UNIVERSITE - LES CROISADES - POEMES DE L'INFORTUNE. Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
GONCOURT (Edmond de) écrivain français né à Nancy en 1822 et mort à Champrosay dans l’Essonne, en juillet 1896, dans la maison de Julia et Alphonse Daudet. Fondateur de l’Académie Goncourt.
Reference : 68C30
Intéressante lettre relative à leur roman paru en 1865, chez l’éditeur Charpentier. Lettre écrite conjointement avec son frère Jules. « Nous venons vous remercier de l’indulgence que vos sévérités ont eu pour Germinie Lacerteux. Vos critiques nous ont fait trop d’honneur et vos réserves nous ont témoigné trop d’estime pour que nous ne soyons pas vos très parfaitement obligés ».