Paris,1873 Garnier IN12 broche, bon etat.
L'auteur fut le chef de l'opposition republicaine a Napoleon III. Table : de l'influence des moeurs sur la litterature - de l'avenir de l'enseignement populaire - de l'amour de sa profession - de l'inegalite des conditions sociales - les devoirs civiques - discours prononce a l'inauguration des cours normaux de la societe pour l'instruction elemantaire - discours de reception a l'academie francaise.
Jules Favre (1805-1880), avocat, homme politique. P.A.S., Paris, mardi 5 décembre 1843, 1p in-8 oblong. Reçu de 100 francs pour sa plaidoirie dans l'affaire Fabre contre Bérard, payée par Guignard, administrateur de la succession Bérard. [304]
1885 Paris, Garnier frères, 1885 - Edition Originale - In-8 - Reliure 1/2 toile - Dos lisse, titre doré - 447 pages - Ex-libris-cachet Paul Damagnez - fortes rousseurs par endroit - envoi rapide et soigné
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Lithographie format 37,5 x 25,5 cm marges comprises - Paris - imprimerie Lemercier - Vers 1880 -
Avec une notice biographique et un autographe en fac-similé - ensemble extrait du Panthéon des Illustrations françaises du XIXéme siècle -
Lithographie format 37,5 x 25,5 cm marges comprises - Paris - imprimerie Lemercier - Vers 1880 -
Avec une notice biographique et un autographe en fac-similé - ensemble extrait du Panthéon des Illustrations françaises du XIXéme siècle -
4 pages en 2 feuillets in8 - 25,5x16 cm - ensemble extrait du Trombinospe par Touchatout vers 1870 -
J. HETZEL ET CIE. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 384 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
LIBRAIRIE GENERALE DE VULGARISATION, A. DEGORCE. NON DATE. In-4. Broché. A relier, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 475 pages. Portrait en frontispice et quelques gravures en noir et blanc hors texte. Manque au dos coupé. Premier plat et quelques cahiers détachés.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
LIBRAIRIE GENERAL DE VULGARISATION. non daté. In-12. Broché. A relier, Tâchée, Dos abîmé, Intérieur frais. 471 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
HENRI PLON. 1872. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 528 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Paris, E. Dentu, 1864. un vol. br. de 189 pages. Petit manque de papier sur le premier plat de la couverture, sans atteinte au texte.
1873 Garnier frères libraires éditeurs reliure demi cuir, 4 nerfs, titre doré sur le dos. Quelques rousseurs, un accroc sur le dos, néanmoins reliure solide, bon état.
L'auteur fut le chef de l'opposition républicaine à Napoléon III. Table : de l'influence des moeurs sur la littérature - de l'avenir de l'enseignement populaire - de l'amour de sa profession - de l'inégalité des conditions sociales - les devoirs civiques - discours prononcé à l'inauguration des cours normaux de la société pour l'instruction élémantaire - discours de réception à l'académie française.
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Ed. Félix Alcan, 1888, 362pp. In-8, état correct, des rousseurs sur nombreuses pages, intérieur frais , couverture abîmé.
Hors frais d'expédition en France métropolitaine (tarifs compétitifs). Supplément tarifaire à prévoir pour expédition UE et hors-UE : NOUS CONTACTER. Expédition du livre à réception d'un paiement par chèque ou virement. Achat ou retrait possible en magasin.
Sanard et derangeon 1893 in4. 1893. reliure demi-maroquin a coins. 480 pages. Très Bon Etat
Calmann levy 1965 in8. 1965. Broché. 348 pages. Très Bon Etat
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-chagrin carmin, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), qqs rousseurs sur les premiers et derniers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que le pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai le maître. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention des catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siège ; Nomination d'un ambassadeur à Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des évêques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des Affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des Affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siège, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Plon, 1871, gr. in-8°, 432 pp, pièces justificatives, reliure demi-percaline bordeaux à la bradel, dos lisse orné d'un fleuron et d'un double filet doré en queue (rel. de l'époque), pt trace de mouillure au coin des 10 premiers feuillets, bon état
"Le volume que nous donne aujourd'hui M. Jules Favre a trait surtout à son rôle comme ministre des affaires étrangères vis-à-vis de la papauté et de l'Italie, au sujet de Rome. Le livre, tel qu'il est, a provoqué une trés vive irritation dans la presse religieuse contre M. Jules Favre. Les injures n'ont point été ménagées à l'auteur, qui, malgré de grandes faiblesses et des fautes que l'avenir jugera, n'en restera pas moins une des figures remarquables de ce temps, et l'un des hommes dont notre pays s'honorera. Certain parti aurait sans doute voulu qu'à lui seul, tandis que toute l'Allemagne nous écrasait, et que chaque puissance se désintéressait de la question du pouvoir temporel, M. Jules Favre prit sur lui de soutenir la papauté. Il faudrait pourtant que les partisans les plus convaincus du pouvoir temporel se donnassent la peine de constater, d'après les documents publiés par M. Jules Favre, qu'aucun ministre en Europe ne s'est avisé de penser que Je pouvoir temporel dût être maintenu, et que tous ont été de l'avis de M. d'Anethan, ministre de Belgique, qui déclarait à M. de Barral « qu'absolument parlant, le pouvoir temporel n'était pas d'une nécessité indispensable au Saint-Siège pour remplir sa mission dans le monde ». M. Jules Favre a donc été en droit de conclure de ce jugement unanime porté sur le pouvoir temporel que le principe de la domination temporelle des papes avait « fait son temps », et de déclarer que le gouvernement français devrait s'en tenir à ces deux résolutions : la première, de n'intervenir (ni directement, ni indirectement) dans un but d'action quelconque ayant pour but le rétablissement du pouvoir temporel ; – et la seconde, de continuer près du saint-père le rôle de protecteur respectueux de sa personne et de sa liberté religieuse. Le souverain pontife lui-même parait avoir accepté d'ailleurs le sacrifice que lui imposait la nécessité des temps. On lit, en effet, dans une dépêche du comte d'Harcourt, notre ambassadeur à Rome, cette réponse que lui fit le saint-père : « La souveraineté n'est pas à rechercher dans des temps comme ceux-ci : je le sais mieux que personne. Tout ce que je désire, c'est un petit coin de terre où je serai je maitre. Si l'on m'offrait de me rendre mes États, je refuserais, mais tant que je n'aurai pas ce petit coin de terre, je ne pourrai exercer dans leur plénitude mes fonctions spirituelles. » Ce sont là des paroles très dignes d'attention puisqu'elles sont rapportées par M. d'Harcourt, dont les sentiments de vénération pour le souverain pontife ne peuvent être mis en doute. Dès lors il faut espérer qu'elles n'échapperont pas à l'attention dus catholiques français, et qu'ils s'en inspireront pour comprendre qu'ils nuiraient à nos intérêts les plus considérables en poursuivant la restauration du pouvoir temporel, alors même que le pape déclare que si l'on offrait de lui rendre ses États, il les refuserait." (La Revue politique et littéraire, 11 novembre 1871) — Table : But de cet écrit ; Déclaration du ministre des affaires étrangères à M. Nigra, après le 4 septembre1870 ; L'Empire et le Concile ; L'Empire retire les troupes françaises au moment de la guerre ; Rome et le gouvernement du 4 septembre. – Entrée des Italiens à Rome ; Conduite du gouvernement français après la prise de Rome ; Rome et le gouvernement de M. Thiers ; Propositions d'une conférence repoussées par le gouvernement français ; Protection accordée au Saint-Siége ; Nomination d'un ambassadeur a Rome – M. le comte d'Harcourt ; Translation de la capitale à Rome – Instructions données à notre ministre à Florence ; Pétitionnement des éveques. – Discussion à l'Assemblée. – Renvoi des pétitions au ministre des affaires étrangères ; Nomination de M. de Rémusat au poste de ministre des affaires étrangères ; Conséquence du vote de l'Assemblée ; Conduite à tenir envers l'Italie ; Conduite à tenir envers le Saint-Siége, et conclusion. – 20 Pièces justificatives (pp. 303-430).
Jules Favre recommande chaleureusement Mademoiselle Montpellier auprès d'un ministre ...Je suis heureux de pouvoir donner à Mademoiselle Montpellier un témoignage spécial de l'intérêt que je lui porte en vous disant par ces quelques lignes qu'elle appartient à une honorable famille qu'elle soutient par son travail, elle est aussi distinguée par son talent que recommandable par son caractère, elle a déjà obtenu des travaux du département des beaux-arts, aujourd'hui elle vous serait très reconnaissante si en lui en accordant vous pouviez l'envoyer en Italie...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.(*) Jules Favre fait peut-être référence à l'artiste peintre Albertine Montpellier qui exposa des portraits au Salon de Paris en 1868 et 1870.
Jules Favre explique pourquoi il n'a pu rendre visite à son ami ...J'attendais, j'attends encore d'être officiellement relevé de la fonction de plus en plus pénible où me laisse mon colonel. Il me promet que ce sera demain, alors je serai sorti de la position fausse où je suis retenu. [...] Mais je ne veux pas tarder à vous dire combien je vous suis reconnaissant d'être resté au ministère - vous y êtes en croix, et moi grâce à dieu je suis au tombeau... Jules Favre revient ensuite sur le contexte politique ...Je pousserai la gauche à provoquer une solution dans le sens que vous connaissez, nous avons déjà trop attendu. L'humanité, le droit et l'intérêt crient ensemble, restés sourds serait manquer de conscience et de bons sens... Il ajoute ensuite ...une vieille amie à moi m'a apporté dimanche de beaux vers, de très beaux vers, faits par un vieil ami à elle. Elle voudrait les lire à la cérémonie du 6, car il parait qu'il y a un festival pour ce jour-là, ces vers sont une attaque véhémente à la commune ! (...) dites moi donc si vendredi dans la matinée ou dans l'après-midi, Madame Nelly (Marie Dupuy) pourrait aller vous faire cette lecture qui durera 10 minutes et vous fera certainement plaisir...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules FAVRE prie le maire de ...vouloir bien vous trouver aujourd'hui 20 janvier à deux heures au ministère des affaires étrangères pour affaires urgentes...Deux jours avant la date de ce courrier, dans la galerie des Glaces au château de Versailles, le roi de Prusse est proclamé empereur des Allemands. Le 20 janvier, le gouvernement se résout à demander un armistice qui sera finalement signé une semaine plus tard. C'est sans doute pour cette réunion que Jules Favre convoque son correspondant. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
S.l.n.d. : ...Nous avons lu votre remarquable consultation et nous venons vous remercier d'avoir donné la formule légale des répugnances que ressent et qu'exprime si justement la population Parisienne contre la mutilation d'un jardin qui ne choque pas moins les convenances municipales que les principes de notre droit public...11 janvier 1871 : Jules Favre vient de recevoir une communication d'Angleterre qui l'oblige à prendre immédiatement un parti. Il demande à jules Simon ...Je vous prie donc d'en venir délibérer avec moi aujourd'hui à 6 heures au Ministère des Affaires Etrangères... Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre accuse réception des renseignements adressés par son correspondant ...sur le département de l'Oise et les demandes de mutations de différents Maires et Adjoints de ce dept... Il en a donné connaissance au Commissaire du gouvernement près de ce département. Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Ministre des Affaires Etrangères dans le gouvernement de la Défense Nationale, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre informe son ami ...J'ai été très souffrant cette nuit et le suis encore, on me défend de sortir cependant j'irai je l'espère ce soir au conseil. Mais je serais bien aise de causer avec quelques instants avec vous. Si cela ne vous dérange pas, je vous propose de me tenir voir à 5 h. J'avertis Emmanuel et Picard...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851. Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre propose une invitation à son ami ...Si vous êtes libre aujourd'hui à une heure après midi, je vous serais très reconnaissant de venir me voir, je voudrais causer quelques instants. Vous touverez Picard...Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut ardent opposant à l'Empire. Aux cotés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.
Jules Favre fait le point avec son ami quant à leur prochain rendez-vous ...Ferry et Arago viennent chez moi entre onze heures et midi. J'écris à Garnier Pagès, Picard est prévenu. Si vous pouviez amener Pelletan dont j'ignore l'adresse le gouvernement serai au complet moins le général qui est retenu par son service...Après la capitulation de Napoléon III en septembre 1870 et l'abolition de l'empire, le gouvernement provisoire de défense nationale poursuit la guerre en ce mois de janvier 1871, Député Républicain de Paris de 1848 à 1851, Jules FAVRE fut un ardent opposant à l'Empire. Aux côtés de Victor HUGO, il tenta également, en vain, d'organiser la résistance au coup d'état du 21 décembre 1851. Il devint chef du parti républicain en 1863.