Jules Billault, journaliste au Gaulois, L.A.S., Paris, 8 février 1879, 1pœ in-8 (23 lignes). Il se plaint auprès de Scholl du ton employé par Camille Etiévant (1811-1885) dans le Voltaire du matin qui dit notamment « Mais peut-être Le Gaulois n'était-il pas représenté à la séance » alors que Billault y était et que le rédacteur du Voltaire n'était pas là au début. Il dit Etiévant « d'une confraternité douteuse » et précise « Le Gaulois et moi nous avons été toujours gracieux pour le Voltaire ». Beau courrier. [113]