CNRS, 1975, 18,5 x 23, 686 pages sous percaline éditeur imprimée et rhodoïd. Traduit de l'hébreu par G. Nahon, revu et complété par l'auteur. Cartes, tableaux généalogiques, figures et planches. Seconde édition corrigée et complétée.
CNRS Editions, 2000, 2 vol. gr. in-8°, 686 et 618 pp, 2e édition, 36 cartes, 5 tableaux généalogiques, 26 figures, 32 pl. de photos hors texte, biblio, index, reliures toile éditeur, bon état
L'auteur a utilisé l'ensemble des sources latines et orientales pour écrire une monumentale histoire du royaume latin de Jérusalem, depuis sa fondation par Godefroy de Bouillon en 1099 (prise de Jérusalem) jusqu'à la chute d'Acre et de Tyr en 1291. Miné par les rivalités entre croisés, le royaume, conquis par Saladin en 1187-1188, tomba définitivement en 1291 sous les coups des Mamelouks. Cette brillante fresque allie la connaissance fine de l'histoire intérieure du royaume à celle des grands événements internationaux des XIIe et XIIIe siècles. – Aboutissement d'une exploration systématique de toutes les sources disponibles, tant latines qu'orientales, ce gros ouvrage constitue une somme encore inégalée sur l'histoire des croisades et du royaume latin de Jérusalem. L'édifice repose sur une étude attentive de la situation de l'Orient musulman et de l'Occident chrétien à la fin du XIe siècle. Dans ce tableau viennent naturellement s'insérer la prédication et l'organisation de la Première Croisade. Pauvres et riches, piétons et chevaliers prennent la route de Jérusalem, conquièrent la Ville sainte, après mainte souffrance, et y établissent le cœur d'un nouvel Etat progressivement conquis. Le réveil du djihad suscite les Deuxième et Troisième Croisades, inégalement fructueuses. A la fin du XIIe siècle, le redressement du monde latin conduit à l'avènement d'un second royaume, centré sur la ville d'Acre, mais réduit à un liseré côtier. Après les espoirs que font naître Frédéric II puis saint Louis, les Mamlûks prennent le dessus, le royaume se désagrège jusqu'à la catastrophe finale de 1291. La précision du récit événementiel laisse place à de larges échappées sur les institutions et la société des Etats latins, résultat de la première colonisation qu'ait établie l'Occident chrétien en terre étrangère. Tant par l'élégance de son écriture que par la richesse de l'information, l'œuvre de Joshua Prawer reste un monument de granit dans l'historiographie de l'Orient latin.
CNRS, impr. A. Bontemps, Limoges, coll. « Le Monde Byzantin » 1975 2 volumes in-8, pleine toile sous jaquettes rhodoïd, 686 pp., XXIV cartes, 3 tableaux, 13 figures, XVI planches & 618 pp., XII cartes, 2 tableaux, 13 figures, XVI planches.
Seconde édition revue et complété par l’auteur. Traduit de l’hébreu par G. Nahon. Très bon état d’occasion
Paris, Centre National de la Recherche Scientifique 1969-1970 Complet en 2 tomes: 686 + 618pp., avec illustrations dans et hors texte, traduit de l'hébrue par G. Nahon, revue et complété par l'auteur, 23cm., reliures d'éditeur en plein-toile, avec jaquettes transparantes, dans la série "Le monde byzantin", bon état, poids: 3.2kg., X101681
2 volumes in-8° reliés pleine toile. Rhodoïd sur le tome 1 (rhodïd un peu abîmé) pas de rhodoïd au tome 2 au tome 2. 686 p. 618 p. (petites rousseurs sans gravité sur la tranche).
Phone number : 06.31.29.75.65
Londres, 1972 587 p., 16 planches photo. N/B., relié toile. 14,5 x 22
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