Avignon Roumanille 0 In 12 ; demi reliure de chagrin vert, frontispice, 359 pages. Exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur
Avignon Roumanille 1884 In 8 demi reliure de chagrin vert. 55 pages, édition bilingue illustré de 16 estampes de Charles Coumbe.
Avignon, (1864). Format 12x19 cm, demi-reliure cuir, XXXV+359 pages. Ouvrage en provencal, preface de Reboul. Ouvrage abime, exemplaire usage auquel il manque la page de titre. Bon etat.
Joseph ROUMANILLE - [Saint-Rémy-de-Provence 1818 - 1891] - Ecrivain felibre français
Reference : 33774
2 pages 1/2 in8 - trés bon état -
Il a reçu, lu, relu "la belle et trop bienveillante étude" consacrée au "pauvre viei" dans Samedi revue - Il rêvait d'un "gentil petit texte" à mettre sur sa cheminée et il se trouve "en face d'une statue équestre" - Il poursuit par une belle critique de ce texte et la richesse de sa langue - Il termine par ses écrits et projets en cours -
Groupamen d'estudi provencau, 1968. Format 14x19 cm, broche, 151 pages. Avec un portrait en frontispice. Ouvrage en provencal. Bon etat.
Avignon Seguin Aîné 1852
In-12 (189 x 120 mm), xlv - (1) pp. - (1) ff., 437 pp., demi-cartonnage bleu à la bradel, coins, non rogné (reliure d'époque). Edition originale de ce recueil de poésies en provençal, contenant 10 poèmes de Frédéric Mistral, 16 de Joseph Roumanille, ainsi que de Joseph-Jacques-Léon d'Astros, Théodore Aubanel, Gustave Bénédit, François-Henri-Joseph Blaze (Castil-Blaze), Augustin Boudin, Marius Bourrelly, Barthélémy Chalvet, Antoine-Blaise Crousillat, Paul Giéra (Glaup), Anselme Mathieu, etc. Orné d'un portrait dédicace de Roumanille, et enrichi d'un feuillet de vocabulaire provençal manuscrit du même. Contient un Glossaire franco-provençal. Célèbre recueil, qui fut l'une des premières manifestations du Félibrige, fondé en 1854 par sept poètes provençaux dont Joseph Roumanille, Frédéric Mistral, Théodore Aubanel, etc. (quelques défauts sur les coupes et les coins, quelques petites mouillures claires, rousseurs). // 12o (189 x 120 mm), xlv - (1) pp. - (1) ff., 437 pp., bradel blue quarter-cloth, uncut (contemporary binding). First edition of this poetry collection in Provençal dialect, containing 10 poems by Frédéric Mistral, 16 by Joseph Roumanille, and also by Joseph-Jacques-Léon d'Astros, Théodore Aubanel, Gustave Bénédit, François-Henri-Joseph Blaze (Castil-Blaze), Augustin Boudin, Marius Bourrelly, Barthélémy Chalvet, Antoine-Blaise Crousillat, Paul Giéra (Glaup), Anselme Mathieu, etc. Illustrated with a portrait of Roumanille with dedication, enriched with an handwritten leaf of Provençal vocabulary by him. Contains a "Glossaire", french-Provençal. Famous poetry collection, one of the first expression of the Félibrige, founded in 1854 by seven Provençal poets including Joseph Roumanille, Frédéric Mistral, Théodore Aubanel, etc. (some defects on corners and turns-in, some little light water-stains, spots).
Précieux exemplaire de ce rare recueil de poésies provençales, conservé dans son élégante reliure de l’époque en demi-chagrin bleu nuit. En Avignoun, Enco de J. Roumanille, Libraire, 1857.In-12 de ix pp., (3) pp., 144 pp. Relié en demi-chagrin bleu nuit, dos à nerfs orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin vert, tranches mouchetées. Reliure de l’époque.172 x 106 mm.
Édition originale de ce recueil de poésies en provençal publié peu après la création du félibrige en 1854.C.-P. Julian et P. Fontan, Anthologie du Félibrige provençal, p. 12.Campano mountado (La Cloche montée, 1857) est un poème héroï-comique composé de sept chants « à la manière » du Lutrin à savoir: Sabòly, Lou Journau, Lou Diable, Moussu lou Curat, Vitòri, L’aigo-signado, La man que dardaio.« La Cloche montée est l'histoire très-plaisante, et très-poétique par moments, d'un certain sonneur de l'église Saint-Didier d'Avignon, brave homme passionné pour ses cloches et qui passe sa vie à recueillir de l'argent, sou par sou, de porte en porte, afin d'enrichir de notes nouvelles le carillon de son église. On devine ce qu'un tel cadre offrait d'occasions piquantes au peintre des mœurs avignonnaises. Cette fois M. Roumanille a lâché la bride à sa fantaisie comique ; soyez sûrs pourtant que les pensées élevées paraissent toujours à propos au milieu des plus vives bouffonneries. C'est là, je le sais bien, une peinture toute locale; le héros du poème vit encore, et chacun peut le rencontrer dans la rue : qu'importe? Cette joyeuse folie de M. Roumanille ne dépare pas l'aimable gravité de ses œuvres. » (Saint-René Taillandier. La Renaissance de la vie provençale, p. 251).Joseph Roumanille, né à Saint-Rémy-de-Provence en 1818 et mort à Avignon en 1891, est un poète français écrivant en provençal.« Il était l’ainé de sept enfants dans une famille de paysans aisés, milieu catholique où l’on conservait pieusement les traditions du terroir et l’usage de la langue provençale. Le jeune Joseph fit ses études au Collège du Tarascon, et fut ensuite maître d’études à Nyons, dans la Drôme, puis à Avignon où il eut parmi ses élèves Frédéric Mistral et Anselme Mathieu. Attiré de bonne heure par la langue de sa province, il publia un premier recueil de vers en provençal : ‘Les Pâquerettes’, en 1847. Après la Révolution de 1848 il collabora au journal légitimiste d’Avignon ‘La Commune’, dans lequel il publia des pamphlets dialogués où se manifeste un talent remarquable de prosateur et de polémiste ; la plupart de ces écrits ont été réunis dans ‘Lis Oubreto’ (1860). De plus, Roumanille sollicita la collaboration des jeunes poètes provençaux de l’époque, dont il accueillit et analysa les productions dans les colonnes de son feuilleton ; il réunit le tout en volume en 1852 sous le titre de ‘Les Provençales’ (Li Prouvençalo’). Dès lors, Roumanille fait figure de chef d’école : il établit, d’accord avec Mistral, les principes de l’orthographe nouvelle du provençal, qu’il énonce dans la préface de ‘La Part de Dieu’ (1852), et il participe à la fondation du Félibrige le 21 mai 1854 à Font-Ségugne, près d’Avignon, aux côtés de Mistral, Aubanel, A. Mathieu, Giera, Brunet et Tavan. Il était l’aîné des sept ; il avait préparé le mouvement par son œuvre et son action personnelle ; aussi mérite-t-il d’être surnommé le ‘Père du Félibrige’. » (Dictionnaire des auteurs, IV, 143).En 1855, Joseph Roumanille devient libraire-éditeur, en Avignon. Sa librairie, rue Saint-Agricol, devient un outil de la cause félibréenne. De nombreux autres ouvrages sortiront de cette maison d'édition devenue le foyer de la renaissance provençale, tels que « Mirèio » de Mistral et « Armana Prouvençau ».Précieux exemplaire de ce rare recueil de poésies provençales, conservé dans son élégante reliure de l’époque en demi-chagrin bleu nuit.
Castil-Blaze, Adoufe Dumas, Jan Reboul, Paul Giéra et Toussaint Poussel. Avignon, J. Roumanille, 1865.In-12 de 263 pp., (1) p. Relié en demi-chagrin bordeaux, dos à nerf, non rogné, couvertures imprimées conservées. Reliure postérieure.184 x 118 mm.
Edition originale de ce très rare recueil réunissant 74 poèmes par cinq membres importants du Félibrige : Castil-Blaze, Adoufe Dumas, Jan Reboul, Paul Giéra et Toussaint Poussel.Talvart 1890.Paul Giéra, dit Glaup, est un poète français de langue provençale, né et mort à Avignon. Il fut l'un des sept membres fondateurs du Félibrige avec Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Jean Brunet, Anselme Mathieu et Alphonse Tavan.Toussant Poussel était un médecin avignonnais membre du Félibrige. Très proche de Roumanille, il publia quelques textes et poèmes en provençal.Jean Reboul, né à Nîmes le 23 janvier 1796 et mort le 28 mai 1864, est un poète provençal. Il est l'auteur du célèbre L’Ange et l’enfant, paru en 1828. Parmi ses autres poésies, Le Dernier Jour fut de celles qui lui assurèrent une place honorable parmi les poètes français. Chateaubriand lui rendit visite à Nîmes et le félicita pour ses travaux. Lamartine, Alexandre Dumas et d'autres célébrités de l’époque comme Andersen vinrent aussi lui rendre visite. Jean Reboul était un actif protecteur des félibres.Né dans le département du Vaucluse, le 18 décembre 1805, Adolphe Dumas à vécu de l'autre côté de la Durance, à Cabannes, proche du pays Mistralien.Après avoir écrit de nombreux poèmes et plusieurs pièces, souvent retirées de l'affiche pour faire place à celles d'Alexandre Dumas, il se fait nommer le 14 juin 1855 pour "recueillir les poésies populaires de nos provinces régionales". En février 1856 il rencontre Frédéric Mistral à Maillance. En août 1858 il le présente à Lamartine, dont il est le secrétaire; Cela lui vaudra d'être nommé « le père des félibres ». Ami de Frédéric Mistral, Il fut, par beaucoup, considéré comme le « père des félibres ». « Quant à vous, vous savez ce qu’il en est de nous: vous êtes le père des Félibres. Nous vous aimons à outrance. » (Lettre de Frédéric Mistral à Adolphe Dumas, 28 décembre 1859).Castil-Blaze, de son vrai nom Joseph Blaze est né à Cavaillon le 1er décembre 1784. Chroniqueur musical et compositeur exilé à Paris, Castil-Blaze n'a jamais oublié sa Provence natale et fut, comme Adolphe Dumas - lui aussi exilé à la capitale - un porte drapeau de la langue provençale de laquelle il était si fier. La majorité de son œuvre a principalement été publiée après sa mort, par ses amis félibres.Ce sont Roumanille et Mistral, deux autres félibres, qui rassemblent et publient ces poèmes à Avignon en 1865. Ils dédient le recueil à la comtesse Maria Lamsdorff (1835-1866).L’ouvrage est composé de cinq parties rassemblant 74 poèmes de ces cinq auteurs provençaux:· De Paul Giéra : Li galejado, A bigand, Li mau partejado, Li mau parteja, Trefoulimen, ...· De Toussaint Poussel : Lis avignounenco, Lou guerbe-fio, L’aigo-boulido, Janeto, La campano d’argent, Margarido, ...· De Jan Reboul : A moun ami M. G. de Labaumo, Meste Matieu, ...· De Castil-Blaze : Lou renaire, L’amo danad, La liouno dou ventour, Liso, Lou Vioulounaire, Lou Vin de tavèu, Li Pipaire, Cansoun d’ibrougno, Revihet, Tasten-Lou, L’Ome prepauso, Moun Espitau, A l’asard, bautezar, Lou Grand bal, A Benedit, Er d’intrado de Figaro, La Calounnio, Madaleno, A Margarido, Lou Luberoun, Lou Musician, · D’Adoufe Dumas : Mi regret de Prouvenco, A Roumanillo em’a Mistral, mi bons ami,Retournarai, Souveni, Oumèro, Lauro, Bono Annado, A Napoleon III, A Moussu brun, A Noste Sant Paire, A mi bravi Felibre, Nouvé, Lou cavaire, Lou mau dou pais, ...Bon exemplaire de ce très rare recueil de poésies provençales, relié avec les couvertures conservées.Localisation des exemplaires : 4 seulement dans les Institutions publiques françaises.
1864 Avignoun ,Avignon : J. Roumanille, 1864,In-16,broché, XXXII + 359 pp.,dos recollé.Bien complet du portrait de l'auteur en frontispice,petit manque bord couverture,texte frais.
Avignon : J. Roumanille, 1903,In-16, XXXIX-353 p.dos cassé,à relier
P., Techener, 1847 in-8 demi chagrin rouge, dos lisse, roulettes dorées et filets gras noirs en place des nerfs, titre à l’or en diagonale. VIII-243 pp. (Reliure fin XIXe siècle. Quelques pâles et minimes rousseurs).
Édition originale et première œuvre publiée de l’auteur de ce recueil capital, composé de 45 sonnets, élégies, fables, stances ou facéties en provençal, divisés en quatre parties correspondant aux quatre saisons. Les 73 dernières pages constituent des notes de l’auteur et de l’éditeur ainsi qu’une partition notée sur deux pages, intitulée Li Pijjoun. Les pièces sont dédiées à divers auteurs : Mistral, que Roumanille connut en 1845 à la pension Dupuy, Désanat qui publiait alors la revue Lou Bouil-abaïsso, mais aussi le Gascon Jasmin (avec qui cependant les relations seront toujours glaciales), le Marseillais Bellot, le languedocien Peyrottes, le salonais Crousillat ou l’aixois J. Baptiste Gaut, et bien sûr Camille Reybaud, le correspondant assidu, autant de précurseurs qui permettront à Roumanille de mener son action… Pour l’heure, la langue provençale est un vieil idiome, parlé uniquement par les locaux et Roumanille se désespère alors : « Pauvre langue morte, sur laquelle nous poserons bientôt une humble couronne de Margarideto ! ». Le recueil est donc écrit sans illusion, dans la langue naturelle d’un fils de jardinier et sa parution ne suscita guère plus d’intérêt que cela (dix ans plus tard d’ailleurs, Roumanille avait toujours du mal à écouler des exemplaires…) Pourtant, déjà du haut de ses 16 ans, Mistral disait en parlant de Rouma, Anselme Mathieu et lui-même : « Il y a assez de trois pailles pour faire un feu ». Et à la lecture de cette fraiche publication, il s’est écrié : « À peine Roumanille m’eut il montré dans leur nouveauté printanière, ces gentilles fleurs de pré, qu’un beau tressaillement s’empara de mon être et que je m’écriai : « Voilà l’aube que mon âme attendait pour s’éveiller à la lumière ! » (préface Les Iles d’Or). Dans la même fougue, les deux amis décidèrent ainsi de mettre à l’honneur le provençal, de l’étudier, s’en imprégner afin d’en extraire toutes les subtilités… La suite, connue de tous, est devenue l’une des plus belles aventures littéraires du XIXe siècle : la réunion des sept primadié qui fondèrent le Félibrige, le 21 mai 1854, jour de la Sainte-Estelle, la refonte d’un orthographe, une librairie et une maison d’éditions célèbres, de nombreuses publications dont l’Armana… et une notoriété qui ne s’est jamais démentie ! Ex-dono sur la page de faux-titre en date de 1853 (signature illisible). Très bel exemplaire de ce livre écrit par « le père du Félibrige ».
Avignon, Joseph Roumanille, 1884 in-12, [3] ff. n. ch., 340 pp., broché. Déchirure restaurée à la couverture.
Édition originale de ce grand recueil de contes, pour la plupart uniquement en langue provençale. Joseph Roumanille (1818-1891) avait consacré ses trente dernières années à alimenter en contes l'Armana dou Félibrige, qui en firent l'héritier de nos meilleurs conteurs du Moyen Âge et de la Renaissance. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Avignon J. Roumanille 1857 In-12 demi cuir de Russie noir, dos lisse avec nom de l'auteur et titre à l'or, date en pied XI-144 pp. (Reliure signée Lavaux vers 1930. Haut du dos habilement restauré).
Edition originale rare, de ce poème héroï-comique écrit en provençal (seules les notes qui occupent les 39 dernières pages sont en français). Précieux envoi signé de l'auteur au félibre Louis Roumieux. A la parution de cet ouvrage, le mouvement du Félibrige n’existe que depuis trois ans, tandis que la revue l’Armana prouvençau, créée depuis deux ans seulement, peine encore à se diffuser. Mistral, Aubanel et Roumanille veulent pourtant imposer le rhodanien comme vocable, malgré les écueils et tous ceux qui n’en veulent pas. Le Nîmois Louis Roumieux, qui n’a encore rien publié de notable, a cependant collaboré avec Alexandre Bigot et s’est rapproché depuis peu du Félibrige. Il deviendra l’un des meilleurs et des plus fidèles ambassadeurs. Roumanille dans sa dédicace ne s’adresse d’ailleurs pas à l’ami mais au collaborateur de la cause en écrivant : A l’ami Roumieu felibre de la Tour-Magne J. Roumanille. On notera du reste que l’auteur n’écrit pas la lettre x comme dans certaines contrées du Languedoc, une manière de revendiquer une fois encore la grammaire qu’il souhaite mettre en place avec Mistral.
Avignon, J. Roumanille, 1884 1 volume In-8° (11,8 x 18,8cm) Reliure d'époque demi-basane rouge; dos à 4 faux nerfs et 4 fleurons dorés, auteur et titre dorés; papier de couvrure des plats et gardes marbrés à dominantes rouge (plats) et orangée (gardes). 1 feuillet, 1 faux-titre, 1 titre imprimé en noir et rouge, 1 feuillet imprimé en rouge, 340p. Reliure en état médiocre, avec "restaurations" maladroites: charnières fendues (mais plats solidaires du volume), celle du dessus avec petit manque marginal de peau visiblement comblé d'une peau rouge plus claire; bande de papier collé en marge intérieure du 1er feuillet (garde vierge); gouttière irrégulière et ouverture du volume limitée (dos recollé ?).
1ère édition (? parfois annoncée de 1883...) de ce recueil de contes (et "récits facétieux") en provençal de Joseph ROUMANILLE (1818-1891) avec traductions françaises d'un "bon nombre" d'entre eux (par Armand de PONTMARTIN, Alphonse DAUDET, Ed. LABOULAYE, P. YVAREN, Louis JOURDAN, Emile BLAVET, etc) en fin de volume, avec notices introductives. Exemplaire relié, avec dédicace manuscrite de l'auteur; à restaurer.
Avignon, J. Roumanille, 1884 1 volume In-8° (11,6 x 18,4cm) Reliure demi-basane blonde à coins; auteur et titre dorés au dos soulignés de faux nerfs; couvrure des plats à texture de peau de serpent (?) à motifs bruns et rouges sur fond ocre; gardes marbrées. 1 titre imprimé en noir et rouge, 1 feuillet imprimé en rouge, 336p. (sur 340). Dos insolé et frotté; manquent les 4 pages de table des matières; pâles rousseurs et quelques taches; cachet à froid d'ex-libris; coupure de presse contrecollée sur la garde de reliure de fin (sur l'hôtel de Valbelle, à Aix-en-Provence, avec photo de la porte d'entrée), et mention manuscrite à l'encre sur la page de reliure (vierge) précédente.
1ère édition (? parfois annoncée de 1883...) de ce recueil de contes (et "récits facétieux") en provençal de Joseph ROUMANILLE (1818-1891) avec traductions françaises d'un "bon nombre" d'entre eux (par Armand de PONTMARTIN, Alphonse DAUDET, Ed. LABOULAYE, P. YVAREN, Louis JOURDAN, Emile BLAVET, etc) en fin de volume avec notices introductives. Exemplaire relié auquel manquent les 4 pages de table.
Avignoun, J. Roumanille, 1877 1 volume In-16 (12,6 x 19cm) Broché sous couverture gris bleuté. 45p.; 1 feuillet. Bon état sauf couverture jaunie en marge des plats; non coupé.
Edition bilingue de "Il faut qu'on y aille", dialogue politique du félibre Joseph ROUMANILLE (1818-1891), qui fut en ses débuts "un des chefs de la réaction vauclusienne", "royaliste fervent et catholique convaincu" (Julian): texte en provençal "emé traducioun franceso vis-à-vis", "e uno letro avans-prepaus [en français] de Léopold de Gaillard" (avocat et journaliste, 1820-1893). Année de parution, mention de "Tresenco edicioun, revisto e aumentado" sur la page de titre, sous couverture avec mention de "Quatrenco edicioun [...]".
Avignon, Seguin Aîné, 1852. Un vol. in-12 (12x17. 7) demi-basane brune, dos orné de fleurs dorées, étiquette de titre rouge, couvertures conservées. Entre les pages 396 et 397 a été intercalé un feuillet avec une coupure de presse au sujet d’un poème de Mistral. Coins et coiffes frottés (tout petit manque en tête), mors aussi mais très légèrement, étiquette collée au contreplat.
Portrait frontispice de l’auteur par C. A. David, lithographié par Petit, tiré sur Chine. Edition originale. Quelques auteurs présents dans cet ouvrage : H. D’Anselme, Th. Aubanel. Bellot, A. Boudin, Mlle Léonide Constant, Glaup, F. Mistral, C. Reybaud, J. Roumanille. Les poésies sont précédées d’une introduction par M. Saint-René Taillandier et suivies d’un glossaire. A noter que le portrait au frontispice porte quelques vers signé J. Roumanille. Il ne nous a pas été possible de déterminer si cela est autographe ou imprimé, mais nous avons croisé dans le catalogue d'un confrère un même livre avec le même portrait, avec un tout autre texte sous le portrait.
Avignoun J. Roumanille, Libraire-Editour 1860 in 12 (18x12) 1 volume reliure demi percaline violine ancienne, dos lisse orné de filets à froid, portrait gravé en frontispice, VII et 360 pages [1]. Texte en provençal. Première édition collective. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Couverture rigide
AVIGNOUN. ENCO DE J. ROUMANILLE, LIBRAIRE-EDITOUR. 1889. PETIT IN-8 (12 X 18 X 3 CENTIMETRES ENVIRON) DE 350 PAGES, RELIURE D'EPOQUE 1/2 VEAU NOIR, DOS A QUATRE NERFS ORNE DE FILETS DORES, TITRE DORE. BEL ENVOI D’AUTEUR SIGNE. BEL EXEMPLAIRE.
02/06/1871 BELLE LETTRE DE ROUMANILLE, INSTALLÉ LIBRAIRE-ÉDITEUR EN AVIGNON DEPUIS 1855.Il lui annonce avoir confié à Laporte larticle demandé par un courrier précédent : …Un Cœur, le voilà, Dieudonné ! Comme ce front est bien fait pour porter couronne (…) il rayonne de loyauté et dhonneur. Cest bien là, Monsieur, la photographie de Constantinople, la plus récente et la mieux réussie, celle que le Roi donne de préférence à ses amis, je le sais……Jai un dépôt du remarquable ouvrage intitulé Etude politique. Jattends dun moment à lautre, de Genève, la nouvelle édition qui vient à peine de paraître. (…) Je me suis improvisé marchand photographe (…). Pour obtenir un prix de revient qui me permît daller en avant, jai dû en marchander un grand nombre, (peut-être trop grand ! (…) Heureusement mes amis de la presse catholique et légitimiste sont venus à mon secours. Voilà que, depuis 10 jours, mon ami M. Laurentie a immobilisé une jolie réclame dans son journal. Je serais heureux et fort reconnaissant, si vous me faisiez la gracieuseté de la publier aux faits divers du vôtre. Rien nest de dire, que ce faisant, vous feriez œuvre excellente dexcellente propagande… Il termine par une allusion à la « Semaine sanglante » qui avait embrasé Paris (en mai 1871) sous forme de prière : …Puisse notre France, par une arche ballotée sur des flots de sang, et de pétrole, être bientôt digne de voir venir la colombe lui apporter le rameau dolivier !...
7è édition, sans les illustrations; Broché. Avignon Roumanille 1880 1 volume in-12
Intéressante préface de Pontmartin, dont c’est l’exemplaire comportant un envoi de l’auteur; très bon exemplaire. 1/2 chagrin havane, dos à nerfs orné de caissons à froid. Avignon Roumanille 1864 1 vol. in 12.
J. Roumanille, Libraire-Editour Avignoun 1877 In-12 ( 190 X 125 mm ) de 45 pages, broché sous couverture imprimée. Bon exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé de J. ROUMANILLE.
Paris Bloud & Cie 1911 in 12 (19x14) 1 volume broché, portrait en frontispice, 130 pages, ex-libris. Joseph Roumanille, 1818-1891. Bibliothèque régionaliste. Texte en provençal avec la traduction française en regard. Bel exemplaire
Très bon Broché
L’impression de ce premier livre de Joseph Roumanille a été faite par Seguin en Avignon. Importantes notes de l’auteur sur la langue provençale. Édition originale très rare.L’ouvrage est tel que paru Broché. Dos fendu. Bon Paris Techener 1847 1 volume in-8°.