S.l., s.d. parties in-8 ou in-4, [826] ff., couverts de diverses écritures fines, moyennement lisibles, nombreuses ratures et biffures, en feuilles, boîte demi-chagrin rouge, intérieur de daim gris.
Exceptionnel dossier manuscrit, conservé dans la famille Portalis, et contenant une partie des Souvenirs inédits du fils de Jean-Etienne-Marie Portalis (1746-1807), considéré comme un des Pères du Code civil : Joseph-Marie Portalis (1778-1858), qui a dû les rédiger sous l'Empire, peut-être pendant la période de repos forcé que lui valut sa retentissante disgrâce de janvier 1811. En tout cas, il fait mention à un moment de Joseph Bonaparte, connu pendant la Révolution, et donne la date de 1807 qui fournit au moins un terminus a quo. Jamais terminées, jamais vraiment mises au propre, ces notes, parfois très confuses sous les variantes et corrections, sont passées après la mort du Premier Président de la Cour de Cassation à sa famille. Il est là encore difficile de préciser lequel de ses nombreux enfants en eut la garde : la logique voudrait qu'il s'agît de son fils aîné survivant, Harold Jean-Baptiste (1810-1899), mais la mention de "mon cher beau-père" en plusieurs endroits du document oriente vers le gendre de Portalis, Rodolphe Saillard (1789-1878), époux de sa fille aînée Stéphanie (1802-1865).LE SEUL MANUSCRIT CONNU DES MEMOIRES DE PORTALIS[Codicologie] Toutes ces considérations expliquent que le dossier que nous présentons n'est pas uniforme ni d'un seul tenant, comme en rêveraient les amateurs naïfs de manuscrits historiques, mais se compose de plusieurs strates rédactionnelles successives qu'il importe de bien distinguer :I. Le manuscrit autographe de l'auteur proprement dit. Il a été composé de façon très désordonnée sur un grand nombre de feuillets volants de différentes dimensions, puis assemblé de façon parfois encore plus désorganisée en liasses chiffrées séparément. Le texte lui-même est scandé de divisions apposées par l'auteur en chiffres romains. Le problème est que, comme le reste du texte, cette division a souvent été retouchée et ses éléments recomptés, si bien que, sous certaines biffures, il est parfois impossible de savoir à quel numéro d'ordre on a affaire.1. Heureusement, sous une petite chemise orangée, a été composée et réunie une petite Table des matières, qui couvre l'ensemble de ce premier jet rédactionnel ([16] ff. chiffrés postérieurement à l'encre rouge). Cette table indique les divisions en chiffres romains (mêmes biffures que dans le texte avec souvent, vers la fin, une absence de correspondance entre les numéros de la table et ceux du manuscrit), le titre de chaque partie, et également en partie le chiffrage ajouté postérieurement aux feuillets. Son étude attentive permet à peu près de réordonner l'ensemble des feuillets et de mettre au jour les lacunes.2. On a donc les parties conservées suivantes, formant un texte plus ou moins continu depuis 1787 :a) Un premier ensemble de ff. chiffrés 1-141, correspondant aux parties I-LXXX (1787- décembre 1793) ;b) Un deuxième ensemble de ff. chiffrés 1-50, correspondant aux parties LXXXI-CXVIII (janvier 1794 - août 1794) ;c) Un troisième ensemble de ff. chiffrés 1-174, correspondant aux parties CXXX-CCXXX (fin de la Convention jusqu'en 1795) ;d) Un quatrième ensemble de ff. chiffrés 200-260, correspondant aux parties CCLXIV-CCCVII (Directoire jusqu'au 18 fructidor) ;e) Un cahier à part, sous une chemise intitulée Septembre 1797, et comprenant 44 ff. chiffrés (le départ pour l'exil du père et du fils).Comme l'on voit, manquent les paragraphes CXIX-CXXIX (correspondant à la libération de Portalis Père après Thermidor et à son retour dans la vie politique), ainsi que CCXXXI-CCLXIII (à partir du 5 brumaire an IV - 27 octobre 1795 jusqu'à la formation du Comité royaliste).3. A part, se trouve encore un ensemble de chemises (intitulé Fragments des mémoires de mon beau-père) qui contient des ff. épars (environ 100), membra disjecta de textes insérables ou non dans le fil du texte continu précédent.II. Une première mise au propre, toujours manuscrite, datant du milieu du XIXe siècle, exécutée à plusieurs mains, et sans doute même posthume. Réunie dans une chemise sous le titre Copie des Mémoires de mon cher beau-père, assortie de l'indispensable précision "Tout n'y est pas", elle se compose de [236] ff., chiffrés de façon particulièrement anarchique, et qui commencent au milieu du f. 73 du premier ensemble de la rédaction initiale, à savoir la montée des Marseillais à Paris, mais le texte est fragmentaire, il commence par "20 juin, deux bataillons de patriotes marseillais", ce qui correspond à la moitié d'une phrase de l'original (II-1).A cette deuxième strate rédactionnelle, on peut rattacher un petit texte manifestement composé après la mort de l'auteur, commençant par : "L'éducation de mon grand-père contribua à développer de bonne heure chez lui les facultés de l'intelligence ..." Ses 4 feuillets donnent un résumé de l'enfance et de l'adolescence de Joseph-Marie, sans omettre son article sur Montesquieu donné en 1796 au Républicain français (II-2). III. Une mise au propre posthume sous forme de publication imprimée partielle : ces Souvenirs ont en effet fait l'objet d'une édition très fragmentaire dans Les Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques (volume XLVIII, publié chez Félix Alcan en 1859 ; volume XLIX, publié chez Auguste Durand en 1860). Et est joint à notre dossier un exemplaire d'une partie des livraisons du périodique. Le titre est devenu : Extraits des Mémoires de M. le Comte Portalis. Mes Souvenirs politiques (paginé 115-136, puis 379-420). Très rares, ayant échappé à Fierro, ces extraits ne semblent pas avoir fait l'objet d'un tirage à part ; ils correspondent à la première et la dernière livraison, recoupent exactement les numéros d'ordre I-VIII et XVI-XXIV du manuscrit (mais la dernière partie est renumérotée dans l'imprimé, ce qui ajoute encore à la confusion), et vont des premières demandes de rétablissement des Etats de Provence (1787) à l'assassinat de Pascalis sur le Cours Mirabeau à Aix (14 décembre 1790). La comparaison du modèle et de la version imprimée permet de repérer entre les deux l'intense travail rédactionnel, ici probablement dû au gendre : nombreuses biffures, reprises, ratures pour passer du manuscrit à la version définitive.En-dehors cependant de ces minces extraits, il n'exista plus par la suite de tentative d'édition intégrale, qui se serait recommandée à la fois par l'intérêt historique et la correction du style, mais fut sans doute découragée par l'état d'anarchie où furent laissés les feuillets portant le texte.[Contenu] La période sur laquelle courent ces souvenirs couvre uniquement les années pré-révolutionnaires (1787-1789) et la Révolution elle-même, de la convocation des Etats Généraux au mois de septembre 1797, date à laquelle le jeune Joseph-Marie, âgé de seulement dix-neuf ans, accompagna son père en exil : condamné à la déportation à la suite du coup d'Etat du 18 fructidor an V, Portalis père se cacha et put gagner le Holstein par la Suisse et l'Allemagne. Comme indiqué plus haut, ce départ de France est documenté dans la dernière chemise (2-e) du premier ensemble rédactionnel, depuis le départ de Passy jusqu'au séjour passé à Zurich. Les deux hommes ne devaient revenir en France qu'après le 18 brumaire, le jeune Joseph pourvu d'une toute nouvelle épouse trouvée au fond du Holstein (la comtesse de Holck), et connaître sous le Consulat et l'Empire le destin brillant que l'on sait, lequel ne se trouve ceci dit nullement évoqué dans ces pages, sauf sous forme de quelques allusions.LES PORTALIS DURANT LA TERREUREn revanche, c'est toute la conduite de Portalis Père pendant la Révolution de 1789 et la Terreur qui se trouve éclairée par ces pages. Avec la réserve qui doit naturellement être émise sur la validité et la précision des souvenirs du jeune homme (il avait entre 9 et 19 ans) et la qualité de leur retranscription à l'âge adulte - points sur lesquels il s'exprime d'ailleurs avec lucidité en ouvrant son récit -, l'on a ici un témoignage direct sur l'itinéraire de l'un des plus illustres juristes de France, à partir du moment où sa défense de la comtesse de Mirabeau contre son mari, le futur orateur, avait attiré l'attention générale sur lui jusqu'à son exclusion du Conseil des Anciens à la suite du 18 fructidor. La détention du père jusqu'à Thermidor ainsi que sa carrière de député sont spécialement détaillées.De même, les répercussions des grands bouleversements révolutionnaires sur la vie et les événements de Provence, spécialement dans la région d'Aix, sont bien documentées : les Portalis possédaient une résidence aux Pradeaux, actuellement dans la commune de Saint-Cyr-sur-Mer, et ils passèrent une partie des orages de la période dans ce refuge, spécialement de septembre 1790 après la dernière audience de la Chambre des Vacations du Parlement d'Aix à février 1792. Même après cette période, alors que la famille réside à Lyon, puis à Paris, l'importance de la sociabilité et des réseaux provençaux se fait sentir par nombre d'allusions soit au pays, soit à des Provençaux connus des Portalis et dont ils se servent pour affaires ou dans leur stratégie politique.A mesure que le récit s'avance, se mêlent le témoignage immédiat, et les rapports provenant d'autres sources, parfois la rumeur (cf. le récit de l'assassinat de Pascalis rapporté indirectement, puisque l'auteur se trouvait alors aux Pradeaux, et non à Aix ...), souvent les récits officiels de la période, selon un procédé qui est normal et classique, mais tend bien des chausses-trappes à l'historien pressé.Le meilleur résumé de la contribution de Joseph-Marie à l'oeuvre propre du témoignage, et une indication certes partiale sur la fiabilité extrême de sa mémoire, nous le trouverons sous la plume d'un de ses petits-enfants, consigné dans la pièce II-2 citée plus haut :"Il n'avait cependant que treize ans lorsque la Révolution força son père de quitter la Provence. Il l'accompagna à Lyon puis à Paris. Après le 9 Thermidor, quand son père eut recouvré la liberté et repris l'exercice de sa profession, il travailla auprès de lui. Son séjour à Lyon après le départ de Provence, le siège de cette ville, l'état de Paris pendant la Terreur, la détention de son père et le péril qu'il avait couru pendant si long-temps laissèrent une telle impression dans son esprit que la vivacité ne s'en est jamais affaiblie. Les moindres détails des scènes auxquelles il avait assisté à cette terrible époque se représentaient à sa mémoire comme s'ils s'accomplissaient encore sous ses yeux et il les racontait quelques fois comme si l'événement eût eu lieu la veille. Ses Mémoires présentent sous ce rapport un vif intérêt."DES SOUVENIRS EN TRES GRANDE PARTIE INEDITS ET QUI MERITERAIENT D'ETRE PUBLIES[Historiographie] Ces Souvenirs n'ont été, à notre connaissance, utilisés directement que dans la biographie au demeurant excellente donnée en 1936 chez Sirey par Lydie Schimsévitch, dite Adolphe (1913-1963), qui en avait obtenu communication. Les monographies postérieures, y compris celle de Chartier, la plus récente, mais guère la meilleure, reprenant généralement les transcriptions d'Adolphe, sans s'être référées aux manuscrits eux-mêmes. En dépit de la confusion du texte et de la difficulté prévisible d'établir une bonne édition critique (la plupart des morceaux biffés présentent de l'intérêt, et devraient soit être intégrés, soit placés en apparat), l'on ne peut que recommander une publication de ce texte.Exemplaire bien présenté dans une boîte moderne parfaitement exécuté. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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( Bandes Dessinées - Erotisme ) - Joseph-Marie Lo Duca - Serge Zubeldia - Oscar Panizza
Reference : 24832
(1987)
Editions Dominique Leroy / Collection " L'Enfer dans la BD " 1987. In-4 cartonnage éditeur de 48 pages au format 31,5 x 24 cm. Couvertures illustrées. Dos carré. Plats avec infimes tassements aux coins et un minuscule éclat blanc en haut de la couverture. Intérieur avec des rousseurs éparses. Préface et scénario d'après l'œuvre de Oscar Panizza par Joseph-Marie Lo Duca. Pages de garde et dessins en noir et blanc par Serge Zubeldia. Bel état général. Edition originale enrichie d'une dédicace de Joseph-Marie Lo Duca et superbe dessin original de Serge Zubeldia au journaliste Bruno Théveny. Provenance idéale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Montpellier, imp. Martel, 1836, 1 broché, envoi autographe, signé de Joseph Marie Dubrueil à un médecin de l'hopital de Beaucaire. in-8 de XX-361 pages, 5 tableaux dépliants et 2 feuillets de table, exemplaire à pleines marges ;
Joseph Marie Dubrueil et Hypolite Rech, professeurs de la faculté de médecine de Montpellier.Localités ou l'épidémie à fait des ravages: Sauve, Montfrin, Aramon, Vallabrègues, Beaucaire, Tarascon, Fourques, Saint-Rémy de Provence, Saint-Chamas, Ampus, Lorgnes, Cadenet, Cucuron, Lourmarin, Mérindol, Cheval-Blanc. - Tableau présentant les noms des communes envahies par l'épidémie dans les départements des Bouches du Rhône, de l'Hérault, du Var, du Gard, de Vaucluse et de l'Aude.
Phone number : 06 80 15 77 01
COMANDRE (Joseph Marie) - BRULLEY DE LA BRUNIERE (Claude Jean Joseph).
Reference : 19756
Mende, imprimerie Ignon, 1846, 1 broché. in-folio de 19 pages ;
Phone number : 06 80 15 77 01
Toulouse Jean-Matthieu Douladoure 1820 Première édition. Complet, avec 11 planches gravées dépliantes. Dos en cuir contemporain avec titres dorés. Planches cartonnées. Celles-ci sont considérablement frottées - en particulier la première planche, qui présente une zone de perte de surface. La reliure tient cependant très bien. Le premier feuillet blanc de la fin de l'ouvrage est endommagé par un poisson d'argent. Le reste de l'ouvrage est en bon état, propre, avec un léger assombrissement des pages et une légère marque sur le bord supérieur (n'affectant pas le texte). Les planches dépliantes sont en assez bon état, avec un peu de noircissement et de bosses sur les bords. Quelques petites déchirures fermées sur les bords de certaines planches seulement. Dans l'ensemble, un bon exemplaire d'une première édition rare. Ecrits architecturaux français du 16ème au 19ème siècle. Armand Joseph Marie de Saint-Félix (1794-1866), marquis de Mauremont et comte de Cajarc. Homme politique légitimiste, il fut l'un des 40 mainteneurs des Jeux Floraux institués en 1323 à Toulouse par sept troubadours pour maintenir le lyrisme de cour. C'est la plus ancienne société poétique et littéraire du monde). xxxii, 360 pages. 11 planches dépliantes. Conforme à FirstSearch / OCLC : 21787714. 200 by 125mm.
First edition. Complete, with 11 folding engraved plates. Contemporary leather spine with gilt titles. Hardback boards. These are significantly rubbed - particularly the front board, which has an area of surface loss. Binding is holding very well though. First blank end paper has silverfish damage. The rest of the book is in good, clean condition, with a little darkening to the pages and a touch of marking to the top edge (not affecting text). The folding plates are pretty good condition, with a touch of darkening / bumping to the edges. A few small closed tears to the edges of some plates only. Overall a decent copy of a scarce first edition. French architectural writings 16th to 19th century. Armand Joseph Marie de Saint-Félix (1794-1866), Marquis de Mauremont and Count of Cajarc. He was a Legitimist politician, was one of the 40 maintainers of the Jeux Floraux (The Floral Games were instituted in 1323 in Toulouse by seven troubadours to maintain courtly lyricism. It is the world's oldest Poetry / Literary society). xxxii, 360 pages. 11 folded leaves of plates. Conforms to FirstSearch / OCLC: 21787714. 200 by 125mm (7Ÿ by 5 inches). .
Pierre-Joseph-Marie PROUDHON. Qu'est-ce que la propriété? Premier Mémoire. ou recherches sur le principe du droit et du gouvernement. Relié à la suite : Qu'est-ce que la propriété?. Deuxième mémoire. Lettre à M. Blanqui sur la propriété. 1841, Librairie de Prévot, Paris. 1848, Garnier, Paris. 2 ouvrages reliés en 1 vol. in-12 (10,5x17,5cm), de XX-314 pages et 155 pages. Reliure demi basane Vert Wagon, dos lisse orné de filets, d'une frises, et du titre, frappés à l'or fin. Intérieur avec rousseurs et une trace de mouillure sur les premières pages du premier texte. Deuxième édition pour les 2 ouvrages, édition en partie originale pour le premier car enrichie d'une préface nouvelle de 20 pages. Moyen
La Jeune Parque Relié D'occasion bon état 01/01/1969 150 pages
A Grenoble, imp. Baratier, 1827, 1 broché, couverture muette d'attente, ex-libris: "F. Gauduel, greffier, Grenoble" (étiquette contrecollée). in-8 de XII-292 pages, exemplaire à pleines marges, légères mouillures ;
Rarissime.Joseph-Marie Vagnat, était architecte à Grenoble.
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Ch. Reutlinger, Paris s.d. (circa 1864), 10,8x16,5cm, une photographie.
Photographie originale de Pierre-Marie-Joseph Proudhon tirée grâce au procédé gélatino-argentiquecontrecollée sur un carton du studio Reutlinger à Paris. Cette photographie fut exécutée dans le studio de Charles Reutlinger à la demande du peintre Gustave Courbet, qui réalisait alors un portrait du philosophe aujourd'hui conservé au musée du Petit Palais à Paris. Proudhon mourut le 20 janvier 1865 avant de poser pour Courbet, faisant de cette image une des seules inspirations du peintre pour son portrait posthume: «allez chez Reutlinger lui demander de ma part [...] le grand portrait qu'il a fait du philosophe selon ma pose. Je veux le faire au 146 rue Notre-Dame-des-Champs, avec ses enfants, sa femme, comme il convient au sage de ce temps et à l'homme de génie» (Lettre à Jules Castagnary, 20 janvier 1865, citée dans Chakè Matossian, Saturne et le Sphinx : Proudhon, Courbet et l'art justicier). - Photos sur www.Edition-originale.com -
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in-8 broché - 1991 - 156 pages - Ed. Editions aux Arts
bon état
Provenant de la Bibliothèque du Duc d’Aiguillon. A Paris, chez Knapen & Fils, Lib.-Imp. de la Cour des Aides, 1782. In-8 de viii pp., 244 pp., 1 carte dépliante hors-texte in-fine (Terres Australes ou Partie Septentrionale de l’Isle de Kerguelen), (2) ff. Plein veau glacé moucheté, filet à froid d’encadrement sur les plats, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin vert, tranches rouges. Reliure de l’époque. 199 x 126 mm.
Édition originale très rare, illustrée d’1 carte hors texte. Brossard, Kerguelen le découvreur et ses îles, t. I, p. 582; Dunmore, t. I, p. 210 ; Du Rietz, Bibliotheca Polynesiana by Kroepelien, 641 ; Howgego, I, K12, p. 566 ; Ryckebusch, t. II, 4434, p. 111 ; Sabin, 37618 ; Sydney & Spence, Antarctic Miscellany, 650, p. 79. Manque à Chadenat, à Hill. L’ouvrage fut rapidement mis au pilon puisqu’il avait été interdit avant sa parution à cause de la dédicace «à la Patrie», et ne fut que très peu connu en dehors du cercle étroit des officiers de marine (Lapérouse avait emporté le livre de Kerguelen à son bord). « Ce volume est devenu très rare, le gouvernement en ayant fait saisir le plus grand nombre d’exemplaires» (Hoefer, t. XXVII, 611). Yves-Joseph Marie de Kerguelen (1734-1797), navigateur breton, officier de la marine du Roi, s'intéresse à ce qui est une des grandes préoccupations des milieux scientifiques et littéraires de son temps: l'existence d'un continent austral qu'on situait dans le Pacifique sud et dont Bouvet de Lozier avait cru apercevoir l'extrémité en 1739. Il partit en 1771 à la découverte de la Terre de Gonneville (en 1503, le capitaine de Gonneville naviguant vers le sud aurait trouvé une contrée paradisiaque au climat délicieux où des indigènes hospitaliers vivaient nus dans une abondance naturelle). Premier voyagede découverte : Le 1er mai 1771, du port breton de Lorient, Kerguelen mit à la voile pour l’Île de France. Le navire qui lui avait été attribué était le «Berryer» (nom d’un ancien ministre de la Marine et des Colonies), une corvette de 900 tonneaux de la Compagnie française des Indes, chargée de munitions pour la garnison de la colonie et de vivres, suffisantes pour alimenter 300 hommes d’équipage pendant une période de quatorze mois, temps estimé du voyage. À son bord se trouvait le savant astronome, l’abbé Alexis-Marie de Rochon, qui bientôt entra en conflit avec le capitaine trop autocratique à son goût. Quand le «Berryer» atteignit Port-Louis, le 20 août 1771, Rochon l’abandonna et chercha à joindre l’expédition rivale de Marion Dufresne et Crozet pour le Pacifique sud. Pierre Poivre, alors intendant de l’île, fit bon accueil à Kerguelen. Il offrit, à la demande de ce dernier, en remplacement du «Berryer», considéré comme «mauvais marcheur», une flûte et une gabare, plus légères et moins dispendieuses, la «Fortune» et le «Gros-Ventre», gabare de 16 canons, commandé par François Louis Alesno de Saint-Alloüarn (Saint Alloüarn était en mauvaise santé et pendant tout le voyage le «Gros-Ventre» fut commandé par Boisguehenneuc). Il était trop tôt pour naviguer au Sud, et Kerguelen fut requis d’étudier une nouvelle route vers l’Est qui avait était suggérée par un officier du nom de Jacques Raymond de Geron de Grenier, décédé avant d’avoir pu vérifier sa théorie. De retour à Port-Louis, après trois mois de navigation, la «Fortune» et le «Gros-Ventre», quittèrent l’Île de France le 16 janvier 1772 et firent cap plein Sud. Le 12 février, une terre est en vue. À l’aube du 13 février, les Français virent s’étendre les premières terres de la côte Ouest d’une couronne d’îles qu’ils nommèrent «la France Australe», auxquelles l’explorateur anglais James Cook donnera le nom «terre de Désolation » ou d’Îles Kerguelen lors de son troisième voyage. Était-ce là la terre paradisiaque de sieur Gonneville ou était-ce le continent austral si prometteur de richesses? Kerguelen décida d’envoyer une chaloupe, la «Mouche», afin de trouver un mouillage sûr pour le «Gros-Ventre». Ce fut un désastre. Malgré les courants violents, les Français (équipage du «Gros-Ventre») réussirent malgré tout à aborder sur le rivage et prirent possession de l’île (Kerguelen ne mit jamais pied à terre). Séparés par de très mauvaises conditions météorologiques, la «Fortune» rejetée au large par la tempête, Kerguelen décida le 16 février de retourner à l’Île de France, afin de rapporter sa découverte. Le 16 mars, il jetait l’encre à Port-Louis. La «Fortune» n’ayant point reparu, Saint Allouarn suivit ses instructions à la lettre et fit voile vers la Nouvelle-Hollande (Australie). Le «Gros-Ventre» atteignit le cap Leeuwin le 18 mars 1772. Saint Allouarn envoya Maingaud pour prendre possession de la bande côtière. Le 3 mai 1772, le «Gros-Ventre» arriva à Timor, le 18 juillet il mouillait à Batavia et le 5 septembre, il jetait l’encre à Port-Louis. Saint Allouarn, cet homme probe et modeste, scrupuleux et malade, perdit la vie peu de temps après son arrivée. Kerguelen, de retour en France, annonça pompeusement à Versailles qu’il avait découvert le continent austral. Louis XV le nomma capitaine de vaisseau et le fit chevalier de l’Ordre de Saint-Louis. Second voyagede colonisation - échec: Kerguelen repartit en mars 1773 avec l'«Oiseau» et le «Dauphin» pour une nouvelle mission d’exploration de la Terre australe, dont il releva environ 80 lieux de longueur de côtes, sans parvenir à déterminer si il s’agissait d’un archipel isolé ou de quelques îles prolongeant un continent allant jusqu’au pôle. Force de mauvais temps, il dut remonter vers le nord, fit une escale à Madagascar et rentra en septembre 1774 à Brest, où l’avenir s’annonçait sombre pour lui. Provenance prestigieuse: précieux exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque et provenant de la Bibliothèque du Duc d’Aiguillon, secrétaire d’état des affaires étrangères (1771-1774) et secrétaire d’état de la guerre (1774), avec ex libris.
Paris, Librairie Grecque, Latine et Française, Imprimerie de Cosson, 1821 ; 2 tomes in-8 (208 mm), demi-veau bleu marine, dos plat à deux nerfs encadrant l’auteur et le titre dorés, grande composition romantique dorée, tomaison en queue, non rogné (reliure de l’époque) ; [2 ff.], XXVI, 456 pp., [1 f.] ; [2 ff.], 474 pp., [1 f. n.ch.], portrait du comte Joseph de Maistre en frontispice lithographié par Bouillon et dessiné par Villain.
Edition originale sur vergé ; ex-libris d’Arthur Antoine Alphonse de Péricaud, lyonnais (1828-1899), magistrat, poète, peintre et sculpteur qui a utilisé également le pseudonyme d’Arthur de Gravillon. Il a réalisé de nombreux médaillons et statues, et a exposé à Lyon et à Paris pendant longtemps et fut un auteur tout à fait original et curieux. Né à Chambéry, d’abord magistrat, Joseph de Maistre devient rapidement un homme politique en vue : sénateur du royaume de Sardaigne, pendant la Révolution, il accompagne le roi Charles-Emmanuel II dans son exil en Sardaigne où il abdiqua quelque temps après en faveur de son frère Victor-Emmanuel. Joseph de Maistre est alors nommé ministre plénipotentiaire en Russie, à Saint-Pétersbourg ; en 1817, la Savoie ayant été rendue, il devient régent de la Grande Chancellerie de Savoie.Franc-Maçon fortement imprégné des idées de Louis-Claude de Saint-Martin, il va s’orienter vers le Martinisme et entretiendra à plusieurs reprises avec Jean-Baptiste Willermoz. Dans les IXe, Xe et XIe entretiens de notre ouvrage, il rapporte son expérience ésotérique en Russie. Voir la longue notice qui lui a consacré Daniel Ligou dans son Dictionnaire de la Franc-Maçonnerie. Caillet 7026. Quelques rousseurs pâles, bel exemplaire dans une belle reliure décorative.
Phone number : 06 60 22 21 35
Périsse Frères, Lyon, Paris. 1857. In-16. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 507 pages. Etiquette de code sur le dos. Tampons de bibliothèque sur le 1er plat et en page de titre. Couverture muette. Dos fendu. 1er plat détaché. Petit manque en 1re page de garde.. . . . Classification Dewey : 232.91-Vierge Marie
3e édition. R.P. J.-M.-L. Enjelvin, Religieux Franciscain de Terre-Sainte. Classification Dewey : 232.91-Vierge Marie
[Paris], Imprimerie française de Mnémosyne, an II (1794) in-8, titre, viij pp., 142 pp., cartonnage d'attente de papier moutarde, dos lisse, pièce de titre orangée, tranches citron mouchetées de bleu (reliure de l'époque). Coins abîmés, rousseurs. Début de fente au mors supérieur.
Unique édition, importante pour connaître la situation des hôpitaux pendant la période révolutionnaire (description à partir de la page 82). Né à Carpentras, Joseph-Marie Audin-Rouvière (1764-1832) exerça son art à Paris.Quérard I, 121. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Joseph-Marie du Quereron dit Saint-Hubert ou Saint Robert, chouan, commandant de la 4e légion de l'Armée Royale du Maine.
Reference : 015756
Joseph-Marie du Quereron dit Saint-Hubert ou Saint Robert, chouan, commandant de la 4e légion de l'Armée Royale du Maine. L.A.S. « St Robert », Cossé-le-Vivien, 2 décembre 1799, 3p in-4. Au général Louis François Jean Chabot (1757-1837). Encre éclaircie : « Monsieur, J'ai reçu hier l'honneur de la votre en date du 10 frimaire & après une lecture attentive, elle m'a fourni matière à plusieurs observations. Comme vous, Monsieur, j'ai crû qu'une entrevue ne pouvait qu'être très utile, et je n'ai pas [mot illisible] un instant à vous l'accorder. Je ne doute point, Monsieur, qu'après une trêve conclue, et surtout après votre parole, ma vie ne soit sauve dans Laval ; je ne doute point, Mr, que vos troupes ne soient assez subordonnées pour qu'elle ne se portent pas aux voix de fait dont elles menacent continuellement ; mais permettez-moi, Monsieur, de vous observer qu'il existe dans les villes une classe d'hommes qui méprisable parce qu'elle est ordinairement lâche, me cherche, cachée derrière le rideau, qu'a troublé l'union que l'on voit entre les chefs des deux partis. Si ces hommes craints d'être punis par vous, n'osent se porter à des actes de violence, il serait du moins très possible qu'ils se portassent à des insultes verbales, et vous savez mieux que tout autre, Mr le général, qu'un homme d'honneur ne sait les souffrir d'aucune espèce. En conséquence j'ai l'honneur de vous prévenir que demain, escorté de 4 à 6 cavaliers, je me rendrai aux portes de [Laval?], que je consens à me rendre chez [vous?] si de votre vôté, Monsieur, vous consentez, [quand?] je paraitrai, à m'envoyer chercher par [un?] picquet de cavalerie dont vous soyez [sur?] Commandé par un de vos officiers alors, Monsieur, fort des lois de l'honneur et de votre parole, je me croirai garanti des insultes et 'aurai le plaisir de vous assurer verbalement de ma haute considération. Le chef de Légion. St Robert ». Les mots entre crochet ont disparu avec la disparition du cachet qui fermait la lettre. Nous avons trouvé une référence le disant surnommé Saint Hubert mais notre document est bien signé Saint Robert, sans qu'il ne puisse y avoir de doute. Il doit s'agir d'une erreur de lecture répétée ensuite par certaines sources. Intéressant document. [93]
AMIOT, Joseph-Marie (1718-1793) / HELMAN, Isidore-Stanislas (1743-1836)
Reference : 7624
(1782)
1782 A Paris: Chez lAuteur, et chez M. Ponce, graveur de Mrg le Comte dArtois, [entre 1782 et 1792]. In-fol.: 25.5 x 33 cm, 1 f. de titre grav. 49 ff de pl. grav comprenant 24 fig. chiff. 1 à 24 et 25 ff. de texte grav. dexplication des planches. Beau recueil destampes relatives à la vie de Confucius. L'ouvrage fut annoncé au "Journal de Paris" le 9 octobre 1786. Cohen date le recueil de 1788. (Cohen, 479). La BNF estime lexécution des eaux-fortes entre 1782 et 1792. Les gravures 1, 3, et 13 furent gravées par Duclos. Louvrage devait compter 105 planches, mais seulement 24 furent publiée. La biographie de Confusius par le P. Jean Joseph Marie Amiot (1718-1793) est la plus importante qui eût paru jusqualors. (Cordier, I, 667). Reliure romantique en demi-veau brun à petits coins. Coiffes frottées. Manque à un mors de queue. Rousseurs. Bien complet des 24 eaux-fortes gravées par Helman.
A Paris, De l'Imprimerie de Sébastien Jorry, 1768 in-8, XXXIV-[2]-586-[2] pp., front., veau écaille, dos lisse orné, tranches marbrées (reliure de l'époque). Épid. aux mors, coins usés
Édition originale du traité majeur de Joseph-Marie Gros de Besplas, prédicateur de Louis XV. À mesure que les attaques violentes contre la propriété, la société et la religion se multiplient dans les écrits des philosophes, de rares abbés introduisent l'économie politique dans leurs sermons, au point d'être rappelés à l'ordre par les autorités ecclésiastiques. Parmi ceux-ci, l'abbé Gros de Besplas, excluant l'utilité des grandes réformes, avance que le bonheur public, dont la religion et le monarque sont les seuls garants, naît de la possession du nécessaire, d'une certaine abondance et de l'assujettissement à un travail modéré. Ces principes établis, il lance de violentes diatribes contre le luxe qu'il faut réprimer par de forts impôts, déplore que des terres restent en friche faute d'instruments de travail et appelle le Prince à un " partage plus égal de ses terres d'accord avec la justice ". Partant, Besplas développe une théorie qui proportionne la propriété au besoin de chacun : "l'étendue de la possession doit être le signe du nombre d'enfants".Auteur d'un Rituel des Esprits forts et d'un Discours sur l'Utilité des Voyages, l'abbé Gros de Besplas (1734-1783) est à l'origine des maisons de Force qui remplacèrent les cachots.Frontispice de Charles Eisen gravé par Jean Massard représentant le jeune Dauphin, futur Louis XVI, poursuivant l'ombre de son père, le Dauphin Louis, mort en 1765. Exemplaire sans le frontispice comme dans beaucoup d'exemplaires rencontrés.INED, 2163. Lichtenberger, Le Socialisme au XVIIIe Siècle, 391-393. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Paris], Imprimerie de Le Normant, 1818 in-8, 7 pp., broché sous couverture factice de papier marbré de la fin du XIXe.
Rare pièce d'un poète encore plus rare dans ses productions (deux titres chez Quérard) : Joseph-Marie Fournier de la Pommeraye, né à Fougères en 1785, conseiller à la Cour d'Angers, démissionnaire en 1830, décédé à Nantes en 1855, avait été anobli par lettres patentes du 6 janvier 1815. Il avait épousé en 1834 Louise-Charlotte de la Rochefoucauld-Bayers.Quérard IV, 549. Au CCF, exemplaires seulement à la BnF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Avignon, Imprimerie de Bonnet fils, 1840 in-8, 44 pp., avec un frontispice dépliant gravé au trait, sous serpente, demi-veau blond, dos lisse cloisonné en long, pièce de titre prune, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Petites épidermures au dos.
Première livraison, seule parue : elle est tout entière consacrée aux Fonts baptismaux de Cadenet. Joseph-Marie-Alexis Chaix (vers 1790 - après 1849) n'était pas archéologue, mais peintre et dessinateur, élève de Pierre Raspay auquel il succéda comme directeur de l'Ecole de dessin d'Avignon. Sa vie est au demeurant assez mal connue.Reliés à la suite quatre autres opuscules archéologiques : I. JAHN (Otto) :Die Gemälde des Polygnotos in der Lesche zu Delphi. Kiel, Schwer, 1841, 74 pp., avec un tableau dépliant "in fine". - II. Bericht über die zur Bekanntmachung geeigneten Verhandlungen der Königl. Preuss. Akademie der Wissenschaften zu Berlin im Monat April 1838. S.l.n.d. [Berlin, 1838], paginé 47-74. - III. PETIT-RADEL (Louis-Charles-François) : Sur quelques monumens de théorie pélasgique, deux lettres adressées à M. le Duc de Luynes, associé libre de l'Institut de France. Extrait du sixième volume des Annales de l'Institut archéologique p. 350-367. Paris, Paul Renouard, 1835, 18 pp., avec deux planches dépliantes "in fine". Seulement deux exemplaires au CCF (BnF et Lyon). - IV. [WELCKER (Friedrich Gottlieb) :] Die Vorstellungen der Giebelfelder und Metopen an dem Temple zu Delphi. S.l.n.d, 28 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., 1774 in-12, [2] ff. n. ch., 48 pp., avec un plan dépliant hors texte (plusieurs réparations), broché sous couverture d'attente de papier à motifs floraux. Mouillures sur les derniers feuillets.
Édition originale très rare. Le texte en sera repris deux fois : dans un opuscule sans date paru chez Maradan ; dans une relation de la prise de la Bastille de 1789, parue chez Grangé et Goujon, et dans laquelle les Remarques seront reprises textuellement.Avocat à la cour de Rennes, puis substitut du procureur général au Parlement de Bretagne, Joseph-Marie Brossays du Perray (1731- ?) fut ensuite Commissaire des Etats (1781, 1789) et finit par intégrer le parquet de la cour supérieure provisoire (1790). Barbier IV, 250. Tourneux III, 12 311.Ex-libris manuscrit "Selmar musicien". Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[Imprimerie de Jean-Matthieu Douladoure, Alf. Cerf & Cie, François Gimet ] - SAINT-FELIX, A.-J.-M. de ; [ SAINT-FELIX Marquis de Mauremont, Comte de Cajarc, Armand Joseph Marie de ]
Reference : 65841
(1858)
Troisième édition, ornée d'un bel atlas de 56 planches gravées, 1 vol. grand in-4 cartonnage éditeur demi-percaline noire, couv. imprimées, Imprimerie de Jean-Matthieu Douladoure, Toulouse, 1858 [en couv . : Alf. Cerf & Cie, Paris, François Gimet, Toulouse, 1870 ], xxij-358 pp. avec 56 planches hors texte (dont nombreuses planches dépliantes)
Très rare et bon exemplaire de cette troisième édition, revue, corrigée et considérablement augmentée, avec son bel atlas de 56 planches. Armand Joseph Marie de Saint-Félix (1794-1866), marquis de Mauremont et Comte de Cajarc, homme politique légitimiste, était un des 40 mainteneurs des Jeux Floraux. Bon exemplaire (couv. un peu frottée, coins frottés, très bon état par ailleurs).
P.U.F. 1950. In-12 br. Coll. " Que sais-je ? ". Texte de Lo Duca, très importante iconographie autour de l'histoire de l'affiche.
Saint-Paul Editions Religieuses Broché D'occasion état correct 07/02/2001 242 pages
Timmers Jan Joseph Marie Würstenberg Frédéric
Reference : 50126VCRT
ISBN : B0014P04FQ