1845 Ed. A. Lebrument, Rouen, 1845. In-4, cartonnage époque muet, pièce de titre maroquin noir. 94 pages, 50 planches lithographiées au trait et aquarellées, dont un grand et beau frontispice dépliant représentant Rouen
C'est le fac-simile d'un livre manuscrit appelé le "Livre des Fontaines" dû à Jacques Le Lieur, magistrat de la ville, accompagné de notices historiques détaillées sur chaque monument par Théodore de Jolimont.Légères piqûres et mouillures sur le cartonnage. Mouillures aux 2 derniers feuillets.Malgré ce, reste un bel exemplaire
1845 1 Tiré à 125 exemplaires, n° 20. Rouen, A. Le Brument, impr. A. Péron, 1845, in-4° de LVI-94 pages avec 50 planches coloriées, relié demi-chagrin rouge, titre or sur dos lisse orné de caissons, quelques légères piqûres.
"Le Livre des Fontaines, dû au zèle généreux d'un magistrat, Jacques Le Lieur, ancien échevin, fut exécuté à l'occasion de l'établissement de plusieurs fontaines jaillissantes sous l'épiscopat du cardinal d'Amboise, et en partie à ses frais. Ce livre retrace avec une exactitude scrupuleuse, non seulement les sources et le cours souterrain des eaux qui alimentent les fontaines de la ville, l'image de ces mêmes fontaines, mais encore les rues bordées de maisons et les édifices religieux et civils qui se trouvent sur ce parcours. Il offre ainsi l'aspect monumental que présentait la ville de Rouen au commencement du XVIe siècle. Ce beau et curieux volume, précédé d'une description du manuscrit et d'une notice sur Jacques Le Lieur, a été tiré à seulement 125 exemplaires numérotés." Recueil de quarante-neuf vues coloriées des principaux monuments de Rouen, il emprunte sa documentation à la totalité des plans du manuscrit. Jolimont y a pris le parti d'isoler chaque bâtiment reconnaissable dans les plans et dans la Grande Vue, et d'en retracer l'histoire dans de courtes notices. Frère II, 108.
Paris, Leblanc, 1822. Grand in-folio. Orné de 30 grandes lithographies hors texte de lauteur et une in-texte en fin d'ouvrage.Chaque lithographie est accompagnée de deux pages de texrte explicatif. Exemplaire à grandes marges et très propre, sans rousseurs. Tiré à 150 exemplaires seulement. Cartonnage rouge d'attente d'époque, tel que paru, usures aux coins et au dos.
M.de Jolimont est né à Martainville sur Ry. Il avait le projet de publier une description des monuments de toute la Normandie. Celui-ci seul est paru. Frère.
Rouen, Lebrument, 1845. In-4 de LVI, 94 pages, avec un frontispice orné en couleurs et 48 planches en couleurs, bien conforme à la table des planches. Tiré à 125 exemplaires seulement (n°52). Rousseurs éparses sur l'ensemble de l'ouvrage. Cartonnage d'éditeur brun d'époque, dos plat orné d'un large motif doré encadrant le titre de maroquin noir. Usures sans manque au papier du dos et deux coins émoussés.
Le Livre des Fontaines, dû au zèle généreux d'un magistrat, Jacques Le Lieur, ancien échevin, fut exécuté à l'occasion de l'établissement de plusieurs fontaines jaillissantes, sous l'épiscopat du cardinal d'Amboise, et en partie à ses frais. Ce livre retrace avec une exactitude scrupuleuse, non-seulement les sources et le cours souterrain des eaux qui alimentent les fontaines de la ville, l'image de ces mêmes fontaines, mais encore les rues bordées de maisons et les édifices religieux et civils qui se trouvent sur ce parcours. Il offre ainsi l'aspect monumental que présentait la ville de Rouen au commencement du XVIème siècle. Frère.
Slnd (Paris), Langlumé, 1822. Lithographie de 48 x 33 cm. Vue du côté de la ville.
Dessinée d'après nature par E. H. LANGLOIS et tirée à 150 exemplaires seulement.
Slnd (Paris), Langlumé, 1822. Lithographie de 48 x 33 cm.
Dessinée d'après nature par E. H. LANGLOIS et tirée à 150 exemplaires seulement.
Slnd (Paris), Langlumé, 1822. Lithographie de 48 x 33 cm. Vue latérale, côté du midi.
Dessinée d'après nature par E. H. LANGLOIS et tirée à 150 exemplaires seulement.
Slnd (Paris), Langlumé, 1822. Lithographie de 48 x 33 cm. Portail latéral, côté du midi.
Dessinée d'après nature par E. H. LANGLOIS et tirée à 150 exemplaires seulement. Ce portail dit "de la Calende" tient son nom du lieu où se tenaient les assemblées ecclésiastiques, dites "calendes". Le terrain qui l'environnait fut longtemps baigné des eaux de la Seine et s'appelait Quai Notre-Dame ou Quai des navires.