Au marquis de Ricard, mémoire pour la fourniture « d’une bague a saphir avec un diamant de chaque cotté », le 2 août 1732. À la marquise, un premier mémoire, fort bien détaillé, acquitté le 28 août 1756 qui concerne la livraison et fourniture d’une paire de boucles d’oreilles « de diamants à fleurs », par le joailler A. Aubert, à Paris. « Aubert md joaillier place daufine en entrant par le pont neuf adroite la première boutiques après l’épicier a paris », lequel Aubert rédige le détail des diamants fournis et leur nombre, « 99 Diamants pesent 15 Kt un quart pierres épaisses pierre faible et roses. J’en prend 80 dit diamant pour en faire une paire de Boucles d’oreilles afleurs les 19 restant sont pour faire deux pair de boucles de nuit aparis ce 15 juillet 1756 ». Ce même joailler a reçu également en paiement, la fourniture de « cinq tabatières de carton doublée d’écaille », d’une glace et d’une « boite à mouche ». Le second mémoire adressé à cette même marquise, est acquitté à Avignon, le 8 octobre 1785. « livré une paire des boucles d’oreilles à l’indiene composée de cinquante quatre diamants provenant d’une paire des boucles d’oreilles où il y avait cinquante brillant et 12 pettites roses d’Hollande les quelles roses je les prendrai en échange pour une pierre fournie dont les chattons des boucles en ayant eu trois de reste pour le coulon de la croix… ». Suit le prix pour « la façon » et « le surplus de diamant ». La dernière pièce concerne un « mémoire et acquis des diamants que j’ai emploié a des boucles doreille », mémoire rédigé par un employé du joailler Aubert, concernant son travail d’exécution en 1756 à Paris. « J’ai emploier etant a paris en 1756 pour faire de boucles doreille en port à fleurs deux paires de boucles de nuit et cinq épingles les diament d’un papillon de croix d’une bague avec de deux croix de malte… ».
L’ensemble des 5 documents