S.n., s.l., [2017]. 8p A4. Travail de Jean-Pierre Le Goff resté jusqu'à ce jour inédit. Il consistait en diverses impressions, 128 en tout, dont on pourrait faire part sur des cartes de visites telles que « Faire signe ne donne pas pour autant de ses nouvelles », « On se maquille une façade avec quelques traces d'encre » ou « au cas où j'oublierais où je peux me trouver ». Chaque carte de visite porte le nom, l'adresse et le téléphone de Le Goff, et il y a écrit, de son encre turquoise habituelle, une impression. L'ordre des cartes de visite a été conservé telle que Le Goff l'a voulu. Tirage unique à 64 exemplaires tous numérotés et enrichis de cartes de visite. Un des 10 exemplaires contenant 5 cartes de visite
S.n., s.l., [2017]. 8p A4. Travail de Jean-Pierre Le Goff resté jusqu'à ce jour inédit. Il consistait en diverses impressions, 128 en tout, dont on pourrait faire part sur des cartes de visites telles que « Faire signe ne donne pas pour autant de ses nouvelles », « On se maquille une façade avec quelques traces d'encre » ou « au cas où j'oublierais où je peux me trouver ». Chaque carte de visite porte le nom, l'adresse et le téléphone de Le Goff, et il y a écrit, de son encre turquoise habituelle, une impression. L'ordre des cartes de visite a été conservé telle que Le Goff l'a voulu. Tirage unique à 64 exemplaires tous numérotés et enrichis de cartes de visite. Un des 51 exemplaires contenant 1 carte de visite
Paris, Leperlier, 1982. Grand in-4, 64p couverture illustrée et jacquette. Numéro 1 et unique de cette revue publiée sous la direction de François Leperlier (n°0042) dont le comité de direction contenait Jean-Pierre Le Goff. On y retrouve les textes de plusieurs personnes, en plus de ces deux susnommés, qui feront partie de la banalyse : Georges Sebbas (n°0350), Pierre Peuchmaurd (n°0367), Alain Joubert (n°0041), Laurent Gervereau (n°0226), Jean Benoît (n°0750), Antoine Leperlier (n°0360) & F.J. Ossang (n°0347) soit 9 des 15 contributeurs. Le texte de Le Goff est d'ailleurs un poème Miettes ferroviaires s'inscrit comme une prémonition de son arrivée au Congrès des Fades en 1984, quand personne ne l'y attendait.
S.l., L'esprit des péninsules, juin 2000. In-8, 143p. Première numéro de cette revue avec un dossier consacré au poète libanais Ounsi El Hage, des lettres inédites de Georges Henein et divers textes et poèmes dont un texte de Jean-Pierre Le Goff titré L'or et la pie. Cette revue semble n'avoir connu que trois numéros.
Paris, Alliance Française de Madras, 1992. In-4 carré, 24p. Catalogue reproduisant les fax des artistes ayant suivi cette démarche, dont Jean-Pierre Le Goff qui a signé un petit texte « L'ombre d'une seconde » sous un dessin représentant un fil cousu de 20.04m avec l'aiguille, correspondant « à l'axe Est-Ouest de la place de l'Etoile à Paris ». On y retrouve deux autres banalystes, Joël Hubaut (n°0153) & Orlan (n°0807) et un de ses amis Daniel Cabanis. Peut-être est-ce l'un des trois qui l'y a fait participer.
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Paris, Talus, 2003-2005. Cette petite revue publia aussi divers documents dont nous livrons ici quelques exemples. La revue compta en tout 24 numéros. Le Goff publia des textes dans les n°8 (Du crayon vert au crayon qui tue), n°14 (L'écriture des fourmis), n°17 (Etiquette n°5 de la confrérie du peint & du vin avec Nicolas Topor) & n°24.1 (Thieri Foulc m'a proposé.). On y retrouve quasi-systématiquement Tristan Bastit et Thieri Foulc (n°0795), et aussi Guillaume Pô avec qui Le Goff était en contact. Beaucoup de textes sont signées Talus. Cette revue semble avoir eu une diffusion très restreinte (100 exemplaires ? Moins ?).
Augerans, Freund, 2004. In-8 carré, 18f. agrafés. Catalogue reproduisant les différentes visions de Camille envoyées par une quinzaine de correspondants, dont Le Goff, à Freund. Les noms des différents participants et leurs coordonnées sont reproduits à la fin. Rare, bel exemple d'art postal.
[Paris], Le Hasard d'être, 1983. In-8, 48p. Edition originale du premier ouvrage de Le Goff, tirée à 500 exemplaires, ici un des 75 Vélin d'Arches (seul tirage avec 425 Ingres d'Arches). L'ouvrage est illustré de deux gravures de Jean Benoit (n°0750 - numéro d'invité dans la banalyse) représentant l'auteur et la neige et a une couverture rempliée. Les gravures des exemplaires du tirage de tête sur Vélin sont signées au crayon par Jean Benoit. Le nom de l'auteur a été orthographié ici Legoff. Ce journal ne fut écrit que les jours de neige à Paris entre 1978 et 1981.
[Paris], Le Hasard d'être, 1983. In-8, 48p. Edition originale du premier ouvrage de Le Goff, tirée à 500 exemplaires, ici un des 425 Ingres d'Arches (seul tirage avec 75 Vélin d'Arches). L'ouvrage est illustré de deux gravures de Jean Benoit (n°0750 - numéro d'invité dans la banalyse) représentant l'auteur et la neige et a une couverture rempliée. Les gravures des exemplaires du tirage de tête sur Vélin sont signées au crayon par Jean Benoit. Le nom de l'auteur a été orthographié ici Legoff. Ce journal ne fut écrit que les jours de neige à Paris entre 1978 et 1981.
Stock (3 mars 2021)
Couverture souple, comme neuf.
Robert Laffont (21 septembre 2023)
Livre à l'état de neuf, très frais sans annotations ni défauts dissmulés.
Un ouvrage de 126 pages, format 115 x 190 mm, broché, publié en 1999, Editions La Découverte, collection "Sur le Vif", bon état
La modernisation aveugle des entreprises et de l'école
Phone number : 04 74 33 45 19
Editions NRF Gallimard 2014
Fort in8, broche, 576p, 2014, bon etat d'usage, contours un peu frottes notamment au niveau des coins, petites salissures bas du dos et de la quatrieme de couverture, interieur tres propre, Editions NRF Gallimard
Editions La Découverte , Sur le Vif Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1999 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise et rouge, illustrée d'un marchand de journaux fin XIXe In-8 1 vol. - 126 pages
1ere édition, 2eme tirage, 1999 Contents, Chapitres : Introduction - 1. Moderniser à tout prix : Management et manipulation, les émancipations de l'ère nouvelle - Evaluation des compétences et déshumanisation du travail - Les outils pédagogiques libérateurs - L'école sous la pression moderniste - 2. Comment en est-on arrivé là ? : Aux origines culturelles de la barbarie douce - Aux origines de la gauche modernisée - Des conditions pour espérer ? - Conclusion - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps »8. Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bon exemplaire, frais et propre
"Paul Gayot Henri Béhar François Caradec José Pierre Michel Arrivé Patrick Besnier Henri Bordillon Anne Clancier Daniel Compere Sylvain-Christian David Christophe Domino Brunella Eruli Yves-Alain Favre Charles Grivel Jean-José Iriarte Alain Le Goff et Jean-François Massol Anne C. Murch Catherine Stehlin Linda K. Stillman Jean-Pierre Vidal"
Reference : 15673
(1981)
"1981. Paris Éditions Pierre Belfond 1981 - Broché 14 cm x 22 5 cm 317 pages - Direction : Henri Bordillon ; communications de Michel Arrivé Henri Behar Patrick Besnier Henri Bordillon François Caradec Anne Clancier Daniel Compere Sylvain-Christian David Christophe Domino Brunella Eruli Yves-Alain Favre Paul Gayot Charles Grivel Jean-José Iriarte Alain Le Goff et Jean-François Massol Anne C. Murch José Pierre Catherine Stehlin Linda K. Stillman Jean-Pierre Vidal - Il est écrit sur la couv. « don de M . Queinner » sinon très bon état"
La Découverte Poche , Essais Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur gris foncé avec une petite vignette verte sur le bord gauche du plat In-8 1 vol. - 164 pages
1ere édition du nouveau tirage de 2000 Contents, Chapitres : Introduction - Crise et repères du management - Ingénieur, un métier qui se perd - Contextes et difficultés actuelles du management - Le management comme activité - Quelle formation au management - Conclusion et postface - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps ». Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bel exemplaire, frais et propre - format de poche
La Découverte Poche , Essais Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2000 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur gris foncé avec une petite vignette verte sur le bord gauche du plat In-8 1 vol. - 164 pages
1ere édition du nouveau tirage de 2000 Contents, Chapitres : Introduction - Crise et repères du management - Ingénieur, un métier qui se perd - Contextes et difficultés actuelles du management - Le management comme activité - Quelle formation au management - Conclusion et postface - Jean-Pierre Le Goff, né le 22 mars 1949 à Équeurdreville (Manche), est un philosophe et sociologue français. Rattaché au laboratoire Georges Friedmann (IDHE CNRS Paris I), il travaille sur l'évolution de la société, et notamment sur les paradoxes de Mai 68, sur la formation, sur les illusions du discours managérial en entreprise, sur le stress et la souffrance au travail. Il privilégie l'analyse d'un certain « air du temps » qui ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais qui lui semble significatif de mutations plus structurelles des idées, des modes de représentation, et des valeurs. - Jean-Pierre Le Goff a voulu apporter une interprétation critique des paradoxes de Mai 68, des illusions du discours managérial, du stress au travail, de la formation, et, de façon plus générale, des mutations de la société. Son interprétation des phénomènes sociaux entend mettre en lumière les idées, les croyances, les représentations qui imprègnent plus ou moins consciemment la société et les acteurs sociaux et politiques. Dans ses écrits, les évolutions culturelles ne sont pas considérées comme une « superstructure » des réalités économiques et sociales, mais prises en compte comme ayant une consistance et une signification propres. Il veut se démarquer tout autant d'une sociologie réduite à l'expertise et à l'audit qui réduit les contenus de signification à des paramètres à prendre en considération afin de corriger les dysfonctionnements, que d'un type de « sociologie critique » qui réduit les évolutions à des phénomènes de domination, d'inégalité ou de discrimination. En dehors de ces deux grands courants, il privilégie l'étude de l'arrière-fond culturel des sociétés, qui déterminent un certain « air du temps ». Ce dernier ne se réduit pas pour lui à des « modes », mais serait significatif de mutations plus structurelles. Sa démarche se veut une conception de la sociologie ouverte à l'anthropologie et à l'interrogation philosophique dans l'interprétation des phénomènes sociaux. (source : Wikipedia) bon état, intérieur frais et propre, un ex-libris sur la premiere page - format de poche