1769 Delalain, Saugrain et Lacombe, libraires, Paris, 1769. Un volume in 12 relié demi-toile (reliure postérieure, 19°), une planche gravée en frontispice, 50 pages, chaque pièce paginée séparément. Bon état.
Guérineau, né dans une famille de la noblesse de robe, suivit ses études en province avant de rejoindre à Paris. Il y fit carrière dans les lettres et publia des vers dans divers journaux. En 1763, il rejoignit le mouvement physiocratique. Membre de la société royale d'agriculture d'Orléans, où il résidait, il y rencontre Mirabeau et plusieurs physiocrates.Jean-Nicolas Guérineau s'investit essentiellement dans la rédaction d'articles économiques dans des journaux tel que la Gazette du commerce (fondée en 1763) ou le Journal de l'agriculture et du commerce de Pierre Samuel du Pont de Nemours entre 1764 et 1774.Saint-Péravi remporta un concours organisé par la société royale d'agriculture de Limoges sur la fiscalité indirecte. Dans la lignée des idées physiocrates, il estime que toute la fiscalité doit reposer sur la taxation de la terre puisque c'est la seule source de richesses. Turgot, alors intendant du Limousin, qui avait financé le prix, trouvant son texte insatisfaisant, écrivit en réponse une Observations sur le mémoire de M. de Saint-Péravy en faveur de l'impôt indirect qui reste comme la première et des plus brillantes formulations de la loi des rendements décroissants.En 1778, il quitte Paris à la suite d'une affaire d'honneur et se réfugie à Bruxelles, près du Prince de Ligne, puis à Liège où il bénéficie de la protection du prince-évêque Velbruck ; il obtient une pension de 800 £ et devient membre-orateur de la Société libre d'émulation de Liège. Il y prononça le discours d'ouverture lors de l'inauguration de cette société.(Wikipedia) Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.